- LilypimsGrand sage
Merci, Véronique.
J'ai beaucoup de mal à faire confiance à ma sensibilité de lecteur depuis que je suis prof, je ne sais pas pourquoi, mais j'aimerais être certaine de tout ce que je dis aux élèves.
J'ai beaucoup de mal à faire confiance à ma sensibilité de lecteur depuis que je suis prof, je ne sais pas pourquoi, mais j'aimerais être certaine de tout ce que je dis aux élèves.
- Invité5Expert
V.Marchais a écrit:Tinkerbell a écrit:J'ai une question (et j'ai honte de la poser ).
Dit-on "je me porte candidat à un poste de "
" je me porte candidat pour un poste de"
"Je me porte candidat au poste de "
Dernière phrase, Tinker.
À quoi postules-tu ?
Merci beaucoup Véro. C'est M.Tinker qui postule en CPGE
- mathmaxExpert spécialisé
Dit-on " je me suis fait renvoyer ", " je me suis faite renvoyer", " je me suis faite renvoyée", " je me suis fait renvoyé " ? Comme vous le voyez, je suis en plein doute ( Si ça se trouve, j'ai proposé toutes les combinaisons sauf la bonne ) ! Merci d'avance de vos réponses et explications.
- V.MarchaisEmpereur
Je me suis fait renvoyer.
(fait suivi de l'infinitif est invariable.)
(fait suivi de l'infinitif est invariable.)
- Thalia de GMédiateur
Les participes passés de faire et laisser suivis d'un infinitif sont invariables
Je me suis laissé dire que... Je me suis fait asticoter par mon chef.
Je me suis laissé dire que... Je me suis fait asticoter par mon chef.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- mathmaxExpert spécialisé
Merci beaucoup. C'est ce que j'écrivais sans me poser de question jusqu'à peu, mais j'ai lu à plusieurs reprises des formulations fautives, et donc j'étais perdue.
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« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- AlcyoneFidèle du forum
Problème de conjugaison et de concordance des temps.
Dans un récit, un élève écrit :
"J'aurais cru que depuis le temps, la fontaine serait détruite."
Je sens que cela ne va pas, mais je n'arrive pas à corriger.
Le sens est le suivant : le personnage croyait - avant de voir la fontaine - qu'elle avait été détruite après tout ce temps passé. Le conditionnel employé me semble intéressant. Mais je pense que le second verbe est mal conjugué.
Dans un récit, un élève écrit :
"J'aurais cru que depuis le temps, la fontaine serait détruite."
Je sens que cela ne va pas, mais je n'arrive pas à corriger.
Le sens est le suivant : le personnage croyait - avant de voir la fontaine - qu'elle avait été détruite après tout ce temps passé. Le conditionnel employé me semble intéressant. Mais je pense que le second verbe est mal conjugué.
- HermionyGuide spirituel
Alcyone a écrit:Problème de conjugaison et de concordance des temps.
Dans un récit, un élève écrit :
"J'aurais cru que depuis le temps, la fontaine serait détruite."
Je sens que cela ne va pas, mais je n'arrive pas à corriger.
Le sens est le suivant : le personnage croyait - avant de voir la fontaine - qu'elle avait été détruite après tout ce temps passé. Le conditionnel employé me semble intéressant. Mais je pense que le second verbe est mal conjugué.
"que la fontaine aurait été détruite"?
- LilypimsGrand sage
L'utilisation de l'indicatif après Comment se fait-il que" est-elle correcte? Ou le subjoncif seul est-il permis?
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- ClarinetteGrand Maître
Seul le subjonctif est admis.
- LilypimsGrand sage
Merci, Clarinette.
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- ClarinetteGrand Maître
- LédisséEsprit sacré
lilypims a écrit:L'utilisation de l'indicatif après Comment se fait-il que" est-elle correcte? Ou le subjoncif seul est-il permis?
J'ai beau chercher, je n'arrive pas à trouver d'exemple en utilisant l'indicatif.
Après recherche (rapide, hein) dans Grevisse, ça a l'air de correspondre au § 1002bis sur le mode dans les propositions substantives introduites par que : elles se mettent "au subjonctif si le fait est simplement envisagé dans la pensée" (ex. "Le fait que nous ayons nos plus gros chagrins avec les femmes qui ne sont pas notre genre ne tient pas seulement à cette dérision du destin..." Proust, ou encore "D'où vient [= à peu près "Comment se fait-il"] qu'une parole, un geste puissent faire des ronds à n'en plus finir, dans une destinée ?", Saint-Exupéry) (non je n'ai pas fait exprès de prendre deux exemples se fermant sur "destin/destinée"... c'est le hasard, enfin le destin...).
C'est ce qui me semble correspondre le mieux (avec "Comment se fait-il que", on met le fait dont on parle, sinon en doute, du moins en question, d'où l' "éloignement" par l'emploi du subjonctif plutôt que l'indicatif : "le fait est simplement envisagé dans la pensée"), à confirmer ?
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Life is what happens to you while you're making other plans. John Lennon
Life is not governed by will or intention. Life is a question of nerves, and fibres, and slowly built-up cells in which thought hides itself and passion has its dreams. Oscar Wilde
Bien que femme, je me suis permis_ / demandé_ / rendu_ compte / fait_ désirer... etc._
- jonjon71Fidèle du forum
Coucou, me revoilà!
Quelle orthographe est correcte dans la dernière phrase de cet énoncé ?
"On considère un triangle UVW tel que UV = 4,5 cm ; UW = 6 cm et VW = 7,5 cm. Constuire le triangle UVW en vraie grandeur."
ou
Constuire le triangle UVW en vraies grandeurs."
Merci !
Quelle orthographe est correcte dans la dernière phrase de cet énoncé ?
"On considère un triangle UVW tel que UV = 4,5 cm ; UW = 6 cm et VW = 7,5 cm. Constuire le triangle UVW en vraie grandeur."
ou
Constuire le triangle UVW en vraies grandeurs."
Merci !
- ClarinetteGrand Maître
Déjà, j'écrirais "constRuire" !
Sinon, que dirais-tu de "grandeur réelle" ?
Sinon, que dirais-tu de "grandeur réelle" ?
- dassonNiveau 5
Construire un triangle UVW tel que UV = 4,5 cm ; UW = 6 cm et VW = 7,5 cm.
Yaurait des fausses grandeurs et des vraies comme des fausses perruques et des vraies ?
Yaurait des fausses grandeurs et des vraies comme des fausses perruques et des vraies ?
- ClarinetteGrand Maître
Oui, cette formulation est bien plus simple.
- jonjon71Fidèle du forum
Merci pour la réponse cela m'a permis de voir qu'ici on emploie le terme de grandeur au singulier.
- retraitéeDoyen
jonjon71 a écrit:Coucou, me revoilà!
Quelle orthographe est correcte dans la dernière phrase de cet énoncé ?
"On considère un triangle UVW tel que UV = 4,5 cm ; UW = 6 cm et VW = 7,5 cm. Constuire le triangle UVW en vraie grandeur."
ou
Constuire le triangle UVW en vraies grandeurs."
Merci !
Moi, je dirais "en grandeur réelle"
Vrai et faux concernent les jugements.
- MufabGrand Maître
"Tracer ce triangle.", ça ne suffirait pas ?
- FilnydarNiveau 9
Une autre :
Dois-je écrire "la matrice privée de sa première et sa dernière ligne"
ou "la matrice privée de sa première et sa dernière lignes" ?
Dois-je écrire "la matrice privée de sa première et sa dernière ligne"
ou "la matrice privée de sa première et sa dernière lignes" ?
- ClarinetteGrand Maître
Je dirais "de ses première et dernière lignes".
- DhaiphiGrand sage
Oui.Filnydar a écrit: "la matrice privée de sa première et sa dernière ligne"
Et pour le triangle : taille réelle ou encore échelle 1.
_________________
De toutes les écoles que j’ai fréquentées, c’est l’école buissonnière qui m’a paru la meilleure.
[Anatole France]
J'aime les regretteurs d'hier qui voudraient changer le sens des rivières et retrouver dans la lumière la beauté d'Ava Gardner.
[Alain Souchon]
- V.MarchaisEmpereur
J'ai eu question de grammaire qui me tarabuste depuis un bon moment sans que j'aie trouvé de réponse. J'ai demandé ailleurs, personne n'a répondu, alors je tente ma chance ici.
Soit le dialogue :
- Je cherche un jupe bleue.
- J'en ai vu une magnifique aux Galeries Machin.
(Vous ne devinerez jamais de quelle grande oeuvre sont tirées ces répliques définitives.)
Je me pose des questions sur les fonctions des adjectifs dans la deuxième réplique.
Bon, pour "magnifique", je pense que c'est attribut du COD.
Mais ce "une" qui traîne, on l'analyse comment ?
Avec le pronom "en", l'adjectif numéral qui joue le rôle de déterminant dans le GN se retrouve éjecté du pronom pour conserver l'information sur le nombre. On en fait quoi, du coup ? J'ai cherché en vain dans mes différentes grammaires, mais j'avoue mal me dépatouiller avec les index (je ne sais jamais à quelle entrée chercher).
Je réfléchis tout haut.
Je voudrais des pommes. > J'en voudrais.
Pas de problème pour l'analyse S+V+COD.
Je voudrais cinq pommes. > J'en voudrais cinq.
Je voudrais cinq grosses pommes. > J'en voudrais cinq grosses.
(Calmez-vous, j'ai pas écrit deux.)
On extrait de la pronominalisation ce qui constitue le propos, une information trop importante pour être passée sous silence dans le pronom : quantité, taille, couleur, etc. selon les exemples.
Pour l'adjectif qualificatif, il renvoie au pronom par l'intermédiaire du verbe et ne se pronominalise manifestement pas avec le nom qu'il qualifie : c'est un attribut (du COD).
Par analogie, j'ai envie de faire la même analyse de l'adjectif numéral, qui est après tout un adjectif avant tout, la preuve.
Mais j'aimerais bien que de meilleurs grammairiens valident cette analyse, ou l'invalident en m'expliquant ce qui ne va pas dedans et comment il faut alors analyser ce foutu numéral qui se balade dans un tas de phrases françaises.
Nicolas ? Quelqu'un d'autre ?
Merci d'avance.
Soit le dialogue :
- Je cherche un jupe bleue.
- J'en ai vu une magnifique aux Galeries Machin.
(Vous ne devinerez jamais de quelle grande oeuvre sont tirées ces répliques définitives.)
Je me pose des questions sur les fonctions des adjectifs dans la deuxième réplique.
Bon, pour "magnifique", je pense que c'est attribut du COD.
Mais ce "une" qui traîne, on l'analyse comment ?
Avec le pronom "en", l'adjectif numéral qui joue le rôle de déterminant dans le GN se retrouve éjecté du pronom pour conserver l'information sur le nombre. On en fait quoi, du coup ? J'ai cherché en vain dans mes différentes grammaires, mais j'avoue mal me dépatouiller avec les index (je ne sais jamais à quelle entrée chercher).
Je réfléchis tout haut.
Je voudrais des pommes. > J'en voudrais.
Pas de problème pour l'analyse S+V+COD.
Je voudrais cinq pommes. > J'en voudrais cinq.
Je voudrais cinq grosses pommes. > J'en voudrais cinq grosses.
(Calmez-vous, j'ai pas écrit deux.)
On extrait de la pronominalisation ce qui constitue le propos, une information trop importante pour être passée sous silence dans le pronom : quantité, taille, couleur, etc. selon les exemples.
Pour l'adjectif qualificatif, il renvoie au pronom par l'intermédiaire du verbe et ne se pronominalise manifestement pas avec le nom qu'il qualifie : c'est un attribut (du COD).
Par analogie, j'ai envie de faire la même analyse de l'adjectif numéral, qui est après tout un adjectif avant tout, la preuve.
Mais j'aimerais bien que de meilleurs grammairiens valident cette analyse, ou l'invalident en m'expliquant ce qui ne va pas dedans et comment il faut alors analyser ce foutu numéral qui se balade dans un tas de phrases françaises.
Nicolas ? Quelqu'un d'autre ?
Merci d'avance.
- IphigénieProphète
et si tu le prenais comme pronom indéfini? (j'en ai vu plusieurs- j'en ai vu une) ?
et "en " comme un partitif: je prends une part du gateau, j'en prends une (part)?
et "en " comme un partitif: je prends une part du gateau, j'en prends une (part)?
- CeladonDemi-dieu
Je viens de consulter mon Gadet Galmiche Arrivé et voici ce que j'y lis :
" Au même titre que les autres déterminants, les cardinaux peuvent s'utiliser comme pronoms : dix élèves seront reçus donne, par effacement du nom, dix seront reçus, sur le même modèle que chaque élève sera reçu donne chacun sera reçu. On remarque que le cardinal pronominalisé est nécessairement accompagné de l'élément en sauf dans le cas où il est sujet : j'ai lu cinq livres donne j'en ai lu cinq et non j'ai lu cinq. Ce trait est l'indice de la présence d'un de non manifeste dans les expressions quantitatives (qu'elles comportent un article indéfini, un numéral ou un quantitatif tel que quelques, plusieurs, etc).
" Au même titre que les autres déterminants, les cardinaux peuvent s'utiliser comme pronoms : dix élèves seront reçus donne, par effacement du nom, dix seront reçus, sur le même modèle que chaque élève sera reçu donne chacun sera reçu. On remarque que le cardinal pronominalisé est nécessairement accompagné de l'élément en sauf dans le cas où il est sujet : j'ai lu cinq livres donne j'en ai lu cinq et non j'ai lu cinq. Ce trait est l'indice de la présence d'un de non manifeste dans les expressions quantitatives (qu'elles comportent un article indéfini, un numéral ou un quantitatif tel que quelques, plusieurs, etc).
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