- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Je signale cette captation
https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000004300/le-malade-imaginaire.html
Il suffit de se créer un compte pour y avoir accès. On peut aussi créer un compte pour les élèves. C'est chapitré et il y a le texte en regard!
https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000004300/le-malade-imaginaire.html
Il suffit de se créer un compte pour y avoir accès. On peut aussi créer un compte pour les élèves. C'est chapitré et il y a le texte en regard!
- SatelliteNiveau 9
Écusette de Noireuil a écrit:Je signale cette captation
https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000004300/le-malade-imaginaire.html
Il suffit de se créer un compte pour y avoir accès. On peut aussi créer un compte pour les élèves. C'est chapitré et il y a le texte en regard!
Merci beaucoup. (Mon chapitre n'est pas pour tout de suite, mais j'y pense de loin).
_________________
Notre âme est transitive. Il lui faut un objet, qui l'affecte, comme son complément direct, aussitôt. [Francis Ponge]
- angelusNiveau 1
Bonsoir à tous,
Je suis parachuté en lycée pour un remplacement et je travaille sur Le Malade imaginaire avec mes premières.
J'aimerais vous demander votre éclairage sur le début de la scène 11, acte III. Quel sens donnez-vous aux propos de Toinette et à la réponse d'Argan ? J'y vois une allusion grivoise : Toinette donne le change devant Argan en prétextant que le "faux médecin" a essayé de la tripoter. Qu'en pensez-vous ?
Je suis parachuté en lycée pour un remplacement et je travaille sur Le Malade imaginaire avec mes premières.
J'aimerais vous demander votre éclairage sur le début de la scène 11, acte III. Quel sens donnez-vous aux propos de Toinette et à la réponse d'Argan ? J'y vois une allusion grivoise : Toinette donne le change devant Argan en prétextant que le "faux médecin" a essayé de la tripoter. Qu'en pensez-vous ?
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Oui,c'est tout à fait le sous entendu.
_________________
" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- HapoNiveau 4
Bonjour à tous,
Je suis en préparation d'une séquence sur le Malade Imaginaire, et je me pose la question des textes à choisir pour le parcours. "Spectacle et comédie", je trouve cela extrêmement vaste, à la limite du fourre-tout.
Dans les éditions scolaires de cette œuvre, il y a à peu près de tout dans les textes complémentaires proposés, pourvu que ce soit de la comédie (ça va de Beaumarchais à Marivaux, Ionesco, Labiche, Musset, Jarry et autres, et même thématiquement il y a peu de continuité).
Le côté spectacle m'interroge particulièrement. Faut-il l'interpréter comme "la comédie est un spectacle" (auquel cas il faudrait privilégier des extraits spectaculaires, on peut penser aux pièces à machines) ou comme "dans la comédie, les personnages jouent un spectacle" (comme par exemple Toinette qui imite un médecin, ou des scènes avec une double énonciation, voire des scènes de rupture du quatrième mur comme chez Pirandello) ?
J'ai ainsi pensé à la scène de l'Ile des Esclaves dans laquelle Cléanthis imite Euphrosine et la tourne en dérision, en imaginant la travailler sous l'angle "Cléanthis se donne en spectacle". J'ai aussi pensé à la scène de fin d'Ubu Roi, dans laquelle Ubu et sa femme (parmi d'autres personnages) sont dans une tempête en pleine mer, en insistant cette fois sur le côté spectaculaire de la scène (en plus, évidemment, du comique de parole qui est très présent), avec le théâtre qui a aussi pour mission d'être un spectacle donc de divertir et de donner à voir.
Mais j'ai peur d'être hors-sujet dans ces deux choix, faute de clairement délimiter le sujet.
Merci par avance pour votre aide et vos conseils.
Je suis en préparation d'une séquence sur le Malade Imaginaire, et je me pose la question des textes à choisir pour le parcours. "Spectacle et comédie", je trouve cela extrêmement vaste, à la limite du fourre-tout.
Dans les éditions scolaires de cette œuvre, il y a à peu près de tout dans les textes complémentaires proposés, pourvu que ce soit de la comédie (ça va de Beaumarchais à Marivaux, Ionesco, Labiche, Musset, Jarry et autres, et même thématiquement il y a peu de continuité).
Le côté spectacle m'interroge particulièrement. Faut-il l'interpréter comme "la comédie est un spectacle" (auquel cas il faudrait privilégier des extraits spectaculaires, on peut penser aux pièces à machines) ou comme "dans la comédie, les personnages jouent un spectacle" (comme par exemple Toinette qui imite un médecin, ou des scènes avec une double énonciation, voire des scènes de rupture du quatrième mur comme chez Pirandello) ?
J'ai ainsi pensé à la scène de l'Ile des Esclaves dans laquelle Cléanthis imite Euphrosine et la tourne en dérision, en imaginant la travailler sous l'angle "Cléanthis se donne en spectacle". J'ai aussi pensé à la scène de fin d'Ubu Roi, dans laquelle Ubu et sa femme (parmi d'autres personnages) sont dans une tempête en pleine mer, en insistant cette fois sur le côté spectaculaire de la scène (en plus, évidemment, du comique de parole qui est très présent), avec le théâtre qui a aussi pour mission d'être un spectacle donc de divertir et de donner à voir.
Mais j'ai peur d'être hors-sujet dans ces deux choix, faute de clairement délimiter le sujet.
Merci par avance pour votre aide et vos conseils.
- eliamEsprit éclairé
Je pense que tu cernes bien le parcours : il y a le côté spectaculaire et aussi le théâtre dans le théâtre.
- HapoNiveau 4
Super, merci. Ça me rassure.
Du coup, tu juges intéressant de choisir ces deux textes en complémentaires, qui explorent les deux aspects ?
Du coup, tu juges intéressant de choisir ces deux textes en complémentaires, qui explorent les deux aspects ?
- NLM76Grand Maître
Tiens. Pourquoi dites-vous cela ? Cela me paraît vraiment tiré par les cheveux.eliam a écrit:Je pense que tu cernes bien le parcours : il y a le côté spectaculaire et aussi le théâtre dans le théâtre.
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- MimicracraFidèle du forum
NLM76 a écrit:Tiens. Pourquoi dites-vous cela ? Cela me paraît vraiment tiré par les cheveux.eliam a écrit:Je pense que tu cernes bien le parcours : il y a le côté spectaculaire et aussi le théâtre dans le théâtre.
La scène où Louison fait la morte et celle où Argan fait le mort devant Béline puis devant Angélique peuvent être considérées comme du théâtre dans le théâtre.
- NLM76Grand Maître
Certes.
Mais cela implique-t-il que "Spectacle et comédie" signifie en partie "théâtre dans le théâtre" ?
Mais cela implique-t-il que "Spectacle et comédie" signifie en partie "théâtre dans le théâtre" ?
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Le côté spectacle est vraiment présent dans les intermèdes de la comédie-ballet, même si de nombreuses mises en scène les laissent de côté de nos jours, ainsi que dans la partie chantée entre Angélique et Cléante. L'aspect théâtre dans le théâtre peut être pris en compte aussi mais à mon avis l'essentiel de l'aspect "spectacle total " est bien dans les chants et danses qui rythment et clôturent la pièce.
_________________
" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- NLM76Grand Maître
Oui, l'intitulé "spectacle et comédie" est lié à la présence des intermèdes et du prologue. Mais la question spectaculaire se pose aussi à l'intérieur de la partie proprement "comique", c'est-à-dire au sein des actes dialogués.
D'accord, c'est vrai qu'il y a une sorte de réflexion sur le caractère spectaculaire du théâtre quand il y a du théâtre dans le théâtre. Ainsi dans la scène de la thèse, Thomas Diafoirus se donne-t-il en spectacle aux autres personnages, qui le regardent effarés, que Béralde est spectateur de la comédie que joue Toinette à Argan. C'est vrai aussi que les intermèdes constituent parfois comme un récit enchâssé, et en particulier le second intermède, puisque ce spectacle est regardé par les personnages de la comédie. Autrement dit, il y a question spectaculaire parce qu'on voit regarder. Autrement dit, il y a ici à réfléchir sur "spectacle et comédie" parce qu'il y a "spectacle dans le spectacle" : ce qui nous intéresse quant à la question "spectacle et comédie" c'est que des personnages se fassent spectateurs, et que nous les regardons regarder.
Mais il me semble que la question spectaculaire implique aussi essentiellement la partie comique : il s'agit d'observer l'aspect proprement théâtral du comique, comment ce qu'on voit est articulé avec ce qui est dit. Par exemple "spectacle et comédie" pourrait s'étudier dans des passages où un personnage fait un récit, et où le comique viendrait en partie de ce que voient les spectateurs par le pouvoir de représentation de la parole. Je pense ici par exemple aux récits que font Sosie et Mercure de la bataille dans Amphitryon. Il faudrait regarder s'il y a un ou deux éléments dans ce sens dans Le malade imaginaire. Surtout, la question apparaît naturellement quand le comique ne se dévoile qu'à travers la gestuelle des acteurs, et non par le seul comique de mots. Autrement dit, ce parcours me semble autoriser à s'intéresser à ce qui fait l'essence de la comédie : l'articulation entre le texte et sa représentation sur scène, à l'articulation entre le texte d'une part et, d'autre part, la scénographie et la gestuelle. En somme, dans "Spectacle et comédie", j'entends bien "ce qu'on peut ajouter à ce qui est d'habitude de la comédie pour en faire davantage un spectacle, comme chants et surtout danses, comme la machinerie et les effets spéciaux", mais aussi "ce qui s'ajoute au texte pour que la comédie soit proprement théâtrale". On pourrait alors, pour le "parcours", penser à toutes sortes de scènes virevoltantes de Beaumarchais, comme celle où Chérubin se cache sous un fauteuil... et, évidemment, à peu près tout Molière. On pourrait sans doute penser aussi à Feydeau et Labiche... Mais bon, ça me lasse vite, Feydeau et Labiche. Le problème de la comédie proprement comique, c'est qu'après Molière, en français, on n'a pas grand-chose à se mettre sous la dent.
D'accord, c'est vrai qu'il y a une sorte de réflexion sur le caractère spectaculaire du théâtre quand il y a du théâtre dans le théâtre. Ainsi dans la scène de la thèse, Thomas Diafoirus se donne-t-il en spectacle aux autres personnages, qui le regardent effarés, que Béralde est spectateur de la comédie que joue Toinette à Argan. C'est vrai aussi que les intermèdes constituent parfois comme un récit enchâssé, et en particulier le second intermède, puisque ce spectacle est regardé par les personnages de la comédie. Autrement dit, il y a question spectaculaire parce qu'on voit regarder. Autrement dit, il y a ici à réfléchir sur "spectacle et comédie" parce qu'il y a "spectacle dans le spectacle" : ce qui nous intéresse quant à la question "spectacle et comédie" c'est que des personnages se fassent spectateurs, et que nous les regardons regarder.
Mais il me semble que la question spectaculaire implique aussi essentiellement la partie comique : il s'agit d'observer l'aspect proprement théâtral du comique, comment ce qu'on voit est articulé avec ce qui est dit. Par exemple "spectacle et comédie" pourrait s'étudier dans des passages où un personnage fait un récit, et où le comique viendrait en partie de ce que voient les spectateurs par le pouvoir de représentation de la parole. Je pense ici par exemple aux récits que font Sosie et Mercure de la bataille dans Amphitryon. Il faudrait regarder s'il y a un ou deux éléments dans ce sens dans Le malade imaginaire. Surtout, la question apparaît naturellement quand le comique ne se dévoile qu'à travers la gestuelle des acteurs, et non par le seul comique de mots. Autrement dit, ce parcours me semble autoriser à s'intéresser à ce qui fait l'essence de la comédie : l'articulation entre le texte et sa représentation sur scène, à l'articulation entre le texte d'une part et, d'autre part, la scénographie et la gestuelle. En somme, dans "Spectacle et comédie", j'entends bien "ce qu'on peut ajouter à ce qui est d'habitude de la comédie pour en faire davantage un spectacle, comme chants et surtout danses, comme la machinerie et les effets spéciaux", mais aussi "ce qui s'ajoute au texte pour que la comédie soit proprement théâtrale". On pourrait alors, pour le "parcours", penser à toutes sortes de scènes virevoltantes de Beaumarchais, comme celle où Chérubin se cache sous un fauteuil... et, évidemment, à peu près tout Molière. On pourrait sans doute penser aussi à Feydeau et Labiche... Mais bon, ça me lasse vite, Feydeau et Labiche. Le problème de la comédie proprement comique, c'est qu'après Molière, en français, on n'a pas grand-chose à se mettre sous la dent.
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- NLM76Grand Maître
Ce matin, en expliquant les passages de la dissection divertissante et des aptitudes requises pour le mariage et la propagation, j'ai pensé à cette affaire : le spectacle de la dissection est bien suscité par les mots de Thomas Diafoirus et de Toinette. Quant aux "qualités requises", c'est bien le spectacle très inconvenant des aptitudes génitales de Thomas auquel on préfère ne pas penser à ce moment-là qui crée le comique.
J'ai placé, pour mes élèves, et pour qui ça peut être utile, quelques documents de travail sur Le malade imaginaire :
J'ai placé, pour mes élèves, et pour qui ça peut être utile, quelques documents de travail sur Le malade imaginaire :
- https://www.lettresclassiques.fr/tag/le-malade-imaginaire/
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- TopkapiNiveau 1
Avez-vous déjà proposé un vaudeville en cursive ?
Y a-t-il un truc qui fonctionne bien ?
Y a-t-il un truc qui fonctionne bien ?
- The PaperHabitué du forum
Hôtel du libre échange de Feydeau, les élèves avaient beaucoup apprécié les extraits vus en classe mais n'avaient pas aimé lire la pièce à cause des nombreuses didascalies.
Bataille de dames d'Eugène Scribe, les élèves aiment bien (environ un tiers de la classe le présente au bac blanc). Comme chez Molière, on peut à la fois parler du divertissement et de la satire sociale.
Bataille de dames d'Eugène Scribe, les élèves aiment bien (environ un tiers de la classe le présente au bac blanc). Comme chez Molière, on peut à la fois parler du divertissement et de la satire sociale.
_________________
- Publicité:
- Etude de "Manon Lescaut" https://www.amazon.fr/dp/B0B8BM227F
"Cahier de Douai" + étude https://www.amazon.fr/dp/B0CF4CWMPH
Etude du Menteur de Corneille : https://www.amazon.fr/dp/B0DG31W66J
Etude du "Malade imaginaire" https://www.amazon.fr/dp/B08D54RDYF
Etude de la "Déclaration des droits de la femme" : https://www.amazon.fr/dp/B09B7DHTXP
Etude de "La princesse de Clèves" : https://www.amazon.fr/dp/B07VWGR4L4
"Bataille de dames" + étude https://www.amazon.fr/dp/B09FC7XCW4
"Les Romanesques" + étude : https://www.amazon.fr/dp/B0DC78GZR9
"Bisclavret" et "Le laüstic" + dossier sur le loup https://www.amazon.fr/dp/B0CGL84111
- NLM76Grand Maître
Vous connaissiez le théâtre Molière Sorbonne ? Ca a l'air vraiment excellent ! Dommage que je n'ai pas encore vu ça.
- https://www.facebook.com/theatremolieresorbonne/?locale=fr_FR
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- NLM76Grand Maître
Des sujets de dissertation ici. Si vous en avez d'autres sous la main, ça m'intéresse.
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- NLM76Grand Maître
Pas trop le temps de faire un corrigé pour le sujet que j'ai donné à mes élèves, tiré des annales. Quelqu'un a regardé sur le net pour voir si on trouve quelque chose de potable ?Il s'agit du sujet "le spectacle est-il indispensable à la comédie ?".
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- roxanneOracle
Ca nécessite d'avoir vu quelques mises en scène, non?
- NLM76Grand Maître
Je pense que non. Je n'ai jamais vu de mise en scène du Malade imaginaire, et je saurais faire une telle dissertation.roxanne a écrit:Ca nécessite d'avoir vu quelques mises en scène, non?
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- NoukaExpert
Bonjour,
Je suis toujours engluée dans les explications linéaires de mon fils. Je suis maintenant sur la dernière de ce parcours : Le Jeu de l’amour et du hasard, acte I scène 7, premiere rencontre entre Silvia et Dorante où ils sont déguisés tous les 2.
Est-ce que quelqu’un aurait analysé cette scène et pourrait me donner quelques pistes ?
Merci beaucoup
Je suis toujours engluée dans les explications linéaires de mon fils. Je suis maintenant sur la dernière de ce parcours : Le Jeu de l’amour et du hasard, acte I scène 7, premiere rencontre entre Silvia et Dorante où ils sont déguisés tous les 2.
Est-ce que quelqu’un aurait analysé cette scène et pourrait me donner quelques pistes ?
Merci beaucoup
_________________
En disponibilité
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum