- Melyne5Fidèle du forum
Mais s’ils doivent sortir en décembre, les éditeurs doivent avoir une trame pour la préparation des nouveaux manuels ou cela se fera dans l’urgence après la parution officielle des programmes ?
- moi c'est moiNiveau 9
Praline a écrit:Les profs de physique et svt appliquent les nouveaux programmes de 6e depuis la rentrée 2023.
nouveau programmes qui se sont appliqués pour l'ensemble du cycle et pour lequel, afin d'être appliqué correctement en 6e, les élèves ont besoin d'avoir vus certaines notions en classe primaire (ce qui n'est pas le cas evidemment)
- MathadorEmpereur
Et pendant ce temps, dans le Code de l'éducation:
Article D311-5
Les programmes ne peuvent entrer en vigueur que douze mois au moins après leur publication, sauf décision expresse du ministre chargé de l'éducation ou du ministre chargé de l'enseignement supérieur, prise après avis du Conseil supérieur de l'éducation.
_________________
"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- kai002Niveau 9
On nous a déjà vendu les groupes de niveaux en langues lors de la réforme 2016, ça n'a jamais été mis en place, usine à gaz
- *Ombre*Grand sage
Melyne5 a écrit:Mais s’ils doivent sortir en décembre, les éditeurs doivent avoir une trame pour la préparation des nouveaux manuels ou cela se fera dans l’urgence après la parution officielle des programmes ?
L'urgence ou de bonnes conditions pour faire du bon travail ?
Alors autant, pour certaines questions, j'avoue humblement que je n'ai pas de boule de cristal, autant là, la réponse est facile à deviner. Je parie d'ailleurs que tu la connais, Melyne...
(Je ferai remarquer incidemment que 2023-2024-2025-2026 comme calendrier de réforme, ça veut dire être sûre de boucler avant la fin du mandat présidentiel. Un hasard, sans doute.)
- moi c'est moiNiveau 9
Mathador a écrit:Et pendant ce temps, dans le Code de l'éducation:
Article D311-5
Les programmes ne peuvent entrer en vigueur que douze mois au moins après leur publication, sauf décision expresse du ministre chargé de l'éducation ou du ministre chargé de l'enseignement supérieur, prise après avis du Conseil supérieur de l'éducation.
on a eu à peine 3 mois pour les nouveaux programmes de sciences je crois.
- MathadorEmpereur
D'un autre côté le « sauf » n'est pas très contraignant.
Bref on a pondu un texte pour se torcher avec.
Dans la même veine:
Bref on a pondu un texte pour se torcher avec.
Dans la même veine:
Je n'en ai jamais vu la couleur.Article L911-2
Version en vigueur depuis le 22 juin 2000
Un plan de recrutement des personnels est publié, chaque année, par le ministre chargé de l'éducation. Il couvre une période de cinq ans et est révisable annuellement.
_________________
"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- LogonautaNiveau 4
Bonjour à tous,
J’ai parcouru le sujet, mais je n’ai pas trouvé de source journalistique annonçant une réforme des programmes de 6e en 2024 et du cycle 4 en 2025.
Ai-je lu trop vite ?
Merci.
J’ai parcouru le sujet, mais je n’ai pas trouvé de source journalistique annonçant une réforme des programmes de 6e en 2024 et du cycle 4 en 2025.
Ai-je lu trop vite ?
Merci.
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Adore ici l’écho qu’adorait Pythagore
- Leoh59Niveau 9
J’avais cru lire quelque part que les programmes de lycée seraient aussi concernés par cette refonte des programmes. C’est moi ou j’ai rêvé ?
- JennyMédiateur
Leoh59 a écrit:J’avais cru lire quelque part que les programmes de lycée seraient aussi concernés par cette refonte des programmes. C’est moi ou j’ai rêvé ?
Pitié...
- Leoh59Niveau 9
Je me disais bien, je l’avais lu sur le café pédagogique :
https://www.cafepedagogique.net/2023/10/06/attal-gagner-la-bataille-du-niveau-avec-les-idees-davant-hier/
Je cite : « Le ministre annonce la création d’une « mission exigence des savoirs ». Composée de Stanislas Dehaene, le président du CSEN, du directeur de l’enseignement scolaire, de la doyenne de l’Inspection et du recteur Albout, elle constituera trois groupes de travail (école, collège et lycée). »
https://www.cafepedagogique.net/2023/10/06/attal-gagner-la-bataille-du-niveau-avec-les-idees-davant-hier/
Je cite : « Le ministre annonce la création d’une « mission exigence des savoirs ». Composée de Stanislas Dehaene, le président du CSEN, du directeur de l’enseignement scolaire, de la doyenne de l’Inspection et du recteur Albout, elle constituera trois groupes de travail (école, collège et lycée). »
- Blan6ineÉrudit
Elyas a écrit:Blan6ine a écrit:Quelles infos sont parues concernant cette "Nouvelle Sixième "?
Outre cette heure d'AP/souien en plus/ou presque en maths/français depuis septembre 2023, quels sont les changements envisagés ?
3 choses :
- fin de la technologie en 6e.
- 1h de soutien/approfondissement par semaine en maths/français.
- 1h de Devoirs faits par semaine.
Merci pour cette réponse, Elyas !
J'avais peur d'avoir manqué une nouvelle info...
- ProflambdadaHabitué du forum
Ne serait-ce pas plus simple de créer une filière pour les élèves ayant trop de lacunes en arrivant en 6ème ? Avec un programme adapté ? S'ils ne veulent pas sortir du collège unique, qu'ils fassent des choix intelligents. Ce n'est pas une heure de soutien par semaine, en français ou en maths, qui va régler le problème. Ni une heure de devoir fait. On noie ces enfants, c'est triste. Ils ne veulent pas régler en amont à l'école, ce passage de classe en classe pour des élèves qui n'ont pas le niveau, c'est sans fin. Et ils proposent sans cesse de soigner (mal) le symptôme mais ne veulent pas s'attaquer aux causes des soucis au collège.
Vous allez me dire : "il y a la segpa" mais pas assez de place et surtout des bilans de fin de CM2 type "il est un peu dans la lune mais il y arrive quand il a confiance" (j'en ai lu beaucoup) alors que l'enfant est complètement perdu ; non, il n'est pas dans le "fragile" mais (malheureusement) dans "l'insuffisant". Aujourd'hui on ne l'envoie pas en 6ème, mais à l'abattoir.
Vous allez me dire : "il y a la segpa" mais pas assez de place et surtout des bilans de fin de CM2 type "il est un peu dans la lune mais il y arrive quand il a confiance" (j'en ai lu beaucoup) alors que l'enfant est complètement perdu ; non, il n'est pas dans le "fragile" mais (malheureusement) dans "l'insuffisant". Aujourd'hui on ne l'envoie pas en 6ème, mais à l'abattoir.
- kai002Niveau 9
Baldred a écrit:Hirondelle a écrit:Le manuel unique... Rien que l'état d'esprit qui est derrière me terrifie.
Le pire, c'est que les parents ne bougeront pas le petit doigt
Et pourquoi bougeraient-ils si nous ne bougeons pas nous?
Où est le problème? En langues vivantes ça serait bien d'avoir une même progression au collège. Quand on se retrouve avec des secondes qui n'ont pas du tout vu les mêmes choses et ont des niveaux très différents, c'est un vrai casse tête.
- kai002Niveau 9
Proflambdada a écrit:Ne serait-ce pas plus simple de créer une filière pour les élèves ayant trop de lacunes en arrivant en 6ème ? Avec un programme adapté ? S'ils ne veulent pas sortir du collège unique, qu'ils fassent des choix intelligents. Ce n'est pas une heure de soutien par semaine, en français ou en maths, qui va régler le problème. Ni une heure de devoir fait. On noie ces enfants, c'est triste. Ils ne veulent pas régler en amont à l'école, ce passage de classe en classe pour des élèves qui n'ont pas le niveau, c'est sans fin. Et ils proposent sans cesse de soigner (mal) le symptôme mais ne veulent pas s'attaquer aux causes des soucis au collège.
Vous allez me dire : "il y a la segpa" mais pas assez de place et surtout des bilans de fin de CM2 type "il est un peu dans la lune mais il y arrive quand il a confiance" (j'en ai lu beaucoup) alors que l'enfant est complètement perdu ; non, il n'est pas dans le "fragile" mais (malheureusement) dans "l'insuffisant". Aujourd'hui on ne l'envoie pas en 6ème, mais à l'abattoir.
C'est tout à fait ça, il faudrait une vraie sélection en fin de primaire
- kai002Niveau 9
EnglishTidsear a écrit:J'ai testé les groupes de compétences en anglais en 2006 et après, je ne recommande pas du tout. Les secondes étaient alignés, ce qui crée des contraintes d'emploi du temps, et cela n'était pas efficace, sauf pour les bons élèves qui pouvaient en effet progresser sans être ralentis par les moins bons. En revanche, les élèves les plus faibles ne progressaient pas et c'était compliqué en classe car peu d'élèves moteurs et souvent plus d'élèves agités en raison de leurs difficultés. Et puis cela implique d'évaluer les élèves dès la semaine de la rentrée, donc copies à corriger dans toutes les secondes en même temps.
Il n'y a qu'à regarder les bulletins de l'année précédente. Pourquoi les réévaluer en début d'année? Leur niveau aurait miraculeusement progressé en deux mois de vacances?
- TartempionNiveau 2
Comme un examen d'entrée en 6e ?kai002 a écrit:
C'est tout à fait ça, il faudrait une vraie sélection en fin de primaire
- kai002Niveau 9
Caspar a écrit:Cleroli a écrit:+1sookie a écrit:
Ce que tu dis sur le choix se complique encore plus avec le fait que selon les chapitres, on préfère tel ou tel éditeur.
C'est une remarque peut-être spécifique aux matières "littéraires" ?
En langues vivantes un manuel unique n'aurait aucun sens. Pas de programme lexical ou grammatical précis: tout passe par le prisme des "activités langagières" et sinon nous choisissons les thèmes que nous souhaitons traiter et nous arrangerons pour les caser dans un des huit "axes" culturels du programme.
C'est bien là le problème, aucun cadre, c'est le flou artistique complet, chacun fait ce qu'il veut, sans aucune cohérence ni progressivité et le niveau des élèves est déplorable (en même temps avec 2.5h voire 2h bebdo...)
- HonchampDoyen
Leoh59 a écrit:Je me disais bien, je l’avais lu sur le café pédagogique :
https://www.cafepedagogique.net/2023/10/06/attal-gagner-la-bataille-du-niveau-avec-les-idees-davant-hier/
Je cite : « Le ministre annonce la création d’une « mission exigence des savoirs ». Composée de Stanislas Dehaene, le président du CSEN, du directeur de l’enseignement scolaire, de la doyenne de l’Inspection et du recteur Albout, elle constituera trois groupes de travail (école, collège et lycée). »
C'est peut-être bien de réhabiliter les savoirs, non ?
Certes, lesquels et à quel niveau...
Une réhabilitation de l'effort aussi.
Du style "du sang de la sueur et des larmes, et la victoire !" (Churchill, revisité).
En clair, si on fait des efforts, si on bosse, on progresse.
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- SoiréeHabitué du forum
Les efforts sans méthode ou pour atteindre des objectifs hors de portée, cela ne fait pas progresser, non.
Je peux essayer 100 fois par jour de soulever 100 kg, je ne progresserai pas d’un iota car c’est hors de ma portée.
Je peux essayer 100 fois par jour de soulever 100 kg, je ne progresserai pas d’un iota car c’est hors de ma portée.
- HonchampDoyen
Soirée a écrit:Les efforts sans méthode ou pour atteindre des objectifs hors de portée, cela ne fait pas progresser, non.
Je peux essayer 100 fois par jour de soulever 100 kg, je ne progresserai pas d’un iota car c’est hors de ma portée.
Tout à fait d'accord. Efforts certes, qui visent à progresser et à atteindre à un niveau réaliste pour l'élève.
Mais le mot "effort "n'est plus prononcé. Le dernier à avoir parlé de "goût de l'effort" a été Bayrou quand il était candidat à la présidentielle.
La "bienveillance, qui a consisté à accepter tous les renoncements (comportement, écriture ,mémorisation, entre autres) , a atteint ses limites, semble-t-il .
Le fil sur les maths est édifiant à ce sujet : les efforts, la nécessaire mémorisation, les exercices.
https://www.neoprofs.org/t141779p425-le-naufrage-sans-fin-en-mathematiques-note-dalerte-du-csen#5675763
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- BaldredSage
Honchamp a écrit:Soirée a écrit:Les efforts sans méthode ou pour atteindre des objectifs hors de portée, cela ne fait pas progresser, non.
Je peux essayer 100 fois par jour de soulever 100 kg, je ne progresserai pas d’un iota car c’est hors de ma portée.
Tout à fait d'accord. Efforts certes, qui visent à progresser et à atteindre à un niveau réaliste pour l'élève.
Mais le mot "effort "n'est plus prononcé. Le dernier à avoir parlé de "goût de l'effort" a été Bayrou quand il était candidat à la présidentielle.
La "bienveillance, qui a consisté à accepter tous les renoncements (comportement, écriture ,mémorisation, entre autres) , a atteint ses limites, semble-t-il .
Le fil sur les maths est édifiant à ce sujet : les efforts, la nécessaire mémorisation, les exercices.
https://www.neoprofs.org/t141779p425-le-naufrage-sans-fin-en-mathematiques-note-dalerte-du-csen#5675763
Le mot "effort" est prononcé quotidiennement dans nos classes, et écrit sur les bulletins. Nous n'avons pas je pense tous abdiqués.
La bienveillance n'a je crois rien à voir avec nos renoncements qui se sont faits sous la pression du toujours moins d'heures, toujours moins de moyens, toujours moins de de reconnaissance professionnelle, et toujours plus d'absurdité institutionnelle.
- SoiréeHabitué du forum
Je pense que le mot effort et le mot travail sont parmi les plus employés par la profession dans les appréciations trimestrielles. Sans parler de l’usage de l’impératif…
Je doute que les problèmes de l’école tiennent à la place accordée ou non à un mot, que ce soit le mot « effort » ou tout autre.
Je doute que les problèmes de l’école tiennent à la place accordée ou non à un mot, que ce soit le mot « effort » ou tout autre.
- FenrirFidèle du forum
Melyne5 a écrit:Mais s’ils doivent sortir en décembre, les éditeurs doivent avoir une trame pour la préparation des nouveaux manuels ou cela se fera dans l’urgence après la parution officielle des programmes ?
ce serait so 2016
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À quoi bon mettre son pédigrée, on est partis pour 40 ans*. ████ ████. * 42, il faut lire 42.
- MalacaEsprit éclairé
kai002 a écrit:Proflambdada a écrit:Ne serait-ce pas plus simple de créer une filière pour les élèves ayant trop de lacunes en arrivant en 6ème ? Avec un programme adapté ? S'ils ne veulent pas sortir du collège unique, qu'ils fassent des choix intelligents. Ce n'est pas une heure de soutien par semaine, en français ou en maths, qui va régler le problème. Ni une heure de devoir fait. On noie ces enfants, c'est triste. Ils ne veulent pas régler en amont à l'école, ce passage de classe en classe pour des élèves qui n'ont pas le niveau, c'est sans fin. Et ils proposent sans cesse de soigner (mal) le symptôme mais ne veulent pas s'attaquer aux causes des soucis au collège.
Vous allez me dire : "il y a la segpa" mais pas assez de place et surtout des bilans de fin de CM2 type "il est un peu dans la lune mais il y arrive quand il a confiance" (j'en ai lu beaucoup) alors que l'enfant est complètement perdu ; non, il n'est pas dans le "fragile" mais (malheureusement) dans "l'insuffisant". Aujourd'hui on ne l'envoie pas en 6ème, mais à l'abattoir.
C'est tout à fait ça, il faudrait une vraie sélection en fin de primaire
Sélection, adaptation, répartition par niveau ? mais c'est exactement le contraire qui se passe et se passera de plus en plus le maître mot actuel est INTEGRATION. J'ai assisté avec horreur l'année dernière (ma dernière !) à un colloque INSPE sur l'intégration scolaire au premier degré, cela promet bien du plaisir et ça remontera au collège sans nul doute ...
C'était pourtant ce qui avait été mis en place avec les 6e et 5e de transition, puis abandonné pour arriver au collège "unique" et tout ce que cela représente comme échecs ... si on ajoute à cela les réformes successives du LP, la disparition du BEP réduisant concrètement le Bac pro à 3ans, c'est la misère pour les élèves comme pour les enseignants
J'ai trouvé intéressant cet article qui permet de résumer l'évolution du processus :
Comment le collège est devenu unique
- Extrait:
- " ...Dans un premier temps, jusqu’au début des années 1970, on supprime les classes de fin d’études primaires principalement réservées aux élèves de milieu modeste dont les parents n’avaient pas les moyens de financer des études plus longues2. On crée alors des classes « générales » de la 6e à la 3e et des classes de « transition » de 6e et 5e puis « pratiques » de 4e et 3e dans les collèges d’enseignement général (CEG).
A partir du milieu des années 1970, deuxième étape, les filières sont unifiées (loi Haby de 1975). A la fin de la 5e, une partie des jeunes intègrent un collège d’enseignement technique (CET) qui deviendront des lycées d’enseignement professionnel (LEP). Les classes pré-professionnelles de niveau (CPPN) accueillent les élèves les plus en difficulté. Il existe aussi des classes préparatoires à l’apprentissage (CPA).
Une troisième étape a lieu au milieu des années 1980 (réforme Savary) avec la création des 4e et 3e technologiques qui doivent aboutir au lycée professionnel. Elles sont à leur tour peu à peu supprimées à la fin des années 1990.
Enfin, dans une quatrième phase, à partir du milieu des années 2000, le collège est quasiment unifié hormis un effectif très réduit d’élèves inscrits dans les sections d’enseignement général et professionnel adapté (Segpa). Au fond, ce n’est que 20 ans après la loi Habby dite du « collège unique » que ce dernier est achevé.
Cette évolution répond à la fois à une aspiration de la population à accéder à un niveau supérieur de formation, mais aussi de l’économie à disposer d’une main d’œuvre mieux formée, qui doit, avant de se spécialiser, disposer d’un socle de connaissance plus conséquent..."
Je crois que globalement c'est l'économie de moyens tout court qui prévaut malheureusement
_________________
Ajouter de la vie aux années plutôt que des années à la vie ...
"Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité." A. de Saint-Exupéry
mes rêves, ma réalité ...
- PrezboGrand Maître
Le ministre a annoncé qu'il y aurait un professeur devant chaque élève...mais en attendant, en lisant le BIR num. 7 de l'académie de Lyon, je découvre que le rectorat a lancé un appel à candidature pour rejoindre l'équipe de remplacement par l’enseignement à distance (ERED).
https://www.ac-lyon.fr/bir-2023-2024
https://www.ac-lyon.fr/bir-2023-2024
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