- Mrs HobieGrand sage
J'arrive après la tempête de la problématique, et je dois reconnaître que je n'ai découvert ce mot que très récemment lors des TPE et que de petites profs sorties de l'IUFM/ESPE étaient mes co-accompagnantes ... Jamais entendu parler pendant mes études.
Et donc d'après mon grand Robert de la langue française, problématique est un adjectif = "qui prête à discussion" et un nom féminin, dans le domaine de la didactique, la problématique étant l'art, la science de poser les problèmes (je pense donc que tous les profs de maths sont super doués là dedans, vus la quantité de problèmes qu'ils posent ).
Ce à quoi mon dictionnaire ajoute " Ensemble des problèmes dont les éléments sont liés, champ théorique qui définit les positions relatives de problèmes liés".
Et je pense qu'on n'a pas le c** sorti des ronces avec le grantoral ! ou le GO, comme les Gentils Organisateurs du Club Med ?
Et donc d'après mon grand Robert de la langue française, problématique est un adjectif = "qui prête à discussion" et un nom féminin, dans le domaine de la didactique, la problématique étant l'art, la science de poser les problèmes (je pense donc que tous les profs de maths sont super doués là dedans, vus la quantité de problèmes qu'ils posent ).
Ce à quoi mon dictionnaire ajoute " Ensemble des problèmes dont les éléments sont liés, champ théorique qui définit les positions relatives de problèmes liés".
Et je pense qu'on n'a pas le c** sorti des ronces avec le grantoral ! ou le GO, comme les Gentils Organisateurs du Club Med ?
- MoonchildSage
Enaeco a écrit:J'espère que vous serez agréablement surpris par ce que proposeront les élèves...
Personnellement, je trouve cette épreuve intéressante sur plusieurs points.
S'exprimer correctement devant un jury sur une question qu'on a choisi (en faisant au moins semblant de s'y intéresser) et réfléchi en ayant fait un effort de synthèse me semble tout aussi important que de finir le sacro-saint programme (je pense que cet exercice sera tout aussi profitable aux élèves que les 10h de spé qui auront été perdues sur une période de l'année où l'épreuve sera déjà terminée)
Ca n'enlève pas tous les problèmes liés à son organisation, à commencer par le temps dont on dispose pour les préparer.
Là, je suis en désaccord quasi complet.
Bon, il est évident que 10h de cours de spé ne feront pas de miracle en comparaison de la somme de toute la scolarité qui les aura précédées mais, pour ceux qui iront vers les études scientifiques "dures" (je ne me prononce pas pour les autres domaines que je ne connais pas assez), cette épreuve n'apportera absolument rien qui ferait la différence et permettrait de compenser des bases mathématiques qui, très souvent chez les bacheliers actuels, sont beaucoup trop fragiles.
On peut toujours tenter de prétexter que ce Grand Oral est une préparation aux oraux de concours des grandes écoles ou aux travaux de recherche et soutenances de mémoire que certains feront plus tard dans leurs études, mais tout cela n'arrivera pas avant Bac+2 ou Bac+3 ; entre temps de l'eau aura coulé sous les ponts et, pour ceux qui n'auront pas été mis en échec dès la première année par leurs prérequis insuffisants, le petit entraînement superficiel de la fin de Terminale pèsera bien peu par rapport à la quantité de notions qu'ils auront étudiées depuis lors et à la maturité intellectuelle qu'ils seront censés avoir acquise pendant ces années (ainsi qu'à une préparation plus spécifique pour les oraux des concours). Comme avec les TPE auparavant, il ne restera rien de cet exercice qui consiste à singer un travail universitaire avant que les élèves n'aient les connaissances et le recul nécessaire pour pouvoir effectuer une telle tâche : il n'est pas simple de trouver un sujet bien calibré pour le niveau Terminale car ceux qui sont accessibles sont généralement assez pauvres tandis que n'importe quel sujet un peu élaboré en maths ou sciences physiques mobilisera des notions qui dépassent le programme du lycée et la qualité de la synthèse qu'en fera l'élève se mesurera à sa capacité à occulter les zones d'ombres et à bluffer le jury. Pour ce qui est du contenu, cette épreuve qui arrive trop précocement n'est qu'un simulacre.
Et même pour ce qui relève purement de la forme, qui peut s'imaginer que cette épreuve permettra véritablement d'apprendre à des jeunes à s'exprimer correctement devant un jury ? De ce point de vue l'oral de Français ou les oraux de LV ne sont pas moins formateurs tout en conservant un peu de cohérence grâce à un contenu mieux défini. Il ne faut pas oublier non plus que, comme enseignants (surtout en maths et en sciences), nous n'avons généralement pas de compétence spécifique pour apprendre aux élèves les règles de la communication et de l'art oratoire et que la seule leçon que nous pouvons transmettre à ce propos est que, si on veut être à l'aise devant un jury, il faut maîtriser le contenu de son exposé - or, ici, le contenu passe au second plan et, comme je l'écrivais plus haut, il est fort probable qu'un candidat soit amené à présenter un sujet qu'il ne peut tout simplement pas maîtriser à ce niveau de formation.
Quant à prétendre que l'élève aura choisi son sujet, c'est oublier qu'il ne s'agit que d'un choix contraint, en réalité un faux choix : là encore, c'est un simulacre car le candidat devra faire semblant de s'intéresser à sa question dans une sorte de prime au menteur le plus convaincant. Malgré le baratin très emphatique des documents pondus par diverses succursales du Ministère, ce Grand Oral n'est qu'un pur exercice scolaire qui est tout aussi artificiel qu'un oral de concours - l'exigence en moins - et qui n'est pas moins formaté puisque, même si elle souffre d'un cadrage exceptionnellement confus par certains aspects, l'épreuve est corsetée par un lot de contraintes arbitraires (calquées sur le Grand Oral de Sciences Po) qui, en plus, dans ce contexte, confinent à l'absurde. C'est un parfait exemple d'exercice scolaire mal pensé qui tente de dissimuler sa vacuité dans de vaines prétentions à être plus qu'un banal exercice scolaire.
Mrs Hobie a écrit:J'arrive après la tempête de la problématique, et je dois reconnaître que je n'ai découvert ce mot que très récemment lors des TPE et que de petites profs sorties de l'IUFM/ESPE étaient mes co-accompagnantes ... Jamais entendu parler pendant mes études.
Et donc d'après mon grand Robert de la langue française, problématique est un adjectif = "qui prête à discussion" et un nom féminin, dans le domaine de la didactique, la problématique étant l'art, la science de poser les problèmes (je pense donc que tous les profs de maths sont super doués là dedans, vus la quantité de problèmes qu'ils posent ).
Ce à quoi mon dictionnaire ajoute " Ensemble des problèmes dont les éléments sont liés, champ théorique qui définit les positions relatives de problèmes liés".
Et je pense qu'on n'a pas le c** sorti des ronces avec le grantoral ! ou le GO, comme les Gentils Organisateurs du Club Med ?
Il y a quelques années, à cause des TPE, j'avais eu une discussion avec un collègue d'Histoire autour de la notion de "problématique" qui me laissait déjà excessivement perplexe à l'époque ; à l'occasion de l'apparition du Grand Oral, j'ai par curiosité renouvelé cette discussion et cela a débouché exactement sur le même résultat que la première fois : ce collègue, qui est loin d'être un charlot, affirme être parfaitement à l'aise avec la notion de "problématique" qui selon lui est centrale dans le travail de sa discipline mais, quand je lui ai demandé de définir ce dont il s'agit, à chaque fois, il a admis avec un air embarrassé que ce n'est pas facile à faire et a tenté de me l'expliquer avec les exemples qui lui sont venus spontanément à l'esprit mais qui ne m'ont pas beaucoup éclairé. Sur la base de ces exemples, j'ai l'impression sans en avoir la certitude que, pour un historien, une "problématique" est en quelque sorte un angle d'approche d'un sujet plus vaste, que cela revient en définitive à circonscrire ce sujet afin de le rendre traitable dans un format académique - ce qui, au passage, me semblerait impliquer que le choix d'une "problématique" et l'évaluation de sa pertinence auraient presque inévitablement une dimension subjective. Si c'est bien ça, je ne vois pas vraiment ce qui pourrait être comparable en maths où ce sont les "outils" à notre disposition qui orientent la manière dont on va répondre - ou pas - à une question donnée (pour faire un parallèle un peu abrupt, c'est un peu comme si on demandait à un mécanicien de "problématiser" la réparation d'une panne de moteur) ; à la rigueur, on pourrait faire le parallèle avec la construction d'une nouvelle théorie mathématique mais, dans ce cas, la formalisation se fait progressivement et presque rétrospectivement après de nombreux tâtonnements alors que la "problématique" en Histoire me paraît devoir être posée a priori pour guider le travail.
- Cléopatra2Guide spirituel
Oui, c'est tout à fait ça. Et c'est déjà difficile à comprendre pour des étudiants, donc des lycéens... Mais malheureusement on nous oblige à leur dire que toute question est une problématique, donc ils reformulent les sujets sous forme de question. Le nouveau format d'épreuve de tronc commun s'appelle d'ailleurs question problématisée.
- uneodysséeNeoprof expérimenté
Pour ce qui est de ma matière, il arrive régulièrement (selon le sujet, selon le fonctionnement intellectuel de chacun aussi !) que la problématique soit affinée par le travail : on pose une hypothèse de travail, et c'est la réflexion qui va permettre de la dégrossir. En quelque sorte, la problématique est «livrée» en même temps que le plan. À leur niveau, c'est souvent quand on a élaboré toute la réflexion que l'on peut savoir précisément à quoi l'on répond ! Ce pourquoi d'ailleurs je me bats quand je vois des élèves se lancer dans la rédaction d'une introduction sans avoir fait tout ce travail : analyse du sujet, délimitation du questionnement, construction d'un plan détaillé sous forme de phrases complètes – avec des aller-retours entre ces trois démarches.
- ZakalweNiveau 9
En formation "jury de GO", on nous a garanti que nous ferions passer les oraux dans d'autres établissements. Et que le choix national serait "un seul prof d'une des deux spé" - sauf pour les LLCE qui auraient forcément un prof de leur langue et donc peut-être aussi le deuxième, mais qu'en tout état de cause nous n'étions pas censés leur fournir ce genre d'informations qui permettraient des stratégies d'évitement.
Pour la "problématique", ça n'apparait nulle part dans la définition de l'épreuve, de fait, et aucun formateur ne nous a orientés dans cette direction - bien au contraire à la limite puisqu'il ne faut absolument pas que ce soit "scolaire".
Pour le reste, l'état d'esprit est "vous nous ferez remonter après coup ce qui marche ou non, on définira les attendus de l'épreuve ensuite"...
Pour la "problématique", ça n'apparait nulle part dans la définition de l'épreuve, de fait, et aucun formateur ne nous a orientés dans cette direction - bien au contraire à la limite puisqu'il ne faut absolument pas que ce soit "scolaire".
Pour le reste, l'état d'esprit est "vous nous ferez remonter après coup ce qui marche ou non, on définira les attendus de l'épreuve ensuite"...
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INJUSTE Terme utilisé pour désigner les avantages dont on a essayé de spolier d'autres gens, mais sans y arriver. Voir aussi MALHONNETETE, DISSIMULATION, et TIENS J'AI DU POT
- lene75Prophète
Cléopatra2 a écrit:Mais malheureusement on nous oblige à leur dire que toute question est une problématique, donc ils reformulent les sujets sous forme de question. Le nouveau format d'épreuve de tronc commun s'appelle d'ailleurs question problématisée.
C'est vous les coupables ! Quelle galère pour leur faire comprendre que non, une question n'est pas une problématisation...
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- PrezboGrand Maître
Parmi les effets sympas du GO : on va pouvoir commencer à s'engueuler entre collègues de disciplines différentes.
- ben2510Expert spécialisé
N'essaie pas de faire croire que tu as attendu le grozoral pour ça !
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- TFSFidèle du forum
Ne serait-ce pas parce que on nous impose une épreuve unique alors que nos didactiques sont nettement distinctes...
Cela n'était-il pas prévisible ? (Cela pourrait être un sujet de GO, cela... problèmatisé... kkk)
Cela n'était-il pas prévisible ? (Cela pourrait être un sujet de GO, cela... problèmatisé... kkk)
- ProtonExpert
Ce GO aurait dû être adossé à la philo ... en maths cette épreuve n'a aucun intérêt.
- RuthvenGuide spirituel
Proton a écrit:Ce GO aurait dû être adossée à la philo ... en maths cette épreuve n'a aucun intérêt.
Merci, mais tu peux le garder ...
- ProtonExpert
T'es sûr ? C'est cadeau. J'insiste, on ne refuse pas un cadeau.
On aurait ainsi un écrit et un oral de français en 1ère et un écrit / oral de philo en term.
On aurait ainsi un écrit et un oral de français en 1ère et un écrit / oral de philo en term.
- VinZTDoyen
Ruthven a écrit:Proton a écrit:Ce GO aurait dû être adossée à la philo ... en maths cette épreuve n'a aucun intérêt.
Merci, mais tu peux le garder ...
Pourtant 5 minutes de paroles, c'est le temps moyen d'activité d'un philosophe, si j'en crois les pertinentes interventions de MM. Enthoven, Ferry et quelques autres à la tévé.
_________________
« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- ben2510Expert spécialisé
Qualifier ces individus de philosophes équivaut à qualifier Macron d'épidémiologiste (agrégé).
Ce n'est pas très gentil pour les philosophes, ni pour les épidémiologistes.
Ce n'est pas très gentil pour les philosophes, ni pour les épidémiologistes.
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- VinZTDoyen
Oh ça va, hein, si un prof de maths ne peut plus faire de second degré, ouvaton ?
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« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- chmarmottineGuide spirituel
Proton a écrit:T'es sûr ? C'est cadeau. J'insiste, on ne refuse pas un cadeau.
On aurait ainsi un écrit et un oral de français en 1ère et un écrit / oral de philo en term.
bonne idée. Je signe.
- TFSFidèle du forum
Je ne serais pas contre à ce qu'il y ait un oral dans chaque matière et qui repose sur un contenu disciplinaire solide, comme l'épreuve expérimentale en SPC et en SVT... en Maths, on doit pouvoir faire qqchose... soit expérimental, soit en démonstration...
En LV, il y en a aussi déjà... que l'on peut étoffer...
Le format actuel du GO pourrait être globalement conservé et amélioré pour les spécialités de sciences humaines...
Par contre 10 % du bac sur cette épreuve, cela restera un non-sens !
Quand je pense à tout le boulot que mes élèves de Maths Complémentaires se sont farci toute cette année pour quasiment rien voir tout à fait rien quand ils ont LV3 et Latin...), cela me dégoûte profondément...
En LV, il y en a aussi déjà... que l'on peut étoffer...
Le format actuel du GO pourrait être globalement conservé et amélioré pour les spécialités de sciences humaines...
Par contre 10 % du bac sur cette épreuve, cela restera un non-sens !
Quand je pense à tout le boulot que mes élèves de Maths Complémentaires se sont farci toute cette année pour quasiment rien voir tout à fait rien quand ils ont LV3 et Latin...), cela me dégoûte profondément...
- mamieprofEsprit éclairé
Mais tes élèves de maths complémentaires ont étoffé leurs dossiers Parcoursup ! Que ce ne soit qu'une option (à 18 h ou mercredi aprem chez nous) me sidérera toujours car c'est essentiel pour bon nombre de formations...
- ProtonExpert
Hahaha mais euh pourtant : "#BAC2021 : les mathématiques au cœur du nouveau lycée"
Remember, remember
Remember, remember
- VinZTDoyen
Ne jamais oublier.
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« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
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- MoonchildSage
TFS a écrit:Je ne serais pas contre à ce qu'il y ait un oral dans chaque matière et qui repose sur un contenu disciplinaire solide, comme l'épreuve expérimentale en SPC et en SVT... en Maths, on doit pouvoir faire qqchose... soit expérimental, soit en démonstration...
Une épreuve expérimentale en maths, on a déjà expérimenté ça il y a une dizaine d'année et, heureusement, ça a fait pschitt comme disait l'autre.
On pourrait essayer de transposer le format des kholles mais, en maths, ça s'apparente plus à un écrit au tableau qu'à un véritable oral et je ne vois pas trop l'intérêt de mobiliser des cohortes d'examinateurs durant deux semaines pour faire passer des oraux qui, dans notre discipline, n'apportent pas une évaluation plus fine qu'une épreuve écrite.
Il vaudrait mieux qu'on se limite à organiser des épreuves orales dans les disciplines qui s'y prêtent ; ce n'est vraiment pas une priorité en maths dans le secondaire et je ne vois donc pas pourquoi, à part peut-être par instinct grégaire, nous devrions nous joindre à une telle demande.
VinZT a écrit:Ruthven a écrit:Proton a écrit:Ce GO aurait dû être adossée à la philo ... en maths cette épreuve n'a aucun intérêt.
Merci, mais tu peux le garder ...
Pourtant 5 minutes de paroles, c'est le temps moyen d'activité d'un philosophe, si j'en crois les pertinentes interventions de MM. Enthoven, Ferry et quelques autres à la tévé.
J'ai le souvenir d'avoir lu quelque part que 5 minutes c'est aussi à peu près le temps moyen d'un rapport sexuel ; c'est sans doute une coïncidence.
- VinZTDoyen
Corrélation n'est pas causalité
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« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
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- PoupoutchModérateur
Dites, je me permets une question sérieuse : pour la 3e partie de l'épreuve (orientation), l'IPR de certains de mes collègues leur a dit de faire préparer un exposé de 4minutes environ, et de ne compter que sur 1 minute de questions.
Or, j'avais cru comprendre que cette dernière partie était en réalité un entretien avec le jury, qu'elle ne nécessitait pas un nouvel exposé.
Que dites vous, vous ?
Or, j'avais cru comprendre que cette dernière partie était en réalité un entretien avec le jury, qu'elle ne nécessitait pas un nouvel exposé.
Que dites vous, vous ?
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Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- ProtonExpert
Je ne vois pas pourquoi ils devraient prévoir 4 minutes de parlote. Ils préparent quoi dire et ensuite viendront effectivement des questions.
Cette partie n'est vraiment pas cadrée du tout en terme de temps ... peut-être que certains ont eu d'autres infos ?
J'ai l'impression que tous les formateurs / IPR ont leur propre interprétation. Ca prouve la clarté du bousin.
Cette partie n'est vraiment pas cadrée du tout en terme de temps ... peut-être que certains ont eu d'autres infos ?
J'ai l'impression que tous les formateurs / IPR ont leur propre interprétation. Ca prouve la clarté du bousin.
- IphigénieProphète
Je pense que l’idée générale est de laisser l’orateur s’exprimer pleinement sans trop le brider par des questions, surtout précises, pour pouvoir laisser se déployer la beauté de la parole...
Sur le modèle des grands oraux de Blanquer: vous les trouvez réussis finalement? À combien évaluez vous ses interventions? Et ses problematiques? Et ses réponses aux questions posées ?
De la difficulté d’évaluer un oral?...
Sur le modèle des grands oraux de Blanquer: vous les trouvez réussis finalement? À combien évaluez vous ses interventions? Et ses problematiques? Et ses réponses aux questions posées ?
De la difficulté d’évaluer un oral?...
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