- ParménideNeoprof expérimenté
Je ne sais pas quoi répondre...
Pauvre Yorick : je ne doute pas une seconde que ce que tu as écrit est très bien mais, ce n'est pas un outil que je vais pouvoir utiliser sur d'autres textes.
Je comprends RIEN à ce qu' est lire et comprendre un texte. ça me fait froid dans le dos ce qui se passe...
De toute façon, déjà, pour ce texte là, je n'ai absolument pas en tête les développements de Kant sur l'analogie dans les prolégomènes (j'en ai à peine entendu parler)
Je suis totalement perdu...
Pauvre Yorick : je ne doute pas une seconde que ce que tu as écrit est très bien mais, ce n'est pas un outil que je vais pouvoir utiliser sur d'autres textes.
Je comprends RIEN à ce qu' est lire et comprendre un texte. ça me fait froid dans le dos ce qui se passe...
De toute façon, déjà, pour ce texte là, je n'ai absolument pas en tête les développements de Kant sur l'analogie dans les prolégomènes (j'en ai à peine entendu parler)
Je suis totalement perdu...
- ParménideNeoprof expérimenté
C'est épouvantable cette impression de ne pas savoir par quel bout prendre le texte à commenter , ou plutôt quoi faire concrètement avec ce que je lis.
Et surtout qu'on ne me dise pas que je dois changer de méthode à chaque texte, parce que là je vais finir par m'effondrer...
Et surtout qu'on ne me dise pas que je dois changer de méthode à chaque texte, parce que là je vais finir par m'effondrer...
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- User5899Demi-dieu
Pourquoi vous titillerait-on sur une évidence ? Oui, un texte dit des chosesGryphe a écrit:Parce que tu refuses de les lire, dans le fond. Tu refuses de te laisser déstabiliser par eux, d'écouter ce qu'ils ont à te dire.Parménide a écrit:Je n'ai jamais su lire les textes. Tout vient de là
(Eh, les profs de français, ce n'est pas le moment de titiller sur "le texte dit que".)
- RendashBon génie
Parménide a écrit:Je ne sais pas quoi répondre...
Pauvre Yorick : je ne doute pas une seconde que ce que tu as écrit est très bien mais, ce n'est pas un outil que je vais pouvoir utiliser sur d'autres textes.
Je comprends RIEN à ce qu' est lire et comprendre un texte. ça me fait froid dans le dos ce qui se passe...
De toute façon, déjà, pour ce texte là, je n'ai absolument pas en tête les développements de Kant sur l'analogie dans les prolégomènes (j'en ai à peine entendu parler)
Je suis totalement perdu...
C'est normal, PY te donne (gentiment) SON analyse (brillante) de CE texte.
Cela dit, oui, je crois que tu illustres à merveille, et avec une constance qui force l'admiration, tes propos : "Je comprends RIEN à ce qu' est lire et comprendre un texte". On voit ça, d'après tes réactions à ce qui t'a été dit sur quatre-vingts ou quatre-vingt-dix pages -_-'
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- GrypheMédiateur
Meuh non. Sors faire un footing et reviens travailler plus tard.Parménide a écrit:Et surtout qu'on ne me dise pas que je dois changer de méthode à chaque texte, parce que là je vais finir par m'effondrer...
Et peut-être peux-tu choisir des texte plus faciles ; apparemment, celui-ci était vraiment difficile.
- User5899Demi-dieu
Ne prenez pas ça pour une méchanceté, mais je me demandais... En électricité, vous savez faire des trucs ? Ou en bricolage, en plomberie, etc ? Non parce que, vous savez, les artisans, on en manque, et ils gagnent souvent assez bien leur vie. Il est clair que vous vous fourvoyez, là. Vous me faites vraiment de la peine.Parménide a écrit:Je ne sais pas quoi répondre...
Pauvre Yorick : je ne doute pas une seconde que ce que tu as écrit est très bien mais, ce n'est pas un outil que je vais pouvoir utiliser sur d'autres textes.
Je comprends RIEN à ce qu' est lire et comprendre un texte. ça me fait froid dans le dos ce qui se passe...
De toute façon, déjà, pour ce texte là, je n'ai absolument pas en tête les développements de Kant sur l'analogie dans les prolégomènes (j'en ai à peine entendu parler)
Je suis totalement perdu...
- ParménideNeoprof expérimenté
Rendash :
Non mais c'est indescriptible ce qui se passe, là
J'en reviens en fait, là aujourd'hui, 2 novembre 2014, exactement à l'impression que j'avais il y a 7 ans quand je pensais que la dissertation était infiniment plus facile que le commentaire (alors que c'est théoriquement l'inverse).
Depuis TOUJOURS je suis prisonnier d'une conception archi fausse du commentaire, et c'est effroyablement nocif cette situation. Parce qu'aucune progression n'est possible tant que j'ai pas certaines clés.
Je pourrai rien faire en commentaire tant que j'aurai pas eu certains déclic et tant que je n'aurai pas plus de connaissances.
C'est horrible ce qui se passe...
Non mais c'est indescriptible ce qui se passe, là
J'en reviens en fait, là aujourd'hui, 2 novembre 2014, exactement à l'impression que j'avais il y a 7 ans quand je pensais que la dissertation était infiniment plus facile que le commentaire (alors que c'est théoriquement l'inverse).
Depuis TOUJOURS je suis prisonnier d'une conception archi fausse du commentaire, et c'est effroyablement nocif cette situation. Parce qu'aucune progression n'est possible tant que j'ai pas certaines clés.
Je pourrai rien faire en commentaire tant que j'aurai pas eu certains déclic et tant que je n'aurai pas plus de connaissances.
C'est horrible ce qui se passe...
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- retraitéeDoyen
Cripure a écrit:Oh, joli !!thrasybule a écrit:Frire, là-bas frire!supersoso a écrit:
:lol!:
Mais Parménide n'a pas lu tous les livres...
HS Alors, cette expo Duras ?
La chair est-elle triste ?
- supersosoSage
Parménide a écrit:C'est épouvantable cette impression de ne pas savoir par quel bout prendre le texte à commenter , ou plutôt quoi faire concrètement avec ce que je lis.
Et surtout qu'on ne me dise pas que je dois changer de méthode à chaque texte, parce que là je vais finir par m'effondrer...
Tout dépend où tu te situes, en fait. d'une certaine manière, comprendre un texte c'est s'adapter à ce qu'il est. Donc à un certain niveau de généralité, tu peux trouver des conseils qui sont valables pour tous les textes. Mais quand tu rentres dans le détail, là, ça va fluctuer. Pour te donner un exemple plus concret, l'ébéniste aura appris des règles générales du travail du bois. Mais il sera bien obligé dans son travail de s'adapter à un bois particulier (avec ses nœuds-là, sa dureté, etc...). C'est exactement du même ordre : tu as des conseils généraux (la méthodo), mais il va falloir que tu les adaptes au texte particulier que tu vas avoir. Tu ne trouveras jamais de recette qui marche à tous les coups sans faire ce travail-là. Mais ça se fait en laissant parler le texte, en l'interrogeant, cette adaptation. Il ne s'agit pas de recréer une nouvelle méthodo à chaque fois. (et encore une fois, je me demande de quel droit je te conseille, là ).
- ParménideNeoprof expérimenté
Cripure : oui vous avez absolument raison, je suis un pur manuel, et j'ai ZERO capacité en philosophie. D'ailleurs je n'ai aucune excuse étant donné que la formation qui a été dispensée à ma fac est la meilleure de France, encore meilleure que celle de l'ENS.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- User5899Demi-dieu
Je vous dis ça parce que tous les jours, je maudis mes deux mains gauches qui m'ont condamné au latin, alors que j'aurais tellement aimé désosser des locomotives
- retraitéeDoyen
J'ai souvent remarqué que nombre d'"intellos" très pointus sont aussi extrêmement doués manuellement . Ainsi, un ancien prof de philo de khâgne aujourd'hui retraité qui a construit plusieurs maisons pour lui et ses proches, et qui a "copié" , en ébéniste doué, nombre de meubles exposés dans des musées ! Et j'en oublie !
Un ancien IPR de philo avait commencé comme menuisier.
Le mythe du philosophe n'ayant pas les pieds sur terre en prend un sacré coup !
Je réitère la question de Cripure : que savez-vous faire, en dehors de la philo ?
Un ancien IPR de philo avait commencé comme menuisier.
Le mythe du philosophe n'ayant pas les pieds sur terre en prend un sacré coup !
Je réitère la question de Cripure : que savez-vous faire, en dehors de la philo ?
- retraitéeDoyen
Cripure a écrit:Je vous dis ça parce que tous les jours, je maudis mes deux mains gauches qui m'ont condamné au latin, alors que j'aurais tellement aimé désosser des locomotives
J'espère que vous avez le carnet de timbres consacré aux trains !
- retraitéeDoyen
Cripure a écrit:Je vous dis ça parce que tous les jours, je maudis mes deux mains gauches qui m'ont condamné au latin, alors que j'aurais tellement aimé désosser des locomotives
N'exagérez pas, vous cultivez votre jardin !
- User5899Demi-dieu
retraitée a écrit:Cripure a écrit:Je vous dis ça parce que tous les jours, je maudis mes deux mains gauches qui m'ont condamné au latin, alors que j'aurais tellement aimé désosser des locomotives
N'exagérez pas, vous cultivez votre jardin !
- GrypheMédiateur
+ 1.supersoso a écrit: d'une certaine manière, comprendre un texte c'est s'adapter à ce qu'il est. Donc à un certain niveau de généralité, tu peux trouver des conseils qui sont valables pour tous les textes. Mais quand tu rentres dans le détail, là, ça va fluctuer. Pour te donner un exemple plus concret, l'ébéniste aura appris des règles générales du travail du bois. Mais il sera bien obligé dans son travail de s'adapter à un bois particulier (avec ses nœuds-là, sa dureté, etc...). C'est exactement du même ordre : tu as des conseils généraux (la méthodo), mais il va falloir que tu les adaptes au texte particulier que tu vas avoir. Tu ne trouveras jamais de recette qui marche à tous les coups sans faire ce travail-là. Mais ça se fait en laissant parler le texte, en l'interrogeant, cette adaptation. Il ne s'agit pas de recréer une nouvelle méthodo à chaque fois.
Re-Cripure a écrit:Je vous dis ça parce que tous les jours, je maudis mes deux mains gauches qui m'ont condamné au latin, alors que j'aurais tellement aimé désosser des locomotives
Il n'est peut-être pas trop tard pour désosser une loco ?
Cours le jeudi et le vendredi, CAP par alternance le lundi, le mardi et le mercredi... Ça pourrait être intéressant.
- retraitéeDoyen
J'ai connu une prof de maths en sup qui a passé un CAP de plombier ! Elle avait des travaux à faire chez elle .
- ParménideNeoprof expérimenté
Il n'est pas possible qu'une telle indétermination existe à l'endroit de la méthodologie de commentaire de texte. Ce n'est pas le cas en dissertation, je m'en rends bien compte, il y a beaucoup plus de consensus dans ce dernier cas.
Je dois juste savoir ce que je dois faire face à un texte, et à partir de là, je le ferai.
Je dois juste savoir ce que je dois faire face à un texte, et à partir de là, je le ferai.
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"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
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- User5899Demi-dieu
Trop diplômé qu'ils m'ont dit, et trop vieux...Gryphe a écrit:Il n'est peut-être pas trop tard pour désosser une loco ?
Cours le jeudi et le vendredi, CAP par alternance le lundi, le mardi et le mercredi... Ça pourrait être intéressant.
- GrypheMédiateur
Ah, quel malheur d'être un intello ! :lol:Cripure a écrit:Trop diplômé qu'ils m'ont dit, et trop vieux...
Bon, désolée, ça aurait pu être une piste. J'avais entendu dire qu'il y a des tas de gens qui passaient des CAP à l'âge adulte, pour apprendre quelque chose de "concret", justement.
- InvitéInvité
Parménide, je crains que Cripure n'ait raison: il faut que tu songes à te tourner vers autre chose qui te conviendrait mieux. Tu sembles attendre un mode d'emploi qui mènerait immanquablement à décrypter sans erreur un texte ou à la réussite au concours.Parménide a écrit:Il n'est pas possible qu'une telle indétermination existe à l'endroit de la méthodologie de commentaire de texte. Ce n'est pas le cas en dissertation, je m'en rends bien compte, il y a beaucoup plus de consensus dans ce dernier cas.
Je dois juste savoir ce que je dois faire face à un texte, et à partir de là, je le ferai.
Je regrette, mais tout ton échec se cristallise là: un texte n'est pas une chose que l'on monte ou démonte en suivant une procédure, il est vivant, a ses caractéristiques propres qu'il convient de repérer (et c'est difficile de le faire sans avoir lu un certain nombre d'oeuvres) et d'analyser. Et le plus beau avec un texte puissant et bien écrit, qu'il soit littéraire, philosophique ou autre, c'est qu'il laisse libre cours à des interprétations différentes. Il faut donc accepter l'incertitude, et tu ne m'en sembles hélas pas capable pour le moment.
- GrypheMédiateur
A coup sûr certains concours de la Fonction publique (gestion and co) : ta rigueur et ta persévérance feraient merveille.holderfar a écrit: autre chose qui te conviendrait mieux.
- ParménideNeoprof expérimenté
Gryphe a écrit:A coup sûr certains concours de la Fonction publique (gestion and co) : ta rigueur et ta persévérance feraient merveille.holderfar a écrit: autre chose qui te conviendrait mieux.
Il n'y a aucune raison que certaines personnes aient eu le capes de philo et pas moi. Alors que j'ai intellectuellement les mêmes moyens qu'eux. Et j'ai eu les mêmes notes que certains d'entre eux à certains moments.
Mais eux, ils ont... bref, je me comprends...
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"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- InvitéInvité
Non. Je vais être cruelle, mais il le faut: les personnes qui ont le CAPES de philo alors que toi non sont meilleures que toi. C'est tout.
Elles ont peut-être eu de la chance, mais elles ont aussi lu, pris les textes pour ce qu'ils étaient, à savoir une réflexion singulière qui ne s'analyse pas comme on monte un meuble IKEA.
Soit tu comprends ça et tu en tires toutes les conséquences pour la préparation, soit tu fais autre chose. Mais dénigrer les autres qui ont réussi, ce n'est pas seulement mortifère pour toi, c'est aussi totalement déplacé.
Elles ont peut-être eu de la chance, mais elles ont aussi lu, pris les textes pour ce qu'ils étaient, à savoir une réflexion singulière qui ne s'analyse pas comme on monte un meuble IKEA.
Soit tu comprends ça et tu en tires toutes les conséquences pour la préparation, soit tu fais autre chose. Mais dénigrer les autres qui ont réussi, ce n'est pas seulement mortifère pour toi, c'est aussi totalement déplacé.
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