- Une passanteEsprit éclairé
LadyOlenna a écrit:Dans la demi-journée peut-être pas, mais dans la journée ce serait sympa quand même Deux exemples : je propose à des enseignants des modifications d'emploi du temps pour dans deux ou trois jours (pas pu faire avant, arrêts maladie des collègues). Le prof se dit qu'il a le temps. Sauf qu'il faut prévenir les élèves en cas de modification, si possible avant 17h la veille. Organisation du DNB blanc, je demande aux collègues quelle répartition des copies je dois faire : même quantité pour tous les profs ? uniquement ceux qui ont des 3e ? je les remets par classe ou par ordre alphabétique ? UNE SEULE collègue me répond. Résultat nous sommes retardées dans notre travail avec la CPE, obligées d'aller courir en salle des profs (et elle n'est pas à côté !) poser la même question, on doit y retourner plusieurs fois car les collègues ne sont pas tous là en même temps selon leur emploi du temps... c'est pas très cool honnêtement. Par pitié, répondez-moi !!!
Pour le premier exemple, si la réponse doit être donnée dans la journée, il y a des moyens plus rapides de contacter l'enseignant (casier, ou aller le voir à la fin d'un cours), mais répondre dans la journée nécessiterait qu'on passe notre temps devant l'ordinateur avec la boite mail ouverte, ce qui n'est pas le cas...
Pour le deuxième exemple, le problème semble plutôt l'absence de réponse, pas le délai. J'émets l'hypothèse que la demande aurait dû être adressée à tous les collègues, en leur demandant d'en discuter entre eux et de demander au coordonnateur de transmettre la réponse à une date précise. Parfois, les chefs font des demandes trop vagues, et personne n'y répond car personne ne se sent la responsabilité de le faire
- henrietteMédiateur
Parfois les établissements sont très grands, en plusieurs bâtiments séparés, et aller voir l'enseignant à la fin de son cours n'est alors pas possible aisément pour un CDE.
Par contre, c'est là l'utilité, je trouve, de Pronote si les salles de classes sont équipées d'un PC prof : on l'a ouvert pour faire l'appel, pour remplir les devoirs dans le cahier de texte, donc on voit tout de suite un nouveau "papillon", cela fait gagner du temps à tout le monde.
Par contre, c'est là l'utilité, je trouve, de Pronote si les salles de classes sont équipées d'un PC prof : on l'a ouvert pour faire l'appel, pour remplir les devoirs dans le cahier de texte, donc on voit tout de suite un nouveau "papillon", cela fait gagner du temps à tout le monde.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- LadyOlennaModérateur
Une passante a écrit:LadyOlenna a écrit:Dans la demi-journée peut-être pas, mais dans la journée ce serait sympa quand même Deux exemples : je propose à des enseignants des modifications d'emploi du temps pour dans deux ou trois jours (pas pu faire avant, arrêts maladie des collègues). Le prof se dit qu'il a le temps. Sauf qu'il faut prévenir les élèves en cas de modification, si possible avant 17h la veille. Organisation du DNB blanc, je demande aux collègues quelle répartition des copies je dois faire : même quantité pour tous les profs ? uniquement ceux qui ont des 3e ? je les remets par classe ou par ordre alphabétique ? UNE SEULE collègue me répond. Résultat nous sommes retardées dans notre travail avec la CPE, obligées d'aller courir en salle des profs (et elle n'est pas à côté !) poser la même question, on doit y retourner plusieurs fois car les collègues ne sont pas tous là en même temps selon leur emploi du temps... c'est pas très cool honnêtement. Par pitié, répondez-moi !!!
Pour le premier exemple, si la réponse doit être donnée dans la journée, il y a des moyens plus rapides de contacter l'enseignant (casier, ou aller le voir à la fin d'un cours), mais répondre dans la journée nécessiterait qu'on passe notre temps devant l'ordinateur avec la boite mail ouverte, ce qui n'est pas le cas...
Pour le deuxième exemple, le problème semble plutôt l'absence de réponse, pas le délai. J'émets l'hypothèse que la demande aurait dû être adressée à tous les collègues, en leur demandant d'en discuter entre eux et de demander au coordonnateur de transmettre la réponse à une date précise. Parfois, les chefs font des demandes trop vagues, et personne n'y répond car personne ne se sent la responsabilité de le faire
Le problème c'est que honnêtement je ne peux pas passer ma journée à courir pour aller voir les uns et les autres, en faisant en sorte que ça coïncide avec la fin des cours (si je suis en entretien/en réunion). Les casiers c'est encore pire : les feuilles se perdent dans un amas de documents, et j'ai déjà laissé des mots sur les casiers qui sont restés sans réponse. Pour les copies du DBN blanc j'ai envoyé le mail à tous les profs des matières concernées, j'ai certainement omis de préciser QUI dans chaque discipline devait me répondre et effectivement personne n'a dû se sentir devoir le faire.
Ce que j'essaie de dire plus généralement, c'est que souvent nous sommes bloqués dans notre travail faute de réponse, et parfois c'est agaçant. On nous reproche très rapidement le moindre manque de rigueur (et c'est normal je trouve, nous nous devons d'être rigoureux en tant que chef d'établissement), mais certains collègues ne se rendent pas compte que leur propre manque de rigueur perturbe et désorganise fortement notre travail (c'est souvent les premiers à râler d'ailleurs).
- OxfordNeoprof expérimenté
Pour le DNB blanc c'est à l'équipe de se répartir les copies ou à la coordonnatrice de te répondre ! Jamais vu de CdE s'occuper de ça !
Sinon la lecture des mails pro c'est pendant les heures de travail (ordre de mon médecin).
Souligner l'horaire en fluo, c'est d'un ridicule ! Vous imaginez la correction d'une copie avec "samedi 22h" ?
Sinon la lecture des mails pro c'est pendant les heures de travail (ordre de mon médecin).
Souligner l'horaire en fluo, c'est d'un ridicule ! Vous imaginez la correction d'une copie avec "samedi 22h" ?
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Tutti i ghjorna si n'impara.
- LadyOlennaModérateur
Les copies m'ont été ramenées dans mon bureau à la fin des épreuves, la CPE et un AED les ont anonymées. J'ai fait un bordereau de notation pour chaque enseignant avec les numéros d'anonymat (c'est pour cela qu'il me fallait le nombre de copies corrigées par prof), puis nous avons répartis les copies par tas que nous avons donnés aux enseignants. C'est si anormal que ça ?Oxford a écrit:Pour le DNB blanc c'est à l'équipe de se répartir les copies ou à la coordonnatrice de te répondre ! Jamais vu de CdE s'occuper de ça !
Sinon la lecture des mails pro c'est pendant les heures de travail (ordre de mon médecin).
Souligner l'horaire en fluo, c'est d'un ridicule ! Vous imaginez une copie avec "samedi 22h" ?
Quant à l'usage du fluo, je pense que la chef de Roxanne doit souffrir d'un manque de reconnaissance
- tchanq'Neoprof expérimenté
Oxford a écrit:Pour le DNB blanc c'est à l'équipe de se répartir les copies ou à la coordonnatrice de te répondre ! Jamais vu de CdE s'occuper de ça !
Sinon la lecture des mails pro c'est pendant les heures de travail (ordre de mon médecin).
Souligner l'horaire en fluo, c'est d'un ridicule ! Vous imaginez la correction d'une copie avec "samedi 22h" ?
Je vais me faire des ennemis mais j'assume. Quand je travaille chez moi, j'estime qu'on se trouve "pendant mes heures de travail". Si je sous-entends que tout mon travail se passe au lycée alors je légitime le discours des détracteurs qui pensent que le prof ne fait rien et qu'il ne bosse que 18h (ou 15h). Si j'ai un EDT pourri avec plein de trous alors je bosse au lycée entre les heures de cours, si j'ai un EDT resserré alors je gère des journées ou demi-journées de libre comme je veux tant que le boulot est fait. Et l'on sait combien nos EDT sont variables d'un enseignant à l'autre et d'une année sur l'autre. Je ne vois pas en quoi je pourrais être perturbée par le mail décalé d'un collègue qui irait passer sa journée de libre au cinéma ou au musée et qui ne reprendrait son travail qu'en rentrant le soir ou le week-end.
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Failure is not an option
- LadyOlennaModérateur
Certes, mais ça n'empêche pas d'y répondre. Je sais pas, dans un temps pas si lointain où j'étais prof, je répondais aux mails (pas forcément dans la minute, on est bien d'accord, et je me foutais d'ailleurs complètement de savoir quand il avait été envoyé), car je me doutais bien que si le CdE me demandait une précision ou une réponse c'était pas pour m'emm*rder mais parce qu'il avait besoin de savoir quelque chose. On a toujours une heure de libre, un moment dans la journée pour répondre ou passer faire un saut dans son bureau, d'autant qu'on demande pas d'écrire un roman. Je ne comprends pas pourquoi cette histoire de mails est vécue comme une "agression" alors que c'est juste un moyen de faire tourner le bahut sans venir vous enquiquiner à chaque récré en salle des profs ou vous assommer de réunions chronophages.Oxford a écrit:
Sinon la lecture des mails pro c'est pendant les heures de travail (ordre de mon médecin).
- tchanq'Neoprof expérimenté
LadyOlenna a écrit:Les copies m'ont été ramenées dans mon bureau à la fin des épreuves, la CPE et un AED les ont anonymées. J'ai fait un bordereau de notation pour chaque enseignant avec les numéros d'anonymat (c'est pour cela qu'il me fallait le nombre de copies corrigées par prof), puis nous avons répartis les copies par tas que nous avons donnés aux enseignants. C'est si anormal que ça ?Oxford a écrit:Pour le DNB blanc c'est à l'équipe de se répartir les copies ou à la coordonnatrice de te répondre ! Jamais vu de CdE s'occuper de ça !
Sinon la lecture des mails pro c'est pendant les heures de travail (ordre de mon médecin).
Souligner l'horaire en fluo, c'est d'un ridicule ! Vous imaginez une copie avec "samedi 22h" ?
Quant à l'usage du fluo, je pense que la chef de Roxanne doit souffrir d'un manque de reconnaissance
Le bac blanc transite par le bureau du proviseur adjoint chez nous. Il n'est pas anonymé mais on fonctionne à peu près de la même façon. On a laissé des instructions par matière aux surveillants de salles pour la répartition des copies (inscrire le nom de l'enseignant, LV1 ou 2, etc...), les copies sont rapportées à la direction qui vérifie les bugs ou les oublis, contrôle qu'il y a le bon nombre de copies à remettre à M Bidule ou Mme Machin et chacun vient récupérer son /ses paquet(s) souvent contre signature.
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Failure is not an option
- OxfordNeoprof expérimenté
LadyO, mes enfants n'ont jamais eu de copies anonymées pour un DNB blanc ! Je suis en lycée et pour un bac blanc pas d'anonymat, le coordo nous distribue les copies d'autres classes que les notres. Que d'énergie pour si peu dans ton établissement...
Rassure-moi, il n'y a pas de double correction quand même ?!
Rassure-moi, il n'y a pas de double correction quand même ?!
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- Une passanteEsprit éclairé
LadyOlenna a écrit:
Ce que j'essaie de dire plus généralement, c'est que souvent nous sommes bloqués dans notre travail faute de réponse, et parfois c'est agaçant. On nous reproche très rapidement le moindre manque de rigueur (et c'est normal je trouve, nous nous devons d'être rigoureux en tant que chef d'établissement), mais certains collègues ne se rendent pas compte que leur propre manque de rigueur perturbe et désorganise fortement notre travail (c'est souvent les premiers à râler d'ailleurs).
Je comprends parfaitement ! (c'est tout aussi agaçant quand c'est la direction qui ne répond pas dans mon lycée, nous attendons toujours confirmation des dates et de l'organisation du bac blanc, alors que tout a été transmis à la pré-rentrée et que le coordo a fait quelques mails de rappels / demandes, restés sans réponse... )
Cependant, contrairement aux enseignants, c'est probablement plus facile pour un CDE de renvoyer un mail quand la réponse attendue ne vient pas et que cela devient urgent.
Je crois qu'en fait, chacun est dans "son truc" et que cela empêche une communication efficace.
J'ai eu un adjoint qui nous répondait à chaque mail un truc du style "merci pour cette information" (quand il n'y avait pas plus à dire), je trouvais cela vaguement ridicule, parce qu'il envoyait des tas de mails ; mais maintenant que j'ai une direction qui n'informe de rien (c'est à nous de trouver toutes les infos sur pronote, sans savoir quoi chercher...) je me rends compte de son efficacité, tout roulait et était toujours très clair.
- LadyOlennaModérateur
Non, non, pas de double correction mais tu me donnes une idée pour l'année prochaine !Oxford a écrit:LadyO, mes enfants n'ont jamais eu de copies anonymées pour un DNB blanc ! Je suis en lycée et pour un bac blanc pas d'anonymat, le coordo nous distribue les copies d'autres classes que les notres. Que d'énergie pour si peu dans ton établissement...
Rassure-moi, il n'y a pas de double correction quand même ?!
Je trouve aussi qu'on pourrait se simplifier la vie sur pas mal de choses, mais je débarque, je suis stagiaire : j'observe et je fais ce qu'on me dit. La révolution ce sera pour l'année prochaine
- SphinxProphète
Lady Olenna tu sais je connais plein de gens qui ne répondent jamais aux mails y compris pour les loisirs Je suppose que plein de gens (ça m'arrive aussi d'ailleurs) se disent "il faut que j'en parle à machin / que je voie mon agenda, je répondrai plus tard" et puis zappent. Certains ne répondent jamais du tout et c'est un vrai manque de considération chez certains. C'est certes embêtant mais je n'ai pas de solution miracle...
Chez moi les copies sont anonymées pour le 2e brevet blanc seulement, pas pour le 1er. Par contre la direction envoie un mail aux coordo disant que les copies sont dispo, les coordo viennent les chercher et ensuite chaque équipe se débrouille. Par exemple nous en lettres on se les répartit (de façon équitable pour soulager la collègue qui a deux 3e alors qu'elle ne les voulait pas forcément) en prenant chacune un bout de l'alphabet, en maths ils préfèrent corriger chacun sa classe, bref ce n'est pas à la direction de gérer ça, ce serait un foutoir sans nom. Ce sont aussi les profs qui font les "bordereaux" (si on peut appeler ça comme ça), ce n'est pas compliqué de prendre une feuille et de noter dessus les notes avec les numéros du paquet qu'on a. Bref tu te donnes du mal et c'est tout à ton honneur, mais tu t'en donnes un petit peu trop peut-être
LadyOlenna a écrit:Les copies m'ont été ramenées dans mon bureau à la fin des épreuves, la CPE et un AED les ont anonymées. J'ai fait un bordereau de notation pour chaque enseignant avec les numéros d'anonymat (c'est pour cela qu'il me fallait le nombre de copies corrigées par prof), puis nous avons répartis les copies par tas que nous avons donnés aux enseignants. C'est si anormal que ça ?Oxford a écrit:Pour le DNB blanc c'est à l'équipe de se répartir les copies ou à la coordonnatrice de te répondre ! Jamais vu de CdE s'occuper de ça !
Sinon la lecture des mails pro c'est pendant les heures de travail (ordre de mon médecin).
Souligner l'horaire en fluo, c'est d'un ridicule ! Vous imaginez une copie avec "samedi 22h" ?
Quant à l'usage du fluo, je pense que la chef de Roxanne doit souffrir d'un manque de reconnaissance
Chez moi les copies sont anonymées pour le 2e brevet blanc seulement, pas pour le 1er. Par contre la direction envoie un mail aux coordo disant que les copies sont dispo, les coordo viennent les chercher et ensuite chaque équipe se débrouille. Par exemple nous en lettres on se les répartit (de façon équitable pour soulager la collègue qui a deux 3e alors qu'elle ne les voulait pas forcément) en prenant chacune un bout de l'alphabet, en maths ils préfèrent corriger chacun sa classe, bref ce n'est pas à la direction de gérer ça, ce serait un foutoir sans nom. Ce sont aussi les profs qui font les "bordereaux" (si on peut appeler ça comme ça), ce n'est pas compliqué de prendre une feuille et de noter dessus les notes avec les numéros du paquet qu'on a. Bref tu te donnes du mal et c'est tout à ton honneur, mais tu t'en donnes un petit peu trop peut-être
- OxfordNeoprof expérimenté
tchanq' a écrit:Oxford a écrit:Pour le DNB blanc c'est à l'équipe de se répartir les copies ou à la coordonnatrice de te répondre ! Jamais vu de CdE s'occuper de ça !
Sinon la lecture des mails pro c'est pendant les heures de travail (ordre de mon médecin).
Souligner l'horaire en fluo, c'est d'un ridicule ! Vous imaginez la correction d'une copie avec "samedi 22h" ?
Je vais me faire des ennemis mais j'assume. Quand je travaille chez moi, j'estime qu'on se trouve "pendant mes heures de travail". Si je sous-entends que tout mon travail se passe au lycée alors je légitime le discours des détracteurs qui pensent que le prof ne fait rien et qu'il ne bosse que 18h (ou 15h). Si j'ai un EDT pourri avec plein de trous alors je bosse au lycée entre les heures de cours, si j'ai un EDT resserré alors je gère des journées ou demi-journées de libre comme je veux tant que le boulot est fait. Et l'on sait combien nos EDT sont variables d'un enseignant à l'autre et d'une année sur l'autre. Je ne vois pas en quoi je pourrais être perturbée par le mail décalé d'un collègue qui irait passer sa journée de libre au cinéma ou au musée et qui ne reprendrait son travail qu'en rentrant le soir ou le week-end.
Je n'ai jamais écrit le contraire : mes heures de travail sont chez moi ou dans l'établissement mais pas de lecture de mails après 17h ni le week-end. Et je parle de la lecture des mails auxquels je dois répondre, les gens qui m'écrivent le font à l'heure qui leur fait plaisir.
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Tutti i ghjorna si n'impara.
- JennyMédiateur
tchanq' a écrit:LadyOlenna a écrit:Les copies m'ont été ramenées dans mon bureau à la fin des épreuves, la CPE et un AED les ont anonymées. J'ai fait un bordereau de notation pour chaque enseignant avec les numéros d'anonymat (c'est pour cela qu'il me fallait le nombre de copies corrigées par prof), puis nous avons répartis les copies par tas que nous avons donnés aux enseignants. C'est si anormal que ça ?Oxford a écrit:Pour le DNB blanc c'est à l'équipe de se répartir les copies ou à la coordonnatrice de te répondre ! Jamais vu de CdE s'occuper de ça !
Sinon la lecture des mails pro c'est pendant les heures de travail (ordre de mon médecin).
Souligner l'horaire en fluo, c'est d'un ridicule ! Vous imaginez une copie avec "samedi 22h" ?
Quant à l'usage du fluo, je pense que la chef de Roxanne doit souffrir d'un manque de reconnaissance
Le bac blanc transite par le bureau du proviseur adjoint chez nous. Il n'est pas anonymé mais on fonctionne à peu près de la même façon. On a laissé des instructions par matière aux surveillants de salles pour la répartition des copies (inscrire le nom de l'enseignant, LV1 ou 2, etc...), les copies sont rapportées à la direction qui vérifie les bugs ou les oublis, contrôle qu'il y a le bon nombre de copies à remettre à M Bidule ou Mme Machin et chacun vient récupérer son /ses paquet(s) souvent contre signature.
Même fonctionnement dans la plupart des établissements où j’ai travaillé.
- miss sophieExpert spécialisé
LadyOlenna a écrit:Les copies m'ont été ramenées dans mon bureau à la fin des épreuves, la CPE et un AED les ont anonymées. J'ai fait un bordereau de notation pour chaque enseignant avec les numéros d'anonymat (c'est pour cela qu'il me fallait le nombre de copies corrigées par prof), puis nous avons répartis les copies par tas que nous avons donnés aux enseignants. C'est si anormal que ça ?
On peut anonymer de manière plus simple : chez nous chaque élève a eu un numéro d'anonymat à reporter sur sa copie (au lieu d'écrire son nom). Ce numéro correspond à la classe (1 pour la 1re, 2 pour la 2e, etc selon le nombre de divisions de 3e du collège) puis au "rang" de l'élève dans l'ordre alphabétique de sa classe (de 1 à 28 donc, en gros), donc chez nous ça peut aller de 1-1 à 4-28. Pas de nom à massicoter ou d'étiquette à coller sur les copies, il suffit d'avoir généré ces numéros avant et de mettre sur les tables d'examen les étiquettes portant ledit numéro sous le nom de l'élève (comme au vrai DNB). Certes, c'est un anonymat relatif (si on le veut, on peut aisément retrouver avec les listes de classes qui on est en train de corriger - mais on joue le jeu et on le regarde après correction), mais cela entraîne les élèves au principe. L'avantage c'est aussi qu'on peut trier les copies par classe pour faire en sorte que le correcteur ne soit pas le professeur de la classe. Mais ce tri, c'est l'équipe de profs de la discipline qui le fait, pas l'administration.
- User17095Érudit
Sinon pour revenir à la question de départ, perso je démarre entre 7h et 7h30, pour finir entre 18h30 et 21h, avec une bonne sieste le mercredi après-midi (c'est le gros avantage du collège), plus au moins une demie journée de week-end pour faire tranquillement ce qui va me demander une concentration continue.
En effet, le plus difficile n'est pas l'amplitude horaire (j'ai un Picard au coin de la rue), mais la charge cognitive : on jongle en permanence dix dossiers, avec des urgences qui s'entrechoquent, donc la concentration sur un sujet est difficile. En fait, une réunion est presque une forme de détente, pendant un temps, on ne fait que ça.
Quant aux histoires de mails envoyés ou reçus à telle heure, je ne m'en préoccupe pas. Les enseignants organisent une bonne partie de leur travail comme ils le souhaitent, certains parviennent à tout boucler à 18h pour se concentrer ensuite à leur vie perso (familiale notamment), d'autres reprennent dans la soirée après dîner et se couchent tard, quelques uns verrouillent le week-end pour se détendre, certains pour y faire le maximum de travail, c'est impossible de tenir compte de la variété. Donc j'envoie quand j'envoie, et ils répondent quand ils répondent.
En effet, le plus difficile n'est pas l'amplitude horaire (j'ai un Picard au coin de la rue), mais la charge cognitive : on jongle en permanence dix dossiers, avec des urgences qui s'entrechoquent, donc la concentration sur un sujet est difficile. En fait, une réunion est presque une forme de détente, pendant un temps, on ne fait que ça.
Quant aux histoires de mails envoyés ou reçus à telle heure, je ne m'en préoccupe pas. Les enseignants organisent une bonne partie de leur travail comme ils le souhaitent, certains parviennent à tout boucler à 18h pour se concentrer ensuite à leur vie perso (familiale notamment), d'autres reprennent dans la soirée après dîner et se couchent tard, quelques uns verrouillent le week-end pour se détendre, certains pour y faire le maximum de travail, c'est impossible de tenir compte de la variété. Donc j'envoie quand j'envoie, et ils répondent quand ils répondent.
- GrypheMédiateur
Bonjour [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien],
Connais-tu l'enquête de la CASDEN sur le moral des perdirs ?
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De nombreuses pages sont consacrées au temps de travail, ce qui pourrait répondre à ta question initiale.
Il est normal que la première année soit très chargée. Ne t'inquiète pas, il y a un moment où cela finit par être gérable (sauf décembre, juin, juillet, août, et les fois où il y a des absences à pallier soit... souvent. Certes). Cela suppose cependant d'aimer ce que l'on fait, et d'y trouver aussi de vraies sources de satisfactions, mais il y peut y en avoir beaucoup.
Pour l'anonymat du Brevet blanc, apporte-t-il une réelle plus-value ? (Rapport temps passé / bénéfice pour les élèves ou pour les collègues.) J'aurais tendance à dire que non. Et du coup, mieux vaut consacrer de l'énergie à d'autres choses. Mais si c'est une habitude très ancrée dans l'établissement, alors tu as raison, attends l'an prochain avant de faire la révolution.
Connais-tu l'enquête de la CASDEN sur le moral des perdirs ?
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De nombreuses pages sont consacrées au temps de travail, ce qui pourrait répondre à ta question initiale.
Il est normal que la première année soit très chargée. Ne t'inquiète pas, il y a un moment où cela finit par être gérable (sauf décembre, juin, juillet, août, et les fois où il y a des absences à pallier soit... souvent. Certes). Cela suppose cependant d'aimer ce que l'on fait, et d'y trouver aussi de vraies sources de satisfactions, mais il y peut y en avoir beaucoup.
Pour l'anonymat du Brevet blanc, apporte-t-il une réelle plus-value ? (Rapport temps passé / bénéfice pour les élèves ou pour les collègues.) J'aurais tendance à dire que non. Et du coup, mieux vaut consacrer de l'énergie à d'autres choses. Mais si c'est une habitude très ancrée dans l'établissement, alors tu as raison, attends l'an prochain avant de faire la révolution.
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Τί ἐστιν ἀλήθεια ;
- LadyOlennaModérateur
Merci Gryphe ! Effectivement je trouve cette première année très exigeante. Paradoxalement j'ai trouvé la période janvier
-février plus difficile que celle avant les vacances de Noël, plusieurs collègues stagiaires ont même hésité à jeter l'éponge. J'ai du mal à gérer à la fois le travail d'un adjoint titulaire et les un à deux jours de formation par semaine, sans compter les semaines entières de formation à l'IH2EF à Poitiers : du coup j'ai toujours le sentiment d'essayer de rattraper le retard accumulé. Je voudrais mettre en place des choses mais pour le moment j'ai trop la tête dans le guidon. Après j'aime beaucoup mon nouveau travail, qui m'apporte en effet son lot de satisfactions (j'ai eu notamment quelques retours positifs de la part d'enseignants, c'est gratifiant et je sais que je me décarcasse pas en vain ! J'ai une autre relation aux élèves aussi, qui me plaît beaucoup). Le fait d'être très éloignée géographiquement de ma region est parfois aussi difficile à vivre. Pour le DNB blanc, comme pour beaucoup d'autres choses, je n'ose pas encore aller contre le fonctionnement du collège où j'exerce. Il y a de mon point de vue des habitudes à changer (pas de référent devoirs faits, pas de coordo par matière clairement identité, des punitions relevant de la gestion de classe qui sont trop souvent déléguées à la vie scolaire par exemple), mais je pense que l'arrivée d'un nouveau chef l'an prochain permettra plus facilement de remettre tout cela à plat. En attendant je vais regarder attentivement l'enquête que tu m'indiques, ça me semble très intéressant.
-février plus difficile que celle avant les vacances de Noël, plusieurs collègues stagiaires ont même hésité à jeter l'éponge. J'ai du mal à gérer à la fois le travail d'un adjoint titulaire et les un à deux jours de formation par semaine, sans compter les semaines entières de formation à l'IH2EF à Poitiers : du coup j'ai toujours le sentiment d'essayer de rattraper le retard accumulé. Je voudrais mettre en place des choses mais pour le moment j'ai trop la tête dans le guidon. Après j'aime beaucoup mon nouveau travail, qui m'apporte en effet son lot de satisfactions (j'ai eu notamment quelques retours positifs de la part d'enseignants, c'est gratifiant et je sais que je me décarcasse pas en vain ! J'ai une autre relation aux élèves aussi, qui me plaît beaucoup). Le fait d'être très éloignée géographiquement de ma region est parfois aussi difficile à vivre. Pour le DNB blanc, comme pour beaucoup d'autres choses, je n'ose pas encore aller contre le fonctionnement du collège où j'exerce. Il y a de mon point de vue des habitudes à changer (pas de référent devoirs faits, pas de coordo par matière clairement identité, des punitions relevant de la gestion de classe qui sont trop souvent déléguées à la vie scolaire par exemple), mais je pense que l'arrivée d'un nouveau chef l'an prochain permettra plus facilement de remettre tout cela à plat. En attendant je vais regarder attentivement l'enquête que tu m'indiques, ça me semble très intéressant.
- User17095Érudit
Ouh la oui, la révolution c'est sur le moyen terme
Déjà la première année, tu te fais connaître des personnels, tu comprends comment ils travaillent, et tu fais tes preuves ; après, tu peux commencer à leur demander des trucs. A plus forte raison en étant stagiaire, tu as déjà beaucoup à faire, et l'arrivée d'un nouveau chef signifie que tu devrais le suivre dans ses priorités, même si ce ne sont pas forcément les tiennes.
Et puis, parfois, il faut aussi prioriser : cet aspect du DNB blanc est un détail, s'il fonctionne comme ça, ce n'est pas le plus urgent. Faire ce qui est nécessaire, c'est déjà beaucoup, et vouloir tout changer d'un coup, y compris le secondaire, c'est un coup à ne rien faire évoluer du tout.
Déjà la première année, tu te fais connaître des personnels, tu comprends comment ils travaillent, et tu fais tes preuves ; après, tu peux commencer à leur demander des trucs. A plus forte raison en étant stagiaire, tu as déjà beaucoup à faire, et l'arrivée d'un nouveau chef signifie que tu devrais le suivre dans ses priorités, même si ce ne sont pas forcément les tiennes.
Et puis, parfois, il faut aussi prioriser : cet aspect du DNB blanc est un détail, s'il fonctionne comme ça, ce n'est pas le plus urgent. Faire ce qui est nécessaire, c'est déjà beaucoup, et vouloir tout changer d'un coup, y compris le secondaire, c'est un coup à ne rien faire évoluer du tout.
- LadyOlennaModérateur
Ah mince, moi qui voulais mettre tout le monde au pas dès cette année
Effectivement j'essaie déjà de faire le job, et de le faire bien. D'un autre côté je ne peux pas m'empêcher de relever certains dysfonctionnements qu'il faudrait prendre le temps d'analyser pour améliorer les conditions de travail de tout le monde (ne serait-ce que désigner clairement un coordo par discipline, ou décider d'une procédure pour organiser une sortie). Il faudrait en fait pouvoir perdre du temps pour en gagner ensuite. Or je suis trop dans la gestion de l'établissement au jour le jour pour cette année. J'ai hâte de lire le diagnostic du futur principal du coup, pour voir si on identifie les mêmes problématiques.
Effectivement j'essaie déjà de faire le job, et de le faire bien. D'un autre côté je ne peux pas m'empêcher de relever certains dysfonctionnements qu'il faudrait prendre le temps d'analyser pour améliorer les conditions de travail de tout le monde (ne serait-ce que désigner clairement un coordo par discipline, ou décider d'une procédure pour organiser une sortie). Il faudrait en fait pouvoir perdre du temps pour en gagner ensuite. Or je suis trop dans la gestion de l'établissement au jour le jour pour cette année. J'ai hâte de lire le diagnostic du futur principal du coup, pour voir si on identifie les mêmes problématiques.
- Une passanteEsprit éclairé
pogonophile a écrit:Ouh la oui, la révolution c'est sur le moyen terme
Déjà la première année, tu te fais connaître des personnels, tu comprends comment ils travaillent, et tu fais tes preuves ; après, tu peux commencer à leur demander des trucs. A plus forte raison en étant stagiaire, tu as déjà beaucoup à faire, et l'arrivée d'un nouveau chef signifie que tu devrais le suivre dans ses priorités, même si ce ne sont pas forcément les tiennes.
Et puis, parfois, il faut aussi prioriser : cet aspect du DNB blanc est un détail, s'il fonctionne comme ça, ce n'est pas le plus urgent. Faire ce qui est nécessaire, c'est déjà beaucoup, et vouloir tout changer d'un coup, y compris le secondaire, c'est un coup à ne rien faire évoluer du tout.
Visiblement, tous les CDE ne sont pas au courant (avec des conséquences catastrophiques), alors que c'est en effet du bon sens !
- lulucastagnetteEmpereur
Pour le brevet blanc, ici ce sont les professeurs qui vont récupérer les copies au secrétariat. Elles ne sont pas anonymées, on s'échange les classes. Le chef ne voit même pas passer les copies, en fait.
A la fin, on remplit tous un tableau avec les notes de chaque élève et on l'envoie au chef.
A la fin, on remplit tous un tableau avec les notes de chaque élève et on l'envoie au chef.
- PointàlaligneExpert
miss sophie a écrit:LadyOlenna a écrit:Les copies m'ont été ramenées dans mon bureau à la fin des épreuves, la CPE et un AED les ont anonymées. J'ai fait un bordereau de notation pour chaque enseignant avec les numéros d'anonymat (c'est pour cela qu'il me fallait le nombre de copies corrigées par prof), puis nous avons répartis les copies par tas que nous avons donnés aux enseignants. C'est si anormal que ça ?
On peut anonymer de manière plus simple : chez nous chaque élève a eu un numéro d'anonymat à reporter sur sa copie (au lieu d'écrire son nom). Ce numéro correspond à la classe (1 pour la 1re, 2 pour la 2e, etc selon le nombre de divisions de 3e du collège) puis au "rang" de l'élève dans l'ordre alphabétique de sa classe (de 1 à 28 donc, en gros), donc chez nous ça peut aller de 1-1 à 4-28. Pas de nom à massicoter ou d'étiquette à coller sur les copies, il suffit d'avoir généré ces numéros avant et de mettre sur les tables d'examen les étiquettes portant ledit numéro sous le nom de l'élève (comme au vrai DNB). Certes, c'est un anonymat relatif (si on le veut, on peut aisément retrouver avec les listes de classes qui on est en train de corriger - mais on joue le jeu et on le regarde après correction), mais cela entraîne les élèves au principe. L'avantage c'est aussi qu'on peut trier les copies par classe pour faire en sorte que le correcteur ne soit pas le professeur de la classe. Mais ce tri, c'est l'équipe de profs de la discipline qui le fait, pas l'administration.
Il y a encore plus simple : on n'anonyme pas, et on échange entre collègues les paquets relevant de chaque classe... Je connais un établissement où ça se fait comme ça.
Dans mon établissement, c'est le secrétariat qui gère, et c'est une surcharge de travail que je ne trouve guère justifiée. C'est aussi un délai supplémentaire dans le traitement des copies avant et après correction...
De toute façon, l'anonymat est toujours relatif... Dans le paquet que je reçois, je reconnais systématiquement des écritures d'élèves de cette année et aussi des années précédentes...
- RendashBon génie
LadyOlenna a écrit:Les copies m'ont été ramenées dans mon bureau à la fin des épreuves, la CPE et un AED les ont anonymées. J'ai fait un bordereau de notation pour chaque enseignant avec les numéros d'anonymat (c'est pour cela qu'il me fallait le nombre de copies corrigées par prof), puis nous avons répartis les copies par tas que nous avons donnés aux enseignants. C'est si anormal que ça ?Oxford a écrit:Pour le DNB blanc c'est à l'équipe de se répartir les copies ou à la coordonnatrice de te répondre ! Jamais vu de CdE s'occuper de ça !
Sinon la lecture des mails pro c'est pendant les heures de travail (ordre de mon médecin).
Souligner l'horaire en fluo, c'est d'un ridicule ! Vous imaginez une copie avec "samedi 22h" ?
On fonctionne comme ça aussi dans mon bahut (collège REP+, 650 élèves). Je trouve le prétendu anonymat absurde, dans la mesure où je reconnais l'écriture de la plupart des copies qui m'ont été transmises C'est une belle perte de temps, à mon avis.
Pour le temps de travail, j'ai connu les deux extrêmes en deux ans d'intervalle :
- un duo de perdirs bourreaux de travail. L'adjoint présent à partir de 6h30, partant en général vers 17h30 ; la cheffe bossant fréquemment jusqu'à 18h, et envoyant de façon coutumière des mails jusqu'à 23h ô_0
- ceux qui les ont remplacés arrivent après moi le matin, donc vers 7h40, et ne repartent jamais après 17h30, sauf conseils de classe, CA, etc. Et ils sont fréquemment absents tous les deux : l'adjointe est stagiaire, donc convoquée à droite à gauche, et lui se fade (... ou saute sur) toutes les réunions de bassin possibles et imaginables. C'est très ennuyeux, en REP+, de ne pas avoir du tout de perdirs dans le bahut deux ou trois jours par semaine.
Les premiers étaient efficaces et tenaient parfaitement le bahut ; les seconds sont dépassés (enfin, elle est dépassée, malgré sa bonne volonté. Lui, c'est juste un bureaucrate jean-foutre, bien sympathique mais terriblement fainéant, et adepte du "pas de vagues" sous toutes ses formes).
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- PuckVénérable
Le cde habite le bahut. Il bosse assez tard car lorsque je corrige parfois tard au collège, je vois la lumière dans son bureau en partant. Lorsqu’il est là, la porte de son bureau est toujours ouverte et s’il n’est pas en réunion ou en rendez-vous, on peut lui parler à toute heure. Quand il est absent pour des réunions au rectorat, ou ailleurs, on est prévenu.
Les adjoints sont assez présents aussi. La cpe des 4e/3e travaille beaucoup mais d’une façon totalement désorganisée. En plus, elle fume beaucoup et laisse une fortune au distributeur de cafés, et ça n’aide pas à l’organisation. Je pense que sur sa journée de présence (elle arrive vers 7h et part vers 18h30), elle doit faire 3h de travail rentable. Elle est donc énervée très souvent mais il faudrait carrément lui apprendre à s’organiser efficacement, et à se concentrer. Elle est néanmoins très sympa. Je suis dans le privé et nos cde tournent moins que dans le public. C’est à double tranchant. Quand un cde est bien, ça vaut le coup de le garder. Il faut cependant se méfier de la tendance à la suzeraineté de l’un et de la vassalité, qui peut s’installer, des autres.
Les adjoints sont assez présents aussi. La cpe des 4e/3e travaille beaucoup mais d’une façon totalement désorganisée. En plus, elle fume beaucoup et laisse une fortune au distributeur de cafés, et ça n’aide pas à l’organisation. Je pense que sur sa journée de présence (elle arrive vers 7h et part vers 18h30), elle doit faire 3h de travail rentable. Elle est donc énervée très souvent mais il faudrait carrément lui apprendre à s’organiser efficacement, et à se concentrer. Elle est néanmoins très sympa. Je suis dans le privé et nos cde tournent moins que dans le public. C’est à double tranchant. Quand un cde est bien, ça vaut le coup de le garder. Il faut cependant se méfier de la tendance à la suzeraineté de l’un et de la vassalité, qui peut s’installer, des autres.
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"Ce que nous avons fait, aucune bête au monde ne l'aurait fait.
Mais nous nous en sommes sortis. Et nous voici confrontés à l'ingratitude de la nation. Pourtant, c'était pas ma guerre. C'était pas ma guerre, oh non !"Cripure
- scot69Modérateur
Notre ancien CDE arrivait pour la récré de 10h et repartait en milieu d'après-midi. Il n'était présent que 3 jours par semaine (teleworking disait-il).
Notre CDE actuelle est déjà là quand j'arrive le matin (vers 7h30) et repart souvent vers 18 ou 19h. (comme beaucoup de lyonnais, le tunnel de Fourvière nous dicte nos horaires !!!).
Notre CDE actuelle est déjà là quand j'arrive le matin (vers 7h30) et repart souvent vers 18 ou 19h. (comme beaucoup de lyonnais, le tunnel de Fourvière nous dicte nos horaires !!!).
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