- zigmag17Guide spirituel
Fesseur Pro a écrit:N'importe quoi !moi c'est moi a écrit:Sauf que j'ai pas envie de partir a 18h parce que 3 collègues ont décidé de traîner. Je répète, chez nous personne ne part tant que toutes les notes ne sont pas rentrées.
Je ne me gênerais pas pour partir.
Pour nous c'est pareil, brevet ou autre niveau de corrections. Interdiction de partir tant que toutes les corrections ne sont pas terminées. J'en ai déjà parlé sur un autre fil. Plus de paquets nominatifs donc c'est plus facile de redistribuer. Les plus rapides dans les corrections sont punis systématiquement avec ce système. Et non on ne peut pas partir: cette année, encore mieux, les coordos nous ont royalement apporté les bordereaux à remplir quand ils ont été bien sûrs que l'entraide avait bien fonctionné, c'est-à-dire bien avant dans l'après-midi pour des corrections qui nous avaient pris pour la plupart une demi-journée et un chouÏa de demi-heure.
Nous nous en plaignons amèrement. En général je dis ce que je je pense et cette fois-ci encore j'ai bien râlé. Mais rien ne se passe.
C'est vrai, je pourrais sans doute planter là tout le monde avec les notes à rentrer et les bordereaux à mon nom. Mais je ne le fais pas. Je suis sans doute faible et lâche.
Maintenant si ici quelqu'un a une méthode pour qu'on en finisse avec cette caporalisation (parce que les coordos relaient avec vigueur ce qui dans mon académie est une consigne officielle depuis environ dix ans), et pour arriver à passer outre cette infantilisation, je suis tout ouïe.
- LadyOlennaModérateur
Il y a un discours qui s'instaure oui : lors de la réunion de cadrage du DNB cette année, pour les centres de correction, on nous a bien rappelé que les correcteurs étaient convoqués deux jours, qu'il ne fallait pas qu'ils partent à 11h dès le premier jour, que si certains professeurs refusaient de faire une pause dej pour finir plus tôt, "comme ça se voit de plus en plus", il fallait les forcer à prendre cette pause... C'était hallucinant. Et certains CDE d'abonder dans ce sens, une avait écrit dans le chat que les collègues qui avaient fini en une journée alors qu'ils étaient convoqués deux jours devaient absolument revenir dans leur établissement le deuxième jour pour faire les réunions ou prendre les élèves selon l'organisation, parce que bon ils allaient quand même pas rester chez eux à rien faire.
- moi c'est moiNiveau 9
Fenrir a écrit:Cléopatra2 a écrit: Une menace d'appeler la police en cas de séquestration devrait ramener le chef de centre à la raison. Il n'y a pas de raison qu'ils se privent si vous le faites. Pareil pour les collègues lents, c'est bien tranquille du coup.
C'est exactement ce que j'allais ajouter.
Ce n'est pas une séquestration, c'est un consensus pris au début de la journée ...
Et perso, je préfère quelqu'un qui corrige son paquet en 6h que quelqu'un qui a fini en 1h30...
- zigmag17Guide spirituel
Cléopatra2 a écrit:Laplume a écrit:En Île de France, j'ai toujours connu des centres de correction avec interdiction de partir s'il reste des copies non corrigées. Et je trouve ça profondément injuste. Les premiers à avoir fini terminent les tas des autres de la salle, qui pour certains font biiieeen exprès de traîner (à grands renforts de pauses café/cigarettes etc). Une année où j'étais avec des collègues correcteurs particulièrement lents (un délire), j'ai fait plus d'une centaine de copies à moi-seule. Non stop 10h-18h.
La pause obligatoire pour le déjeuner j'ai connu aussi une année (l'établissement par ailleurs n'avait pas prévu de repas, et on était en rase campagne avec impossibilité d'aller manger quelque part, nous avons attendu 1h dans le couloir devant la salle pour pouvoir y retourner). Infantilisation +++ Ils nous avaient dit "c'est pour ne pas que ceux qui ont besoin vraiment d'une pause se sentent lésés"...
Bref, cette journée me déprime chaque année, c'est un concentré d'absurdités.
Non mais en fait le délire c'est que vous acceptiez cela. Il faut corriger son tas et partir. Point. Vous pouvez même rentrer les notes si vous êtes sympa. Une menace d'appeler la police en cas de séquestration devrait ramener le chef de centre à la raison. Il n'y a pas de raison qu'ils se privent si vous le faites. Pareil pour les collègues lents, c'est bien tranquille du coup.
J'adore. La police qui ne prend pas ta plainte quand tu es diffamée sur un réseau social par un élève et éventuellement en danger se déplacerait au motif qu'il y a "séquestration" dans ce cas précis ???? Je te laisse tester.
- zigmag17Guide spirituel
Ah oui, la fameuse pause méridienne que l'on est obligé de prendre aussi.
Edit: là c'est pareil: si certains savent quelles méthodes employer pour résister sur le terrain, rester de force acrroché à sa table avec ses copies par exemple, ou autre, je veux bien de l'aide parce qu'en vérité je ne sais pas faire.
Edit: là c'est pareil: si certains savent quelles méthodes employer pour résister sur le terrain, rester de force acrroché à sa table avec ses copies par exemple, ou autre, je veux bien de l'aide parce qu'en vérité je ne sais pas faire.
- Cléopatra2Guide spirituel
moi c'est moi a écrit:Fenrir a écrit:Cléopatra2 a écrit: Une menace d'appeler la police en cas de séquestration devrait ramener le chef de centre à la raison. Il n'y a pas de raison qu'ils se privent si vous le faites. Pareil pour les collègues lents, c'est bien tranquille du coup.
C'est exactement ce que j'allais ajouter.
Ce n'est pas une séquestration, c'est un consensus pris au début de la journée ...
Et perso, je préfère quelqu'un qui corrige son paquet en 6h que quelqu'un qui a fini en 1h30...
Ah ben c'est sûr que si tu te mêles de savoir comment tes collègues corrigent, on n'est pas rendu. Ca ne te concerne en rien. Quel beau "consensus".
- Cléopatra2Guide spirituel
Alors lorsqu'on apporte les copies, redistribuer équitablement l'ensemble des lots par correcteur. Donc tout le monde a à peu près le même nombre de copies.zigmag17 a écrit:Ah oui, la fameuse pause méridienne que l'on est obligé de prendre aussi.
Edit: là c'est pareil: si certains savent quelles méthodes employer pour résister sur le terrain, rester de force acrroché à sa table avec ses copies par exemple, ou autre, je veux bien de l'aide parce qu'en vérité je ne sais pas faire.
Lorsqu'on a terminé son paquet, rendre le paquet et partir après avoir demandé où on rentre les notes.
L'idéal : se mettre d'accord avant à 3 ou 4, ça devrait suffire.
Demander un texte de loi qui vous oblige à attendre que tout le monde ait corrigé. Le CDE ne pourra pas le fournir. Voilà. Appeler son syndicat avant et demander une marche à suivre.
- LaplumeNiveau 4
Ah non mais moi je ne soutiens absolument pas cette façon de faire. C'est juste que c'est ainsi qu'on nous le présente. Je n'en ai absolument rien à faire des tas des collègues en réalité. Je voudrais juste qu'on me laisse rendre mon tas quand il est fini et rentrer chez moi. Sauf que chaque année c'est pareil "il faut jouer collectif" qu'on nous dit.
- Cléopatra2Guide spirituel
Mais il faut arrêter d'accepter si on n'est pas d'accord enfin!
- FenrirFidèle du forum
LadyOlenna a écrit:Il y a un discours qui s'instaure oui : lors de la réunion de cadrage du DNB cette année, pour les centres de correction, on nous a bien rappelé que les correcteurs étaient convoqués deux jours, qu'il ne fallait pas qu'ils partent à 11h dès le premier jour, que si certains professeurs refusaient de faire une pause dej pour finir plus tôt, "comme ça se voit de plus en plus", il fallait les forcer à prendre cette pause... C'était hallucinant. Et certains CDE d'abonder dans ce sens, une avait écrit dans le chat que les collègues qui avaient fini en une journée alors qu'ils étaient convoqués deux jours devaient absolument revenir dans leur établissement le deuxième jour pour faire les réunions ou prendre les élèves selon l'organisation, parce que bon ils allaient quand même pas rester chez eux à rien faire.
Alors là il faut qu'on m'explique : qu'est ce qui prime ? L'acte de correction ou la durée de convocation ? Parce qu'il me parait difficile de satisfaire aux deux. Si j'ai corrigé avant le délai, voire même si toutes les copies du centre sont corrigées le soir du premier jour, quel est l'intérêt de revenir ? Dans l'autre sens, pourquoi se forcer à faire en deux jours quelque chose qui peut être fait en un ? Mon temps m'est précieux, je ne bâcle pas mon travail, maisquand j'ai fini, j'ai fini, point. Et nous sommes nombreux dans ce cas.
moi c'est moi a écrit:Ce n'est pas une séquestration, c'est un consensus pris au début de la journée ...
Et perso, je préfère quelqu'un qui corrige son paquet en 6h que quelqu'un qui a fini en 1h30...
Qu'entends tu par consensus. Si j'arrive et que je signe un bordereau m'indiquant les copies que je dois corriger, je ne vois pas de quel droit je ne pourrais pas partir une fois les dites copies corrigées. Et j'ai toujours eu un bordereau me confiant la responsabilité d'un lot de copies.
De même je ne vois pas ce qui permet de dire que des copies corrigées en 6 heures le seraient mieux qu'en 3 ou 4 (1h30 me parait un tantinet exagéré hein) en mathématiques en tout cas. Surtout quand on nous demande de faire pleuvoir les points.
zigmag17 a écrit:Cléopatra2 a écrit:Non mais en fait le délire c'est que vous acceptiez cela. Il faut corriger son tas et partir. Point. Vous pouvez même rentrer les notes si vous êtes sympa. Une menace d'appeler la police en cas de séquestration devrait ramener le chef de centre à la raison. Il n'y a pas de raison qu'ils se privent si vous le faites. Pareil pour les collègues lents, c'est bien tranquille du coup.
J'adore. La police qui ne prend pas ta plainte quand tu es diffamée sur un réseau social par un élève et éventuellement en danger se déplacerait au motif qu'il y a "séquestration" dans ce cas précis ???? Je te laisse tester.
Eh bien en fait c'est assez simple je crois. Si tu décides de partir, il y a deux solutions. Soit on ne t'en empêche pas, soit on t'en empêche, et par là j'entends physiquement (en te refusant l'ouverture d'une porte, je n'ose imaginer qu'on puisse user de la force) et oui il s'agit de séquestration.
On peut aussi jouer au plus bête et corriger une copie en deux jours. Je ne suis pas sûr que notre bienveillante administration y gagne.
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À quoi bon mettre son pédigrée, on est partis pour 40 ans*. ████ ████. * 42, il faut lire 42.
- zigmag17Guide spirituel
Cléopatra2 a écrit:Alors lorsqu'on apporte les copies, redistribuer équitablement l'ensemble des lots par correcteur. Donc tout le monde a à peu près le même nombre de copies.zigmag17 a écrit:Ah oui, la fameuse pause méridienne que l'on est obligé de prendre aussi.
Edit: là c'est pareil: si certains savent quelles méthodes employer pour résister sur le terrain, rester de force acrroché à sa table avec ses copies par exemple, ou autre, je veux bien de l'aide parce qu'en vérité je ne sais pas faire.
Lorsqu'on a terminé son paquet, rendre le paquet et partir après avoir demandé où on rentre les notes.
L'idéal : se mettre d'accord avant à 3 ou 4, ça devrait suffire.
Demander un texte de loi qui vous oblige à attendre que tout le monde ait corrigé. Le CDE ne pourra pas le fournir. Voilà. Appeler son syndicat avant et demander une marche à suivre.
Mais faire ce que tu dis n'est pas possible en tout cas là où je corrige dans la mesure où l'on va se retrouver avec différents bordereaux à remplir, et que ces bordereaux sont soigneusement gardés sous le coude par les coordos qui ne les donnent que quand ils sont bien certains que tout le monde "a aidé".
Pour le reste: demander un texte officiel et alerter les syndicats je suis d'accord mais pour le premier point je n'ai pas l'énergie d'insister parce que souvent tout le monde obtempère en ne voyant pas le problème (dernières corrections en date: une collègue qui allait de salle en salle pour "chercher des copies car elle avait fini et qu'il fallait bien avancer les collègues"), et pour le second point les représentants syndicaux qui participent aux corrections valident.
Je me sens démunie, bête et en colère. Dans l'absolu c'est toi qui as raison, dans les faits c'est un vrai parcours du combattant et toujours pareil, sans sursaut collectif on n'y arrive pas. Et franchement pour ça depuis quelques années je n'y arrive pas.
- marjoDoyen
De mon côté, on a des horaires de convocation moisis mais je n'ai jamais eu droit à tout ce que vous racontez (pause imposée à midi, obligation de rester tant que tout le monde n'a pas fini...)
- FenrirFidèle du forum
Mon ancien centre de correction nous envoyait un mail "d'intimidation" à propos de "l'entraide" imposée, mais n'a jamais rien dit quand nous partions une fois nos copies corrigées. Comme quoi...
J'en change cette année, on verra.
J'en change cette année, on verra.
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À quoi bon mettre son pédigrée, on est partis pour 40 ans*. ████ ████. * 42, il faut lire 42.
- Cléopatra2Guide spirituel
C'est pour ça qu'il suffit de demander un texte. Si tu arrives en demandant le nombre de copies et que tu complètes les bordereaux en partant, que peut-on te reprocher? Et si tu as corrigé tes copies et qu'on t'empêche de signer les bordereaux, demande le texte qui te force à rentrer toi-même les notes. Il faut jouer au plus c.... avec ces gens. Ces agissement sont le fait d'une minorité d'hallucinés.
- zigmag17Guide spirituel
C'est vrai. Je vais voir si cette année j'aurai le cran de faire ça.
- MalavitaÉrudit
La pause déjeuner ne me choque pas. Chez nous, on est convoquée de plus en plus tôt, donc j'ai décollé à 7 h, alors la pause midi est la bienvenue. En revanche, cela m'agace de ne pas avoir de tas de copies attitré : on nous les donne par vingt au fil de l'eau. Donc, on doit attendre que tout le monde ait terminé par demie-journée et on sait que nous corrigeons sur deux jours. Trop de copies pour que cela tienne sur la journée. On ne complète pas les bordereaux, ce sont les chefs de salle qui le font quand un lot est terminé et impossible de partir qu'ils aient terminé.
En revanche, une collègue était furieuse car elle était convoquée pour trois jours et ils auraient pu corriger en une seule journée (les années précédentes, ils corrigeaient une copie à plusieurs, chacun se spécialisant dans un exercice) mais on les a freinés donc trois jours de correction à l'autre bout de l'académie sans remboursement des frais d'hébergement... Il semblerait donc bien que l'on nous impose de revenir sur plusieurs jours.
En revanche, une collègue était furieuse car elle était convoquée pour trois jours et ils auraient pu corriger en une seule journée (les années précédentes, ils corrigeaient une copie à plusieurs, chacun se spécialisant dans un exercice) mais on les a freinés donc trois jours de correction à l'autre bout de l'académie sans remboursement des frais d'hébergement... Il semblerait donc bien que l'on nous impose de revenir sur plusieurs jours.
- lilith888Grand sage
Ce fil m'horrifie...nous sommes foutus, définitivement... je vous souhaite bien du plaisir, personnellement, comme j'apprécie peu de servir de paillasson, je serai en grève, comme tous les ans.
- Manu7Expert spécialisé
moi c'est moi a écrit:Je n'exagère pas quand je dis 1h30
J'ai connu des profs qui corrigeaient leur paquet en moins de 2 h à mes débuts, donc je pense que l'an dernier et cette année aussi c'est faisable en 1h30, tout en corrigeant correctement tellement l'épreuve a été raccourcie.
Chez nous (ac Poitiers) la pause déjeuner est obligatoire avec fermeture des salles, et l'an dernier certains avaient terminés avant la pause donc ils ont du attendre 45 min pour rentrer les notes...
- Sophie38Fidèle du forum
C'est peut-être pour cette raison que chez nous, au lieu d'avoir 41-43 copies, on nous annonce 55-60 copies par correcteur !!!!
- moi c'est moiNiveau 9
Je pourrais pas appeler la police pour séquestration comme vous m'avez conseillé...
Document officiel de l'académie stipulant que tous les correcteurs doivent être présents lors des différentes phases de corrections, harmonisation et saisie des notes...
Plus besoin de consensus comme nous faisions avant.
Document officiel de l'académie stipulant que tous les correcteurs doivent être présents lors des différentes phases de corrections, harmonisation et saisie des notes...
Plus besoin de consensus comme nous faisions avant.
- AmauryNiveau 5
Concernant la pause méridienne imposée - qui personnellement ne me dérange pas, au contraire j'en ai besoin -, j'ai un collègue qui ne se laisse pas démonter et refuse tout simplement de sortir de la salle. Que peuvent-ils faire à part lui dire que c'est vilain pas beau ? Appeler les flics pour l'en déloger ?
- lilith888Grand sage
moi c'est moi a écrit:Je pourrais pas appeler la police pour séquestration comme vous m'avez conseillé...
Document officiel de l'académie stipulant que tous les correcteurs doivent être présents lors des différentes phases de corrections, harmonisation et saisie des notes...
Plus besoin de consensus comme nous faisions avant.
Bouh ! Si l'autorité le dit, alors, inclinons-nous docilement !
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Il y a deux ans, on a voulu m’empêcher de partir. J’ai dit « non, j’ai fini mon paquet, j’ai corrigé des copies du paquet de mon collègue stagiaire, je ne resterai pas. »
« Mais l’inspection dit que vous ne devez pas sortir avant 15h. »
« Eh bien vous donnerez mon nom à l’inspecteur et vous lui direz que je n’ai pas voulu rester ici à ne rien faire, je ne prendrai de toute façon aucune copie de plus, j’ai fait mon devoir. »
Je suis partie. Jamais été embêtée.
« Mais l’inspection dit que vous ne devez pas sortir avant 15h. »
« Eh bien vous donnerez mon nom à l’inspecteur et vous lui direz que je n’ai pas voulu rester ici à ne rien faire, je ne prendrai de toute façon aucune copie de plus, j’ai fait mon devoir. »
Je suis partie. Jamais été embêtée.
_________________
Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- lilith888Grand sage
Voilà. A croire que certains aiment se faire maltraiter.
- LadyOlennaModérateur
Je trouve ce genre de prise à partie des collègues qui n'osent pas, de façon aussi ferme que toi, s'opposer, en les traitant de "paillasson" et en les faisant passer pour des lâches, ce que donc toi tu n'es pas, ni très respectueux, ni très constructif, ni surtout très efficace pour convaincre ceux qui hésitent.lilith888 a écrit:Ce fil m'horrifie...nous sommes foutus, définitivement... je vous souhaite bien du plaisir, personnellement, comme j'apprécie peu de servir de paillasson, je serai en grève, comme tous les ans.
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