Stagiaires 2023-2024

@thatcherisalive, c'est un peu mon sentiment également en tant que stagiaire. Ce qui m'a le plus fait rire (ou pleurer) c'est que le jour de la rentrée des stagiaires, nous avons été accueillis par les IPR qui nous ont dit qu'un enseignant avait toute liberté pédagogique, pour nous dire 5 minutes après "mais ne faites pas ça, ni ça, ni ça, ni ça...". Bref, j'ai compris que cette année il fallait se plier aux exigences des IPR. Il faut que je fasse 3 activités différentes par cours (avec des cours de 55 minutes, sans compter le temps d'installation, ça laisse peu de temps), etc... Ce qui a fait bondir mes collègues titulaires depuis 15 ans.

@jenny, merci. Oui c'est un peu ça, on s'investi à fond dans la préparation de nos cours et on prend très mal les remarques négatives, même constructives. J'ai juste eu l'impression d'être nul et que mon travail, bien que perfectible, n'a servi à rien, d'être parti dans la mauvaise direction (ce qui est possible également). La fatigue n'aidant pas. Heureusement, mes collègues ont été d'un grand soutien. J'ai la chance d'être dans une cité scolaire où on est 3 profs de physique/chimie au collège et elles sont 5 côté lycée. Elles ont toutes été top et c'est appréciable. Après, bien sûr que j'ai encore beaucoup de progrès à faire, beaucoup de choses à apprendre, à mettre en place. Il faut juste que je me mêle d'avantage aux profs des autres matières, mais on reste entre nous dans notre labo où il y a plus de places que dans la salle des profs. Et puis on est isolé au dernier étage de l'établissement, le temps de descendre et de boire un café, il faut déjà remonter ;-). Ça va se mettre en place petit à petit.

JfLeB a écrit:@thatcherisalive, c'est un peu mon sentiment également en tant que stagiaire. Ce qui m'a le plus fait rire (ou pleurer) c'est que le jour de la rentrée des stagiaires, nous avons été accueillis par les IPR qui nous ont dit qu'un enseignant avait toute liberté pédagogique, pour nous dire 5 minutes après "mais ne faites pas ça, ni ça, ni ça, ni ça...". Bref, j'ai compris que cette année il fallait se plier aux exigences des IPR. Il faut que je fasse 3 activités différentes par cours (avec des cours de 55 minutes, sans compter le temps d'installation, ça laisse peu de temps), etc... Ce qui a fait bondir mes collègues titulaires depuis 15 ans.

Et tu arrives à faire 3 activités en 55 minutes ? Rien que le temps de distribuer...

Non, je n’arrive à en faire qu’une…

Non mais les 3 activités/heures c'est n'imp.
Serre les fesses cette année en attendant d'être libre dès l'année prochaine et de ne plus avoir à appliquer ces injonctions débiles.

Bonjour à tous,

Je suis stagiaire cette année après avoir été suppléante pendant 3 ans.
Avez vous reçu la pepa?
Moi non et la personne que j'ai contactée au rectorat m'assure que les stagiaires en sont exclus.

Madaaaaaaaaaame a écrit:Bonjour à tous,

Je suis stagiaire cette année après avoir été suppléante pendant 3 ans.
Avez vous reçu la pepa?
Moi non et la personne que j'ai contactée au rectorat m'assure que les stagiaires en sont exclus.

Quand tu dis "suppléante", tu avais quel type de contrat ? Dans le privé ou public ? Les vacataires sont exclus de cette prime, mais sinon tu devrais y avoir droit :

SGEN CFDT a écrit:

Lien

SUIS-JE ÉLIGIBLE À LA PRIME EXCEPTIONNELLE DE POUVOIR D’ACHAT ?

Les agents publics, qu’ils soient fonctionnaires, stagiaires, contractuels ou agents non titulaires de droit public sont éligibles sous les conditions cumulatives suivantes :

   Nommés ou recrutés par un employeur public avant le 1er janvier 2023
   Employés et rémunérés par un employeur public au 30 juin 2023
   Qui ont perçu moins de 39 000 € de rémunération brute entre le 1er juillet 2022 et le 30 juin 2023. Il s’agit des revenus soumis à la CSG perçus par agent.

Sont exclus du versement de la prime :

   les agents en disponibilité, en congé parental à la date du 30 juin
   les vacataires
   les agents affectés à l’étranger
   les agents frontaliers qui travaillent en France mais qui résident à l’étranger.

Les stagiaires ne cumulent normalement pas les conditions requises (employés après le 01/01/23), mais du fait de tes 3 ans de travail tu pourrais y prétendre sous réserve des conditions ci dessus.

Bonsoir,

Merci de ta réponse.
J'ai été maître auxiliaire 3 ans dans le privé sous contrat.
Si je lit bien, je devrais y avoir droit, non ?

Bonsoir,

Je suis allé sur SIAM pour voir et saisir mes vœux de mouvement inter académiques, et ça bug tout le temps. Dès que je modifie quelque chose, ça affiche une erreur. J’ai juste essayé de demander la bonification de 10 points pour les stagiaires non ex contractuel et ça plante lamentablement. J’ai essayé depuis Chrome, Firefox et Safari, toujours la même erreur.

Quelqu’un a-t-il rencontré le même problème ?

En tant qu’ancien informaticien (24 ans d’informatique quand même), je suis encore sous le choc de iProf mais quelle horreur, on ne fait plus de site internet comme ça depuis au moins 20 ans. Si je ne suis pas titularisé en tant que prof je demande à être affecté au service informatique de l’EN ;-)

Sinon, j’ai bénéficié de l’opération de classement, ça a été plus rapide que prévu. Après, je ne sais pas quand est-ce que ça sera régularisé sur la fiche de paye, mais au moins c’est sur iprof.

Bonne soirée

Je confirme que les stagiaires peuvent percevoir la PEPA. Enseignant contractuel pendant deux ans, cette prime m'a été versée fin octobre.
J'en profite pour poser une question qui me tracasse quelque peu. Savez-vous si la bonification de 150 points pour les ex-contractuels de l'EN est valable pour les ex-contractuels de l'enseignement privé sous contrat (donc rémunéré par l'EN) ?
En m'inscrivant au concours, pénétré de logique et de raison, j'ai naïvement pensé que c'était le cas. Mais ce jour, un collègue m'a expliqué que le fonctionnement de l'EN n'était pas nécessairement guidé par ce type de principes. Et j'ai même l'impression que SIAM me reconnait en tant stagiaire "non ex-contractuel".

J’ai une autre question : je suis stagiaire sur Paris et j’habite le val d’Oise. Ca fait 25 ans que je prends les transports en commun tous les jours pour aller travailler, et ça commence à devenir pesant. Rejoindre Paris c’est assez pratique et pas trop long, mais une fois dans Paris, en fonction de la station de métro la plus proche de mon futur établissement ça peut être plus ou moins long. Je m’interroge donc sur la possibilité de formuler des vœux sur l’académie de Versailles. Mais comment obtenir un établissement « relativement » proche de chez moi (je ne demande pas à être affecté au collège qui est à 300 m de ma maison) ? Je ne peux pas demander le rapprochement de conjoint puisque c’est le lieu de travail de ma femme qui compte (et non pas le domicile) et comme elle travaille sur Paris, mes filles ne me rapportent donc pas de points. Ou ai je mal compris (une pièce justificative avec le lieu de travail de ma femme est demandée) ?

Tu peux choisir un rapprochement de conjoint sur la résidence privée, il faut le préciser.

@jenny, merci.

Le barème d'entrée sur l'académie de Versailles n'est pas élevé (< 14 l'année dernière). Ça ne devrait pas trop poser de problème. Mais pour être proche de mon domicile (enfin pas trop loin), est-ce que je dois choisir le rapprochement de conjoint (domicile) dès maintenant ou est-ce que c'est au moment de l'intra que je dois le faire. C'est à dire si je ne demande pas un rapprochement de conjoint car mon barème est suffisant (66 points), est-ce que je peux le préciser au moment de l'intra pour avoir plus de chance d'avoir un établissement plus proche de chez moi ? Je ne sais déjà pas quoi faire, mais si je demande Versailles et que je l'ai, je n'ai pas envie de me retrouver à Etampes alors que j'habite le val d'Oise ;-)

J'essayerai d'appeler la plateforme d'assistance pour leur demander.

Je ne pense pas que tu puisses changer de type de RC entre l’inter ou l’intra. Si tu choisis Versailles, autant passer le RC sur l’adresse du domicile.

Est-ce que les stagiaires qui étaient étudiants alternants l'année dernière bénéficient d'un bonus de points pour les mutations ?

Bonsoir à tous!
Petite question : quelqu'un sait-il quel nombre d'heures un stagiaire doit faire pour prétendre à une titularisation ? Je m'explique : je risque d'être en arrêt à cause d'une intervention que je ne nommerais pas et j'aimerais savoir si je risque de passer à côté de la titularisation si je suis absent trop longtemps... Quelqu'un a-t-il des pistes de réponse ?

Merci d'avance

thatcherisalive a écrit:Bonsoir à tous!
Petite question : quelqu'un sait-il quel nombre d'heures un stagiaire doit faire pour prétendre à une titularisation ? Je m'explique : je risque d'être en arrêt à cause d'une intervention que je ne nommerais pas et j'aimerais savoir si je risque de passer à côté de la titularisation si je suis absent trop longtemps... Quelqu'un a-t-il des pistes de réponse ?

Merci d'avance

"Autrement dit, une prolongation de stage est nécessaire si le stagiaire a bénéficié de plus de 36 jours de congés rémunérés pendant son année de stage.

Ex. n° 1 : Le (la) stagiaire qui a obtenu 20 jours de congé maladie – consécutifs ou non – au cours de l’année de stage, est normalement titularisé(e) à l’issue de l’année de stage. Il (elle) ne fait pas, dans ce cas précis, l’objet d’une prolongation de stage.

Ex. n° 2 : Le (la) stagiaire qui a obtenu 70 jours de congés de maladie – consécutifs ou non – au cours de l’année de stage, a une prolongation de stage de 70 jours - 36 jours soit 34 jours. Si le stagiaire enseignant est nommé le 1er septembre de l’année n, il sera titularisé à compter du 5 octobre de l’année n+1.

Ex. n°3 : L’octroi de 180 jours de congé longue maladie (sur avis du conseil médical), au cours de l’année de stage, entraîne une prolongation de stage de 180 jours - 36 jours soit 144 jours et conduit à titulariser l’agent le 22 janvier de l’année n+2 en cas de nomination le 1er septembre de l’année n"

Ca vient de là :

https://www.education.gouv.fr/media/156521/download

Merci

Bonjour à tous,

Vivant relativement mal le métier depuis mon entrée en stage en septembre et commençant à ressentir des effets sur ma santé j'ai décidé ce week-end d'arrêter les frais. J'ai obtenu de la part de mon médecin un arrêt de travail d'un mois et dans tous les cas je ne pense pas reprendre.

Y a-t-il un préavis à la démission même en cas d'arrêt de travail la précédant ?

Par ailleurs j'aurais plutôt envie de rester dans le secteur de l'EN mais à un poste administratif. Savez-vous si, avant démission et en tant que stagiaire, je pourrais éventuellement conserver le bénéfice de mon agrégation en empruntant une passerelle vers l'administration ?

Tu n’as pas intérêt à démissionner dans ce cas. Tu seras reclassé si tu ne démissionnes pas, mais en cas de démission, ce n’est pas possible. Bon courage.

À condition d'être titularisé…
Mais en effet les règles de classement font qu'un agrégé titulaire qui obtient un concours d'un corps A type touche souvent le pactole.

Bonjour,

Est-ce que parmi vous certains stagiaires de l'académie de Paris qui avaient de l'ancienneté ont "déjà" été (re)classés?

BendingLight a écrit:Bonjour,

Est-ce que parmi vous certains stagiaires de l'académie de Paris qui avaient de l'ancienneté ont "déjà" été (re)classés?

Bonsoir,

Oui en ce qui me concerne. J'ai eu mon nouvel échelon début novembre, j'attends juste que le salaire suive...

JfLeB a écrit:

Bonsoir,

Oui en ce qui me concerne. J'ai eu mon nouvel échelon début novembre, j'attends juste que le salaire suive...

Merci de ta réponse. Comment l'as tu su? As-tu reçu un arrêté de (re)classement? Par quelle voie?

Début novembre ça me semble tôt, je pense que c'est sur i-Prof.

j’ai été prévenu par ma gestionnaire et j’ai reçu par mail un arrêté de classement où tout le détail du calcul est précisé. iprof est à jour et ça rapporte des points pour les mouvements inter.