Le cours de philo. c'était :
- cannelle21Grand Maître
La philo a été un long apprentissage:
En terminale ce n'était pas vriament ça. Il faut dire que j'étais dans une terminale scientifique option maths donc la philo n'était pas la préoccupation principale des homo non sapiens qui partageaient ce cours avec moi.
En prépa c'est venu progressivement. Et puis j'ai enfin compris ce qu'était philosopher en Khâgnes avec monsieur Lardreau. Je pense que si j'ai cubé ma khâgnes c'est en partie pour ses cours. Je les ai d'ailleurs gardés précieusement.
En terminale ce n'était pas vriament ça. Il faut dire que j'étais dans une terminale scientifique option maths donc la philo n'était pas la préoccupation principale des homo non sapiens qui partageaient ce cours avec moi.
En prépa c'est venu progressivement. Et puis j'ai enfin compris ce qu'était philosopher en Khâgnes avec monsieur Lardreau. Je pense que si j'ai cubé ma khâgnes c'est en partie pour ses cours. Je les ai d'ailleurs gardés précieusement.
- lulucastagnetteEmpereur
J'ai voté 1, je pense que j'étais trop "jeune" pour apprécier la matière.
7h de philo par semaine, c'était l'overdose.
Notre prof n'était pas sympa du tout, nous prenait de haut, clairement il ne prenait aucun plaisir à nous faire cours. Il collait des sales notes à tout le monde sans jamais expliquer ce qu'il fallait faire pour s'améliorer. Jamais un seul cours de méthode de la dissert et il enlevait 1 point par faute d'orthographe (je pense qu'il a changé depuis... ). Je me souviens avoir eu 2 points en moins car j'avais utilisé le verbe "rouler" au lieu de "conduire" !!
Sa notation allait de 0 à 14 (ça m'a toujours énervé, ces profs qui s'arrêtent à un chiffre) et ses remarques bof bof : "vous êtes au trot, passez au galop".
J'associe donc la philo à de longues heures d'ennui. Je me souviens d'un cours sur le Temps particulièrement chiantissime. Au final on n'avait fait que les 2/3 du programme. J'ai eu 14 au bac sur : "puis-je faire confiance à mes sens?" (je crois)
Je pense vraiment que pour cette matière, la relation avec le prof est fondamentale (beaucoup plus que dans d'autres). Par exemple, toute ma scolarité j'ai eu des profs de français vraiment bof bof (notamment au lycée, une vraie horreur !!! la prof qui faisait cours avec le profil) et ça ne m'a jamais empêché d'adorer cette matière.
7h de philo par semaine, c'était l'overdose.
Notre prof n'était pas sympa du tout, nous prenait de haut, clairement il ne prenait aucun plaisir à nous faire cours. Il collait des sales notes à tout le monde sans jamais expliquer ce qu'il fallait faire pour s'améliorer. Jamais un seul cours de méthode de la dissert et il enlevait 1 point par faute d'orthographe (je pense qu'il a changé depuis... ). Je me souviens avoir eu 2 points en moins car j'avais utilisé le verbe "rouler" au lieu de "conduire" !!
Sa notation allait de 0 à 14 (ça m'a toujours énervé, ces profs qui s'arrêtent à un chiffre) et ses remarques bof bof : "vous êtes au trot, passez au galop".
J'associe donc la philo à de longues heures d'ennui. Je me souviens d'un cours sur le Temps particulièrement chiantissime. Au final on n'avait fait que les 2/3 du programme. J'ai eu 14 au bac sur : "puis-je faire confiance à mes sens?" (je crois)
Je pense vraiment que pour cette matière, la relation avec le prof est fondamentale (beaucoup plus que dans d'autres). Par exemple, toute ma scolarité j'ai eu des profs de français vraiment bof bof (notamment au lycée, une vraie horreur !!! la prof qui faisait cours avec le profil) et ça ne m'a jamais empêché d'adorer cette matière.
- adlidiHabitué du forum
Un C.. de chez C.. Je n'ai rien appris, il m'a dégoûté de la philo. Il avait déclaré en cours à quelques semaines du bac que je ne l'aurais pas... Eh bien, cela n'a pas été le cas!!
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"La vie c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber."
- CelebornEsprit sacré
J'aimais davantage la philo à 16/17 ans qu'aujourd'hui. J'étais à peu près le seul à participer en cours, défendant Nietsche face à mon hégélienne de prof pas toujours passionnante mais souvent intéressante.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- ChocolatGuide spirituel
J'ai adoré la philo; j'ai d'ailleurs hésité, entre philo et lettres, pour les concours...
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- adlidiHabitué du forum
[ Par exemple, toute ma scolarité j'ai eu des profs de français vraiment bof bof (notamment au lycée, une vraie horreur !!! la prof qui faisait cours avec le profil) et ça ne m'a jamais empêché d'adorer cette matière.[/quote]
Ma prof de lettres en lycée, je lui voue un culte!!!
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- SteredDoyen
Sans intérêt au lycée : vu le bordel, je ne pense pas pouvoir dire que j'ai eu des cours (certains taguaient le fond de la classe pour vous dire...). J'ai cessé de venir quand j'ai interpelé les abrutis qui composaient ma terminale L, sur un ton peu amène certes, pour leur dire de la fermer parce qu'on était quelques unes à vouloir suivre, et que le prof m'a dit à moi de ne pas parler sur ce ton alors qu'il n'était jamais intervenu pour leur faire la moindre remarque. Il est vrai que moi je ne l'aurais jamais frappé. Eux...
Bref, j'ai découvert la philo en prépa, et là ça m'a plu, mais sans enthousiasme dévastateur non plus.
Bref, j'ai découvert la philo en prépa, et là ça m'a plu, mais sans enthousiasme dévastateur non plus.
- InvitéInvité
Horreur de la philo...j'aimais juste Nietzsche et ma prof était comme celle de monsieur Celeborn.
J'ai quand même eu 10 au bac, la note que j'ai eue toute l'année.
J'ai quand même eu 10 au bac, la note que j'ai eue toute l'année.
- AbraxasDoyen
J'ai une question annexe, pour tout le monde : le / la prof de philo vous a-t-il / elle appris à faire une dissert ? En terminale ? En prépas ?
Si non, qui et quand ?
Si non, qui et quand ?
- CelebornEsprit sacré
Abraxas a écrit:J'ai une question annexe, pour tout le monde : le / la prof de philo vous a-t-il / elle appris à faire une dissert ? En terminale ? En prépas ?
Si non, qui et quand ?
EN terminale, bien entendu. Mais ma prof de français l'avait déjà fait en première
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- InvitéInvité
Pour moi (mais j'étais dans le privé et je ne suis plus toute jeune), on a commencé les disserts un peu sérieuses en seconde.
- queenHabitué du forum
J ai détesté, comme DH, j étais immature. Par contre, notre prof était d une gentillesse et il était vraiment passionné par ce qu il disait. On l adorait et on le respectait beaucoup pour ça. Par contre, je me souviens que ces heures étaient souvent mal placées:ex: 2h de philo de 10 à 12 le lundi martin juste après 2h de sport. Le prof avait beau parlé, on était incapable de lui répondre quoi que ce soit!
Bref, beaucoup d immaturité .
Abraxas, je ne me souviens pas de cours de méthode en philo... Mon prof était un peu foufou, du coup, s il nous a donné une méthode, je pense que j ai quand même dû me précipiter sur les "prépabac" pour comprendre qq chose. Sinon, pour le bac de français:méthode claire et en DEUG 2, une prof a tout repris de zéro et je dois dire que c était nécessaire!
Bref, beaucoup d immaturité .
Abraxas, je ne me souviens pas de cours de méthode en philo... Mon prof était un peu foufou, du coup, s il nous a donné une méthode, je pense que j ai quand même dû me précipiter sur les "prépabac" pour comprendre qq chose. Sinon, pour le bac de français:méthode claire et en DEUG 2, une prof a tout repris de zéro et je dois dire que c était nécessaire!
- MinaNiveau 10
Abraxas a écrit:J'ai une question annexe, pour tout le monde : le / la prof de philo vous a-t-il / elle appris à faire une dissert ? En terminale ? En prépas ?
Si non, qui et quand ?
Une chose est sûre, ce n'est pas ma prof de français de 1ère qui m'a appris à faire une dissert. Mon prof de philo était quelqu'un de beaucoup plus rigoureux qui nous a donné des bases méthodologiques, qui nous a appris à organiser notre pensée, à construire des plans, mais je dois surtout beaucoup à mes deux profs de lettres de prépa. Après avoir eu 17 en lettres au bac, j'ai eu 6 à ma 1ère dissert en HK. Je me suis dit alors que j'avais été flouée pendant mon année de Tale, et il a fallu énormément travailler pour me remettre au niveau. Heureusement que ce prof de lettres a pris le temps de déconstruire pour reconstruire! J'ai été un peu plus à l'aise ensuite en KH avec une prof qui elle aussi nous a appris beaucoup. Je dois mon Capes à mes profs de prépa, en fait !
- GrypheMédiateur
Personnellement, tout ce que j'ai appris en termes de méthodes, c'était dans la revue Phosphore.Abraxas a écrit:J'ai une question annexe, pour tout le monde : le / la prof de philo vous a-t-il / elle appris à faire une dissert ? En terminale ? En prépas ?
Si non, qui et quand ?
Mais où donc ont appris les autres ???
- OrnellaDoyen
j'ai aussi appris à faire une dissert en français (en 1ère) et en philo en terminale. Le lycée est fait pour ça, non?
- AbraxasDoyen
Ornella a écrit:j'ai aussi appris à faire une dissert en français (en 1ère) et en philo en terminale. Le lycée est fait pour ça, non?
Oui, c'est ce que je pensais, jusqu'à ce que je sois prof en prépas, et que je m'aperçoive que, comme dit l'autre, il faut tout déconstruire pour tout (re)construire. Presque aucun de mes élèves ne sait faire une dissert.
Et je crois que beaucoup de profs doivent leurs diplômes à la formations qu'ils ont reçue éventuellement en prépas. Parce que je ne suis pas sûr qu'on apprenne à faire une dissert, en fac.
- mel93Grand sage
Pour la dissert', j'ai appris en prépa.
- CarabasVénérable
+1
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Terry Pratchett
- jehanneNiveau 8
Abraxas a écrit:J'ai une question annexe, pour tout le monde : le / la prof de philo vous a-t-il / elle appris à faire une dissert ? En terminale ? En prépas ?
Si non, qui et quand ?
En khâgne, avec une prof très rigoureuse, capable de permettre à une quiche en philo (moi) d'avoir une note correcte au concours. C'était à Aix, et elle s'appelait Mme Ayme (ou Aymes)? Reconnaissance éternelle.
Auparavant, en philo: un zozo en Tale, et en HK un type probablement très fort, mais pas très méthodique
- lene75Prophète
Abraxas a écrit:J'ai une question annexe, pour tout le monde : le / la prof de philo vous a-t-il / elle appris à faire une dissert ? En terminale ? En prépas ?
Si non, qui et quand ?
Je n'ai pas souvenir d'avoir appris à faire une dissert en philo en terminale, du moins autrement que par imprégnation, ni en prépa, d'ailleurs, en réalité, je n'ai pas souvenir d'avoir appris à faire une dissert un jour. En revanche, je sais qu'on a commencé à faire des textes argumentatifs en 4e en français et la même année des devoirs rédigés sur un sujet en histoire, qu'en seconde, à la rentrée, en français, notre prof nous a demandé une dissert ("On ne s'intéresse à un fait divers que pour des raisons personnelles, commentez", puis d'autres dans l'année, je me souviens de "Science sans conscience n'est que ruine de l'âme"), il ne nous a jamais rien appris (vraiment, j'ai juste appris à jouer au tarot pendant ses cours...), mais nous savions faire et cette année-là, on nous demandait aussi des dissertations en histoire. En 1re, j'avais une prof de français géniale, mais je ne me souviens pas non plus spécialement de cours de méthode. En terminale, je n'ai pas eu de problème à switcher de la dissertation de français à celle de philo, alors que la méthode est très différente et qu'on n'a pas eu de cours de méthode, mais finalement, je trouve que la philo ressemble beaucoup plus aux textes argumentatifs qu'on pouvait faire au collège ou aux dissertations de seconde, et ça s'est probablement fait par imprégnation, comme je disais.
En revanche, le commentaire de texte, c'était une catastrophe dans toutes les matières, et je me souviens très précisément en avoir appris la méthode en HK pour le français et en KH pour la philo (sans cours de méthode, par imprégnation et entraînement aussi)... je dois mon CAPES à mon prof de philo de KH...
En HK, la méthode pour apprendre a été très simple. 1er jour de cours :
- le prof : "Pour demain, vous me faites le commentaire linéaire de ce texte et j'interrogerai quelqu'un"
- nous : "Mais monsieur, comment on fait un commentaire linéaire ? On n'en a jamais fait, on ne sait pas faire"
- le prof : "Eh ben comme ça, demain, vous saurez"
C'était presque vrai... enfin disons qu'il m'a fallu l'année pour vraiment y arriver.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- lulucastagnetteEmpereur
Moi je ne suis pas sûre d'avoir jamais appris à faire une dissert...
En tous les cas, pas au lycée, encore moins à la fac (je n'ai pas voulu faire de prépa, une erreur certainement...).
Je me demande comment j'ai pu avoir de bonnes notes au concours en dissert. Là je serais incapable d'en faire une...
En tous les cas, pas au lycée, encore moins à la fac (je n'ai pas voulu faire de prépa, une erreur certainement...).
Je me demande comment j'ai pu avoir de bonnes notes au concours en dissert. Là je serais incapable d'en faire une...
- RuthvenGuide spirituel
Merci ! Le résultat du sondage est instructif, c'est finalement une discipline assez clivante, et la personnalité de l'enseignant semble décisive ; dans ce que j'ai lu des réponses, j'entends parfois les mêmes remarques que celles de certains élèves (MDR).
Pour Le Clochard, le sujet portait sans doute sur la raison pour laquelle cette question s'était posée comme centrale dans l'histoire de la philosophie (d'où les guillemets) ; ou si elle appelait un traitement direct, il ne s'agissait pas de trouver des raisons, mais de montrer pourquoi la forme même de la question rendait une réponse impossible à moins d'être tautologique (il y a quelque chose parce qu'il y a quelque chose).
C'est à mon avis le sujet typiquement ulmien qui propose une question démesurée à traiter en 6h, question supposant avant tout un brillant rhétorique [je persiste à penser, quoiqu'en disent les spécialistes, que jusqu'à présent (avant la banque de sujet commun) le concours de l'ENS Lyon était autrement plus sérieux dans son approche des disciplines.]
A Abraxas, je ne pensais pas que M. Gourinat parlait comme cela ; ses manuels ont longtemps servi aux étudiants en concours, mais ils ne sont pas très sexy.
Pour ceux qui voudraient re-lire de la philo., plutôt que le Vergez et Huismans qui a bien vieilli, il y a quelques titres abordables : S. Blackburn, Penser. Une irrésistible introduction à la philosophie ; ou les trois volumes des Notions de philosophie sous la dir. de D. Kambouchner en Folio ; les Cours particuliers de philosophie de L. Hansen-Love sont pas mal du tout pour les néophytes.
Pour Le Clochard, le sujet portait sans doute sur la raison pour laquelle cette question s'était posée comme centrale dans l'histoire de la philosophie (d'où les guillemets) ; ou si elle appelait un traitement direct, il ne s'agissait pas de trouver des raisons, mais de montrer pourquoi la forme même de la question rendait une réponse impossible à moins d'être tautologique (il y a quelque chose parce qu'il y a quelque chose).
C'est à mon avis le sujet typiquement ulmien qui propose une question démesurée à traiter en 6h, question supposant avant tout un brillant rhétorique [je persiste à penser, quoiqu'en disent les spécialistes, que jusqu'à présent (avant la banque de sujet commun) le concours de l'ENS Lyon était autrement plus sérieux dans son approche des disciplines.]
A Abraxas, je ne pensais pas que M. Gourinat parlait comme cela ; ses manuels ont longtemps servi aux étudiants en concours, mais ils ne sont pas très sexy.
Pour ceux qui voudraient re-lire de la philo., plutôt que le Vergez et Huismans qui a bien vieilli, il y a quelques titres abordables : S. Blackburn, Penser. Une irrésistible introduction à la philosophie ; ou les trois volumes des Notions de philosophie sous la dir. de D. Kambouchner en Folio ; les Cours particuliers de philosophie de L. Hansen-Love sont pas mal du tout pour les néophytes.
- leyadeEsprit sacré
Aie, c'est le Vergez et Huisman que j'ai acheté....
- Invité31Sage
Dernière réponse. J'ai adoré la philo et c'est toujours le cas aujourd'hui.
Il faut peut-être simplement les aider en reformulant avec leurs propres mots ? (je pense par exemple à l'argument d'autorité)
Il faut peut-être simplement les aider en reformulant avec leurs propres mots ? (je pense par exemple à l'argument d'autorité)
- AbraxasDoyen
Ruthven, j'en ai même patronné un, de manuel de philo — et je me permets de le conseiller aussi.
Sénik / Médina / Morales, la Philosophie comme débat entre les textes, chez Magnard — courant des années 80.
Disponible sur Amazon, ci-dessus :
http://www.amazon.fr/s/ref=nb_sb_noss?__mk_fr_FR=%C5M%C5Z%D5%D1&url=search-alias%3Dstripbooks&field-keywords=s%E9nik+medina&x=10&y=17
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- Vous étiez heureux d'avoir enfin votre mutation ? Ben finalement, ce n'est pas sûr. Ah si, en fait !
- [Sondage] Quand avez-vous votre emploi du temps et êtes-vous contents ?
- Où et quand avez-vous reçu votre arrêté de titularisation ?
- Quand vous devez rencontrer l'enseignant de votre enfant...
- Quand vous voyez le tas de copies qui traîne sur votre bureau...
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