- thrasybuleDevin
Il va vraiment falloir faire payer la consultation.
- supersosoSage
thrasybule a écrit:Il va vraiment falloir faire payer la consultation.
Ou simplement ne plus répondre à tout ce qui est de cet ordre...
- Spoiler:
- C'est bizarre, j'finis par bien l'aimer ta poupée
- retraitéeDoyen
Quelques ouvrages pour Parménide :
GOURINAT (Michel), Guide de la dissertation et du commentaire composé en philoso-
phie, Paris, Hachette, 1976.
PENA-RUIZ (Henri), Méthodologie philosophique: maîtrise de la dissertation, Paris,
Bordas, 1978.
SÈVE (Bernard), Exercices philosophiques, Paris, Hachette, 1979.
RUSS (Jacqueline), Les méthodes en philosophie, Paris, Armand Colin, 1992. CHOULET (Philippe), FOLSCHEID (Dominique), WUNENBURGER (Jean-Jacques),
Méthodologie philosophique, Paris, PUF, 1992, 1996.
LEGUIL (Clotilde), La philosophie au bac. Un cahier pour s’entraîner, des sujets guidés,
des textes, Paris, Bordas, 2008.
GOURINAT (Michel), Guide de la dissertation et du commentaire composé en philoso-
phie, Paris, Hachette, 1976.
PENA-RUIZ (Henri), Méthodologie philosophique: maîtrise de la dissertation, Paris,
Bordas, 1978.
SÈVE (Bernard), Exercices philosophiques, Paris, Hachette, 1979.
RUSS (Jacqueline), Les méthodes en philosophie, Paris, Armand Colin, 1992. CHOULET (Philippe), FOLSCHEID (Dominique), WUNENBURGER (Jean-Jacques),
Méthodologie philosophique, Paris, PUF, 1992, 1996.
LEGUIL (Clotilde), La philosophie au bac. Un cahier pour s’entraîner, des sujets guidés,
des textes, Paris, Bordas, 2008.
- User17706Bon génie
Les trois premiers au moins sont devenus très difficiles à trouver. Je continue à chercher un autre exemplaire du Gourinat que celui que j'ai perdu. Il y en a que ça fait rire. J'espère juste que je ne finirai pas par retrouver le mien enseveli sous une pile d'autres bouquins.
Mais bon, je pense que Parménide a lu beaucoup trop de méthodologies déjà, et, surtout, pris les conseils qu'elles contiennent beaucoup trop à la lettre et pas assez selon leur esprit. Je pense que le moindre mot supplémentaire de méthodologie générale, et je dis bien le moindre, risquerait de faire davantage de mal que de bien.
Mais bon, je pense que Parménide a lu beaucoup trop de méthodologies déjà, et, surtout, pris les conseils qu'elles contiennent beaucoup trop à la lettre et pas assez selon leur esprit. Je pense que le moindre mot supplémentaire de méthodologie générale, et je dis bien le moindre, risquerait de faire davantage de mal que de bien.
- supersosoSage
PauvreYorick a écrit:Les trois premiers au moins sont devenus très difficiles à trouver. Je continue à chercher un autre exemplaire du Gourinat que celui que j'ai perdu. Il y en a que ça fait rire. J'espère juste que je ne finirai pas par retrouver le mien enseveli sous une pile d'autres bouquins.
Mais bon, je pense que Parménide a lu beaucoup trop de méthodologies déjà, et, surtout, pris les conseils qu'elles contiennent beaucoup trop à la lettre et pas assez selon leur esprit. Je pense que le moindre mot supplémentaire de méthodologie générale, et je dis bien le moindre, risquerait de faire davantage de mal que de bien.
Bien d'accord. D'autant que tes petites fiches sont bien suffisantes pour se remettre à la tâche (il ne part quand même pas de rien notre Parménide national).
- User17706Bon génie
C'est vrai. Remarque tout à fait incidente, j'entendais par pot-commitment, justement, le fait de s'être fourré dans une situation où il devient psychologiquement difficile de faire le bon choix. (Je sais qu'il existe des définitions plus techniques que cela, qui ne reviennent pas du tout au même.)DesolationRow a écrit:Pour en rester au poker, on sait très bien que "je suis pot-committed" c'est neuf fois sur dix synonyme de "je me cherche une excuse pour suivre alors que je sais très bien que je vais perdre".
Après, il y a le retour sempiternel de cet énorme malentendu « pragmatique » : tout message adjurant Parménide de ne pas ressasser son passé et ses comptes avec la fac, etc., provoque aussitôt ou presque un message qui est exactement de l'espèce qu'on demandait d'éviter, et on a même l'impression que la longueur de ces messages ne fait qu'augmenter. Je veux bien que ça ait un effet cathartique, mais enfin personne, ici, n'est réellement qualifié pour faire quoi que ce soit de tout cela, contrairement à un professionnel de la santé. D'ailleurs j'ai personnellement insensiblement cessé de les lire, mes yeux et ma souris glissent au bas du message sans même que je m'en rende compte.
En revanche, les propositions qui pourraient avoir une utilité réelle du point de vue de la préparation (comme de réfléchir sur trois courts textes proposés au bac, donc des textes qu'on attend de tout professeur de terminale qu'il soit capable de les maîtriser suffisamment pour les expliquer à des apprentis et évaluer la compréhension qu'en ont ces apprentis sous forme de note au baccalauréat ─ des textes suffisamment courts et suffisamment simples pour être, disons, un « terrain de jeu » et permettre rapidement une réflexion sur la méthode) sont assez systématiquement ignorées.
Bref, il y a une fuite quelque part, l'énergie n'arrive pas à destination, il s'en perd tellement en route, ou alors il en est dérivé une si énorme quantité sur des questions sans incidence réelle sur l'efficacité du travail (comme l'autobiographie compulsive), qu'il est difficile de ne pas se dire que là, on n'est pas encore en selle.
- supersosoSage
Bon perso, je t'avouerai que ton petit travail d'hier, je n'arrivais pas à m'y mettre non plus. On était dans l'ordre de l'exercice scolaire dont on sait que le prof veut en tirer quelque chose et du coup, la cancre en moi avait juste envie d'y échapper (mais je n'ai jamais été une élève facile ni une grande joueuse en fait ).
- User17706Bon génie
Ce cas n'est pas impossible (en pratique très, très peu de gens font ça, sauf ceux qui ratent plusieurs fois à un point près à l'oral), mais les détails que Parménide a par ailleurs donnés sur sa situation (au sujet par exemple de la « lecture du corpus ») sont incompatibles avec cette lecture (sans même rentrer dans des questions assez sibyllines du type « préparation qui n'en est pas une » ou « je l'ai passé sans le passer », qui peuvent avoir une vraisemblance psychologique mais dont on ne peut pas faire objectivement grand'chose).AlexisP a écrit:Est ce qu'on part vraiment du principe qu'un cas du type "J'ai travaillé régulièrement pendant une petite dizaine d'années et j'ai engagé de nombreuses heures dans la préparation des concours et dans la lecture du corpus philosophique mais jusqu'à présent, après 6 Capes, je n'ai toujours rien eu" est impossible ?
Mais on peut imaginer un candidat qui passe six fois le capes de philosophie et échoue six fois, de 2006 à 2011 inclus (nombre de postes, année après année : 30, 30, 26, 26, 32, 32). Il est difficile d'imaginer ce candidat sans espérer très fort pour lui que la septième fois a été la bonne.
- User17706Bon génie
supersoso a écrit:Bon perso, je t'avouerai que ton petit travail d'hier, je n'arrivais pas à m'y mettre non plus. On était dans l'ordre de l'exercice scolaire dont on sait que le prof veut en tirer quelque chose et du coup, la cancre en moi avait juste envie d'y échapper (mais je n'ai jamais été une élève facile ni une grande joueuse en fait ).
Oui, je comprends ce que tu veux dire. En fait ça n'a aucune importance qu'on n'ait pas « joué » au sens propre. J'ai proposé ces textes, trouvés au hasard des annales, juste pour dire quelque chose à leur sujet, que j'ai d'ailleurs quasiment dit. Mais je vais essayer de rendre ça un peu plus clair tout à l'heure.
- GrypheMédiateur
C'est tout ? C'est suffisant pour couvrir les départs en retraite ? :shock:PauvreYorick a écrit:Mais on peut imaginer un candidat qui passe six fois le capes de philosophie et échoue six fois, de 2006 à 2011 inclus (nombre de postes, année après année : 30, 30, 26, 26, 32, 32).
- User17706Bon génie
C'est le nb de postes de 2006 à 2011. Années maigres s'il en fut (en 1993 et en 1994, 300 postes, qui d'ailleurs ne furent pas tous pourvus : 210 admis puis 244). En 2015, on repasse au-dessus des 100 postes, pour la première fois depuis 1998.
Je n'ai pas les données pour répondre à ta question, cela dit ; je sais seulement qu'en philosophie comme ailleurs, les Titulaires sur Zone de Remplacement ne peuvent guère remplacer, puisqu'ils sont presque tous affectés à l'année, et que, même ainsi, il faut assez souvent recourir à des contractuels dès le 1er septembre.
Je ne suis pas certain non plus que, de 2008 à 2011, couvrir les départs en retraite ait été un but.
Je n'ai pas les données pour répondre à ta question, cela dit ; je sais seulement qu'en philosophie comme ailleurs, les Titulaires sur Zone de Remplacement ne peuvent guère remplacer, puisqu'ils sont presque tous affectés à l'année, et que, même ainsi, il faut assez souvent recourir à des contractuels dès le 1er septembre.
Je ne suis pas certain non plus que, de 2008 à 2011, couvrir les départs en retraite ait été un but.
- ParménideNeoprof expérimenté
Pauvre Yorick :
ce n'est pas par mauvaise volonté que je n'ai pas étudié les textes proposés hier soir. Mais j'étais fatigué, et j'ai pris connaissance de ça alors que j'étais couché et je suivais juste la conversation depuis mon Smartphone. J'avais juste donné mon interprétation (c'est un bien grand mot) du texte de Hume, que je connaissais déjà un peu.
Là, je viens de regarder les deux autres textes, en me forçant à extraire la thèse tres rapidement :
1) Je dirais que la thèse est : il existe une raison à la fois individuelle et universelle, et qui constitue une autorité, en vertu de laquelle l'homme juge du Bien et du Mal.
(il me semble que dans ce texte, d'ailleurs, la problématique est écrite noir sur blanc par l'auteur, tu me diras si je me trompe)
2) (c'est du Hobbes non?) Des trois c'est le plus difficile , pour ce qui est de la reconstruction de la thèse. Je dirais : les hommes sont des êtres imparfaits, soumis aux passions. Ils ont donc nécessairement besoin d'une instance supérieure rationnelle pour assurer leur survie en société. Et ce, en vue du bien commun et général.
ce n'est pas par mauvaise volonté que je n'ai pas étudié les textes proposés hier soir. Mais j'étais fatigué, et j'ai pris connaissance de ça alors que j'étais couché et je suivais juste la conversation depuis mon Smartphone. J'avais juste donné mon interprétation (c'est un bien grand mot) du texte de Hume, que je connaissais déjà un peu.
Là, je viens de regarder les deux autres textes, en me forçant à extraire la thèse tres rapidement :
1) Je dirais que la thèse est : il existe une raison à la fois individuelle et universelle, et qui constitue une autorité, en vertu de laquelle l'homme juge du Bien et du Mal.
(il me semble que dans ce texte, d'ailleurs, la problématique est écrite noir sur blanc par l'auteur, tu me diras si je me trompe)
2) (c'est du Hobbes non?) Des trois c'est le plus difficile , pour ce qui est de la reconstruction de la thèse. Je dirais : les hommes sont des êtres imparfaits, soumis aux passions. Ils ont donc nécessairement besoin d'une instance supérieure rationnelle pour assurer leur survie en société. Et ce, en vue du bien commun et général.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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https://www.babelio.com/monprofil.php
- User17706Bon génie
Je dirais que c'est plus ou moins écrit noir sur blanc dans les trois cas, en fait. Ce sont des textes proposés au bac, il ne sont pas piégés.
Ce qui me retient, et qui est intéressant, c'est que nous n'avons pas exactement la même perception de la difficulté, tiens. Je vais y réfléchir
Ce qui me retient, et qui est intéressant, c'est que nous n'avons pas exactement la même perception de la difficulté, tiens. Je vais y réfléchir
- User5899Demi-dieu
M'enfin, il nous a expliqué en long en large et en travers qu'au cours de toutes ces années, il n'a pas lu un livre de philosophie en entier ! Il en a lu moins qu'un T STMG bosseur (cas pas fréquent, mais pas introuvable) !AlexisP a écrit:Est ce qu'on part vraiment du principe qu'un cas du type "J'ai travaillé régulièrement pendant une petite dizaine d'années et j'ai engagé de nombreuses heures dans la préparation des concours et dans la lecture du corpus philosophique mais jusqu'à présent, après 6 Capes, je n'ai toujours rien eu" est impossible ?
- User5899Demi-dieu
Et alors ? Je n'ai toujours pas ouvert la totalité de mes cartons de déménagement de 2010, vous croyez que ça m'empêche de vivre et de travailler ? Montherlant a pensé déménager pendant 40 ans et n'a jamais ouvert ses propres cartons. Mieux vaut un bordel qui laisse éclore la pensée qu'une règle autoproclamée d'une rigueur purement formelle et stérile !Parménide a écrit:même avant d'être en terminale j'ai toujours été une véritable machine à provoquer le désordre autour de moi. J'ai toujours travaillé dans le b...del le plus total. Jusqu'en terminale ça passait.
- Spoiler:
- Oui, je suis revenu, parce que bien que vous m'agaciez et m'énerviez, je vous aime bien quand même
- User5899Demi-dieu
Ca fait des mois que je suggère à Parménide d'aller discuter avec un écouteur stipendié...supersoso a écrit:thrasybule a écrit:Il va vraiment falloir faire payer la consultation.
Ou simplement ne plus répondre à tout ce qui est de cet ordre...
- Spoiler:
C'est bizarre, j'finis par bien l'aimer ta poupée
- Spoiler:
- Oui cette poupée ressemble de plus en plus à une T L à qui l'on vient d'annoncer qu'il y a un livre à lire.
- User5899Demi-dieu
Pardon de squatter avec tous ces messages, mais je pense aussi que le problème de Parménide n'est pas d'ordre méthodologique. Comme nos élèves de lycée, il cherche une potion magique. Or il faut des connaissances et de l'"être-à-l'aise", qui ne s'acquièrent qu par la fréquentation assidue des oeuvres et de l'exercice de la pensée. Les méthodes...PauvreYorick a écrit:Les trois premiers au moins sont devenus très difficiles à trouver. Je continue à chercher un autre exemplaire du Gourinat que celui que j'ai perdu. Il y en a que ça fait rire. J'espère juste que je ne finirai pas par retrouver le mien enseveli sous une pile d'autres bouquins.
Mais bon, je pense que Parménide a lu beaucoup trop de méthodologies déjà, et, surtout, pris les conseils qu'elles contiennent beaucoup trop à la lettre et pas assez selon leur esprit. Je pense que le moindre mot supplémentaire de méthodologie générale, et je dis bien le moindre, risquerait de faire davantage de mal que de bien.
- ParménideNeoprof expérimenté
Cripure a écrit:M'enfin, il nous a expliqué en long en large et en travers qu'au cours de toutes ces années, il n'a pas lu un livre de philosophie en entier ! Il en a lu moins qu'un T STMG bosseur (cas pas fréquent, mais pas introuvable) !AlexisP a écrit:Est ce qu'on part vraiment du principe qu'un cas du type "J'ai travaillé régulièrement pendant une petite dizaine d'années et j'ai engagé de nombreuses heures dans la préparation des concours et dans la lecture du corpus philosophique mais jusqu'à présent, après 6 Capes, je n'ai toujours rien eu" est impossible ?
J'en donne les raisons dans mon message de 14h.
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Chacun fera naturellement ce qu'il voudra mais je tiens à dire que ce très long message que j'ai écrit tout à l'heure est celui qui donne la vision d'ensemble la plus complète de ma situation. Parce que c'est vraiment épuisant pour moi de sans arrêt revenir sur la réalité de ce qui s'est passé depuis 2007-2008. Alors je renverrai désormais tous ceux qui ne comprennent pas à ce message. Ce sera bien plus simple.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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https://www.babelio.com/monprofil.php
- User5899Demi-dieu
Même réponse qu'en classe : pardon, mais je m'en fous. Ce n'est pas à moi que vous avez des comptes à rendre.Parménide a écrit:J'en donne les raisons dans mon message de 14h.Cripure a écrit:M'enfin, il nous a expliqué en long en large et en travers qu'au cours de toutes ces années, il n'a pas lu un livre de philosophie en entier ! Il en a lu moins qu'un T STMG bosseur (cas pas fréquent, mais pas introuvable) !AlexisP a écrit:Est ce qu'on part vraiment du principe qu'un cas du type "J'ai travaillé régulièrement pendant une petite dizaine d'années et j'ai engagé de nombreuses heures dans la préparation des concours et dans la lecture du corpus philosophique mais jusqu'à présent, après 6 Capes, je n'ai toujours rien eu" est impossible ?
En revanche, je vous ferai observer que vous avez avec nous le comportement et le discours d'un patient chez son psy.
- ParménideNeoprof expérimenté
Cripure a écrit:Même réponse qu'en classe : pardon, mais je m'en fous. Ce n'est pas à moi que vous avez des comptes à rendre.Parménide a écrit:J'en donne les raisons dans mon message de 14h.Cripure a écrit:
M'enfin, il nous a expliqué en long en large et en travers qu'au cours de toutes ces années, il n'a pas lu un livre de philosophie en entier ! Il en a lu moins qu'un T STMG bosseur (cas pas fréquent, mais pas introuvable) !
En revanche, je vous ferai observer que vous avez avec nous le comportement et le discours d'un patient chez son psy.
Rassurez-moi : vous ne pensez quand même pas que j'insisterais auprès d'un psy pour avoir des tuyaux concernant la méthode de commentaire de texte ?!
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- User19866Expert
Tu remarqueras que c'est déjà ce que je conseillais en page cinq de ce fil qui en compte à présentesupersoso a écrit:Ou simplement ne plus répondre à tout ce qui est de cet ordre...thrasybule a écrit:Il va vraiment falloir faire payer la consultation.
- Mon cri du coeur, il y a vingt pages:
- Dalathée2 a écrit:Les gars. Stop. On avait un fil intéressant, sur un extrait de texte précis. On a traité les problèmes méthodos en persos de Parménide en long, en large et en travers, sur soixante-dix pages. On peut revenir à Kant s'il vous plaît ?
Je me demande quelle est la qualité des contractuels en philo. Sont-ce des gens très compétents, qui ont seulement eu le malheur d'aimer la philosophie au moment où l'institution verrouillait le nombre de postes ? Ou bien, la philosophie en terminale étant quand même moins accessible a priori que, disons, le français ou les mathématiques pour quelqu'un ayant un parcours différent, trouve-t-on de doux rêveurs ?Gryphe a écrit:C'est tout ? [...]PauvreYorick a écrit:Mais on peut imaginer un candidat qui passe six fois le capes de philosophie et échoue six fois, de 2006 à 2011 inclus (nombre de postes, année après année : 30, 30, 26, 26, 32, 32).
Le bordel permet-il vraiment de laisser éclore la pensée ?Cripure a écrit:[...] Mieux vaut un bordel qui laisse éclore la pensée qu'une règle autoproclamée d'une rigueur purement formelle et stérile !
- JPhMMDemi-dieu
La pensée n'a-t-elle pas besoin de bordel pour éclore ?
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User17706Bon génie
Je ne pense pas qu'il y ait de réponse générale.Dalathée2 a écrit:Je me demande quelle est la qualité des contractuels en philo. Sont-ce des gens très compétents, qui ont seulement eu le malheur d'aimer la philosophie au moment où l'institution verrouillait le nombre de poste ? Ou bien, la philosophie en terminale étant quand même moins accessible a priori que, disons, le français ou les mathématiques pour quelqu'un ayant un parcours différent, trouve-t-on de doux rêveurs ?Gryphe a écrit:C'est tout ? [...]PauvreYorick a écrit:Mais on peut imaginer un candidat qui passe six fois le capes de philosophie et échoue six fois, de 2006 à 2011 inclus (nombre de postes, année après année : 30, 30, 26, 26, 32, 32).
Il y a, ou du moins il y avait, un vivier de gens compétents qui sont, ou étaient, dans la situation que tu décris. On peut se dire (avec un peu de bonne volonté) que la session exceptionnelle du capes, et dans une moindre mesure les concours internes, auront contribué à « régulariser », si j'ose dire, leur situation, autrement dit à résorber leur nombre.
Mais sur certaines heures « invendables » (si peu nombreuses et dans des bahuts si enclavés que, frais de transport déduits, ça revient à travailler pour presque rien), les établissements prennent qui veut bien se déplacer.
- User19866Expert
Tiens, Parménide. Il serait peut-être bon que tu suives attentivement ce fil : https://www.neoprofs.org/t83484-demission#2786922 avant de reprendre du service pour une année entière de préparation du CAPES de philo.
- User5899Demi-dieu
Allez Marcel, la p'tit' soeur, fait soif !Parménide a écrit:Cripure a écrit:Même réponse qu'en classe : pardon, mais je m'en fous. Ce n'est pas à moi que vous avez des comptes à rendre.Parménide a écrit:
J'en donne les raisons dans mon message de 14h.
En revanche, je vous ferai observer que vous avez avec nous le comportement et le discours d'un patient chez son psy.
Rassurez-moi : vous ne pensez quand même pas que j'insisterais auprès d'un psy pour avoir des tuyaux concernant la méthode de commentaire de texte ?!
- NitaEmpereur
Le bordel n'a jamais empêché ma mère d'enseigner la philosophie - ni de penser un peu, ni de lire des livres. Entiers.
(Et question bordel, il faut être clair : mes parents ont déposé le concept. À côté d'eux, le Chaos est bizuth. Ils se sont rencontrés en fac de philo : j'ai des tas d'excuses, c'est dans mes gènes.)
Sinon, ça vaut le coup que j'exhume le dernier topic, ou rien de fondamentalement nouveau n'a été dit, et je me consacre à celui-là ? (Perso, je regrette Platon, mais bon...)
(Et question bordel, il faut être clair : mes parents ont déposé le concept. À côté d'eux, le Chaos est bizuth. Ils se sont rencontrés en fac de philo : j'ai des tas d'excuses, c'est dans mes gènes.)
Sinon, ça vaut le coup que j'exhume le dernier topic, ou rien de fondamentalement nouveau n'a été dit, et je me consacre à celui-là ? (Perso, je regrette Platon, mais bon...)
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