- Aperçu par hasardNeoprof expérimenté
nono a écrit:Toujours Mme Belloubet sur France Inter https://l.franceinter.fr/MJf
Mme Belloubet : Nous devons travailler sur les milieux de carrière
J. : Ils peuvent espérer une augmentation générale ?
B. : Nous allons voir comment les appuyer au niveau salarial
J. : Primes ? Salaire ?
B. : Je ne veux pas m'engager... Avancement d'échelon, autres mécanismes...
C'est remarquable. Elle noie une quantité impressionnante de poissons dans cette interview...
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Mais “les appuyer au niveau salarial”, cela veut bien dire : “leur appuyer la tête pour la maintenir sous l'eau”, n'est-ce pas ?
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Si tu vales valeo.
- Aperçu par hasardNeoprof expérimenté
epekeina.tes.ousias a écrit:Mais “les appuyer au niveau salarial”, cela veut bien dire : “leur appuyer la tête pour la maintenir sous l'eau”, n'est-ce pas ?
Mais peut-on rester le tête sous l'eau en ne faisant pas de vague?
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Aperçu par hasard a écrit:epekeina.tes.ousias a écrit:Mais “les appuyer au niveau salarial”, cela veut bien dire : “leur appuyer la tête pour la maintenir sous l'eau”, n'est-ce pas ?
Mais peut-on rester le tête sous l'eau en ne faisant pas de vague?
Certains oui, mais ils ne manquent pas d'air.
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Si tu vales valeo.
- BaldredSage
Une petite pression sur la ministre ?
Le Monde fait le point sur les groupes de niveau en forme de tableau des forces en présence :
Pour récapituler :
Aucun texte n'était pas encore publié hier.
La ministre se donne quelques jours tous les quelques jours.
Le CSE a voté contre.
Tout le monde est contre même le Snalc qui n'est plus pour :
Je l'ai avancé plusieurs fois, c'est la presse qui jauge la réussite d'une grève, pas nous ni le ministère, voici donc le verdict tas de pessimistes. Le 1er février est....gagné !
Le CSEN prend l'eau :
Et Bim le tri social :
Et Boum Les Perdirs :
Et une députée apparentée Renaissance constate que les chiffres ne collent pas :
Le mot de la fin pour la ministre, on quitte le tennis pour l'alpinisme :
Ou comment passer de la crise de com' d'Attal à la réalité.
Le coup de la concertation ayant déjà été utilisé, il reste la création d'une commission pour enterrer le machin.
Ils auront peut-être juste réussi à nous énerver assez pour que ça ne suffise pas ?
https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/02/18/groupes-de-niveau-au-college-entre-fronde-du-monde-educatif-et-manque-de-moyens-nicole-belloubet-sur-une-ligne-de-crete_6217165_3224.html?random=531285290
Le Monde fait le point sur les groupes de niveau en forme de tableau des forces en présence :
Groupes de niveau au collège : entre fronde du monde éducatif et manque de moyens, Nicole Belloubet sur une ligne de crête
La mesure, annoncée par un Gabriel Attal ministre de l’éducation et vantée par un Gabriel Attal premier ministre, est rejetée par la communauté éducative. A l’opposition philosophique s’ajoute désormais le constat partagé, y compris par des partisans de cette politique, que les promesses se heurtent à la réalité des moyens.
Pour récapituler :
Aucun texte n'était pas encore publié hier.
La ministre se donne quelques jours tous les quelques jours.
Le CSE a voté contre.
Tout le monde est contre même le Snalc qui n'est plus pour :
La pétition atteint 48000 signatures ( perso je trouve ça bien peu...)Enseignants, chefs d’établissement, inspecteurs, parents d’élèves, représentants du public comme du privé, personne n’a approuvé l’arrêté créant les groupes de niveau au sein de cette instance consultative. Pas même le Syndicat national des lycées et des collèges, seul syndicat ayant défendu la philosophie de cette mesure, qui estime désormais que les choix du gouvernement « mènent dans le mur ».
Je l'ai avancé plusieurs fois, c'est la presse qui jauge la réussite d'une grève, pas nous ni le ministère, voici donc le verdict tas de pessimistes. Le 1er février est....gagné !
. (bon le 6 ils n'en parlent même pas, on sait aussi se tirer des balles dans le pied)Lors de la grève du 1er février, dont l’opposition au « choc des savoirs » était l’un des principaux mots d’ordre, c’est au collège que la mobilisation a été la plus forte – 30 % d’enseignants en grève selon le ministère, près de 50 % selon le SNES-FSU ; des chiffres élevés.
Le CSEN prend l'eau :
La Recherche ajoute un clou dans le cercueil :Pour protester contre cette politique, trois chercheurs du conseil scientifique de l’éducation nationale (CSEN), Julien Grenet, Elise Huillery et Yann Algan, ont par ailleurs démissionné de cette instance dont le président, Stanislas Dehaene, était l’un des quatre copilotes de la mission « exigence des savoirs » sur laquelle Gabriel Attal s’est appuyé. « On a le sentiment que le CSEN a été instrumentalisé comme caution scientifique pour des mesures qui vont à l’encontre des résultats de la recherche », dénonce l’économiste Julien Grenet.
Les travaux de recherche existants convergent en effet pour montrer que regrouper les élèves en fonction de leurs résultats scolaires sur des volumes horaires importants – en l’occurrence, un tiers de leur semaine de cours – est inefficace pour améliorer le niveau général, et a même « de potentiels effets délétères sur l’égalité des chances ».
Et Bim le tri social :
Selon Julien Grenet, 60 % des enfants favorisés seraient dans les groupes dits forts et seuls 13 % dans les groupes de niveau faible, tandis que ces chiffres sont respectivement de 19 % et 44 % pour les élèves défavorisés.
Et Boum Les Perdirs :
« Les groupes de niveau ébranlent la notion même de collège unique et sont contraires aux valeurs de l’école républicaine, nous nous y opposons catégoriquement, martèle Layla Ben Chikh, du SNPDEN-UNSA, majoritaire chez les personnels de direction.
Et une députée apparentée Renaissance constate que les chiffres ne collent pas :
Cécile Rilhac, députée apparentée Renaissance du Val d’Oise, à l’origine de plusieurs propositions de loi et rapports sur l’école, s’inquiète elle aussi que « les effectifs ne soient pas suffisants pour tenir notre objectif ». « En l’état actuel des choses, même en tant que députée de la majorité qui soutient les groupes de niveau, j’ai du mal à savoir comment on va les créer sur toutes les heures de maths et de français de 6e et 5e dès 2024 », admet-elle. D’autant que, malgré les postes annoncés, l’élue partage le constat de tous les syndicats : les collèges n’ont pas reçu suffisamment d’heures pour créer des groupes réduits, et doivent rogner sur l’existant en abandonnant des options ou des projets pédagogiques pour les financer.
Le mot de la fin pour la ministre, on quitte le tennis pour l'alpinisme :
Nicole Belloubet pourrait-elle amender la décision de son anté-prédécesseur ? Si elle assure que « le choc des savoirs est indispensable », l’ancienne rectrice a assuré à Ouest-France : « Le risque, celui que je ne laisserai pas advenir, c’est la sélection par l’échec, un refus de mixité scolaire et sociale dans les classes. » La veille, sur Public Sénat, elle avait déclaré que les futurs « groupes » devaient « répondre à une pédagogie différenciée » pour « prendre en charge l’hétérogénéité ».
Entre un premier ministre qui défendait encore la « nécessité » de sa décision le 8 février sur France 2 et une communauté éducative qui l’exhorte majoritairement à retirer toute mention de « groupes de niveau » des futurs textes officiels, la ligne de crête est mince pour celle qui s’est fixé un objectif d’« apaisement » avec les personnels de l’éducation nationale.
Ou comment passer de la crise de com' d'Attal à la réalité.
Le coup de la concertation ayant déjà été utilisé, il reste la création d'une commission pour enterrer le machin.
Ils auront peut-être juste réussi à nous énerver assez pour que ça ne suffise pas ?
https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/02/18/groupes-de-niveau-au-college-entre-fronde-du-monde-educatif-et-manque-de-moyens-nicole-belloubet-sur-une-ligne-de-crete_6217165_3224.html?random=531285290
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Mais il ne faut surtout pas lire les réactions des lecteurs à cet article : un florilège d'inepties et de propos anti-profs…
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- LaotziSage
Le ministère n'aime pas quand les chefs d'établissement s'opposent à une mesure car ceux sont eux qui doivent la faire appliquer. Le ministère va donc sans doute leur donner un peu de souplesse pour constituer les emplois du temps.
Et puis comme on ne donnera pas plus de moyens, on fait revenir cette idée de "pédagogie différenciée" : c'est une injonction pratique car elle peut se pratiquer même (et surtout) avec une baisse des moyens.
Et puis comme on ne donnera pas plus de moyens, on fait revenir cette idée de "pédagogie différenciée" : c'est une injonction pratique car elle peut se pratiquer même (et surtout) avec une baisse des moyens.
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- joebar69Fidèle du forum
Merci à @Baldred, pour ce beau résumé.
@ETO : Ben comme d'hab, en fait : tout le monde y sait, tout le monde y dit comment faudrait faire ...
@Laotzi : C'est aussi ce que je pense. Une vague notion de groupes (le terme niveau disparaissant du pseudo-texte en attente), et un beau jargon pédagogiste excessif. Pour la mise en place : dém...dez-vous !
@ETO : Ben comme d'hab, en fait : tout le monde y sait, tout le monde y dit comment faudrait faire ...
@Laotzi : C'est aussi ce que je pense. Une vague notion de groupes (le terme niveau disparaissant du pseudo-texte en attente), et un beau jargon pédagogiste excessif. Pour la mise en place : dém...dez-vous !
- epekeina.tes.ousiasModérateur
joebar69 a écrit:@ETO : Ben comme d'hab, en fait : tout le monde y sait, tout le monde y dit comment faudrait faire ...
J'y vois autre chose. Ce n'est pas tellement que tout le monde sait, c'est que seul le sens commun des braves gens sait et qu'en revanche, ceux qui savent sont des prétentieux et des privilégiés qu'il faut réduire au silence. Il y a là-dedans l'idée que, lorsque l'on démontre que la confection de groupes de niveaux, au mieux font stagner les élèves en difficulté, voire les font régresser, c'est forcément de la propagande. C'est une forme d'anti-intellectualisme, un mélange de ressentiment et de mépris pour ce qui relève de la rationalité, tout à fait redoutable : car ce mélange indique que ce qui est enjeu, c'est une forme de “revanche”…
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Si tu vales valeo.
- joebar69Fidèle du forum
@ETO : Tu as raison. Mais l'image de la société est aussi celle de nos politicien.ne.s actuel.le.s. Si on n’approuve pas la ligne politique du gouvernement en place (ne serait-ce qu'un peu - avec argumentation, voire études scientifiques à l'appui), on est automatiquement catalogué d'extrémiste pour une partie de l'éventail politique ou d'ultra pour l'autre partie.
C'est aussi pour cela, que je consulte la presse au format papier journal. Meilleur pour ma santé.
C'est aussi pour cela, que je consulte la presse au format papier journal. Meilleur pour ma santé.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
joebar69 a écrit:@ETO : Tu as raison. Mais l'image de la société est aussi celle de nos politicien.ne.s actuel.le.s. Si on n’approuve pas la ligne politique du gouvernement en place (ne serait-ce qu'un peu - avec argumentation, voire études scientifiques à l'appui), on est automatiquement catalogué d'extrémiste pour une partie de l'éventail politique ou d'ultra pour l'autre partie.
C'est aussi pour cela, que je consulte la presse au format papier journal. Meilleur pour ma santé.
Mais l'entretien du mépris pour la raison dans les masses et la volonté d'imposer ce que Jankélévitch dénommait “vérités gouvernementales” (pour en dénoncer l'ineptie) se répondent : ce sont deux piliers d'un certain type de régime.
Quant à la presse au format papier, c'est celle que je consulte : et j'en trouve le niveau généralement médiocre et souvent consternant…
Je sais, je suis un vieux schnock.
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Si tu vales valeo.
- BaldredSage
Je ne lis pas les avis, sauf ceux du Figaro pour me purger.
Ceci dit il y a un vrai problème qu'illustre aussi bien dans nos propres rangs la réaction de ceux qui ont répondu sincèrement à la dernière concertation que oui il y a une trop grande hétérogénéité, que oui les niveaux ce serait pas mal et qui decouvrent horrifiés le " choc des savoirs".
Je doute de la voix populi des avis du Monde, mais il y a très certainement une dévaluation générale de la parole "autorisée", en effet redoutable.
Ceci dit il y a un vrai problème qu'illustre aussi bien dans nos propres rangs la réaction de ceux qui ont répondu sincèrement à la dernière concertation que oui il y a une trop grande hétérogénéité, que oui les niveaux ce serait pas mal et qui decouvrent horrifiés le " choc des savoirs".
Je doute de la voix populi des avis du Monde, mais il y a très certainement une dévaluation générale de la parole "autorisée", en effet redoutable.
- Aperçu par hasardNeoprof expérimenté
epekeina.tes.ousias a écrit:Mais il ne faut surtout pas lire les réactions des lecteurs à cet article : un florilège d'inepties et de propos anti-profs…
C'est vrai. Chaque fois que je lis les réactions des lecteurs à un article sur l'éducation, ça me donne envie de lire Cioran en buvant du Destop.
- joebar69Fidèle du forum
Baldred a écrit:Je ne lis pas les avis, sauf ceux du Figaro pour me purger.
Ceci dit il y a un vrai problème qu'illustre aussi bien dans notre propres rangs la réaction de ceux qui ont répondu sincèrement à la dernière concertation que oui il y a une trop grande hétérogénéité, que oui les niveaux ce serait pas mal et qui decouvrent horrifiés le " choc des savoirs".
Je doute de la voix populi des avis du Monde, mais il y a très certainement une dévaluation générale de la parole "autorisée", en effet redoutable.
Pour la partie graissée : c'est de bonne guerre, dans ce genre de consultation, où l'on sait à quasiment 100 % que les décisions sont déjà prises, c'est une caution que cherchent les décideu.r.se.s pour se justifier du choix pris, tout en se dédouanant d'une éventuelle responsabilité.
Que des collègues nai.f.ve.s y participent, avec leur "vision" depuis leur étab, de ce qu'il faudrait généraliser, tout en sachant que l'Institution les maltraitera encore plus, j'avoue que ça me laisse sans voix.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Baldred a écrit:Je ne lis pas les avis, sauf ceux du Figaro pour me purger.
Ceci dit il y a un vrai problème qu'illustre aussi bien dans notre propres rangs la réaction de ceux qui ont répondu sincèrement à la dernière concertation que oui il y a une trop grande hétérogénéité, que oui les niveaux ce serait pas mal et qui decouvrent horrifiés le " choc des savoirs".
Je doute de la voix populi des avis du Monde, mais il y a très certainement une dévaluation générale de la parole "autorisée", en effet redoutable.
C'est que la “parole” en question n'est en réalité pas “autorisée” : c'est un discours fondé et étayé. Le refuser en prétendant qu'il ne s'agit que d'une forme d'élitisme, car c'est de cela qu'il s'agit, devrait inquiéter. Certes, comme on dit, cela n'est “pas nouveau” : mais le choléra non plus n'est pas nouveau.
Chez les profs — car il en est qui approuvent les groupes de niveau en n'hésitant pas à ajouter que ce sera tant pis pour ceux qui n'ont pas les capacités — c'est aussi une forme d'amnésie troublante. Dans les années soixante-dix, par ex., comment les classes de CEG étaient-elles constituées ? Et dans quel but ? L'“enseignement général court”, disait-on officiellement — avec quelques miraculés récupérés au passage. Et cela “fonctionnait” avec une efficacité redoutable…
Quant aux réactions des lecteurs, je consulte cela que pour essayer de prendre la température du malade : et il me paraît gravement atteint.
Aperçu par hasard a écrit:C'est vrai. Chaque fois que je lis les réactions des lecteurs à un article sur l'éducation, ça me donne envie de lire Cioran en buvant du Destop.epekeina.tes.ousias a écrit:Mais il ne faut surtout pas lire les réactions des lecteurs à cet article : un florilège d'inepties et de propos anti-profs…
À haute voix, enduit de miel, en maillot de bain et maintenu assis sur une fourmilière ?
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Si tu vales valeo.
- NateizeNiveau 1
Le pire du pire serait quand même d'avoir ces groupes uniquement sur une partie des heures dues aux élèves.
On aurait le pire des deux systèmes.
Tu fais le cours en classe entière et des exercices en groupes, ça c'est bien sur le papier. Dans la réalité ça veut dire que tu t'enlèves toute souplesse dans l'avancée de ta progression. Bonjour la charge mentale... Je ne vous parle même pas de concevoir des évaluations dans de telles conditions...
Qui peut plaider sérieusement pour ça à part des gens qui n'ont jamais enseigné ?
Quant aux chiffres de la recherche où on t'annonce 60% et 44% de bons élèves, je ne sais vraiment d'où ils peuvent annoncer de tels chiffres. Chez moi, ça tourne à 3-4 élèves par classe potentiellement bons (sauf qu'à force de perdre leur temps, arrivés en 2nde même eux se prennent une belle claque pour la plupart). Ce qui colle étrangement aux résultats à PISA/Timms...
On aurait le pire des deux systèmes.
Tu fais le cours en classe entière et des exercices en groupes, ça c'est bien sur le papier. Dans la réalité ça veut dire que tu t'enlèves toute souplesse dans l'avancée de ta progression. Bonjour la charge mentale... Je ne vous parle même pas de concevoir des évaluations dans de telles conditions...
Qui peut plaider sérieusement pour ça à part des gens qui n'ont jamais enseigné ?
Quant aux chiffres de la recherche où on t'annonce 60% et 44% de bons élèves, je ne sais vraiment d'où ils peuvent annoncer de tels chiffres. Chez moi, ça tourne à 3-4 élèves par classe potentiellement bons (sauf qu'à force de perdre leur temps, arrivés en 2nde même eux se prennent une belle claque pour la plupart). Ce qui colle étrangement aux résultats à PISA/Timms...
- joebar69Fidèle du forum
@Nateize : M'enfin ! Faut pratiquer la pédagogie différenciée, on te dit
Pour ton 2nd paragraphe : c'est la force des statistiques ! Tu n'as personnellement qu'un échantillon infime du panel. Ensuite qu'entend-t-on par "Bons" / "Moyens" / "Faibles", j'avoue ne pas avoir de définition exacte à donner.
Pour ton 2nd paragraphe : c'est la force des statistiques ! Tu n'as personnellement qu'un échantillon infime du panel. Ensuite qu'entend-t-on par "Bons" / "Moyens" / "Faibles", j'avoue ne pas avoir de définition exacte à donner.
- henrietteMédiateur
Tiens, pour "rire" un peu, je vous recommande la lecture de ce vieux fil : quand Belloubet trouvait qu'il n'était pas catastrophique qu'un élève ne sache pas lire et écrire à la fin du primaire...
https://www.neoprofs.org/t53432-interview-de-nicole-belloubet-a-l-occasion-de-la-publication-du-rapport-sur-la-refondation-de-l-ecole-il-faut-cesser-de-dire-qu-il-faut-absolument-lire-et-ecrire-a-la-fin-du-primaire
https://www.neoprofs.org/t53432-interview-de-nicole-belloubet-a-l-occasion-de-la-publication-du-rapport-sur-la-refondation-de-l-ecole-il-faut-cesser-de-dire-qu-il-faut-absolument-lire-et-ecrire-a-la-fin-du-primaire
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- Melyne5Fidèle du forum
Sur BFM en ce moment...
- Melyne5Fidèle du forum
"Le nominalisme est une chose le réalisme en est une autre"... A propos du mot " niveau"...
- Melyne5Fidèle du forum
"Je refuserai tout système de tri social"..." Le brassage est ce qui fait notre nation" .. solution : il faudra changer les groupes ..
Questions assez pertinentes de Duhamel pour une fois ...
Questions assez pertinentes de Duhamel pour une fois ...
- BaldredSage
La question repose maintenant sur la capacité, ou non, d'Attal à manger son chapeau : d'un coup, en rondelles, par petits bouts, délayé, en réduction, en précipité, en doses homéopathiques, en clystere.
Il doit tenir le discours martial jusqu'aux européennes, et il vient déjà de digérer l'écologie à la table des agriculteurs. Quel appétit aura -t-il encore ?
Il doit tenir le discours martial jusqu'aux européennes, et il vient déjà de digérer l'écologie à la table des agriculteurs. Quel appétit aura -t-il encore ?
- Monsieur SilenceNiveau 9
Notre ministre actuellement sur BFM.
Discours très flou sur les groupes de niveaux et comment les organiser.
Pour elle, ils devraient être bien flexibles : un élève changerait de groupe selon les compétences travaillées...
Toujours la même communication à coup de dialogue et d'écoute des syndicats, des professeurs, des chefs d'établissement...
Discours très flou sur les groupes de niveaux et comment les organiser.
Pour elle, ils devraient être bien flexibles : un élève changerait de groupe selon les compétences travaillées...
Toujours la même communication à coup de dialogue et d'écoute des syndicats, des professeurs, des chefs d'établissement...
- BaldredSage
Monsieur Silence a écrit:Notre ministre actuellement sur BFM.
Discours très flou sur les groupes de niveaux et comment les organiser.
Pour elle, ils devraient être bien flexibles : un élève changerait de groupe selon les compétences travaillées...
Toujours la même communication à coup de dialogue et d'écoute des syndicats, des professeurs, des chefs d'établissement...
Bon, ça n'avance pas. Elle oublie que c'est fini les compétences ? La note, le classement.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Baldred a écrit:Monsieur Silence a écrit:Notre ministre actuellement sur BFM.
Discours très flou sur les groupes de niveaux et comment les organiser.
Pour elle, ils devraient être bien flexibles : un élève changerait de groupe selon les compétences travaillées...
Toujours la même communication à coup de dialogue et d'écoute des syndicats, des professeurs, des chefs d'établissement...
Bon, ça n'avance pas. Elle oublie que c'est fini les compétences ? La note, le classement.
Elle a (vaguement) entendu parler de “groupes de remédiation” : elle jette un appât…
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Si tu vales valeo.
- BaldredSage
epekeina.tes.ousias a écrit:Baldred a écrit:Monsieur Silence a écrit:Notre ministre actuellement sur BFM.
Discours très flou sur les groupes de niveaux et comment les organiser.
Pour elle, ils devraient être bien flexibles : un élève changerait de groupe selon les compétences travaillées...
Toujours la même communication à coup de dialogue et d'écoute des syndicats, des professeurs, des chefs d'établissement...
Bon, ça n'avance pas. Elle oublie que c'est fini les compétences ? La note, le classement.
Elle a (vaguement) entendu parler de “groupes de remédiation” : elle jette un appât…
Aha ! Elle nous lit !
- Amélie Oudéa-Castéra, notre nouvelle ministre
- Amélie Oudéa-Castéra, notre nouvelle ministre
- Amélie Oudéa-Castéra, notre ex-nouvelle ministre
- Interview de Nicole Belloubet à l'occasion de la publication du Rapport sur la Refondation de l'Ecole : "Il faut cesser de dire qu'il faut absolument lire et écrire à la fin du primaire".
- Les meilleurs voeux de notre ministre.
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