- PythagoreSauvageNiveau 1
C'est pas parce qu'il est marqué que les enseignants de classe préparatoire sont agrégés que l'agrégation externe du second degré, comme son nom l'indique, a été prévue pour pourvoir les classes prépas
- valleExpert spécialisé
PythagoreSauvage a écrit:C'est pas parce qu'il est marqué que les enseignants de classe préparatoire sont agrégés que l'agrégation externe du second degré, comme son nom l'indique, a été prévue pour pourvoir les classes prépas
En effet, ce n'est pas pour ça. C'est parce que les agrégés sont recrutés pour pouvoir enseigner en classe préparatoire que l'agrégation externe a été prévue pour pourvoir les classes prépas.
Je pense que tu te mêles les pinceaux avec l'appellation "agrégation du second degré", d'un côté (qui n'est pas reprise dans le texte des statuts, qui parlent de "professeurs agrégés", soit dit en passant, et qui nomme le recrutement "concours de l'agrégation" tout court), et avec l'histoire du corps, de l'autre, lié à la perte de pouvoir de l'Église dans l'enseignement.
Le fait est que le concours de l'agrégation recrute des enseignants qui enseignent statutairement là où @Mathador a indiqué, ça fait partie de leurs missions "de base" et le jury doit avoir ce type de tâches en tête au moment du recrutement.
- MathadorEmpereur
Le premier concours que tu proposes a existé pendant longtemps, on appelait ça le CAPES. Et une revalorisation digne de ce nom du corps des certifiés mettrait leur paye au-dessus de la paye actuelle des agrégés.Prof Nazaire a écrit:En gros le CAPES à un niveau L1 avec quelques emprunts à L2 en fin d'épreuve. On pourrait tout à fait envisager de scinder l'agreg en deux concours :
- Une agrégation de prof du secondaire (dénomination à trouver) avec le niveau L3 qui est bien suffisant pour prendre du recul sur les programmes du secondaire. On garde avec le delta de salaire actuel.
- Une « vraie agrégation » qui oouvre la porte aux CPGE, aux PRAGS et accessoirement sert de mesure pour les admissions au doctorat. Là on peut légitimement viser un niveau M2.
Le niveau L3 tu veux dire ? C'est déjà le cas pour l'agrégation externe de maths, dont les L3 des ENS et de Paris VI couvrent l'ensemble du programme (à part ce qui est déjà fait en prépa).Prof Nazaire a écrit:De plus, et vu le caractère extrèmement aléatoire de l'agreg (tomber sur un sujet mieux préparé que les autres ou répété à l'oral dans une prépa agreg), il serait plus sain de se baser sur le niveau acquis en M3 (ou L2 pour la vraie agreg).
_________________
"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- Prof NazaireNiveau 3
Bien d'accord. Toutefois il semble entré dans les mœurs qu'il y a une distinction, à tout le moins de salaire, entre les profs de secondaire avec ou sans agrégation. Même boulot, qualifications différentes. (ce qui en soi est discutable : passer l'agreg est superflu puisque les CAPES sont qualifiés pour le même boulot, mais valorisé sur 30 ans du point de vue salaire et charge de travail).Mathador a écrit:Le premier concours que tu proposes a existé pendant longtemps, on appelait ça le CAPES. Et une revalorisation digne de ce nom du corps des certifiés mettrait leur paye au-dessus de la paye actuelle des agrégés.Prof Nazaire a écrit:
En gros le CAPES à un niveau L1 avec quelques emprunts à L2 en fin d'épreuve. On pourrait tout à fait envisager de scinder l'agreg en deux concours :
- Une agrégation de prof du secondaire (dénomination à trouver) avec le niveau L3 qui est bien suffisant pour prendre du recul sur les programmes du secondaire. On garde avec le delta de salaire actuel.
- Une « vraie agrégation » qui oouvre la porte aux CPGE, aux PRAGS et accessoirement sert de mesure pour les admissions au doctorat. Là on peut légitimement viser un niveau M2.
Tu as raison, je me suis emmêlé les pinceaux. J'aurais dû écrire « il serait plus sain de se baser sur le niveau acquis en L3 (ou M2 pour la "vraie" agreg). »Mathador a écrit:Le niveau L3 tu veux dire ?Prof Nazaire a écrit:
De plus, et vu le caractère extrèmement aléatoire de l'agreg (tomber sur un sujet mieux préparé que les autres ou répété à l'oral dans une prépa agreg), il serait plus sain de se baser sur le niveau acquis en M3 (ou L2 pour la vraie agreg).
- MoyenCrocoNiveau 10
J'aurai pu rajouter : qui postes 5 messages d'affilé, mais rajouter floodeur aurait fait trop d'informations ...PythagoreSauvage a écrit:MoyenCroco a écrit:PythagoreSauvage est sûrement le 2eme compte d'un troll, étant donné qu'il ne semble pas être capable de lire ou de comprendre le français. Encore un coup du capes de LM...
tiens de l'ad personam et du mépris de classe, en un seul post bien joué
Le problème avec les M2 c'est que généralement, ils sont spécifiques dans certaines disciplines. Par exemple, en physique chimie, le master sera orienté vers une branche de la physique ou de la chimie... La où la L3 est encore généraliste.Tu as raison, je me suis emmêlé les pinceaux. J'aurais dû écrire « il serait plus sain de se baser sur le niveau acquis en L3 (ou M2 pour la "vraie" agreg). »
Avoir l'agrégation, c'est avoir un niveau polyvalent a un très bon niveau de L3, voir M1/M2 dans certaines branches...
- PythagoreSauvageNiveau 1
valle a écrit:PythagoreSauvage a écrit:C'est pas parce qu'il est marqué que les enseignants de classe préparatoire sont agrégés que l'agrégation externe du second degré, comme son nom l'indique, a été prévue pour pourvoir les classes prépas
En effet, ce n'est pas pour ça. C'est parce que les agrégés sont recrutés pour pouvoir enseigner en classe préparatoire que l'agrégation externe a été prévue pour pourvoir les classes prépas.
Je pense que tu te mêles les pinceaux avec l'appellation "agrégation du second degré", d'un côté (qui n'est pas reprise dans le texte des statuts, qui parlent de "professeurs agrégés", soit dit en passant, et qui nomme le recrutement "concours de l'agrégation" tout court), et avec l'histoire du corps, de l'autre, lié à la perte de pouvoir de l'Église dans l'enseignement.
Le fait est que le concours de l'agrégation recrute des enseignants qui enseignent statutairement là où @Mathador a indiqué, ça fait partie de leurs missions "de base" et le jury doit avoir ce type de tâches en tête au moment du recrutement.
pas entièrement d'accord vu que seulement une infime partie d'entre ces lauréats enseigne "effectivement" en classe prépa. Il est surtout beaucoup plus urgent de faire une refonte totale de l'enseignement des maths au lycée
- PythagoreSauvageNiveau 1
MoyenCroco a écrit:J'aurai pu rajouter : qui postes 5 messages d'affilé, mais rajouter floodeur aurait fait trop d'informations ...PythagoreSauvage a écrit:MoyenCroco a écrit:PythagoreSauvage est sûrement le 2eme compte d'un troll, étant donné qu'il ne semble pas être capable de lire ou de comprendre le français. Encore un coup du capes de LM...
tiens de l'ad personam et du mépris de classe, en un seul post bien joué
Le problème avec les M2 c'est que généralement, ils sont spécifiques dans certaines disciplines. Par exemple, en physique chimie, le master sera orienté vers une branche de la physique ou de la chimie... La où la L3 est encore généraliste.Tu as raison, je me suis emmêlé les pinceaux. J'aurais dû écrire « il serait plus sain de se baser sur le niveau acquis en L3 (ou M2 pour la "vraie" agreg). »
Avoir l'agrégation, c'est avoir un niveau polyvalent a un très bon niveau de L3, voir M1/M2 dans certaines branches...
J'aurai pu rajouter : qui postes 5 messages d'affilé, mais rajouter floodeur aurait fait trop d'informations ...
Vas-y continue ton ad personam surtout, répond bien sur la forme et pas sur le fond
- EnaecoVénérable
Et tout se pataquès pour quoi au fait ?
Pour conclure que le niveau de l'agreg est trop élevé (car une des missions qu'un agrégé devrait être capable d'assurer d'après les statuts ne devrait pas en faire partie) ? Dans un post sur le CAPES de maths ?
PythagoreSauvage : il est d'usage de se présenter dans la section appropriée du forum.
Pour conclure que le niveau de l'agreg est trop élevé (car une des missions qu'un agrégé devrait être capable d'assurer d'après les statuts ne devrait pas en faire partie) ? Dans un post sur le CAPES de maths ?
PythagoreSauvage : il est d'usage de se présenter dans la section appropriée du forum.
- PythagoreSauvageNiveau 1
Pas pour dire qu'il est trop élevé, pour dire qu'il n'est plus du tout en cohérence avec le niveau du lycée (et je vous vois venir, il n'est pas question d'abaisser son niveau ni de la supprimer... )
- EnaecoVénérable
Si on estime que l'agrégation doit permettre d'enseigner en classe prépa (même si ça reste exceptionnel), comme c'est le cas dans le statut, alors je ne suis pas sur que le niveau de l'agreg soit trop élevé.
Je t'invite à lire le rapport de jury qui pourrait répondre à certaines de tes questions.
Je t'invite à lire le rapport de jury qui pourrait répondre à certaines de tes questions.
- PythagoreSauvageNiveau 1
Bah comme tu l'as dit ça reste exceptionnel, 90% des lauréats enseignent en lycée, l'effort devrait être mis sur le gommage de niveau entre les prépas et les lycées. Et encore une fois, personne n'a dit que le niveau de l'agreg est trop élevé
- DanskaProphète
PythagoreSauvage a écrit:Bah comme tu l'as dit ça reste exceptionnel, 90% des lauréats enseignent en lycée, l'effort devrait être mis sur le gommage de niveau entre les prépas et les lycées. Et encore une fois, personne n'a dit que le niveau de l'agreg est trop élevé
Donc tu dis que le niveau au lycée est trop faible ? J'ai du mal à suivre moi aussi...
Et qu'est-ce que ces considérations viennent faire dans un topic qui parle initialement du ratio postes pourvus/postes ouverts au CAPES ?
- PythagoreSauvageNiveau 1
Non, mon post était une réponse à un commentaire que je trouvais déplacé par rapport à un prétendu attendu de niveau des lauréats de l'agrégation (voir plus haut). Surtout je pointais le décalage entre le niveau de l'agrégation et ce que vont affronter les lauréats en situation réelle
Mais oui le niveau du lycée en maths est actuellement trop bas, je crois que tout le monde sera plus ou moins d'accord avec ça
ET ce n'est pas moi qui ai lancé les discussions sur l'agrég, dans un topic consacré au CAPES de mathématiques
Mais oui le niveau du lycée en maths est actuellement trop bas, je crois que tout le monde sera plus ou moins d'accord avec ça
ET ce n'est pas moi qui ai lancé les discussions sur l'agrég, dans un topic consacré au CAPES de mathématiques
- MathadorEmpereur
10ème carton creux consécutif pour l'agrégation externe de maths: 338 admis sur 364 postes.
Ce n'est donc pas cela qui compensera le trou du CAPES, le ministère pouvant espérer récupérer au mieux quelques certifiés supplémentaires au titre de l'article 23 du décret n°72-581.
Ce n'est donc pas cela qui compensera le trou du CAPES, le ministère pouvant espérer récupérer au mieux quelques certifiés supplémentaires au titre de l'article 23 du décret n°72-581.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- MoyenCrocoNiveau 10
Sans oublier les admis a l'agrégation également admis au capes qui vont encore faire baisser les stats du capes...
Que dire des PE exerçant en maternelle ?!
Surtout je pointais le décalage entre le niveau de l'agrégation et ce que vont affronter les lauréats en situation réelle
Que dire des PE exerçant en maternelle ?!
- DanskaProphète
Prochain combat : élever le niveau en maternelle, une priorité nationale !
- TFSFidèle du forum
Danska a écrit:Prochain combat : élever le niveau en maternelle, une priorité nationale !
C'est exactement le 1er objectif affiché par la circulaire de rentrée pondue cette semaine... je ne blague pas !
- DanskaProphète
Sérieusement ? Oh punaise, je disais ça pour rire, moi...
- TFSFidèle du forum
La preuve:
https://www.education.gouv.fr/bo/22/Hebdo26/MENE2219299C.htm
C'est pourquoi l'année 2022-2023 doit être une année de maturation et d'un nouvel investissement pédagogique, matériel et humain autour de l'école maternelle et de la continuité entre les cycles 1 et 2, notamment au travers de la formation des professeurs.
https://www.education.gouv.fr/bo/22/Hebdo26/MENE2219299C.htm
- DanskaProphète
Tiens donc, des profs mal formés, ça faisait longtemps qu'on n'en avait pas entendu parler...
- User17557Niveau 5
En fait je ne comprends pas vraiment comment ça fonctionne. Mille postes. A priori, j'imagine que cela correspond au nombre de professeurs dont l’Éducation nationale a besoin. Cinq cents admis. Donc cinq cents postes ne seront pas couverts par des titulaires. Mais finalement, toutes les classes ou presque finissent malgré tout par avoir un prof à la rentrée... Donc qui sont ces profs qui couvrent le manque de titulaires ? Les profs suppléants ?
Si oui, quel est le problème ? C'est que les élèves se retrouvent avec des professeurs suppléants au lieu d'avoir de vrais professeurs titulaires ?
Est-ce que j'ai bien compris quel était le problème ? Comment le décririez-vous ?
Si oui, quel est le problème ? C'est que les élèves se retrouvent avec des professeurs suppléants au lieu d'avoir de vrais professeurs titulaires ?
Est-ce que j'ai bien compris quel était le problème ? Comment le décririez-vous ?
- TFSFidèle du forum
Exploser a écrit:En fait je ne comprends pas vraiment comment ça fonctionne. Mille postes. A priori, j'imagine que cela correspond au nombre de professeurs dont l’Éducation nationale a besoin. Cinq cents admis. Donc cinq cents postes ne seront pas couverts par des titulaires. Mais finalement, toutes les classes ou presque finissent malgré tout par avoir un prof à la rentrée... Donc qui sont ces profs qui couvrent le manque de titulaires ? Les profs suppléants ?
Si oui, quel est le problème ? C'est que les élèves se retrouvent avec des professeurs suppléants au lieu d'avoir de vrais professeurs titulaires ?
Est-ce que j'ai bien compris quel était le problème ? Comment le décririez-vous ?
Ce qui se passe, c'est que le nombre de classes diminue et que le nombre d'élèves par classe augmente... et les collègues se retrouvent à cheval sur deux ou trois établissements...
- EnaecoVénérable
Exploser a écrit:En fait je ne comprends pas vraiment comment ça fonctionne. Mille postes. A priori, j'imagine que cela correspond au nombre de professeurs dont l’Éducation nationale a besoin. Cinq cents admis. Donc cinq cents postes ne seront pas couverts par des titulaires. Mais finalement, toutes les classes ou presque finissent malgré tout par avoir un prof à la rentrée... Donc qui sont ces profs qui couvrent le manque de titulaires ? Les profs suppléants ?
Si oui, quel est le problème ? C'est que les élèves se retrouvent avec des professeurs suppléants au lieu d'avoir de vrais professeurs titulaires ?
Est-ce que j'ai bien compris quel était le problème ? Comment le décririez-vous ?
Plusieurs conséquences :
- on va chercher à embaucher massivement des contractuels (job-dating, leboncoin, ...) quit à fermer un peu les yeux sur le niveau.
- on va puiser du côté des titulaires sur zone de remplacement pour les affecter à l'année sur des postes non-pourvus, ce qui veut dire qu'ils ne seront plus disponibles pour pallier les absences des collègues
- des élèves n'auront tout simplement pas de prof pendant une partie de l'année (ou toute).
C'est déjà une réalité. Généralement, on essaye de répartir la misère et de combler là où ça râle le plus mais on ne tourne pas à plein régime de partout.
Indirectement, on met de plus en plus la pression pour que les collègues absorbent des heures supp'. En gonflant tous les services de 10% minimum, à l'échelle d'une équipe on arrive à se passer d'un BMP ou d'un poste.
Sinon, les néo-tit' ne représentent qu'une petite partie du total des enseignants. Le problème n'est pas le passage à vide d'une année (phénomène prévisible à cause de la réforme) mais d'une baisse régulière (qui devient elle aussi prévisible...)
- guzNiveau 5
@Enaeco à ces déficit récurrents de postes non pourvus au concours s'ajoutent les démissions qui ont quadruplées lors du dernier quinquennat (on de demande bien pourquoi...). Ce ne sont pas 3000 (1er et 2nd degrés) enseignants qui manquent cette année, mais plutôt 5 à 6000 ... Pour le moment ça tient avec un recrutement désespéré de contractuels, les heures sups, les fermetures de classes, mais jusqu'à quand ?
- Mateo_13Niveau 5
Bonjour,
et avec le passage de 9h à 18h hebdo pour les stagiaires ayant fait un master MEEF, un vrai scandale, que seul le président N. S. avait osé faire auparavant pendant 2 ans, avant de constater que c'était un désastre, et les stagiaires de cette époque en gardent une rancune tenace et justifiée.
Cordialement,
guz a écrit:Pour le moment ça tient avec un recrutement désespéré de contractuels, les heures sups, les fermetures de classes, mais jusqu'à quand ?
et avec le passage de 9h à 18h hebdo pour les stagiaires ayant fait un master MEEF, un vrai scandale, que seul le président N. S. avait osé faire auparavant pendant 2 ans, avant de constater que c'était un désastre, et les stagiaires de cette époque en gardent une rancune tenace et justifiée.
Cordialement,
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Mateo.
https://mathagora2022.wordpress.com/
- chmarmottineGuide spirituel
Exploser a écrit:En fait je ne comprends pas vraiment comment ça fonctionne. Mille postes. A priori, j'imagine que cela correspond au nombre de professeurs dont l’Éducation nationale a besoin. Cinq cents admis. Donc cinq cents postes ne seront pas couverts par des titulaires. Mais finalement, toutes les classes ou presque finissent malgré tout par avoir un prof à la rentrée... Donc qui sont ces profs qui couvrent le manque de titulaires ? Les profs suppléants ?
Si oui, quel est le problème ? C'est que les élèves se retrouvent avec des professeurs suppléants au lieu d'avoir de vrais professeurs titulaires ?
Est-ce que j'ai bien compris quel était le problème ? Comment le décririez-vous ?
J'imagine qu'il y a une sorte de réaction en cascade ... pas de prof titulaire, on mobilise des TZR. Plus de TZR, on va chercher des contractuels. Selon les endroits, ça passe ou ça casse ...
Faudrait aussi connaître l'évolution du nombre d'HSA par enseignant.
Et les refus de temps partiels, de dispo ...
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