- BaldredSage
Article du Monde sur la réforme du DNB
https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/01/07/brevet-des-colleges-la-reforme-de-gabriel-attal-le-choix-d-une-rupture-avec-l-histoire-d-un-examen-vieux-de-76-ans_6209551_3224.html
Ambition du Ministre :
L'article fait ensuite l'historique tourmenté de cet examen qui n'a donc jamais été le sésame pour le Lycée.
Puis ce qui va changer :
Les difficultés attendues :
Et surtout la santé !
https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/01/07/brevet-des-colleges-la-reforme-de-gabriel-attal-le-choix-d-une-rupture-avec-l-histoire-d-un-examen-vieux-de-76-ans_6209551_3224.html
Ambition du Ministre :
Le brevet pâtit d’une « dévalorisation des notes » et d’un « affaissement du niveau d’exigence », le ministre a acté une révision de ses modalités d’obtention ainsi qu’une transformation de son statut.
« Un examen qui a du sens, c’est un examen qui a des conséquences », a argué M. Attal en annonçant que le premier examen passé par les élèves français dans leur scolarité serait un prérequis pour intégrer la classe de 2de à partir de 2025. « Quand on échoue au brevet, ça veut dire qu’on n’a pas le niveau pour entrer au lycée », a-t-il tranché.
L'article fait ensuite l'historique tourmenté de cet examen qui n'a donc jamais été le sésame pour le Lycée.
Puis ce qui va changer :
Gabriel Attal veut mettre fin à ce système et a annoncé que le barème du contrôle continu serait revu à partir de 2025 et ne serait plus fondé sur la maîtrise des compétences mais sur les moyennes obtenues tout au long de l’année. Les épreuves terminales ne seront en outre plus comptabilisées à parts égales avec le contrôle continu mais pèseront pour 60 % de la note finale. Ceux qui ne valideront pas leur brevet ne pourront pas entrer en 2de, mais ne redoubleront pas non plus leur 3e. Ils seront dirigés vers une « prépa lycée », une nouvelle classe créée dans les lycées pour une remise à niveau d’un an.
Les difficultés attendues :
Les quelque 83 000 candidats aujourd’hui recalés ne sont cependant pas équitablement répartis : en réseau d’éducation prioritaire (REP), le taux de réussite moyen est de 82 %, et même de 79 % en REP+. Les classes de remise à niveau risquent donc d’être plus nombreuses dans certains territoires et établissements, et d’aucuns craignent qu’elles ne contribuent à accroître les taux de décrochage, déjà plus élevés parmi ces élèves.
Le SNES-FSU, premier syndicat du secondaire, dénonce la création d’une « classe de relégation, stigmatisante et n’offrant surtout aucune garantie sur le fait que ces élèves puissent poursuivre les études de leur choix ». « Ce serait un renoncement à l’ambition d’amener tous les élèves à un haut niveau de qualification », estime sa secrétaire générale, Sophie Vénétitay. « Avec ce nouveau statut du brevet et des groupes de niveau au collège, on risque de voir la logique du socle commun jusqu’à 16 ans se disloquer », redoute de son côté Alexis Torchet, du SGEN-CFDT. Le SE-UNSA partage cette crainte et voit dans la transformation du brevet en « baccalauréat des collèges » une « régression » qui « oriente le collège vers la préparation d’un examen » et « enterre le socle de compétences ».
Et surtout la santé !
- henrietteMédiateur
Message scindé du fil des annonces de G. Attal.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- trompettemarineMonarque
Et que se passera-t-il pour le bonus accordé aux latinistes et aux élèves en langue euro ?
Sauf ce problème qui n'en est peut-être pas un, je suis bien contente de voir disparaître ces compétences.
Sauf ce problème qui n'en est peut-être pas un, je suis bien contente de voir disparaître ces compétences.
- GanbatteHabitué du forum
trompettemarine a écrit:Et que se passera-t-il pour le bonus accordé aux latinistes et aux élèves en langue euro ?
Sauf ce problème qui n'en est peut-être pas un, je suis bien contente de voir disparaître ces compétences.
On peut vite imaginer un effet inattendu, pas mal d'élèves en difficulté se jetant sur les langues anciennes, pour essayer d'arracher quelques miettes de points au brevet.
- JacqGuide spirituel
L'UNSA pleure déjà à propos des compétences... Qu'il pleure !
http://sections.se-unsa.org/80/spip.php?article4550
Autre message de l'UNSA :
https://ecoleetsociete.se-unsa.org/Choc-des-savoirs-la-classe-prepa-lycee-ou-comment-on-reinvente-l-eau-tiede
"La fin du « dernier mot aux parents » en 3e
Les parents ne pourront pas s’opposer à l’affectation dans cette seconde passerelle si l’élève n’a pas obtenu son DNB. Environ 85 000 élèves devraient être concernés par cette mesure (11 % d’échec au DNB) et scolarisés dans les classes de seconde « prépa-lycée ». Une question reste en suspens : quid des élèves n’ayant pas obtenu le DNB et qui voudraient aller en CAP ?"
Et quid des élèves de 3e qui veulent aller en bac pro ?
Je me fiche, je l'ai déjà écrit, qu'ils aient leur brevet ou non pour entrer en seconde bac pro (de toute façon, quand on voit le niveau de certains qui ont leur brevet...). Si c'est pour leur faire perdre une année de scolarité, pour les faire entrer où ensuite ? En première bac pro ? Avec perte d'une année de formation professionnelle alors que ces élèves ont besoin d'entrer dans la pratique pro pour retrouver un peu de sens à leur scolarité ?
http://sections.se-unsa.org/80/spip.php?article4550
Autre message de l'UNSA :
https://ecoleetsociete.se-unsa.org/Choc-des-savoirs-la-classe-prepa-lycee-ou-comment-on-reinvente-l-eau-tiede
"La fin du « dernier mot aux parents » en 3e
Les parents ne pourront pas s’opposer à l’affectation dans cette seconde passerelle si l’élève n’a pas obtenu son DNB. Environ 85 000 élèves devraient être concernés par cette mesure (11 % d’échec au DNB) et scolarisés dans les classes de seconde « prépa-lycée ». Une question reste en suspens : quid des élèves n’ayant pas obtenu le DNB et qui voudraient aller en CAP ?"
Et quid des élèves de 3e qui veulent aller en bac pro ?
Je me fiche, je l'ai déjà écrit, qu'ils aient leur brevet ou non pour entrer en seconde bac pro (de toute façon, quand on voit le niveau de certains qui ont leur brevet...). Si c'est pour leur faire perdre une année de scolarité, pour les faire entrer où ensuite ? En première bac pro ? Avec perte d'une année de formation professionnelle alors que ces élèves ont besoin d'entrer dans la pratique pro pour retrouver un peu de sens à leur scolarité ?
- MalavitaÉrudit
Peut-être que je me trompe mais je pense que lorsque Attal parle de brevet pour entrer en lycée, il ne pense pas au LP. Comme @Jacq, cela ne m'intéresse pas de savoir si mes élèves de LP ont le DNB ou non. Je l'espère vraiment pour les élèves car mes CAP n'ont pas le DNB car ils passé le CFG. D'ailleurs, cela risque d'être cela la stratégie des collèges : ne pas inscrire les élèves trop justes au DNB mais au CFG...
- ElyasEsprit sacré
Les compétences ne disparaîtront pas. Nous sommes liés par un traité européen. Attal fait du vent. J'attends les textes.
Dans tous les cas, il est certain qu'on va augmenter le stress et l'angoisse des milliers d'élèves de 3e. On aurait pu faire autrement. Il est déjà plus difficile d'avoir le brevet que le bac. De plus, la répartition des points donne 400 points au brevet et 400 points au contrôle continu plus un bonus pour les disciplines optionnelles comme le latin. Le changement sera donc minime.
Le problème va être cette obligation d'avoir le brevet pour entrer au lycée. Là, un GROS PROBLEME apparaît : le calendrier administratif et organisationnel. Les DHG se décident en février/mars. On fait quoi s'il y a trop d'élèves sans brevets ou plus avec le brevet. Je rappelle qu'on "doit donner des classes prépa lycée" à ceux qui n'ont pas le brevet et que ce sera dans les DHG des lycées... données avant le brevet (genre quatre mois avant).
Je parie qu'on va bien s'amuser dans les harmonisations par bassin, où il va falloir faire coïncider les DHG avec les résultats du DNB.
Bref, cela va créer un stress énorme tant chez les élèves que chez les personnels de l'Education nationale.
Dans tous les cas, il est certain qu'on va augmenter le stress et l'angoisse des milliers d'élèves de 3e. On aurait pu faire autrement. Il est déjà plus difficile d'avoir le brevet que le bac. De plus, la répartition des points donne 400 points au brevet et 400 points au contrôle continu plus un bonus pour les disciplines optionnelles comme le latin. Le changement sera donc minime.
Le problème va être cette obligation d'avoir le brevet pour entrer au lycée. Là, un GROS PROBLEME apparaît : le calendrier administratif et organisationnel. Les DHG se décident en février/mars. On fait quoi s'il y a trop d'élèves sans brevets ou plus avec le brevet. Je rappelle qu'on "doit donner des classes prépa lycée" à ceux qui n'ont pas le brevet et que ce sera dans les DHG des lycées... données avant le brevet (genre quatre mois avant).
Je parie qu'on va bien s'amuser dans les harmonisations par bassin, où il va falloir faire coïncider les DHG avec les résultats du DNB.
Bref, cela va créer un stress énorme tant chez les élèves que chez les personnels de l'Education nationale.
- frecheGrand sage
Que les élèves entrent en 2nde ou en prépa lycée, ils quittent le collège, donc pour le collège, ça ne change pas. C'est pour les répartitions au lycée que ça peut avoir une influence.
- ElyasEsprit sacré
freche a écrit:Que les élèves entrent en 2nde ou en prépa lycée, ils quittent le collège, donc pour le collège, ça ne change pas. C'est pour les répartitions au lycée que ça peut avoir une influence.
Tu paries combien que ça va être plus compliqué que ça.
- FenrirFidèle du forum
Malavita a écrit:Peut-être que je me trompe mais je pense que lorsque Attal parle de brevet pour entrer en lycée, il ne pense pas au LP. Comme @Jacq, cela ne m'intéresse pas de savoir si mes élèves de LP ont le DNB ou non. Je l'espère vraiment pour les élèves car mes CAP n'ont pas le DNB car ils passé le CFG. D'ailleurs, cela risque d'être cela la stratégie des collèges : ne pas inscrire les élèves trop justes au DNB mais au CFG...
Le saut entre le DNB est le CFG est abyssal. Je miserais sur une augmentation d'inscriptions au DNB pro. Même si certaines années il n'a rien à envier au DNB en terme de "difficulté". Aucun mépris de ma part, ni pour cette version du brevet, ni pour ceux qui la passent (et l'obtiennent).
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À quoi bon mettre son pédigrée, on est partis pour 40 ans*. ████ ████. * 42, il faut lire 42.
- MoyenCrocoNiveau 10
Les répartitions pour le lycées vont être plus compliquées étant donnés qu'on ne sait pas combien de classes "pont de singe" (classe passerelle étant déjà utilisé) vont devoir être créées.
Pareil, on ne sait pas quelles seront les disciplines de cette classe. Pas de physique ? Pas de SES ? Triple dose de maths/français ?
Ou juste un semblant d'effectif réduit pour faire figure de ventilateur lorsque l'été approche ?
Pareil, on ne sait pas quelles seront les disciplines de cette classe. Pas de physique ? Pas de SES ? Triple dose de maths/français ?
Ou juste un semblant d'effectif réduit pour faire figure de ventilateur lorsque l'été approche ?
- BenjiNiveau 1
En tant que prof de lycée, cette nouveauté de "classe prépa lycée" soulève tout un tas d'interrogations:
- Tous les lycées seront-ils concernés par la création de ces classes? Dans mon lycée, le taux d'occupation est excédentaire: impossible de trouver une salle libre pour faire une heure exceptionnelle, quasi-impossible de venir s'installer en avance car toutes les salles sont tout le temps prises. Je ne vois pas comment on pourrait trouver de l'espace soudainement.
- Quel genre de matières seront enseignées? Avec quel volume horaire? Dans tous les cas, il va falloir gonfler les DGH d'une manière considérable à l'échelle nationale. A moins qu'il faille fonctionner à dotation égale, c'est-à-dire supprimer des demi-groupes pour trouver des heures prépa-lycée, ce qui serait catastrophique.
- Il faudra absolument concevoir des classes à effectifs très réduits, si l'idée est de mettre ensemble exclusivement des élèves ayant échoué au brevet et pratiquer la remédiation.
- Et si un élève, à la fin de l'année, n'a toujours pas le niveau pour entrer en lycée général? D'ailleurs, comment cela sera-t-il évalué?
etc.
- Tous les lycées seront-ils concernés par la création de ces classes? Dans mon lycée, le taux d'occupation est excédentaire: impossible de trouver une salle libre pour faire une heure exceptionnelle, quasi-impossible de venir s'installer en avance car toutes les salles sont tout le temps prises. Je ne vois pas comment on pourrait trouver de l'espace soudainement.
- Quel genre de matières seront enseignées? Avec quel volume horaire? Dans tous les cas, il va falloir gonfler les DGH d'une manière considérable à l'échelle nationale. A moins qu'il faille fonctionner à dotation égale, c'est-à-dire supprimer des demi-groupes pour trouver des heures prépa-lycée, ce qui serait catastrophique.
- Il faudra absolument concevoir des classes à effectifs très réduits, si l'idée est de mettre ensemble exclusivement des élèves ayant échoué au brevet et pratiquer la remédiation.
- Et si un élève, à la fin de l'année, n'a toujours pas le niveau pour entrer en lycée général? D'ailleurs, comment cela sera-t-il évalué?
etc.
- henrietteMédiateur
La "logique" serait-elle que ces élèves repassent le DNB et le réussissent cette fois s'ils veulent entrer en 2nde GT ?
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- SallustiusNiveau 9
Si l'orientation est décidée par les professeurs et que seul le passage en 2nde GT est bloqué, vous pensez vraiment que ce dispositif concernera beaucoup d'élèves ? Vous en avez beaucoup pour lesquels vous êtes favorables au passage en 2nde GT et qui n'ont pas le DNB ?
- pseudo-intelloSage
Ganbatte a écrit:trompettemarine a écrit:Et que se passera-t-il pour le bonus accordé aux latinistes et aux élèves en langue euro ?
Sauf ce problème qui n'en est peut-être pas un, je suis bien contente de voir disparaître ces compétences.
On peut vite imaginer un effet inattendu, pas mal d'élèves en difficulté se jetant sur les langues anciennes, pour essayer d'arracher quelques miettes de points au brevet.
C'est rigolo, parce qu'on a précisément eu le cas l'an dernier. Un élève dont la moyenne aurait pu être pire, mais pour lequel le passage à l'écrit était catastrophique (parce qu'en sus des difficultés lourdes et anciennes, il refusait tout réel effort). Le conseil s'est opposé à la seconde générale. Le père a appelé le lendemain. Le principal n'avait pas envie de monter tout un dossier pour perdre en appel (je le comprends), il a finalement validé la seconde GT.
L'élève n'a pas eu le DNB.
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- BaldredSage
Sallustius a écrit:Si l'orientation est décidée par les professeurs et que seul le passage en 2nde GT est bloqué, vous pensez vraiment que ce dispositif concernera beaucoup d'élèves ? Vous en avez beaucoup pour lesquels vous êtes favorables au passage en 2nde GT et qui n'ont pas le DNB ?
La question serait plutôt le nombre d'élèves que nous ne ferions pas passer en 2nGT et qui ont leur brevet..
Et c'est très variable selon les classes et les établissements.
La stratégie est simple : si tout le monde passe au lycée, GT pourquoi pas moi ? Et si tout le monde a le Bac GT, pourquoi pas moi.
Pour évaluer le nombre d'élèves qui n'auront pas ce nouveau brevet barrage, il faudrait regarder les réorientations de fin de seconde, en particulier en STMG.
Il me paraît difficile de durcir le brevet sans durcir le Bac et valoriser les filières Pro. Sinon il y aura toujours autant d'élèves à tenter le lycée sans le niveau
- KilmenyEmpereur
Ca ne change rien pour le nombre. Les élèves qui n'ont pas le brevet et qui allaient autrefois en lycée, iront toujours au lycée mais dans une classe qui se nommera "prépa-lycée" au lieu de seconde F. Qu'ils soient en seconde F ou en prépa lycée, ça ne change pas le nombre d'élèves. ni de classe. Seulement l'une de ces classes aura un autre nom et sera une classe de niveau (élèves sans brevet)
Il faut bien sûr voir les horaires de cette prépa. Mais ce n'est qu'ajustement des répartitions ensuite.
Il faut bien sûr voir les horaires de cette prépa. Mais ce n'est qu'ajustement des répartitions ensuite.
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- Prosper de BaranteHabitué du forum
Vous ne pensez pas que dans l’esprit de notre ministre, cette classe prépa sera en lycée pro ?
- KilmenyEmpereur
Je ne crois pas. Actuellement les élèves qui n'ont pas le brevet sont rarement admis en pro.
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Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- somacNiveau 7
Kilmeny a écrit:Ca ne change rien pour le nombre. Les élèves qui n'ont pas le brevet et qui allaient autrefois en lycée, iront toujours au lycée mais dans une classe qui se nommera "prépa-lycée" au lieu de seconde F. Qu'ils soient en seconde F ou en prépa lycée, ça ne change pas le nombre d'élèves. ni de classe. Seulement l'une de ces classes aura un autre nom et sera une classe de niveau (élèves sans brevet).
Tout à fait. "Prépa lycée" = seconde F
Mais, en toute logique, ces élèves devraient en fin d'année repasser le Brevet... sinon quel intérêt ?
Et donc les enseignants de lycée devront connaître et maîtriser les programmes de 3ème.
En toute logique...
- MoyenCrocoNiveau 10
Entre leur c***eries de vouloir mettre les profs de LP au collège, et autres joyeusetés, qu'un prof de lycée ait à connaître le programme de 3ème ne me choque pas.
Manquerait plus que ce soit les profs de LP qui aillent s'occuper de cette nouvelle 2nde en LGT
Manquerait plus que ce soit les profs de LP qui aillent s'occuper de cette nouvelle 2nde en LGT
- zigmag17Guide spirituel
MoyenCroco a écrit:Entre leur c***eries de vouloir mettre les profs de LP au collège, et autres joyeusetés, qu'un prof de lycée ait à connaître le programme de 3ème ne me choque pas.
Manquerait plus que ce soit les profs de LP qui aillent s'occuper de cette nouvelle 2nde en LGT
C'est possible. Mais dans ce cas vous devrez savoir qu'on n'aura rien demandé. Par ailleurs on peut avoir des 3e et on a aussi le droit d'enseigner en BTS. Je sais que ça en défrise certains mais c'est comme ça. Nous ne sommes pas forcément décisionnaires de tous les textes pondus par l'EN. Ce dysfonctionne à tous les niveaux mais pour le coup je prends mal ton message.
Et je le répète, dans ces histoires d'aller enseigner au collège par exemple nous ne sommes pour rien.
- Vautrin84Niveau 10
J'ai lu qu'il envisage d'installer ces classes dans les lycées GT et PRO. Attendons déjà les CR de la visio de demain...
_________________
15e année dans l'EN !
- Spoiler:
- - 2023/2024 (T12) : 1 6e + 2 3e + section Histoire des Arts 6e/5e/4e/3e [+ 1 stagiaire]
- 2022/2023 (T11) : 1 groupe de 6e + 2 3e (PP) + section Histoire des Arts 6e/5e/4e/3e [+ 1 stagiaire]
- 2021/2022 (T10) : 1 4e (PP) + 2 3e + section Histoire des Arts 6e/5e/4e [+ 2 étudiants stagiaires]
- 2020/2021 (T9) : 1 5e + 2 3e (PP) + section Histoire des Arts 6e & 5e [+ 1 stagiaire]
- 2019/2020 (T8) : 2 groupes de 6e (PP) + 2 4e + section Histoire des Arts 6e [+ 1 stagiaire]
- 2018/2019 (T7) : 2 groupes de 6e + 2 3e (PP) + UPE2A
- 2017/2018 (T6) : 1 5e + 2 4e + 1 3e (PP)
- 2016/2017 (T5) : 2 5e + 2 3e (PP) [+ 1 EAP]
- 2015/2016 (T4) : 1 6e + 1 4e + 2 3e (PP) [+ 1 EAP]
- 2014/2015 (T3) : 1 6e + 1 5e + 2 3e (PP) [+ 1 EAP]
- 2013/2014 (T2) : 1 6e (PP) + 2 4e + 1 3e
- 2012/2013 (T1) : 2 5e + 2 3e
- 2011/2012 (stagiaire) : 2 5e + 2 4e
- 2009/2011 (AP Lettres) : 2de + 1re ES/L/S + Tle L
- MoyenCrocoNiveau 10
Ca n'était pas une critique envers les profs de LPzigmag17 a écrit:MoyenCroco a écrit:Entre leur c***eries de vouloir mettre les profs de LP au collège, et autres joyeusetés, qu'un prof de lycée ait à connaître le programme de 3ème ne me choque pas.
Manquerait plus que ce soit les profs de LP qui aillent s'occuper de cette nouvelle 2nde en LGT
C'est possible. Mais dans ce cas vous devrez savoir qu'on n'aura rien demandé. Par ailleurs on peut avoir des 3e et on a aussi le droit d'enseigner en BTS. Je sais que ça en défrise certains mais c'est comme ça. Nous ne sommes pas forcément décisionnaires de tous les textes pondus par l'EN. Ce dysfonctionne à tous les niveaux mais pour le coup je prends mal ton message.
Et je le répète, dans ces histoires d'aller enseigner au collège par exemple nous ne sommes pour rien.
C'est une critique envers l'EN qui utilise les profs de LP comme variable d'ajustement pour tout et n'importe quoi
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