- doctor whoDoyen
J'avais vu.
Les TICE pour apprendre à lire sont à mon avis une hérésie. Insupportable.
Les TICE pour apprendre à lire sont à mon avis une hérésie. Insupportable.
- doublecasquetteEnchanteur
doctor who a écrit:J'avais vu.
Les TICE pour apprendre à lire sont à mon avis une hérésie. Insupportable.
Doctor Who, ne cache pas mon questionnaire par ton commentaire, s'il te plaît !
Ces enfants n'ont pas appris à lire avec Twitter, bien sûr, ne soyons pas naïfs ! Il n'y a qu'un journaliste du 20 heures pour croire cela !
Ils ont appris à lire avec leur maître qui leur a patiemment inculqué les bases à l'aide des Alphas et des différents affichages que l'on voit sur les murs.
Twitter représente pour eux ce que représentaient l'imprimerie à l'école et les classes correspondantes chez Freinet, les phrases que Maria Montessori écrivait sur des bandes de papier qu'elle roulait ensuite avant de les distribuer aux enfants qui lui répondaient par le même biais, les causeries de Marie Pape-Carpentier avec ses petits élèves des salles d'asile qu'ils traduisaient ensuite ensemble sur le tableau noir bricolé de leur salle en phrases et dessins, et j'oublie sans doute d'autres exemples célèbres.
Et, entre nous, il est heureux que Twitter ne soit que la carotte (et le bâton, car je suis sûre qu'il y a certains jours où JR MASSON a un Charles-Edouard ou un Kevin, une Marie-Charlotte ou une Sue-Ellen qui n'ont pas envie ou pas d'idées pour dialoguer avec leurs corres) qui fait avancer le petit peuple !
Parce que, sinon, ce ne seraient plus 17 000 postes qu'ils pourraient supprimer à la rentrée prochaine mais beaucoup, beaucoup plus !
- doctor whoDoyen
doublecasquette a écrit:Doctor Who, ne cache pas mon questionnaire par ton commentaire, s'il te plaît !
Dont acte.
doublecasquette a écrit:milasaintanne a écrit:Je ne sais pas si je vous avais déjà signalé ce reportage de France 2 qui présente l'expérience "Twitter" dans la classe de JR Masson à Dunkerque : https://www.youtube.com/watch?v=uTdhKxXRBCM
Bon visionnage.
Quel est le mois de l'année pendant lequel a été tourné ce reportage ? Les enfants choisis pour la lecture à voix haute semblent lire couramment ? Qu'en est-il pour le reste des élèves ?
Quelle est la méthode de lecture avec laquelle JR Masson a appris à lire à ses élèves ? Est-ce grâce à la Planète des Alphas dont on voit l'affiche au cours du reportage ?
Comment leur a-t-il appris à écrire ? Quelle est sa méthode d'écriture ? Quelle est sa progression ?
Pourquoi a-t-il choisi des cahiers 24x32 ? Ne les trouve-t-il pas un peu disproportionnés pour des élèves dont certains ne mesurent qu'aux environs de 114 cm, soit un peu plus de 3,5 fois la taille du cahier ?
Je remarque qu'il leur fait coller pas mal de choses sur ces cahiers ? Quelle est son organisation pour apprendre à ses élèves à coller proprement et rapidement ? N'est-il pas gêné d'enseigner d'un côté le développement durable et de l'autre, de gaspiller ainsi le papier ? A-t-il entendu parler des porte-vues ou des classeurs qui permettraient de réduire l'impact sur l'environnement en divisant pas deux la facture papier de sa classe ?
Comment obtient-il une orthographe correcte dans les messages de ses petits internautes ? Quelle est sa méthode d'orthographe ? À quel moment corrige-t-il les essais papiers de ses doublettes d'élèves, selon quelle méthode ?
Comment a-t-il constitué ses doublettes, sont-elles stables, les interactions se font-elles facilement entre les deux élèves ?
Comment réglerait-il le problème s'il avait dans sa classe trois ou quatre enfants à problèmes comportementaux lourds ?
Quelles matières a-t-il choisi d'occulter pour trouver le temps de doubler ou tripler l'horaire attribué à l'expression écrite dans la classe (puisque les élèves écrivent deux fois : une première fois sur le grand cahier qu'on voit devant eux et une deuxième, laborieuse, pour recopier sur l'ordi) ?
Bravo à JR Masson pour le gadget qui lui a permis de donner un but tangible qui lui convient à lui pour motiver l'apprentissage de l'écriture et de la lecture chez ses élèves !
Là d'accord. Je comprends mieux. Mais pour le coup, le support me semble moins intéressant qu'un journal, une lettre, ou même un page de blog. Pas sûr que des mômes soient d'instinct passionnés par les réseaux sociaux. Pas sûr non plus, même Mila sera (peut-être) d'accord, que ce soit bien de les leur faire pratiquer à leur âge.
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- Y@nnNiveau 9
Mila, j'ai beau pousser quelques odelettes technologiques de temps à autre, je dois avouer que Twitter en classe me laisse profondément perplexe. Je ne saurais pas vraiment l'expliquer, mais la chose ne me tente pas du tout du tout. En fait, la première chose à laquelle je pense, c'est "Beurk". Écrire dans une case ? Avec 140 caractères ? En utilisant TweetDeck ? Re-Beurk.
Cela dit, l'expérience est intéressante, mais je n'y trouverais pas mon compte.
Cela dit, l'expérience est intéressante, mais je n'y trouverais pas mon compte.
- InvitéInvité
@doublecasquette : JR Masson a été prévenu de tes questions. Il viendra (peut être) répondre, quand les vacances seront là.
- doctor whoDoyen
milasaintanne a écrit:@doublecasquette : JR Masson a été prévenu de tes questions. Il viendra (peut être) répondre, quand les vacances seront là.
Excellent. Un bon petit débat en perspective. GRIP vs TICE !
SHOOWW-DOOOWWWNNNNN !!!
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- InvitéInvité
doctor who a écrit:milasaintanne a écrit:@doublecasquette : JR Masson a été prévenu de tes questions. Il viendra (peut être) répondre, quand les vacances seront là.
Excellent. Un bon petit débat en perspective. GRIP vs TICE !
Heu... c'est quoi GRIP ?
- IgniatiusGuide spirituel
doctor who a écrit:milasaintanne a écrit:@doublecasquette : JR Masson a été prévenu de tes questions. Il viendra (peut être) répondre, quand les vacances seront là.
Excellent. Un bon petit débat en perspective. GRIP vs TICE !
SHOOWW-DOOOWWWNNNNN !!!
Il faudra des règles : uniquement des arguments, liens interdits.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
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- doublecasquetteEnchanteur
milasaintanne a écrit:doctor who a écrit:milasaintanne a écrit:@doublecasquette : JR Masson a été prévenu de tes questions. Il viendra (peut être) répondre, quand les vacances seront là.
Excellent. Un bon petit débat en perspective. GRIP vs TICE !
Heu... c'est quoi GRIP ?
C'est un truc qui bloque la roue et qui l'empêche de tourner en roue libre...
- doctor whoDoyen
Mila, le GRIP, c'est une association dont Doublecasquette et moi sommes membres.
Tu trouveras les infos ICI.
Tu trouveras les infos ICI.
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- Y@nnNiveau 9
doctor who a écrit:Mila, le GRIP, c'est une association dont Doublecasquette et moi sommes membres.
Tu trouveras les infos ICI.
Désolé si mes questions paraissent bêtement naïves.
GRIP et SLECC désignent la même association ?
À examiner le logo du site, on voit bien que l'association n'est pas résolument tournée vers le tout informatique. Mais je ne suis pas sûr de comprendre (j'ai "visité" le site, et lu le cours de grammaire au collège ). En quoi TICE et GRIP s'opposent-ils ? Ce que j'ai lu ne me semble pas très éloigné de ce que je fais en grammaire, pourtant je ne suis pas opposé aux TICE, loin de là.
- doctor whoDoyen
Le Grip est l'association qui pense les programmes (lentement) et écrit les manuels (lentement aussi).
Le SLECC, c'est l'association des instits qui peuvent s'inscrire dans ce projet dans le cadre de l'EN : une sorte d'expérimentation, en quelque sorte.
Les deux ne sont pas tournés vers le tout informatique, et, grosso modo, ne pensent pas que l'informatique soit le problème ou le remède du système scolaire.
Le problème et le remède, pour nous, c'est les programmes scolaires. En théorie, cette approche est compatible avec toute sorte de pédagogies (et s'en inspire : Freinet et Montessori ne sont pas opposés par nous aux fondateurs de l'école publique de la IIIè République).
Donc, un fou de TICE et un acharné de la cohérence des programmes doit pouvoir exister.
En pratique, on en est très loin.
Le SLECC, c'est l'association des instits qui peuvent s'inscrire dans ce projet dans le cadre de l'EN : une sorte d'expérimentation, en quelque sorte.
Les deux ne sont pas tournés vers le tout informatique, et, grosso modo, ne pensent pas que l'informatique soit le problème ou le remède du système scolaire.
Le problème et le remède, pour nous, c'est les programmes scolaires. En théorie, cette approche est compatible avec toute sorte de pédagogies (et s'en inspire : Freinet et Montessori ne sont pas opposés par nous aux fondateurs de l'école publique de la IIIè République).
Donc, un fou de TICE et un acharné de la cohérence des programmes doit pouvoir exister.
En pratique, on en est très loin.
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- SergeMédiateur
Pourquoi ?
Dans notre établissement, il y a deux trois pro TICE, deux trois anti TICE, qui cohabitent très bien ... et la majorité se montre tout simplement équilibré, en utilisant juste les TICE quand ils en ont envie, parce que c'est souvent pratique dans bien des domaines, mais sans en attendre des miracles non plus. Tout comme on n'attend pas de miracle du tout papier non plus.
Dans notre établissement, il y a deux trois pro TICE, deux trois anti TICE, qui cohabitent très bien ... et la majorité se montre tout simplement équilibré, en utilisant juste les TICE quand ils en ont envie, parce que c'est souvent pratique dans bien des domaines, mais sans en attendre des miracles non plus. Tout comme on n'attend pas de miracle du tout papier non plus.
- doctor whoDoyen
Je ne parlais pas de la cohabitation pro- / anti-TICE, mais dans la possibilité de trouver des ensignants partageant la même préoccupation pour le contenu des programmes que le GRIP et étant à la pointe de la PédAO.
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- SergeMédiateur
Ah, excuse, je n'avais pas compris. C'est quoi la PédAO ?
- doctor whoDoyen
Serge a écrit:Ah, excuse, je n'avais pas compris. C'est quoi la PédAO ?
C'est moi qui invente : la Pédagogie Assistée par Ordinateur. (ouh là, Mila va venir me dire que ce n'est pas qu'une question d'ordinateur, les TICE !)
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- SergeMédiateur
Mais non, tu trouveras. Je ne vois pourtant pas en quoi ce serait incompatible de trouver quelqu'un capable d'utiliser les TICE et qui ait aussi une vraie préoccupation pour les programmes, les connaissances et les compétences à faire acquérir. Il n'y a aucune opposition par essence. Tout dépend de ce qui est fait, des activités menées et des objectifs visés. Un stylo peut servir à faire des rédactions comme des gribouillis sur les tables.
- doctor whoDoyen
En même temps, il y a pas mal d'utilisation pédagogiques des TICE qui contribuent, selon moi, à déstructurer l'enseignement (qui n'en avait pourtant pas besoin) ou à faire passer les connaissances et les compétences intellectuelles au second plan.
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Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- SergeMédiateur
Ah oui, je sais bien. Il y a des dérives inquiétantes parfois. J'en suis le premier contrarié souvent parce que ça jette le discrédit sur des outils qui peuvent être complémentaires, pratiques et/ou sympa d'utilisation dans certains cas.
Je crois que, quand il y a problème, il vient le plus souvent soit du manque d'équilibre ( le tout numérique, berkk) soit d'une direction pédagogique ( évaluation strictement par compétences par exemple) qui porterait les mêmes fruits de toute façon, avec ou sans TICE.
Je crois que, quand il y a problème, il vient le plus souvent soit du manque d'équilibre ( le tout numérique, berkk) soit d'une direction pédagogique ( évaluation strictement par compétences par exemple) qui porterait les mêmes fruits de toute façon, avec ou sans TICE.
- doctor whoDoyen
Serge a écrit:
Je crois que, quand il y a problème, il vient le plus souvent soit du manque d'équilibre ( le tout numérique, berkk) soit d'une direction pédagogique ( évaluation strictement par compétences par exemple) qui porterait les mêmes fruits de toute façon, avec ou sans TICE.
Entièrement d'accord.
Les fois où je ne suis pas d'accord avec Milasaintanne, c'est quand je perçois que les TICE sont une manière de remettre en avant des techniques "pédagogistes" (plus précisément, issues du mouvement de l'éducation nouvelle).
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- InvitéInvité
Retour au sujet :
Un reportage sur la Twittclasse d'Amandine Terrier dans l'académie de Besançon (à la 8e minute).
http://www.pluzz.fr/jt-12-13-franche-comte-2011-06-21-12h00.html
Un reportage sur la Twittclasse d'Amandine Terrier dans l'académie de Besançon (à la 8e minute).
http://www.pluzz.fr/jt-12-13-franche-comte-2011-06-21-12h00.html
- doctor whoDoyen
C'est un peu toujours le même principe que chez Freinet, mais avec le microblogging. Ca doit prendre du temps, mais le temps n'est pas vraiment un argument, si ça a vraiment des résultats en terme d'instruction (ça n'a pas l'air d'être l'enjeu principal) et d'éducation. Ca vaut le coup, si on pense que l'édition et la publication sont des outils qui motivent vraiment tous les élèves et qu'en apportant un but concret à la rédaction, on l'encourage et on en justifie toutes les conventions. Je n'en suis personnellement pas persuadé à cent pour cent.
Même si on admet le point précédent, je m'interroge tout de même quant à l'efficacité de ces procédés.
Avantage par rapport à Freinet : l'immédiateté.
On peut twitter rapidement et plusieurs fois dans la journée. Mais dès qu'on en passe par les fourches caudines (nécessaires à mon avis en primaire) de la présence de l'instit et de l'orthographe, il me semble que cet avantage est minime. D'autant plus que l'instit en question semble faire de vrais "cours de micro-blogging", ce qui alourdit encore la procédure.
Inconvénient par rapport à Freinet : l'immédiateté.
Où est la réflexion nécessaire quant au contenu, à la forme, à la nécessité du message ? Quand on twitte, on dit souvent ce qui nous passe par la tête. Cela mérite-t-il d'être écrit ? Je comprends qu'on tente de "naturaliser" l'écriture en la reliant au maximum avec les pratiques de la vie quotidienne, mais cela n'a-t-il pas des limites ? Ecrire de manière publique a toujours été une activité réfléchie, intellectuelle, et c'est sans doute cela qui a un vrai pouvoir formateur.
En outre, d'un point de vue plus moral que pédagogique, est-ce bien sûr qu'en initiant très tôt les élèves aux réseaux sociaux, on les immunise contre certains de leur travers ? Les mêmes élèves, devenus ados, vont-ils réellement ne pas envoyer de sextos ou ne pas poster la dernière vidéos d'humiliation de prof à tous leurs amis via leur iPhone (j'exagère bien sûr) ?
Je trouve cette idée utopique.
Dernière chose : que faire quand les parents ne veulent pas que les gamins aillent sur ces réseaux ? Quand ils jugent que ce n'est pas de leur âge (c'est mon cas) ? N'est-ce pas leur imposer quelque chose de manière illégitime ?
Même si on admet le point précédent, je m'interroge tout de même quant à l'efficacité de ces procédés.
Avantage par rapport à Freinet : l'immédiateté.
On peut twitter rapidement et plusieurs fois dans la journée. Mais dès qu'on en passe par les fourches caudines (nécessaires à mon avis en primaire) de la présence de l'instit et de l'orthographe, il me semble que cet avantage est minime. D'autant plus que l'instit en question semble faire de vrais "cours de micro-blogging", ce qui alourdit encore la procédure.
Inconvénient par rapport à Freinet : l'immédiateté.
Où est la réflexion nécessaire quant au contenu, à la forme, à la nécessité du message ? Quand on twitte, on dit souvent ce qui nous passe par la tête. Cela mérite-t-il d'être écrit ? Je comprends qu'on tente de "naturaliser" l'écriture en la reliant au maximum avec les pratiques de la vie quotidienne, mais cela n'a-t-il pas des limites ? Ecrire de manière publique a toujours été une activité réfléchie, intellectuelle, et c'est sans doute cela qui a un vrai pouvoir formateur.
En outre, d'un point de vue plus moral que pédagogique, est-ce bien sûr qu'en initiant très tôt les élèves aux réseaux sociaux, on les immunise contre certains de leur travers ? Les mêmes élèves, devenus ados, vont-ils réellement ne pas envoyer de sextos ou ne pas poster la dernière vidéos d'humiliation de prof à tous leurs amis via leur iPhone (j'exagère bien sûr) ?
Je trouve cette idée utopique.
Dernière chose : que faire quand les parents ne veulent pas que les gamins aillent sur ces réseaux ? Quand ils jugent que ce n'est pas de leur âge (c'est mon cas) ? N'est-ce pas leur imposer quelque chose de manière illégitime ?
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- InvitéInvité
Questions signalées à l'intéressée.
Elle saura mieux répondre que moi, je ne suis pas instit.
(Même si j'ai ma petite idée là dessus)
Elle saura mieux répondre que moi, je ne suis pas instit.
(Même si j'ai ma petite idée là dessus)
- doctor whoDoyen
milasaintanne a écrit:Question signalées à l'intéressée.
Elle saura mieux répondre que moi, je ne suis pas instit.
(Même si j'ai ma petite idée là dessus)
Je n'en doute pas.
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- InvitéInvité
Tiens juste pour répondre sur ça : "d'un point de vue plus moral que pédagogique, est-ce bien sûr qu'en initiant très tôt les élèves aux réseaux sociaux, on les immunise contre certains de leur travers ?"
Je n'en suis pas sûre, mais je suis sûre que si on ne le fais pas, on ne risque pas de voir les choses s'améliorer !
Je n'en suis pas sûre, mais je suis sûre que si on ne le fais pas, on ne risque pas de voir les choses s'améliorer !
- doctor whoDoyen
milasaintanne a écrit:Tiens juste pour répondre sur ça : "d'un point de vue plus moral que pédagogique, est-ce bien sûr qu'en initiant très tôt les élèves aux réseaux sociaux, on les immunise contre certains de leur travers ?"
Je n'en suis pas sûre, mais je suis sûre que si on ne le fais pas, on ne risque pas de voir les choses s'améliorer !
Ouaih. Pas convaincu, là.
Ca pourrait faire une belle devise Shadock : "Pompons, pompons, il en restera toujours quelque chose."
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