- lagoulueNiveau 8
Souvent après un livre fort il me faut une petite lecture de transition (un truc léger, rapide ... pas fort ).
- LaugarithmeFidèle du forum
J'aurais du les lire dans l'ordre inverselagoulue a écrit:Souvent après un livre fort il me faut une petite lecture de transition (un truc léger, rapide ... pas fort ).
- floisaNiveau 9
Laugarithme a écrit:
Défi 27 : Livre qui contient un nom de fruit ..... les raisins de la colère de John steinbek.
J'ai dévoré ce bouquin dans sa nouvelle traduction, peut-être un peu trop moderne avec quelques expressions qui m'ont surprises (par exemple : " il n'a pas la lumière à tous les étages ") mais c'est un détail.
Ce livre est d'une modernité extraordinaire, hélas peut-on dire, puisque la misère qui est décrite et la tragédie vécue par "les migrants" sont les mêmes hier comme aujourd'hui. Les problèmes environnementaux y sont déjà présents. Le récit alterne entre des chapitres qui décrivent le contexte dans lequel se déroule le roman ( contexte économique ou environnemental) et des chapitres qui nous permettent de suivre la vie de la famille Jaod contrainte de s'exiler vers la Californie. Ils espèrent y trouver la terre promise. Il n'en sera rien. On suit aussi l'évolution de Tom et sa prise de conscience politique de plus en plus importante.
C'est un chef d'oeuvre qui vous laisse pantelant.
A lire ou à relire et à garder sans réserve.
Ce sera, j'en suis sure dans mon top 5.
Il est difficile de commencer un autre livre ....
Je suis en train de découvrir Rue de la Sardine (Cannery Row) de Steinbeck: moins épique, beaucoup plus intimiste mais tout aussi magistral.
- LaugarithmeFidèle du forum
Je retiens l'idée, merci @floisa.
J'ai aussi " Des souris et des hommes " sous le coude.
Quelqu'un a t-il a t-il lu différentes traductions des livres de Steinbeck (Les raisins ......Des souris .....).
Est ce que cela fait vraiment une différence ou est un coup marketing ?
J'ai aussi " Des souris et des hommes " sous le coude.
Quelqu'un a t-il a t-il lu différentes traductions des livres de Steinbeck (Les raisins ......Des souris .....).
Est ce que cela fait vraiment une différence ou est un coup marketing ?
- AphrodissiaMonarque
Bravo aux premières !
Je n'avance pas si vite ! Mais j'ai validé 3 défis.
Défi 2: le nom de l'auteur est un nom commun:Victor del Árbol, Le fils du père puisque Árbol signifie "arbre" en espagnol.
Un roman très sombre, auquel j'ai eu du mal à m'intéresser alors que je lis régulièrement des romans de cet auteur et que je les aime bien. C'est peut-être par fatigue.
L'histoire raconte l'histoire de trois générations d'assassins. Le grand-père a participé à la guerre dans la division Azul aux côtés des nazis sur le front russe. Le père a aussi commis un meurtre et mené une vie de malfrat. Le fils est devenu professeur d'université et enfermé dans une unité psychiatrique après un assassinat qu'il a commis. Le roman retrace les relations des uns avec les autres, des relations dures et destructrices.
Le roman peut aller dans les défis 40 (un roman noir), 38 et 39, car il y est aussi question de ces personnages dans leur adolescence et leurs rêves d'enfance.
Défi 5: Séduction: Lola Lafon, Chavirer
J'ai dévoré ce roman, prise par cette histoire de jeunes femmes qui doivent se reconstruire après avoir été victimes de prédateurs sexuels. Je le place dans "Séduction" parce que c'est ce que doivent faire ces toutes jeunes filles pour atteindre leur rêve: séduire un jury qui octroiera une bourse.
Le roman peut convenir au défi 13, Cléo, le personnage principal, est à la recherche du pardon. Evidemment, le roman peut lui aussi valider les défis 38 et 39, puisqu'il raconte la vie d'adolescentes qui ont voulu croire à leurs rêves d'enfants.
Défi 4: un possessif dans le titre; Gilles Gauvin et David D’Eurveilher, Nout péi ("nout" veut dire "notre" en créole réunionnais)
C'est un bel album jeunesse en noir et blanc qui retrace l'histoire de la Réunion, des origines jusqu'à 1946. Il y aura un tome 2. Je dirais bien que c'est une histoire de la violence: violence écologique (domestication de la nature), violence sociale (esclavage)...
Ce livre pourrait entrer dans les défis 12 (une région française), 30 (les animaux: ceux qui ont été décimés), 41 (Gilles Gauvin est un historien) et 47 (publié en 2024)
Cela me fait 16 défis validés, si je compte bien et je devrais en valider rapidement deux de plus avec mes en-cours: Les Mystères de Paris d'Eugène Sue et Clara et la pénombre de José Carlos Somoza.
Je n'avance pas si vite ! Mais j'ai validé 3 défis.
Défi 2: le nom de l'auteur est un nom commun:Victor del Árbol, Le fils du père puisque Árbol signifie "arbre" en espagnol.
Un roman très sombre, auquel j'ai eu du mal à m'intéresser alors que je lis régulièrement des romans de cet auteur et que je les aime bien. C'est peut-être par fatigue.
L'histoire raconte l'histoire de trois générations d'assassins. Le grand-père a participé à la guerre dans la division Azul aux côtés des nazis sur le front russe. Le père a aussi commis un meurtre et mené une vie de malfrat. Le fils est devenu professeur d'université et enfermé dans une unité psychiatrique après un assassinat qu'il a commis. Le roman retrace les relations des uns avec les autres, des relations dures et destructrices.
Le roman peut aller dans les défis 40 (un roman noir), 38 et 39, car il y est aussi question de ces personnages dans leur adolescence et leurs rêves d'enfance.
Défi 5: Séduction: Lola Lafon, Chavirer
J'ai dévoré ce roman, prise par cette histoire de jeunes femmes qui doivent se reconstruire après avoir été victimes de prédateurs sexuels. Je le place dans "Séduction" parce que c'est ce que doivent faire ces toutes jeunes filles pour atteindre leur rêve: séduire un jury qui octroiera une bourse.
Le roman peut convenir au défi 13, Cléo, le personnage principal, est à la recherche du pardon. Evidemment, le roman peut lui aussi valider les défis 38 et 39, puisqu'il raconte la vie d'adolescentes qui ont voulu croire à leurs rêves d'enfants.
Défi 4: un possessif dans le titre; Gilles Gauvin et David D’Eurveilher, Nout péi ("nout" veut dire "notre" en créole réunionnais)
C'est un bel album jeunesse en noir et blanc qui retrace l'histoire de la Réunion, des origines jusqu'à 1946. Il y aura un tome 2. Je dirais bien que c'est une histoire de la violence: violence écologique (domestication de la nature), violence sociale (esclavage)...
Ce livre pourrait entrer dans les défis 12 (une région française), 30 (les animaux: ceux qui ont été décimés), 41 (Gilles Gauvin est un historien) et 47 (publié en 2024)
Cela me fait 16 défis validés, si je compte bien et je devrais en valider rapidement deux de plus avec mes en-cours: Les Mystères de Paris d'Eugène Sue et Clara et la pénombre de José Carlos Somoza.
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- Reine MargotDemi-dieu
36. Pirates ou hors la loi: la coupe d'or, John Steinbeck
Récit assez classique de piraterie, qui raconte le parcours d'Henry Morgan, au XVIIe s. L'évocation du monde des flibustiers, depuis les lieux exotiques de la jungle de Panama jusqu'aux villes espagnoles et les îles de la côte, est prenante. Steinbeck saisit bien le ressort majeur de la séduction de ces récits: les pirates et autres flibustiers sont mus par le désir de quelque chose d'insaississable, qui se matérialise par l'envie d'ailleurs (le jeune Morgan ne cesse de partir de son pays de Galles), puis par la soif du pouvoir, assouvie par la conquête des villes espagnoles, et enfin des femmes, resprésentées par le personnage très réussi de la Santa Roja. Mais le pirate est sans cesse déçu, comme l'avait prédit Merlin au jeune Henry, et l'enfant finit par devenir adulte, c'est à dire par revenir au réel. Joli récit, se lit bien.
Récit assez classique de piraterie, qui raconte le parcours d'Henry Morgan, au XVIIe s. L'évocation du monde des flibustiers, depuis les lieux exotiques de la jungle de Panama jusqu'aux villes espagnoles et les îles de la côte, est prenante. Steinbeck saisit bien le ressort majeur de la séduction de ces récits: les pirates et autres flibustiers sont mus par le désir de quelque chose d'insaississable, qui se matérialise par l'envie d'ailleurs (le jeune Morgan ne cesse de partir de son pays de Galles), puis par la soif du pouvoir, assouvie par la conquête des villes espagnoles, et enfin des femmes, resprésentées par le personnage très réussi de la Santa Roja. Mais le pirate est sans cesse déçu, comme l'avait prédit Merlin au jeune Henry, et l'enfant finit par devenir adulte, c'est à dire par revenir au réel. Joli récit, se lit bien.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- cavatineNiveau 9
Cela fait plusieurs comptes rendus positifs sur La coupe d'or, je pense le mettre dans mes prochaines lectures.
Pour l'item 13. À la recherche de... :
L'Affaire Crystal Singer, d'Ethan Chatagnier
Avis :
Je l'ai lu quasi d'une traite (c'est un court roman de 288 pages), très curieuse tout de même de voir où cela menait et d'avoir des réponses aux mystères posés... Cependant, j'en suis ressortie assez mitigée et presque insatisfaite.
Malgré certaines qualités indéniables (l'uchronie et l'histoire en elle-même sont convaincantes, de même que certaines réflexions philosophiques sur la vie et les relations humaines), j'avoue m'être ennuyée par moments, n'arrivant pas à entrer en résonance avec les personnages, y compris et surtout avec le personnage-narrateur (Rick).
Certaines critiques parlent de ce livre comme d'un "pont" entre la littérature SF et la littérature blanche.
C'est peut-être bien le cas (même si la définition de "littérature blanche" est, pour moi, assez floue). En tout cas, n'étant pas du tout une adepte des œuvres que l'on trouve généralement classées dans la littérature blanche, je pense que je n'étais pas la personne la mieux placée pour apprécier à sa juste valeur ce roman, qui est bel et bien réussi, mais qui n'a pas pu m'emporter comme il a pu (et pourra) le faire pour d'autres lecteurs.
Le roman peut aussi cocher les items 6. Déplacement (beaucoup de déplacements sur les routes, dont la fameuse Route 66), 10. Un livre sur la langue ou les langues (le "Curieux langage" des Martiens, les langages mathématiques, tout ce qui tourne autour de la communication ainsi que d'autres formes de langage...), 17. Un livre avec trois « a » dans le titre.
Pour l'item 13. À la recherche de... :
L'Affaire Crystal Singer, d'Ethan Chatagnier
- Résumé (Babelio):
- C’est en 1896 que de premières inscriptions extraterrestres sont observées à la surface de Mars, une simple énigme mathématique : 2+2=4, 3+3=?. Une discussion Terre-Mars à coups d’immenses équations gravées sur la surface des deux planètes respectives s’engagent. Mais prend fin dans les années 30 quand une équation sur la relativité met en défaut même Albert Einstein.
Dans les années 60, un groupe d’étudiants en mathématiques du MIT se rend dans le désert de l’Arizona. Une jeune femme, Crystal Singer, propose une solution. Et aussitôt la communication avec Mars reprend, sous la forme d’une équation encore plus compliquée que la précédente. Les cinq étudiants deviennent célèbres et Crystal disparaît, laissant derrière elle son petit-ami Rick, inconsolable. Treize ans après la disparition de la jeune femme, Rick part à sa recherche. Comme tant d’autres, il a besoin de réponses.
Avis :
Je l'ai lu quasi d'une traite (c'est un court roman de 288 pages), très curieuse tout de même de voir où cela menait et d'avoir des réponses aux mystères posés... Cependant, j'en suis ressortie assez mitigée et presque insatisfaite.
Malgré certaines qualités indéniables (l'uchronie et l'histoire en elle-même sont convaincantes, de même que certaines réflexions philosophiques sur la vie et les relations humaines), j'avoue m'être ennuyée par moments, n'arrivant pas à entrer en résonance avec les personnages, y compris et surtout avec le personnage-narrateur (Rick).
Certaines critiques parlent de ce livre comme d'un "pont" entre la littérature SF et la littérature blanche.
C'est peut-être bien le cas (même si la définition de "littérature blanche" est, pour moi, assez floue). En tout cas, n'étant pas du tout une adepte des œuvres que l'on trouve généralement classées dans la littérature blanche, je pense que je n'étais pas la personne la mieux placée pour apprécier à sa juste valeur ce roman, qui est bel et bien réussi, mais qui n'a pas pu m'emporter comme il a pu (et pourra) le faire pour d'autres lecteurs.
Le roman peut aussi cocher les items 6. Déplacement (beaucoup de déplacements sur les routes, dont la fameuse Route 66), 10. Un livre sur la langue ou les langues (le "Curieux langage" des Martiens, les langages mathématiques, tout ce qui tourne autour de la communication ainsi que d'autres formes de langage...), 17. Un livre avec trois « a » dans le titre.
- EloahExpert spécialisé
Je valide enfin le défi 16 "un livre publié chez Sabine Wespieser" qui m'aura causé bien du souci ! En effet, j'ai parcouru tous les rayons de la librairie (une chaîne à l'enseigne bleue) de ma ville sans trouver un seul de ces livres et pourtant le rayon est assez grand ... J'ai établi une première liste à partir de vos comptes-rendus et je suis allée à la médiathèque mais je n'y ai rien trouvé. Une liste élargie et un 2è passage à la médiathèque m'ont permis de dénicher 2 livres hier youhou !! J'en ai donc lu un aujourd'hui et ce fut une bonne lecture qui me réconcilie avec cet item : Ce genre de petites choses de Claire Keegan.
L'histoire se déroule en Irlande au moment de Noël. On suit Bill qui a une petite entreprise de bois et de charbon et qui donc, en cette saison, est très sollicité. Alors qu'il fait une livraison au couvent voisin, il croise des jeunes femmes pieds nus malgré le froid, vêtues de haillons, l'air apeuré. Il se rend compte que les religieuses ferment le verrou à clé après son départ. Au village, tout le monde raconte que le couvent exploite de jeunes mères célibataires et ça n'empêche personne de vivre sa petite vie, d'aller à la messe ... Bill n'a jamais accordé d'intérêt aux rumeurs mais il sait tout de même ce qu'il a vu et sa conscience le tourmente.
J'ai aimé la délicatesse et la retenue du style ainsi que ce personnage simple et droit dans ses bottes. L'autrice fait ici référence à un scandale qui a secoué l'Irlande lorsqu'on a découvert que dans ses couvents l'église catholique a exploité et maltraité des milliers de jeunes mères, revendant leurs bébés, et ce avec la complicité de l'état mais aussi des populations.
L'histoire se déroule en Irlande au moment de Noël. On suit Bill qui a une petite entreprise de bois et de charbon et qui donc, en cette saison, est très sollicité. Alors qu'il fait une livraison au couvent voisin, il croise des jeunes femmes pieds nus malgré le froid, vêtues de haillons, l'air apeuré. Il se rend compte que les religieuses ferment le verrou à clé après son départ. Au village, tout le monde raconte que le couvent exploite de jeunes mères célibataires et ça n'empêche personne de vivre sa petite vie, d'aller à la messe ... Bill n'a jamais accordé d'intérêt aux rumeurs mais il sait tout de même ce qu'il a vu et sa conscience le tourmente.
J'ai aimé la délicatesse et la retenue du style ainsi que ce personnage simple et droit dans ses bottes. L'autrice fait ici référence à un scandale qui a secoué l'Irlande lorsqu'on a découvert que dans ses couvents l'église catholique a exploité et maltraité des milliers de jeunes mères, revendant leurs bébés, et ce avec la complicité de l'état mais aussi des populations.
- DanskaProphète
Je l'ai lu pour le même défi, Eloah, je l'ai bien aimé également pour les mêmes raisons que toi
Deux nouveaux défis validés ces deux derniers jours (vive les vacances !) :
11. Rois, reines, empereurs et impératrices et autres chefs d'État : La fille du bourreau - Céleste, de Céline Knidler, conseillé par Stephie. Une lecture sans prétention mais sympathique, peut-être plus orientée jeunesse (encore que beaucoup de détails sont donnés sur la profession de bourreau, c'est très intéressant mais peut-être un peu trop scabreux pour des enfants / ados). J'ai quelques doutes sur la crédibilité historique de certaines situations, notamment concernant les liens qui se nouent entre certains personnages, mais l'ensemble se laisse lire avec plaisir.
26. Un livre d'un auteur sud-africain. Une Saison blanche et sèche, de André Brink. Un livre conseillé par Satellite, à la fois addictif et étouffant. On suit la descente aux enfers d'un Afrikaner bien comme il faut, enseignant, marié et père de famille, qui un peu malgré lui se retrouve décidé à faire reconnaître la mort en détention d'un homme noir comme un crime de la Section spéciale qui l'a arrêté. C'est assez terrifiant de se dire que des histoires comme celle-ci ont pu exister et existent toujours réellement, suffisamment pour que ce livre ait d'abord été interdit à la publication en Afrique du Sud.
Deux nouveaux défis validés ces deux derniers jours (vive les vacances !) :
11. Rois, reines, empereurs et impératrices et autres chefs d'État : La fille du bourreau - Céleste, de Céline Knidler, conseillé par Stephie. Une lecture sans prétention mais sympathique, peut-être plus orientée jeunesse (encore que beaucoup de détails sont donnés sur la profession de bourreau, c'est très intéressant mais peut-être un peu trop scabreux pour des enfants / ados). J'ai quelques doutes sur la crédibilité historique de certaines situations, notamment concernant les liens qui se nouent entre certains personnages, mais l'ensemble se laisse lire avec plaisir.
26. Un livre d'un auteur sud-africain. Une Saison blanche et sèche, de André Brink. Un livre conseillé par Satellite, à la fois addictif et étouffant. On suit la descente aux enfers d'un Afrikaner bien comme il faut, enseignant, marié et père de famille, qui un peu malgré lui se retrouve décidé à faire reconnaître la mort en détention d'un homme noir comme un crime de la Section spéciale qui l'a arrêté. C'est assez terrifiant de se dire que des histoires comme celle-ci ont pu exister et existent toujours réellement, suffisamment pour que ce livre ait d'abord été interdit à la publication en Afrique du Sud.
- EloahExpert spécialisé
Danska a écrit:Je l'ai lu pour le même défi, Eloah, je l'ai bien aimé également pour les mêmes raisons que toi
Danska a écrit:
26. Un livre d'un auteur sud-africain. Une Saison blanche et sèche, de André Brink. Un livre conseillé par Satellite, à la fois addictif et étouffant. On suit la descente aux enfers d'un Afrikaner bien comme il faut, enseignant, marié et père de famille, qui un peu malgré lui se retrouve décidé à faire reconnaître la mort en détention d'un homme noir comme un crime de la Section spéciale qui l'a arrêté. C'est assez terrifiant de se dire que des histoires comme celle-ci ont pu exister et existent toujours réellement, suffisamment pour que ce livre ait d'abord été interdit à la publication en Afrique du Sud.
Danska, j'ai lu Une saison blanche et sèche il y a très longtemps, j'étais ado, et ce roman m'avait bouleversée. Je n'ai jamais osé le relire, pourtant j'ai oublié pas mal d'éléments de l'intrigue depuis.
- StephieNiveau 5
Bonsoir, 33e participation pour moi
19. Un livre dont le personnage principal est danseur ou musicien. Comme nous brûlons de Lisa Balavoine : Roman en vers. Blanche est reçue dans une section sportive danse à Marseille. Entre cours et danse, elle noue des liens puissants avec Ada et Malek. Mais elle va devoir prendre garde à ne pas se brûler.
Je me suis ennuyée et n'ai pas été séduite par le style, alors que j'avais aimé Un garçon, c'est presque rien de la même autrice.
19. Un livre dont le personnage principal est danseur ou musicien. Comme nous brûlons de Lisa Balavoine : Roman en vers. Blanche est reçue dans une section sportive danse à Marseille. Entre cours et danse, elle noue des liens puissants avec Ada et Malek. Mais elle va devoir prendre garde à ne pas se brûler.
Je me suis ennuyée et n'ai pas été séduite par le style, alors que j'avais aimé Un garçon, c'est presque rien de la même autrice.
- floisaNiveau 9
42. Géométrie (thème du livre ou terme géométrique dans le titre ou représenté en couverture). La Carte postale, d'Anne Berest
Ce petit rectangle anonyme déclenche la recherche et la découverte du passé familial, de la Russie aux camps, en passant par la Palestine des années 30 et la France. Bien que je l'aie dévoré en 24h, j'ai été gênée par la "novellisation" des scènes de déportation. Tout le reste est archi documenté, mais pourquoi inventer des dialogues et des sentiments dans le train et jusque dans la chambre à gaz?
35. Un livre dont l'un des personnages est un(e) prostitué(e). Cannery Row (Rue de la Sardine), de John Steinbeck
Un coup de coeur. J'avais envie de relire du Steinbeck, mais je connais un peu trop Les Raisins de la colère, le roman comme le film. Et voilà que je tombe sur un vieux volume regroupant cinq romans. Ici, c'est le portrait d'un quartier populaire à Monterey dans les années 1940, très près de la grande crise encore. Il y a des braves types et des petits lâches, des rêveurs (et des rêveuses) mais aucun vrai salaud. Une petite intrigue qui va virer à la catastrophe, mais pas tragique. Des descriptions magnifiques, d'une rivière, d'une lumière. Parfois, de courts chapitres sont comme des vignettes sur un ou deux personnages qui ne réapparaîtront plus dans l'histoire elle-même. C'est vraiment débordant de tendresse sans aucune niaiserie.
Ce petit rectangle anonyme déclenche la recherche et la découverte du passé familial, de la Russie aux camps, en passant par la Palestine des années 30 et la France. Bien que je l'aie dévoré en 24h, j'ai été gênée par la "novellisation" des scènes de déportation. Tout le reste est archi documenté, mais pourquoi inventer des dialogues et des sentiments dans le train et jusque dans la chambre à gaz?
35. Un livre dont l'un des personnages est un(e) prostitué(e). Cannery Row (Rue de la Sardine), de John Steinbeck
Un coup de coeur. J'avais envie de relire du Steinbeck, mais je connais un peu trop Les Raisins de la colère, le roman comme le film. Et voilà que je tombe sur un vieux volume regroupant cinq romans. Ici, c'est le portrait d'un quartier populaire à Monterey dans les années 1940, très près de la grande crise encore. Il y a des braves types et des petits lâches, des rêveurs (et des rêveuses) mais aucun vrai salaud. Une petite intrigue qui va virer à la catastrophe, mais pas tragique. Des descriptions magnifiques, d'une rivière, d'une lumière. Parfois, de courts chapitres sont comme des vignettes sur un ou deux personnages qui ne réapparaîtront plus dans l'histoire elle-même. C'est vraiment débordant de tendresse sans aucune niaiserie.
- lulucastagnetteEmpereur
Eloah a écrit:Je valide enfin le défi 16 "un livre publié chez Sabine Wespieser" qui m'aura causé bien du souci ! En effet, j'ai parcouru tous les rayons de la librairie (une chaîne à l'enseigne bleue) de ma ville sans trouver un seul de ces livres et pourtant le rayon est assez grand ... J'ai établi une première liste à partir de vos comptes-rendus et je suis allée à la médiathèque mais je n'y ai rien trouvé. Une liste élargie et un 2è passage à la médiathèque m'ont permis de dénicher 2 livres hier youhou !! J'en ai donc lu un aujourd'hui et ce fut une bonne lecture qui me réconcilie avec cet item : Ce genre de petites choses de Claire Keegan.
L'histoire se déroule en Irlande au moment de Noël. On suit Bill qui a une petite entreprise de bois et de charbon et qui donc, en cette saison, est très sollicité. Alors qu'il fait une livraison au couvent voisin, il croise des jeunes femmes pieds nus malgré le froid, vêtues de haillons, l'air apeuré. Il se rend compte que les religieuses ferment le verrou à clé après son départ. Au village, tout le monde raconte que le couvent exploite de jeunes mères célibataires et ça n'empêche personne de vivre sa petite vie, d'aller à la messe ... Bill n'a jamais accordé d'intérêt aux rumeurs mais il sait tout de même ce qu'il a vu et sa conscience le tourmente.
J'ai aimé la délicatesse et la retenue du style ainsi que ce personnage simple et droit dans ses bottes. L'autrice fait ici référence à un scandale qui a secoué l'Irlande lorsqu'on a découvert que dans ses couvents l'église catholique a exploité et maltraité des milliers de jeunes mères, revendant leurs bébés, et ce avec la complicité de l'état mais aussi des populations.
Le scandale des "couvents de la Madeleine" dont parle ce livre est le sujet d'une série récente : The Woman in the wall.
Affaire qui fait froid dans le dos...
- lulucastagnetteEmpereur
De mon côté, j'ai lu Comme une gazelle apprivoisée de Barbara Pym (merci pour la découverte, Caspar !). J'ai beaucoup aimé l'ironie mordante et le quotidien de ces deux soeurs célibataires (et l'obsession pour les vicaires qui ne risquent pas de manquer de lainages !).
Je suis en train de finir le tome 3 de la Saga des Cazalet, j'aime toujours autant suivre les aventures de cette grande famille, voir les plus jeunes s'affirmer, voir les plus vieux douter... Je sais déjà que je serai nostalgique de finir la saga.
Je suis en train de finir le tome 3 de la Saga des Cazalet, j'aime toujours autant suivre les aventures de cette grande famille, voir les plus jeunes s'affirmer, voir les plus vieux douter... Je sais déjà que je serai nostalgique de finir la saga.
- CasparProphète
Ce roman est une espèce d'autoportrait des sœurs Pym (Barbara = Belinda) avec trente ans d'avance puisque Barbara ont fini par vivre ensemble dans un village de l'Oxfordshire, une prophétie autoréalisatrice en quelque sorte.lulucastagnette a écrit:De mon côté, j'ai lu Comme une gazelle apprivoisée de Barbara Pym (merci pour la découverte, Caspar !). J'ai beaucoup aimé l'ironie mordante et le quotidien de ces deux soeurs célibataires (et l'obsession pour les vicaires qui ne risquent pas de manquer de lainages !).
Je suis en train de finir le tome 3 de la Saga des Cazalet, j'aime toujours autant suivre les aventures de cette grande famille, voir les plus jeunes s'affirmer, voir les plus vieux douter... Je sais déjà que je serai nostalgique de finir la saga.
- AdrenFidèle du forum
Caspar a écrit:Ce roman est une espèce d'autoportrait des sœurs Pym (Barbara = Belinda) avec trente ans d'avance puisque Barbara ont fini par vivre ensemble dans un village de l'Oxfordshire, une prophétie autoréalisatrice en quelque sorte.lulucastagnette a écrit:De mon côté, j'ai lu Comme une gazelle apprivoisée de Barbara Pym (merci pour la découverte, Caspar !). J'ai beaucoup aimé l'ironie mordante et le quotidien de ces deux soeurs célibataires (et l'obsession pour les vicaires qui ne risquent pas de manquer de lainages !).
Je suis en train de finir le tome 3 de la Saga des Cazalet, j'aime toujours autant suivre les aventures de cette grande famille, voir les plus jeunes s'affirmer, voir les plus vieux douter... Je sais déjà que je serai nostalgique de finir la saga.
C'est aussi ce titre que j'avais lu d'elle l'année dernière. J'avais bien aimé sa peinture de cette petite société éprise de son vicaire. A lire vos commentaires sur les autres titres, j'ai l'impression que c'est son thème de prédilection.
- CasparProphète
Adren a écrit:Caspar a écrit:Ce roman est une espèce d'autoportrait des sœurs Pym (Barbara = Belinda) avec trente ans d'avance puisque Barbara ont fini par vivre ensemble dans un village de l'Oxfordshire, une prophétie autoréalisatrice en quelque sorte.lulucastagnette a écrit:De mon côté, j'ai lu Comme une gazelle apprivoisée de Barbara Pym (merci pour la découverte, Caspar !). J'ai beaucoup aimé l'ironie mordante et le quotidien de ces deux soeurs célibataires (et l'obsession pour les vicaires qui ne risquent pas de manquer de lainages !).
Je suis en train de finir le tome 3 de la Saga des Cazalet, j'aime toujours autant suivre les aventures de cette grande famille, voir les plus jeunes s'affirmer, voir les plus vieux douter... Je sais déjà que je serai nostalgique de finir la saga.
C'est aussi ce titre que j'avais lu d'elle l'année dernière. J'avais bien aimé sa peinture de cette petite société éprise de son vicaire. A lire vos commentaires sur les autres titres, j'ai l'impression que c'est son thème de prédilection.
Il y a aussi des anthropologues mais elle était croyante et pratiquante donc elle pouvait observer de près ce petit monde des vicaires et des jumble sales.
- Cléopatra2Guide spirituel
Pour le défi Rois, reines et empereurs, j'ai lu Le jeu de la reine d'Elizabeth Fremantle. J'ai vu le film aux dernières vacances et me suis donc jetée sur le roman l'ayant inspiré. En fait les deux ont peu de choses à voir. Le film s'éloigne beaucoup du roman (et de la vérité historique, quitte à placer des situations pas du tout crédibles).
Le roman suit la vie de Catherine Parr, 6e femme du roi Henri VIII, de son 2e veuvage à la naissance de sa fille. On suit le personnage de Catherine et souvent aussi celui de Dot, sa servante. Ce roman m'a beaucoup plu, les pensées des personnages sont vraisemblables, on comprend bien les différents enjeux politiques. Parfois on confond les personnages secondaires (comtes de ceci, baron de cela etc.) mais ce n'est pas très grave et il y a une table des personnages à la fin, et google est notre ami. Je le recommande (mais rien à voir avec le film si vous l'avez vu).
Il peut convenir pour Séduction, so british, ascension (ascension sociale de Catherine, d'une noblesse "moyenne"), XVIe siècle, livre à propos d'une autrice ayant existé (Catherine a publié des prières), et Book about books.
Le roman suit la vie de Catherine Parr, 6e femme du roi Henri VIII, de son 2e veuvage à la naissance de sa fille. On suit le personnage de Catherine et souvent aussi celui de Dot, sa servante. Ce roman m'a beaucoup plu, les pensées des personnages sont vraisemblables, on comprend bien les différents enjeux politiques. Parfois on confond les personnages secondaires (comtes de ceci, baron de cela etc.) mais ce n'est pas très grave et il y a une table des personnages à la fin, et google est notre ami. Je le recommande (mais rien à voir avec le film si vous l'avez vu).
Il peut convenir pour Séduction, so british, ascension (ascension sociale de Catherine, d'une noblesse "moyenne"), XVIe siècle, livre à propos d'une autrice ayant existé (Catherine a publié des prières), et Book about books.
- lagoulueNiveau 8
Caspar a écrit:Adren a écrit:Caspar a écrit:Ce roman est une espèce d'autoportrait des sœurs Pym (Barbara = Belinda) avec trente ans d'avance puisque Barbara ont fini par vivre ensemble dans un village de l'Oxfordshire, une prophétie autoréalisatrice en quelque sorte.lulucastagnette a écrit:De mon côté, j'ai lu Comme une gazelle apprivoisée de Barbara Pym (merci pour la découverte, Caspar !). J'ai beaucoup aimé l'ironie mordante et le quotidien de ces deux soeurs célibataires (et l'obsession pour les vicaires qui ne risquent pas de manquer de lainages !).
Je suis en train de finir le tome 3 de la Saga des Cazalet, j'aime toujours autant suivre les aventures de cette grande famille, voir les plus jeunes s'affirmer, voir les plus vieux douter... Je sais déjà que je serai nostalgique de finir la saga.
C'est aussi ce titre que j'avais lu d'elle l'année dernière. J'avais bien aimé sa peinture de cette petite société éprise de son vicaire. A lire vos commentaires sur les autres titres, j'ai l'impression que c'est son thème de prédilection.
Il y a aussi des anthropologues mais elle était croyante te pratiquante donc elle pouvait observer de près ce petit monde des vicaires et des jumble sales.
Vous savez que depuis des semaines je tente de résister à la vague Barbara Pym ... C'est dur dur... Les attaques viennent quand même de toute part ! Et il me semble que je commence à craquer. J'en ai mis un dans mon panier. Bon, c'est pas encore l'achat, certes. Je vais encore tenter de lutter mais je ne me fais plus trop d'illusions là je l'avoue.
- AphrodissiaMonarque
Moi, je n'ai pas résisté et à la mediathèque tout à l'heure, j'ai emprunté Crampton Hodnet de ladite Pym.lagoulue a écrit:Caspar a écrit:Adren a écrit:Caspar a écrit:
Ce roman est une espèce d'autoportrait des sœurs Pym (Barbara = Belinda) avec trente ans d'avance puisque Barbara ont fini par vivre ensemble dans un village de l'Oxfordshire, une prophétie autoréalisatrice en quelque sorte.
C'est aussi ce titre que j'avais lu d'elle l'année dernière. J'avais bien aimé sa peinture de cette petite société éprise de son vicaire. A lire vos commentaires sur les autres titres, j'ai l'impression que c'est son thème de prédilection.
Il y a aussi des anthropologues mais elle était croyante te pratiquante donc elle pouvait observer de près ce petit monde des vicaires et des jumble sales.
Vous savez que depuis des semaines je tente de résister à la vague Barbara Pym ... C'est dur dur... Les attaques viennent quand même de toute part ! Et il me semble que je commence à craquer. J'en ai mis un dans mon panier. Bon, c'est pas encore l'achat, certes. Je vais encore tenter de lutter mais je ne me fais plus trop d'illusions là je l'avoue.
D'ailleurs, j'ai emprunté aussi un Joyce Carol Oates et un roman de Claire Keegan pour le défi Wespieser. Que des auteurs du néo défi
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- *Ombre*Grand sage
Je vote pour Barbara Pym ! Pourquoi résister à la tentation ? C'est une de ces belles découvertes qui fait tout l'intérêt des échanges autour du défi.
Toujours dans la catégorie copie des autres participants, j'ai profité de cette petite semaine de vacances pour lire le tome 4 de la saga des Cazalet, 750 pages dévorées en une petite semaine. Je sens que j'aurai de la peine de quitter cette famille si attachante, et je retarde le moment de lire l'ultime volume de la saga. Je place cette lecture dans l'entrée "un moyen de trasnport sur la couverture" (un bus londonien), en déplaçant Que notre joie demeure vers "Un possessif dans le titre".
J'attaque maintenant, sur les recommandations de notre Reine Margot, La leçon de mal, de Yusuke Kishi.
Toujours dans la catégorie copie des autres participants, j'ai profité de cette petite semaine de vacances pour lire le tome 4 de la saga des Cazalet, 750 pages dévorées en une petite semaine. Je sens que j'aurai de la peine de quitter cette famille si attachante, et je retarde le moment de lire l'ultime volume de la saga. Je place cette lecture dans l'entrée "un moyen de trasnport sur la couverture" (un bus londonien), en déplaçant Que notre joie demeure vers "Un possessif dans le titre".
J'attaque maintenant, sur les recommandations de notre Reine Margot, La leçon de mal, de Yusuke Kishi.
- EloahExpert spécialisé
Oui, Lulu ma fille m'a dit qu'il existe une série sur le sujet mais elle ne se souvenait pas du titre, merci pour ta précision !
Comme quoi ... moi j'ai beaucoup aimé, je l'ai acheté à Montreuil et lu dans le train du retour !
Stephie a écrit:Bonsoir, 33e participation pour moi
19. Un livre dont le personnage principal est danseur ou musicien. Comme nous brûlons de Lisa Balavoine : Roman en vers. Blanche est reçue dans une section sportive danse à Marseille. Entre cours et danse, elle noue des liens puissants avec Ada et Malek. Mais elle va devoir prendre garde à ne pas se brûler.
Je me suis ennuyée et n'ai pas été séduite par le style, alors que j'avais aimé Un garçon, c'est presque rien de la même autrice.
Comme quoi ... moi j'ai beaucoup aimé, je l'ai acheté à Montreuil et lu dans le train du retour !
- lulucastagnetteEmpereur
*Ombre* a écrit:Je vote pour Barbara Pym ! Pourquoi résister à la tentation ? C'est une de ces belles découvertes qui fait tout l'intérêt des échanges autour du défi.
Toujours dans la catégorie copie des autres participants, j'ai profité de cette petite semaine de vacances pour lire le tome 4 de la saga des Cazalet, 750 pages dévorées en une petite semaine. Je sens que j'aurai de la peine de quitter cette famille si attachante, et je retarde le moment de lire l'ultime volume de la saga. Je place cette lecture dans l'entrée "un moyen de trasnport sur la couverture" (un bus londonien), en déplaçant Que notre joie demeure vers "Un possessif dans le titre".
J'attaque maintenant, sur les recommandations de notre Reine Margot, La leçon de mal, de Yusuke Kishi.
Tu as vu que j'ai écrit presque la même chose au-dessus ? Tope là, jumelle (pas maléfique) !
- MalagaModérateur
Pour le défi 32. Automne, j'ai lu "Automne" de Mons Kallentoft. Je suis tombée sur ce livre par hasard dans une boutique de livres d'occasion et je me suis dit que ce serait parfait pour ce défi !
Le résumé : l’histoire se déroule en Suède durant un automne froid et pluvieux. Le tout nouveau propriétaire d’un château qui appartenait à une vieille famille de la région est retrouvé assassiné, noyé dans les douves de sa propriété. L’équipe d’enquêteurs de la police locale, et notamment l’héroïne du roman, Malin Fors, vont chercher à découvrir la vérité.
Mon avis : un roman policier assez classique. L’enquête progresse petit à petit, sans gros coup de théâtre. On suit en même temps la vie personnelle des policiers et cela rend l’atmosphère du roman pesante car ils ont tous d’importants problèmes (d’alcoolémie notamment). Malin, le personnage principal, est assez pénible et peu sympathique. Ce roman fait partie d’une série, chaque tome portant le nom d’une saison, mais cela ne m’a pas donné envie de lire les autres.
Le résumé : l’histoire se déroule en Suède durant un automne froid et pluvieux. Le tout nouveau propriétaire d’un château qui appartenait à une vieille famille de la région est retrouvé assassiné, noyé dans les douves de sa propriété. L’équipe d’enquêteurs de la police locale, et notamment l’héroïne du roman, Malin Fors, vont chercher à découvrir la vérité.
Mon avis : un roman policier assez classique. L’enquête progresse petit à petit, sans gros coup de théâtre. On suit en même temps la vie personnelle des policiers et cela rend l’atmosphère du roman pesante car ils ont tous d’importants problèmes (d’alcoolémie notamment). Malin, le personnage principal, est assez pénible et peu sympathique. Ce roman fait partie d’une série, chaque tome portant le nom d’une saison, mais cela ne m’a pas donné envie de lire les autres.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- AmaliahEmpereur
Pas de Barbara Pym dans ma médiathèque. Je vais en acheter un, vous me donnez envie! Mais lequel me conseillez-vous pour commencer?
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