- PrezboGrand Maître
uneodyssée a écrit:
La météo des émotions, avec des plus grands, peut se faire avec d’autres outils — choisir simplement des mots, par exemple. Et on n’est pas tenu d’expliquer. Juste exprimer comment on se sent. Entre adultes, des réunions qui commencent avec un tour de table «dans quel état, dans quelle énergie on est» sont souvent bien plus sereines.
Je n'ai jamais vu cela, et je n'imagine même pas comme cela pourrait être amené dans un cadre professionnel, et comment on pourrait imaginer que dans ce cas la réponse puisse être sincère et non biaisée.
- ElyasEsprit sacré
Prezbo a écrit:uneodyssée a écrit:
La météo des émotions, avec des plus grands, peut se faire avec d’autres outils — choisir simplement des mots, par exemple. Et on n’est pas tenu d’expliquer. Juste exprimer comment on se sent. Entre adultes, des réunions qui commencent avec un tour de table «dans quel état, dans quelle énergie on est» sont souvent bien plus sereines.
Je n'ai jamais vu cela, et je n'imagine même pas comme cela pourrait être amené dans un cadre professionnel, et comment on pourrait imaginer que dans ce cas la réponse puisse être sincère et non biaisée.
Il faut d'abord que les gens soient d'accord (et ceux qui se sentent mal à l'aise ont le droit de ne rien dire). J'étais réticent au début et en le vivant, je trouve que ça apaise pas mal les relations professionnelles et que ça augmente le respect entre les gens. Le fait de ne pas vouloir voir les émotions des gens dans le cadre du travail est une maltraitance surtout quand tout le monde voit l'émotion chez un collègue et fait semblant de ne pas la voir (ou pire, tance la collègue de revoir sa posture). Nous sommes humains, pas des machines.
Après, cela doit se faire dans un cadre sécure où on fait confiance aux gens autour. J'ai des groupes qui pratiquent cela et aucun souci et il y a d'autres groupes où jamais on ne fait/doit faire ça parce que c'est trop dangereux.
- JennyMédiateur
Je trouve qu’il y a la pression du groupe malgré tout…
Une classe est-elle toujours un cadre sécurisant ?
Une classe est-elle toujours un cadre sécurisant ?
- ElyasEsprit sacré
Jenny a écrit:Je trouve qu’il y a la pression du groupe malgré tout…
Une classe est-elle toujours un cadre sécurisant ?
On ne se lance pas dans ce genre de pratique sans avoir créer le cadre et laisser la liberté de se taire. Personnellement, je vis ce type de pratiques dans 2 instances et ce sont les meilleurs groupes de travail que j'ai jamais eus. Je le pratique dans ma classe où je suis PP et les élèves adhèrent mais seulement parce que je participe aussi et qu'ils ont confiance en moi.
Après, je le répète, c'est une pratique clivante. Ce n'est qu'un outil parmi d'autres.
- JennyMédiateur
Donc à l’opposé de ce que j’ai vécu… C’était à la limite de l’agressivité devant les silences ou les réponses pas assez positives…
Je crois qu’il ne faut pas que n’importe qui le fasse, ça me semble un terrain glissant.
Poser le cadre, je le fais effectivement en éducation à la sexualité, c’est essentiel. Mais c’est aussi un autre contexte. En classe, je ne me sens pas à l’aise.
Je crois qu’il ne faut pas que n’importe qui le fasse, ça me semble un terrain glissant.
Poser le cadre, je le fais effectivement en éducation à la sexualité, c’est essentiel. Mais c’est aussi un autre contexte. En classe, je ne me sens pas à l’aise.
- uneodysséeNeoprof expérimenté
Bien sûr, d’accord avec Elyas. On n’est pas obligé de s’exprimer.
À mon sens, c’est une des grandes erreurs de l’ÉN que de croire qu’en ne parlant pas des émotions on peut faire comme si elles n’existaient pas.
Je n’ai pas pris l’habitude de le faire en classe, parce que je ne suis pas tout à fait sûre de moi ! J’ai un jeu de cartes où il n’y a que des images, j’ai prévu de tenter de partir de ça.
Mais avec les adultes, dans le cadre associatif, quand les gens veulent bien se prêter à l’exercice, ça fonctionne très bien. Le cadre pro… on est à l’ÉN. Il n’y a qu’à voir ce qui se dit dans ce fil…
En revanche, avec les élèves, quelque chose fonctionne très bien : quand j’arrive en classe chargée d’une émotion négative, je le leur dis : Aujourd’hui, je suis contrariée (par ex.), cela n’est pas à cause de vous, mais cela peut se répercuter sur la façon dont je vais mener le cours, sur mon degré de patience, alors ne vous en inquiétez pas si jamais vous me trouvez plus dure que d’habitude. Si tout va bien, si on arrive à bien travailler, c’est peut-être même vous qui allez m’aider à sortir de cet état !. Eh bien la plupart du temps, ils comprennent et ont à cœur de me remettre de bonne humeur !
À mon sens, c’est une des grandes erreurs de l’ÉN que de croire qu’en ne parlant pas des émotions on peut faire comme si elles n’existaient pas.
Je n’ai pas pris l’habitude de le faire en classe, parce que je ne suis pas tout à fait sûre de moi ! J’ai un jeu de cartes où il n’y a que des images, j’ai prévu de tenter de partir de ça.
Mais avec les adultes, dans le cadre associatif, quand les gens veulent bien se prêter à l’exercice, ça fonctionne très bien. Le cadre pro… on est à l’ÉN. Il n’y a qu’à voir ce qui se dit dans ce fil…
En revanche, avec les élèves, quelque chose fonctionne très bien : quand j’arrive en classe chargée d’une émotion négative, je le leur dis : Aujourd’hui, je suis contrariée (par ex.), cela n’est pas à cause de vous, mais cela peut se répercuter sur la façon dont je vais mener le cours, sur mon degré de patience, alors ne vous en inquiétez pas si jamais vous me trouvez plus dure que d’habitude. Si tout va bien, si on arrive à bien travailler, c’est peut-être même vous qui allez m’aider à sortir de cet état !. Eh bien la plupart du temps, ils comprennent et ont à cœur de me remettre de bonne humeur !
- ElyasEsprit sacré
uneodyssée a écrit:Bien sûr, d’accord avec Elyas. On n’est pas obligé de s’exprimer.
À mon sens, c’est une des grandes erreurs de l’ÉN que de croire qu’en ne parlant pas des émotions on peut faire comme si elles n’existaient pas.
Je n’ai pas pris l’habitude de le faire en classe, parce que je ne suis pas tout à fait sûre de moi ! J’ai un jeu de cartes où il n’y a que des images, j’ai prévu de tenter de partir de ça.
Mais avec les adultes, dans le cadre associatif, quand les gens veulent bien se prêter à l’exercice, ça fonctionne très bien. Le cadre pro… on est à l’ÉN. Il n’y a qu’à voir ce qui se dit dans ce fil…
En revanche, avec les élèves, quelque chose fonctionne très bien : quand j’arrive en classe chargée d’une émotion négative, je le leur dis : Aujourd’hui, je suis contrariée (par ex.), cela n’est pas à cause de vous, mais cela peut se répercuter sur la façon dont je vais mener le cours, sur mon degré de patience, alors ne vous en inquiétez pas si jamais vous me trouvez plus dure que d’habitude. Si tout va bien, si on arrive à bien travailler, c’est peut-être même vous qui allez m’aider à sortir de cet état !. Eh bien la plupart du temps, ils comprennent et ont à cœur de me remettre de bonne humeur !
J'ai la même pratique.
- JennyMédiateur
Je crois que si je fais ça, je m'effondre littéralement devant eux.
- mistinguetteFidèle du forum
C'est amusant, moi aussi, j'ai toujours été transparente sur mon humeur qd je savais que ça risquait d'affecter le cours. Je n'avais pas réalisé que ça rentrait là dedans.
_________________
.'..Texte sur les l'oies' commentaires du prof hg que j’adorais sur ma copie de 6e : loi/ l'oie Vous en êtes une!. J'ai évolué depuis mais mon complexe orthographique m'accompagnera toujours. Il semble qu'aujourd’hui on parle de dyslexie pour l'étourdie éternelle que j'étais...alors si c'est la science des ânes, merci de pas charger la mule.
- uneodysséeNeoprof expérimenté
Jenny a écrit:Je crois que si je fais ça, je m'effondre littéralement devant eux.
Tout dépend du public, sans doute. Mais je crois que cette transparence en appelle à leur responsabilité. Il m’est arrivé de pleurer en classe (peut-être trois ou quatre fois en vingt ans, je ne sais plus) (bon, ça fait longtemps que cela n’est plus arrivé car je sais mieux me préserver et agir avant de me laisser submerger) : à chaque fois, leur stupéfaction est telle qu’ils s’excusent.
La plupart agissent surtout bêtement, pas méchamment. Les prendre pour des grands capables de comprendre leur rappelle pour la plupart qu’ils le sont, intelligents, sensibles et capables de comprendre.
- A TuinVénérable
C'est nul comme tout ça, avec des adultes. On avait eu droit à cela à l'IUFM, c'était à celui qui faisait le plus de vernis social pour se faire valoir, et en gros ceux qui étaient naturels tenaient lieu de dindons de service. Très nul principe.Prezbo a écrit:uneodyssée a écrit:
La météo des émotions, avec des plus grands, peut se faire avec d’autres outils — choisir simplement des mots, par exemple. Et on n’est pas tenu d’expliquer. Juste exprimer comment on se sent. Entre adultes, des réunions qui commencent avec un tour de table «dans quel état, dans quelle énergie on est» sont souvent bien plus sereines.
Je n'ai jamais vu cela, et je n'imagine même pas comme cela pourrait être amené dans un cadre professionnel, et comment on pourrait imaginer que dans ce cas la réponse puisse être sincère et non biaisée.
- MajuFidèle du forum
Je fais la même chose.Elyas a écrit:uneodyssée a écrit:Bien sûr, d’accord avec Elyas. On n’est pas obligé de s’exprimer.
À mon sens, c’est une des grandes erreurs de l’ÉN que de croire qu’en ne parlant pas des émotions on peut faire comme si elles n’existaient pas.
Je n’ai pas pris l’habitude de le faire en classe, parce que je ne suis pas tout à fait sûre de moi ! J’ai un jeu de cartes où il n’y a que des images, j’ai prévu de tenter de partir de ça.
Mais avec les adultes, dans le cadre associatif, quand les gens veulent bien se prêter à l’exercice, ça fonctionne très bien. Le cadre pro… on est à l’ÉN. Il n’y a qu’à voir ce qui se dit dans ce fil…
En revanche, avec les élèves, quelque chose fonctionne très bien : quand j’arrive en classe chargée d’une émotion négative, je le leur dis : Aujourd’hui, je suis contrariée (par ex.), cela n’est pas à cause de vous, mais cela peut se répercuter sur la façon dont je vais mener le cours, sur mon degré de patience, alors ne vous en inquiétez pas si jamais vous me trouvez plus dure que d’habitude. Si tout va bien, si on arrive à bien travailler, c’est peut-être même vous qui allez m’aider à sortir de cet état !. Eh bien la plupart du temps, ils comprennent et ont à cœur de me remettre de bonne humeur !
J'ai la même pratique.
Quant à la sécurisation du cadre, qui pour moi inclut pleinement le droit de ne pas s'exprimer, et à l'expression des émotions, je l'utilise lorsque je suis PP, et cela permet le plus souvent, surtout lorsque c'est assez régulier pour être intégré par les élèves, une communication plus apaisée et une meilleure prise en compte des autres, ce qui n'est pas du luxe en college.
- MajuFidèle du forum
"C'est nul comme tout" est sûrement un argument tres fort, mais comme Elyas, j'ai l'occasion de le vivre dans des groupes d'adultes, dans le cadre professionnel, et c'est très utile.A Tuin a écrit:C'est nul comme tout ça, avec des adultes. On avait eu droit à cela à l'IUFM, c'était à celui qui faisait le plus de vernis social pour se faire valoir, et en gros ceux qui étaient naturels tenaient lieu de dindons de service. Très nul principe.Prezbo a écrit:uneodyssée a écrit:
La météo des émotions, avec des plus grands, peut se faire avec d’autres outils — choisir simplement des mots, par exemple. Et on n’est pas tenu d’expliquer. Juste exprimer comment on se sent. Entre adultes, des réunions qui commencent avec un tour de table «dans quel état, dans quelle énergie on est» sont souvent bien plus sereines.
Je n'ai jamais vu cela, et je n'imagine même pas comme cela pourrait être amené dans un cadre professionnel, et comment on pourrait imaginer que dans ce cas la réponse puisse être sincère et non biaisée.
- HonchampDoyen
- stanleymilgramNiveau 9
Mais ils avaient en amont prévu des sujets globalement pas très exigeants...
- julilibulleNiveau 10
Chez nous, c'est l'inverse, le taux de réussite augmente alors que nous avions une cohorte plus faible que l'année dernière. Je pense aussi que les compétences ont permis de remonter les points attribués pour le contrôle continu ...
- Isis39Enchanteur
Ici d'excellents résultats. Un nombre record de mentions. Mais on avait une excellente cohorte.
- MalagaModérateur
Ici, effectivement, baisse des résultats (82% d'admis).
_________________
J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- SergeMédiateur
100% de réussite dans mon collège rural et quasiment tous avec mention. Je suis content pour eux, c'étaient des élèves très sympathiques.
- SaltaojosHabitué du forum
Ici, collège REP, on a eu 84% de réussite (je pensais vraiment qu'on aurait moins) : ceux qui l'ont eu "par miracle" l'ont effectivement eu grâce aux compétences donc si j'ai bien compris, l'année prochaine ça changera la donne pour ce profil d'élèves. Et beaucoup de reçus ont entre 10 et 10,5 sur 20, c'est de justesse.
- LadyOlennaModérateur
80% de réussite chez nous, en légère baisse.
Parmi les non-admis, un tiers d'élèves ex-UPE2A, qui ne bénéficient d'aucun aménagement d'épreuves (hormis le droit au dictionnaire). Je trouve ça profondément injuste par rapport à certains élèves qui ont un PAP et ont droit à un tiers-temps et une dictée (très) aménagée par exemple.
Parmi les non-admis, un tiers d'élèves ex-UPE2A, qui ne bénéficient d'aucun aménagement d'épreuves (hormis le droit au dictionnaire). Je trouve ça profondément injuste par rapport à certains élèves qui ont un PAP et ont droit à un tiers-temps et une dictée (très) aménagée par exemple.
- LaplumeNiveau 4
Grosse baisse des résultats dans mon collège (73% filière générale / 56% en pro, je suis en REP), et dans tout notre bassin (le collège voisin affiche un petit 69% pour la filière générale, sans être en REP !).
Cela s'explique peut-être par les années Covid : nos 3e ont subi le confinement en fin de CM2, puis les nombreux épisodes d'école à distance et fermetures de classes durant leurs années de 6e et 5e. Avec aussi deux étés de suite cloués chez eux, sans pouvoir partir en vacances, avec tous les problèmes que cela a induit : addiction aux écrans, attrait pour les trafics, tensions familiales... Ils n'ont jamais vraiment réussi à prendre le rythme du collège en terme d'autonomie et de travail personnel. Nous avons toujours eu du mal avec cette promo : sympas, mais peu travailleurs.
Enfin, je ne reviens pas là-dessus, mais l'épreuve d'Histoire-Géo, qui est généralement la matière dans laquelle ils obtiennent les meilleures notes, n'a pas pu les "sauver" cette fois : le sujet était vraiment mal pensé.
Tout cela n'explique bien sûr pas tout, il y a vraiment une baisse générale du niveau chez nous depuis quelques années, malgré les efforts d'une équipe pédagogique stable et motivée. Les collègues de maternelle constatent ce retard dès les premières années de scolarité (problèmes de langage, de motricité fine, d'autonomie...), et cela nous désole.
Je suis très inquiète pour l'année prochaine : que va-t-on faire des élèves qui n'auront pas le Brevet ?
Cela s'explique peut-être par les années Covid : nos 3e ont subi le confinement en fin de CM2, puis les nombreux épisodes d'école à distance et fermetures de classes durant leurs années de 6e et 5e. Avec aussi deux étés de suite cloués chez eux, sans pouvoir partir en vacances, avec tous les problèmes que cela a induit : addiction aux écrans, attrait pour les trafics, tensions familiales... Ils n'ont jamais vraiment réussi à prendre le rythme du collège en terme d'autonomie et de travail personnel. Nous avons toujours eu du mal avec cette promo : sympas, mais peu travailleurs.
Enfin, je ne reviens pas là-dessus, mais l'épreuve d'Histoire-Géo, qui est généralement la matière dans laquelle ils obtiennent les meilleures notes, n'a pas pu les "sauver" cette fois : le sujet était vraiment mal pensé.
Tout cela n'explique bien sûr pas tout, il y a vraiment une baisse générale du niveau chez nous depuis quelques années, malgré les efforts d'une équipe pédagogique stable et motivée. Les collègues de maternelle constatent ce retard dès les premières années de scolarité (problèmes de langage, de motricité fine, d'autonomie...), et cela nous désole.
Je suis très inquiète pour l'année prochaine : que va-t-on faire des élèves qui n'auront pas le Brevet ?
- LaotziSage
Dans certaines académies comme Créteil, la réponse est assez simple : les correctifs académiques ont été supprimés. Pour Créteil ou Versailles par exemple, cela consistait à remonter l'ensemble des candidats de l'académie de plusieurs points. Mécaniquement, les taux de réussite baissent cette année dans les académies qui bénéficiaient d'un correctif important :
Sinon, il semblerait que l'idée de ne pas pouvoir aller au lycée sans le brevet soit abandonnée : https://www.sgen-cfdt.fr/actu/des-avancees-avant-des-vacances-bien-meritees/
Sinon, il semblerait que l'idée de ne pas pouvoir aller au lycée sans le brevet soit abandonnée : https://www.sgen-cfdt.fr/actu/des-avancees-avant-des-vacances-bien-meritees/
_________________
"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- LaplumeNiveau 4
Merci pour ce document. J'avais entendu parler de la suppression de ces correctifs pour l'an prochain, mais je ne savais pas que c'était déjà appliqué cette année. Cela donne une explication importante à la baisse des résultats.
- BaldredSage
Un pourcentage brut dont j'attends le détail pour en tirer des conclusions. Les années précédentes, il y avait peu, ou pas, "d'accidents" Les échecs étaient attendus et dépendaient en partie du nombre d'élèves que le PA persuadait de passer le CFG plutôt que le brevet.
Les élèves qui essaient tout en n'ayant pas le niveau ont le DNB sans mention, les élèves au niveau et au-delà ont une mention, curieux de voir ce qu'il en sera cette année.
Les élèves qui essaient tout en n'ayant pas le niveau ont le DNB sans mention, les élèves au niveau et au-delà ont une mention, curieux de voir ce qu'il en sera cette année.
- KrilinXV3Neoprof expérimenté
Je n'ai pas les infos pour l'ensemble de mon établissement (il faut les réclamer tous les ans et j'en ai marre), mais sur mes 3 classes (sur 5), on dépasse à peine les 50%. Cohorte très faible à l'état d'esprit catastrophique. En réalité au cas par cas, c'est presque comme tous les ans: pas de mauvaises surprises, que des bonnes. La différence cette année étant qu'avec la fin du correctif, on a plus de "très bonne surprise".
_________________
Asinus asinum fricat
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum