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- IphigénieProphète
Le rôle des IPR a aussi considérablement changé entre mes débuts où ils discutaient de la matière et la seconde partie de carrière où ils voulaient absolument imposer des « méthodes » : ils sont passés de contrôleur du bon enseignement de la discipline( exemple en latin qui est une bonne caricature du truc: qu’il n’y ait pas de contresens ) à contrôleur des consignes iufm et sq ( exemple en latin: faites-vous des textes authentiques, pas de grammaire, des sorties et des exposés de civilisation »)
- e-WandererGrand sage
Patrice Soler, je l'ai eu comme prof de prépa : une personnalité complexe et un professeur assez clivant, que certains détestaient et que d'autres adulaient. En tout cas, il m'a énormément apporté (je n'en dirais pas autant de Darcos, plus facilement abordable et moins compliqué dans ses rapports aux autres, mais aussi beaucoup moins intéressant). Soler, c'est quelqu'un qui vit pour la littérature, que la littérature inquiète véritablement, et qui ne triche pas avec ça. Un peu torturé et parfois subtil jusqu'au maniérisme, assurément plus en phase avec certains types de littératures qu'avec d'autres, mais toujours d'une grande finesse dans son approche des textes. Je ne doute pas qu'il ait pu être un inspecteur formidable, parlant à la fois sans détour quand il a des reproches à faire, mais toujours dans un sens constructif : c'est en tout cas comme ça que je l'ai perçu quand il était professeur. Nous sommes nombreux parmi ses anciens élèves de prépa à être toujours en contact avec lui.henriette a écrit:Contrairement à vous, je suis persuadée que les IPR peuvent, par leur action auprès des enseignants, contribuer à la réussite des élèves. C'est en tout cas l'expérience que j'ai eue, et je ne suis pas la seule, je pense.
D'abord en amenant l'enseignant à réfléchir sur sa pratique pour la rendre plus efficace. Je garde un souvenir très fort de l'entretien qui a suivi ma 1ère inspection avec l'IG Patrice Soler. Il m'a permis de comprendre quel type d'enseignante j'étais, avec les atouts de cette manière d'enseigner, et les points de vigilance à avoir. C'était extrêmement instructif, et utile pour me perfectionner et rendre mon enseignement plus efficace.
En revanche, il ne devait pas être très en phase avec les directives ministérielles et les idioties des pédagogues fous…
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« Profitons du temps qui nous reste avant la définitive invasion de la grande muflerie du Nouveau Monde » (Huysmans)
- IphigénieProphète
Voilà. La différence entre IG et IPR….
- PrezboGrand Maître
e-Wanderer a écrit:Patrice Soler, je l'ai eu comme prof de prépa : une personnalité complexe et un professeur assez clivant, que certains détestaient et que d'autres adulaient. En tout cas, il m'a énormément apporté (je n'en dirais pas autant de Darcos, plus facilement abordable et moins compliqué dans ses rapports aux autres, mais aussi beaucoup moins intéressant). Soler, c'est quelqu'un qui vit pour la littérature, que la littérature inquiète véritablement, et qui ne triche pas avec ça. Un peu torturé et parfois subtil jusqu'au maniérisme, assurément plus en phase avec certains types de littératures qu'avec d'autres, mais toujours d'une grande finesse dans son approche des textes. Je ne doute pas qu'il ait pu être un inspecteur formidable, parlant à la fois sans détour quand il a des reproches à faire, mais toujours dans un sens constructif : c'est en tout cas comme ça que je l'ai perçu quand il était professeur. Nous sommes nombreux parmi ses anciens élèves de prépa à être toujours en contact avec lui.henriette a écrit:Contrairement à vous, je suis persuadée que les IPR peuvent, par leur action auprès des enseignants, contribuer à la réussite des élèves. C'est en tout cas l'expérience que j'ai eue, et je ne suis pas la seule, je pense.
D'abord en amenant l'enseignant à réfléchir sur sa pratique pour la rendre plus efficace. Je garde un souvenir très fort de l'entretien qui a suivi ma 1ère inspection avec l'IG Patrice Soler. Il m'a permis de comprendre quel type d'enseignante j'étais, avec les atouts de cette manière d'enseigner, et les points de vigilance à avoir. C'était extrêmement instructif, et utile pour me perfectionner et rendre mon enseignement plus efficace.
En revanche, il ne devait pas être très en phase avec les directives ministérielles et les idioties des pédagogues fous…
Mais au fait, est-il commun qu'un IG visite un enseignant du second degré ? En mathématiques, je n'ai jamais vu la pratique ailleurs qu'en CPGE.
(Et le niveau disciplinaire des IPR n'a rien de commun avec celui des IG, c'est une partie du problème.)
- henrietteMédiateur
Lorsqu'il m'a inspectée (en latin) il était en train d'élaborer son rapport sur l'enseignement des langues anciennes. La discussion a vraiment été passionnante.e-Wanderer a écrit:Patrice Soler, je l'ai eu comme prof de prépa : une personnalité complexe et un professeur assez clivant, que certains détestaient et que d'autres adulaient. En tout cas, il m'a énormément apporté (je n'en dirais pas autant de Darcos, plus facilement abordable et moins compliqué dans ses rapports aux autres, mais aussi beaucoup moins intéressant). Soler, c'est quelqu'un qui vit pour la littérature, que la littérature inquiète véritablement, et qui ne triche pas avec ça. Un peu torturé et parfois subtil jusqu'au maniérisme, assurément plus en phase avec certains types de littératures qu'avec d'autres, mais toujours d'une grande finesse dans son approche des textes. Je ne doute pas qu'il ait pu être un inspecteur formidable, parlant à la fois sans détour quand il a des reproches à faire, mais toujours dans un sens constructif : c'est en tout cas comme ça que je l'ai perçu quand il était professeur. Nous sommes nombreux parmi ses anciens élèves de prépa à être toujours en contact avec lui.henriette a écrit:Contrairement à vous, je suis persuadée que les IPR peuvent, par leur action auprès des enseignants, contribuer à la réussite des élèves. C'est en tout cas l'expérience que j'ai eue, et je ne suis pas la seule, je pense.
D'abord en amenant l'enseignant à réfléchir sur sa pratique pour la rendre plus efficace. Je garde un souvenir très fort de l'entretien qui a suivi ma 1ère inspection avec l'IG Patrice Soler. Il m'a permis de comprendre quel type d'enseignante j'étais, avec les atouts de cette manière d'enseigner, et les points de vigilance à avoir. C'était extrêmement instructif, et utile pour me perfectionner et rendre mon enseignement plus efficace.
En revanche, il ne devait pas être très en phase avec les directives ministérielles et les idioties des pédagogues fous…
@Prezbo : à l'AEFE c'était la norme jusqu'à la fin des années 2000 (où des IPR ont été nommés pour le réseau).
@Tangleding : sans pour autant non plus souhaiter une inspection annuelle, oui, une visite tous les 10 ans c'est très peu.
Enfin, c'est bien suffisant si c'est un IPR modèle tyran ascendant dézingueur - il y en a... - mais c'est dommage lorsqu'il s'agit de quelqu'un dont le but n'est pas de casser l'enseignant mais de le guider - et oui, il y en a aussi.
Il me semble en tout cas que depuis le PPCR et la fin des inspections "classiques", une autre relation se construit entre les équipes et les IPR, surtout lorsque ces IPR sont assez jeunes.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- G'zNiveau 6
Prezbo a écrit:e-Wanderer a écrit:Patrice Soler, je l'ai eu comme prof de prépa : une personnalité complexe et un professeur assez clivant, que certains détestaient et que d'autres adulaient. En tout cas, il m'a énormément apporté (je n'en dirais pas autant de Darcos, plus facilement abordable et moins compliqué dans ses rapports aux autres, mais aussi beaucoup moins intéressant). Soler, c'est quelqu'un qui vit pour la littérature, que la littérature inquiète véritablement, et qui ne triche pas avec ça. Un peu torturé et parfois subtil jusqu'au maniérisme, assurément plus en phase avec certains types de littératures qu'avec d'autres, mais toujours d'une grande finesse dans son approche des textes. Je ne doute pas qu'il ait pu être un inspecteur formidable, parlant à la fois sans détour quand il a des reproches à faire, mais toujours dans un sens constructif : c'est en tout cas comme ça que je l'ai perçu quand il était professeur. Nous sommes nombreux parmi ses anciens élèves de prépa à être toujours en contact avec lui.henriette a écrit:Contrairement à vous, je suis persuadée que les IPR peuvent, par leur action auprès des enseignants, contribuer à la réussite des élèves. C'est en tout cas l'expérience que j'ai eue, et je ne suis pas la seule, je pense.
D'abord en amenant l'enseignant à réfléchir sur sa pratique pour la rendre plus efficace. Je garde un souvenir très fort de l'entretien qui a suivi ma 1ère inspection avec l'IG Patrice Soler. Il m'a permis de comprendre quel type d'enseignante j'étais, avec les atouts de cette manière d'enseigner, et les points de vigilance à avoir. C'était extrêmement instructif, et utile pour me perfectionner et rendre mon enseignement plus efficace.
En revanche, il ne devait pas être très en phase avec les directives ministérielles et les idioties des pédagogues fous…
Mais au fait, est-il commun qu'un IG visite un enseignant du second degré ? En mathématiques, je n'ai jamais vu la pratique ailleurs qu'en CPGE.
(Et le niveau disciplinaire des IPR n'a rien de commun avec celui des IG, c'est une partie du problème.)
La réponse est oui.
Un IG a toute latitude pour visiter un professeur du 2nd degré notamment sur les recommandations de l'IA IPR. Soit pour observer une leçon où est mise en place un dispositif innovant, soit pour valider ou pas une année de stage ( CAPES ou Agreg), soit pour anticiper un recrutement sur un poste à profil ...
Je profite pour dire que les IA IPR et les IG contribuent effectivement à la réussite des élèves, mais leur niveau. Si les professeurs contribuent plus visiblement et directement efface à face pédagogique avec les élèves, les IPR et IG quant à eux sont dans une démarche de politique éducative en créant, facilitant, proposant ... des dispositifs aux enseignants : PAF, FIL, formation aux concours internes, conférences ...
En gros, les profs opérationnalisent les choix de stratégies des politiques académiques et disciplinaires. Et les IPR et les IG sont dans la conception des conditions d'apprentissage à l'échelle académique et nationale.
Mais la réalité du métier d'IPR et les témoignages de ces derniers montrent une dérive de leurs missions premières; sans parler des RDV PPCR qui ont chamboulé beaucoup de chose en même temps ...
- PrezboGrand Maître
G'z a écrit:Prezbo a écrit:e-Wanderer a écrit:Patrice Soler, je l'ai eu comme prof de prépa : une personnalité complexe et un professeur assez clivant, que certains détestaient et que d'autres adulaient. En tout cas, il m'a énormément apporté (je n'en dirais pas autant de Darcos, plus facilement abordable et moins compliqué dans ses rapports aux autres, mais aussi beaucoup moins intéressant). Soler, c'est quelqu'un qui vit pour la littérature, que la littérature inquiète véritablement, et qui ne triche pas avec ça. Un peu torturé et parfois subtil jusqu'au maniérisme, assurément plus en phase avec certains types de littératures qu'avec d'autres, mais toujours d'une grande finesse dans son approche des textes. Je ne doute pas qu'il ait pu être un inspecteur formidable, parlant à la fois sans détour quand il a des reproches à faire, mais toujours dans un sens constructif : c'est en tout cas comme ça que je l'ai perçu quand il était professeur. Nous sommes nombreux parmi ses anciens élèves de prépa à être toujours en contact avec lui.henriette a écrit:Contrairement à vous, je suis persuadée que les IPR peuvent, par leur action auprès des enseignants, contribuer à la réussite des élèves. C'est en tout cas l'expérience que j'ai eue, et je ne suis pas la seule, je pense.
D'abord en amenant l'enseignant à réfléchir sur sa pratique pour la rendre plus efficace. Je garde un souvenir très fort de l'entretien qui a suivi ma 1ère inspection avec l'IG Patrice Soler. Il m'a permis de comprendre quel type d'enseignante j'étais, avec les atouts de cette manière d'enseigner, et les points de vigilance à avoir. C'était extrêmement instructif, et utile pour me perfectionner et rendre mon enseignement plus efficace.
En revanche, il ne devait pas être très en phase avec les directives ministérielles et les idioties des pédagogues fous…
Mais au fait, est-il commun qu'un IG visite un enseignant du second degré ? En mathématiques, je n'ai jamais vu la pratique ailleurs qu'en CPGE.
(Et le niveau disciplinaire des IPR n'a rien de commun avec celui des IG, c'est une partie du problème.)
La réponse est oui.
Un IG a toute latitude pour visiter un professeur du 2nd degré notamment sur les recommandations de l'IA IPR. Soit pour observer une leçon où est mise en place un dispositif innovant, soit pour valider ou pas une année de stage ( CAPES ou Agreg), soit pour anticiper un recrutement sur un poste à profil ...
Toute latitude sans doute. En mathématiques, je ne l'ai jamais vu concrètement, et les IG me semblent très ignorant de la réalité du secondaire, même lorsqu'ils sont de bonne volonté -certaines de leurs propositions sont purement lunaires-. Globalement, j'imagine que ce genre de visite n'arrive que dans des cas très spécifiques.
- CochonouNiveau 9
-
- MatteoNiveau 10
Ceux qui essaient "d'opérationnaliser" ce sont les CDE. Un enseignant s'en moque, il a son programme et sa liberté pédagogique.
- LagomorpheFidèle du forum
henriette a écrit:Lorsqu'il m'a inspectée (en latin) il était en train d'élaborer son rapport sur l'enseignement des langues anciennes. La discussion a vraiment été passionnante.e-Wanderer a écrit:Patrice Soler, je l'ai eu comme prof de prépa : une personnalité complexe et un professeur assez clivant, que certains détestaient et que d'autres adulaient. En tout cas, il m'a énormément apporté (...)henriette a écrit:Contrairement à vous, je suis persuadée que les IPR peuvent, par leur action auprès des enseignants, contribuer à la réussite des élèves. C'est en tout cas l'expérience que j'ai eue, et je ne suis pas la seule, je pense.
D'abord en amenant l'enseignant à réfléchir sur sa pratique pour la rendre plus efficace. Je garde un souvenir très fort de l'entretien qui a suivi ma 1ère inspection avec l'IG Patrice Soler. Il m'a permis de comprendre quel type d'enseignante j'étais, avec les atouts de cette manière d'enseigner, et les points de vigilance à avoir. C'était extrêmement instructif, et utile pour me perfectionner et rendre mon enseignement plus efficace.
Oui, enfin tu donc as été inspectée 1) par une pointure et 2) dans un moment particulier de sa carrière qui a rendu l'inspection particulièrement profitable. Tant mieux pour toi, mais je ne crois pas que ce cas particulier puisse être généralisé. Il y a des différences entre IG et IPR, et parmi les IPR, entre disciplines, et dans une même discipline, entre académies. Dans les miennes, les IPR tiennent un discours creux, au mieux sans agressivité, au pire zorchartesque, et les retours de mes collègues sont unanimes sur la question : ouf, c'est passé, mais soit ça s'est mal passé, soit ça ne s'est pas mal passé (mais pas bien passé non plus, et sans que l'inspection n'ait apporté quoi que ce soit d'intéressant au collègue).
henriette a écrit:@Tangleding : sans pour autant non plus souhaiter une inspection annuelle, oui, une visite tous les 10 ans c'est très peu.
Enfin, c'est bien suffisant si c'est un IPR modèle tyran ascendant dézingueur - il y en a... - mais c'est dommage lorsqu'il s'agit de quelqu'un dont le but n'est pas de casser l'enseignant mais de le guider - et oui, il y en a aussi.
Raison suffisante pour limiter le pouvoir de nuisance de tous. Car pour l'avoir vécu et l'avoir vu vivre, un IPR tyrannique dézingueur fait énormément de dégâts sur un professeur consciencieux (et d'autant plus que ce dernier est consciencieux): j'ai vu des collègues psychologiquement détruits et qui ont mis du temps à s'en remettre. Ce qui fut aussi mon cas, et je ne suis pourtant pas d'un naturel fragile.
Après, s'il s'avère qu'il existe dans une discipline un IG ou un IPR génial et qui ne tape pas et apporte beaucoup, rien n'interdit ceux qui le souhaitent de le solliciter pour une visite-conseil, puisqu'elle promet d'être enrichissante.
henriette a écrit:Il me semble en tout cas que depuis le PPCR et la fin des inspections "classiques", une autre relation se construit entre les équipes et les IPR, surtout lorsque ces IPR sont assez jeunes.
Cela a été dit et j'ai émis quelque doute quant à la sincérité de cet assouplissement de ton: ont-ils le choix ? Ils n'ont plus rien à vendre: leur pouvoir de nous accélérer au choix leur a été ravi par le recteur, et est soumis à des quotas dont ils n'ont aucune maîtrise, sans parler du rôle du CDE devenu presque leur égal dans l'évaluation des enseignants. Difficile de dézinguer un prof quand ce dernier peut se dire que, pas accéléré pour pas accéléré, autant conseiller à l'IPR de se mettre son venin où je pense. Leur communication certes un tantinet moins corrosive le resterait-elle si on leur rendait un réel pouvoir ? Et quand bien même la pratique de l'inspection-bûcher serait passée de mode, ne pas nuire n'est pas suffisant pour démontrer l'utilité concrète des corps d'inspection.
Cochonou a écrit:G'z a écrit: En gros, les profs opérationnalisent les choix de stratégies des politiques académiques et disciplinaires. Et les IPR et les IG sont dans la conception des conditions d'apprentissage à l'échelle académique et nationale.
Y a-t-il un sens concret, accessible au misérable prof' sur le terrain que je suis, à ce jargon ?
- LeclochardEmpereur
Tangleding a écrit:13 ou 14 IPR de lettres pour combien de professeurs de lettres dans l'académie (ou le bassin) ?
Ce n’est pas énorme. Ils sont six dans l’académie de Rennes alors qu’il y a probablement trois ou quatre fois plus de collègues à Versailles.
De toute façon, comme Lagomorphe, je m’interroge sur l’utilité des IPR du point de vue des enseignants. Qu’on les sollicite pour avoir un conseil, pourquoi pas ? Après tout, ils sont censés avoir du recul et une certaine expérience. Mais leur loyauté aux réformes et leur goût des modes les discréditent. Qui se souvient des formations suite à la réforme de l’ancienne ministre qui a tué l’enseignement des langues anciennes ? C’était terrible et pathétique. Le prédicat… Qu’est-il devenu ? Et les EPI ?…
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- TangledingGrand Maître
La densité de professeurs de lettres au km2 n'est pas la même, et je ne parle pas du réseau de transport en commun. A Rennes comme à Versailles, ils ne me semblent pas en surnombre.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- LeclochardEmpereur
Tangleding a écrit:La densité de professeurs de lettres au km2 n'est pas la même, et je ne parle pas du réseau de transport en commun. A Rennes comme à Versailles, ils ne me semblent pas en surnombre.
Je suis bien d’accord avec toi. Ici, tu ne feras pas plus de deux inspections dans le journée car les kilomètres entre eux établissements sont parfois importants. Ils s’occupent de moitiés de département.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- MoonchildSage
Prezbo a écrit:(Et le niveau disciplinaire des IPR n'a rien de commun avec celui des IG, c'est une partie du problème.)
En dépit d'un niveau disciplinaire sans doute stratosphérique, j'avais été très déçu par la médiocrité du discours de l'IG que j'avais vu il y a quelques années à l'occasion d'une inspection d'un collègue de prépa assortie d'une réunion d'équipe que mon chef d'établissement avait jugé bon d'organiser : on a eu droit à la même doxa et aux mêmes "éléments de langage" qu'avec un IPR, peut-être en plus pontifiant et avec encore moins d'habitude de la contradiction.
Un autre IG est passé pour le même motif quelques années plus tard, celui-ci était plus à l'écoute et semblait prendre note des problèmes que nous faisions remonter, mais il était évident qu'il n'avait aucune réponse à nous aborder en dehors de quelques vagues éclaircissements ponctuels sur le degré d'exigence du nouveau programme.
Enfin, l'oeuvre de Torossian devrait achever de convaincre qu'il est révolu ce temps où les IG étaient d'une autre trempe que les IPR...
- PrezboGrand Maître
Moonchild a écrit:Prezbo a écrit:(Et le niveau disciplinaire des IPR n'a rien de commun avec celui des IG, c'est une partie du problème.)
En dépit d'un niveau disciplinaire sans doute stratosphérique, j'avais été très déçu par la médiocrité du discours de l'IG que j'avais vu il y a quelques années à l'occasion d'une inspection d'un collègue de prépa assortie d'une réunion d'équipe que mon chef d'établissement avait jugé bon d'organiser : on a eu droit à la même doxa et aux mêmes "éléments de langage" qu'avec un IPR, peut-être en plus pontifiant et avec encore moins d'habitude de la contradiction.
Un autre IG est passé pour le même motif quelques années plus tard, celui-ci était plus à l'écoute et semblait prendre note des problèmes que nous faisions remonter, mais il était évident qu'il n'avait aucune réponse à nous aborder en dehors de quelques vagues éclaircissements ponctuels sur le degré d'exigence du nouveau programme.
Enfin, l'oeuvre de Torossian devrait achever de convaincre qu'il est révolu ce temps où les IG étaient d'une autre trempe que les IPR...
Disons qu'un niveau disciplinaire un peu surplombant est sans doute une condition nécessaire pour prendre du recul face aux instructions officielles et comprendre le sens profond des programmes, il n'est pas non plus une condition suffisante pour avoir une vision lucide de la situation et éviter le carriérisme.
- G'zNiveau 6
Matteo a écrit:Ceux qui essaient "d'opérationnaliser" ce sont les CDE. Un enseignant s'en moque, il a son programme et sa liberté pédagogique.
Ce serait si simple si chacun avant SON programme et SA liberté pédagogique ! Malheureusement :
« la liberté pédagogique de l'enseignant s'exerce dans le respect des programmes et des instructions du ministre chargé de l'éducation nationale et dans le cadre du projet d'école ou d'établissement avec le conseil et sous le contrôle des membres des corps d'inspection » Code de l'éducation : Chapitre II : Dispositions propres aux personnels enseignants. Article L912-1-1
- MatteoNiveau 10
Ce texte dit exactement la même chose que moi. Programme, textes juridiques, contrôle par IPR du respect des programmes et des textes. Au caveat certes du projet d'établissement mais ça détruit un peu ta théorie de l'IPR "concepteur des conditions de l'enseignement". J'ai l'impression que tu cherches très fort à rajouter des parties à ce texte mais elles n'y sont pas. C'est "dans le respect de X, contrôlé par Y" pas "dans le respect de ce qui est contrôlé par Y".
- LagomorpheFidèle du forum
G'z a écrit:Matteo a écrit:Ceux qui essaient "d'opérationnaliser" ce sont les CDE. Un enseignant s'en moque, il a son programme et sa liberté pédagogique.
Ce serait si simple si chacun avant SON programme et SA liberté pédagogique ! Malheureusement :
« la liberté pédagogique de l'enseignant s'exerce dans le respect des programmes et des instructions du ministre chargé de l'éducation nationale et dans le cadre du projet d'école ou d'établissement avec le conseil et sous le contrôle des membres des corps d'inspection » Code de l'éducation : Chapitre II : Dispositions propres aux personnels enseignants. Article L912-1-1
Ça devrait être simple: j'ai MON programme, c'est celui qui est publié par le ministère, et il se trouve que c'est le même que celui de tous les collègue de ma discipline enseignant les mêmes niveaux que moi. J'en mets en œuvre les contenus en faisant usage de ma liberté pédagogique en ce qui concerne la manière optimale de transmettre lesdits contenus compte tenu des élèves que j'ai en face de moi - et auxquels je dois bien m'adapter, c'est d'ailleurs un item du référentiel de compétences des enseignants. Les corps d'inspection devraient se borner, comme le suggère l'article que tu cites, au contrôle du respect desdits programmes, tâche relativement simple.
Là où ça se complique, c'est quand les corps d'inspection prétendent aussi régenter l'usage de la liberté pédagogique, en cherchant à imposer des méthodes qui ne conviennent ni à l'enseignant inspecté, ni à ses élèves. Là, à mon sens, ils outrepassent gravement leurs prérogatives. Dès lors que le programme est respecté, l'inspecteur ne devrait avoir qu'une seule option: se taire.
L'interaction étant encore complexifiée par un certain flou dans la rédaction des programmes, qui laisse à mon avis bien trop de latitude à l'interprétation. Car celle de l'inspecteur et celle du professeur peuvent différer, et je ne vois absolument pas quelle légitimité le premier pourrait avoir à imposer la sienne: il n'est pas mon supérieur hiérarchique.
Dans l'idéal, un programme devrait être suffisamment clair et précis dans sa description des contenus à enseigner pour que chacun sache ce qu'il a à faire sans se poser de question, et je n'y verrais aucune menace contre ma liberté, bien au contraire: la loi protège celui qui est du mauvais côté du bâton, le flou ne sert que celui qui tient le manche.
- CochonouNiveau 9
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- SeismiMineNiveau 5
Prezbo a écrit:G'z a écrit:Prezbo a écrit:e-Wanderer a écrit:
Patrice Soler, je l'ai eu comme prof de prépa : une personnalité complexe et un professeur assez clivant, que certains détestaient et que d'autres adulaient. En tout cas, il m'a énormément apporté (je n'en dirais pas autant de Darcos, plus facilement abordable et moins compliqué dans ses rapports aux autres, mais aussi beaucoup moins intéressant). Soler, c'est quelqu'un qui vit pour la littérature, que la littérature inquiète véritablement, et qui ne triche pas avec ça. Un peu torturé et parfois subtil jusqu'au maniérisme, assurément plus en phase avec certains types de littératures qu'avec d'autres, mais toujours d'une grande finesse dans son approche des textes. Je ne doute pas qu'il ait pu être un inspecteur formidable, parlant à la fois sans détour quand il a des reproches à faire, mais toujours dans un sens constructif : c'est en tout cas comme ça que je l'ai perçu quand il était professeur. Nous sommes nombreux parmi ses anciens élèves de prépa à être toujours en contact avec lui.
En revanche, il ne devait pas être très en phase avec les directives ministérielles et les idioties des pédagogues fous…
Mais au fait, est-il commun qu'un IG visite un enseignant du second degré ? En mathématiques, je n'ai jamais vu la pratique ailleurs qu'en CPGE.
(Et le niveau disciplinaire des IPR n'a rien de commun avec celui des IG, c'est une partie du problème.)
La réponse est oui.
Un IG a toute latitude pour visiter un professeur du 2nd degré notamment sur les recommandations de l'IA IPR. Soit pour observer une leçon où est mise en place un dispositif innovant, soit pour valider ou pas une année de stage ( CAPES ou Agreg), soit pour anticiper un recrutement sur un poste à profil ...
Toute latitude sans doute. En mathématiques, je ne l'ai jamais vu concrètement, et les IG me semblent très ignorant de la réalité du secondaire, même lorsqu'ils sont de bonne volonté -certaines de leurs propositions sont purement lunaires-. Globalement, j'imagine que ce genre de visite n'arrive que dans des cas très spécifiques.
Comme l'a dit G'z, en mathématiques j'ai effectivement quelques collègues qui ont été inspectés par un IG dans le secondaire. Surtout des agrégés sortant de thèse qui veulent avoir une première inspection dans l'optique de candidater pour le supérieur.
Un ex-collègue avait quant à lui eu une telle inspection car agrégé stagiaire et placé en "dispositif d'alerte" et dezingué en bonne et due forme de tous les côtés (tuteur, ipr, cde, inspe).
Un IG était venu pour juger de la situation.
Inspection très bien passée, l'IG a constaté que les charges indiquées étaient fortement exagérées et que la personne remplissait proprement son travail d'enseignant.
Mais même en donnant un rapport très positif, cela ne lui aurait pas permis d'être titularisée, elle était obligée de redoubler son année de stage.
Elle avait indiqué à son IG que dans ce cas elle quitterait l'EN car elle ne souhaitait pas revivre une telle situation à nouveau. L'IG a été compatissant.
Pourquoi l'IG etait venu puisque son avis ne pouvait pas faire changer la balance ? Mystère.
- ysabelDevin
henriette a écrit:Contrairement à vous, je suis persuadée que les IPR peuvent, par leur action auprès des enseignants, contribuer à la réussite des élèves. C'est en tout cas l'expérience que j'ai eue, et je ne suis pas la seule, je pense.
D'abord en amenant l'enseignant à réfléchir sur sa pratique pour la rendre plus efficace. Je garde un souvenir très fort de l'entretien qui a suivi ma 1ère inspection avec l'IG Patrice Soler. Il m'a permis de comprendre quel type d'enseignante j'étais, avec les atouts de cette manière d'enseigner, et les points de vigilance à avoir. C'était extrêmement instructif, et utile pour me perfectionner et rendre mon enseignement plus efficace.
Ensuite, j'apprécie beaucoup depuis quelques années les réunions équipe de Lettres et IPR. Ce sont des moments d'échanges ouverts. Les IPR y sont à l'écoute des difficultés qu'on rencontre. Ils ne sont pas dans une posture de jugement mais dans le conseil, et ce qui est très intéressant, le relais de pratiques qu'ils ont pu observer ailleurs dans la vraie vie des établissements. La mutualisation dont ils se font vecteurs est vraiment intéressante.
Et suite à ces rencontres, les propositions du PAF sont adaptées aux besoins qui remontent. Par exemple, nous avons été très nombreux à faire remonter notre désarroi face aux tout tout petits lecteurs qui nous arrivent en 6e, et notre sentiment de bricoler des trucs parce qu'on n'a jamais été formés à l'apprentissage de la lecture. Et cette année, une formation de très grande qualité, très utile avec des outils quasi clé en main a été proposée au PAF.
Mais ces temps de rencontre et de conseil des enseignants et des équipes, qui devraient être leur coeur de métier, est réduit comme peau de chagrin par la même démultiplication de bidules dont parlent LadyOlenna et Gryphe.
Tu n'es pas en Lorraine...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- BaldredSage
ysabel a écrit:henriette a écrit:Contrairement à vous, je suis persuadée que les IPR peuvent, par leur action auprès des enseignants, contribuer à la réussite des élèves. C'est en tout cas l'expérience que j'ai eue, et je ne suis pas la seule, je pense.
D'abord en amenant l'enseignant à réfléchir sur sa pratique pour la rendre plus efficace. Je garde un souvenir très fort de l'entretien qui a suivi ma 1ère inspection avec l'IG Patrice Soler. Il m'a permis de comprendre quel type d'enseignante j'étais, avec les atouts de cette manière d'enseigner, et les points de vigilance à avoir. C'était extrêmement instructif, et utile pour me perfectionner et rendre mon enseignement plus efficace.
Ensuite, j'apprécie beaucoup depuis quelques années les réunions équipe de Lettres et IPR. Ce sont des moments d'échanges ouverts. Les IPR y sont à l'écoute des difficultés qu'on rencontre. Ils ne sont pas dans une posture de jugement mais dans le conseil, et ce qui est très intéressant, le relais de pratiques qu'ils ont pu observer ailleurs dans la vraie vie des établissements. La mutualisation dont ils se font vecteurs est vraiment intéressante.
Et suite à ces rencontres, les propositions du PAF sont adaptées aux besoins qui remontent. Par exemple, nous avons été très nombreux à faire remonter notre désarroi face aux tout tout petits lecteurs qui nous arrivent en 6e, et notre sentiment de bricoler des trucs parce qu'on n'a jamais été formés à l'apprentissage de la lecture. Et cette année, une formation de très grande qualité, très utile avec des outils quasi clé en main a été proposée au PAF.
Mais ces temps de rencontre et de conseil des enseignants et des équipes, qui devraient être leur coeur de métier, est réduit comme peau de chagrin par la même démultiplication de bidules dont parlent LadyOlenna et Gryphe.
Tu n'es pas en Lorraine...
Et tu ne dépends pas de celle-dont-on-ne-doit-prononcer le nom...
- MathadorEmpereur
L'IG a beau donner un avis favorable à la titularisation, le recteur décide dans son coin (après « consultation » de la CAPA) des titularisations et des renouvellements et sera tenté, pour un tel dossier, de suivre l'avis des potentats locaux. Il n'y a que lorsqu'un licenciement (ou une réintégration) est envisagé que le dossier remonte au niveau national.SeismiMine a écrit:Un ex-collègue avait quant à lui eu une telle inspection car agrégé stagiaire et placé en "dispositif d'alerte" et dezingué en bonne et due forme de tous les côtés (tuteur, ipr, cde, inspe).
Un IG était venu pour juger de la situation.
Inspection très bien passée, l'IG a constaté que les charges indiquées étaient fortement exagérées et que la personne remplissait proprement son travail d'enseignant.
Mais même en donnant un rapport très positif, cela ne lui aurait pas permis d'être titularisée, elle était obligée de redoubler son année de stage.
Elle avait indiqué à son IG que dans ce cas elle quitterait l'EN car elle ne souhaitait pas revivre une telle situation à nouveau. L'IG a été compatissant.
Pourquoi l'IG etait venu puisque son avis ne pouvait pas faire changer la balance ? Mystère.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- dandelionVénérable
Quand j’étais stagiaire, c’étaient les IG seuls qui décidaient de la titularisation des agrégés, et ils pouvaient aller contre les préconisations de l’IUFM.
- MathadorEmpereur
Je doute que les IG eussent un jour le pouvoir souverain de titulariser des agrégés alors qu'ils ne sont pas dans la chaîne hiérarchique.
Ils sont décisionnaires dans la mesure où encore aujourd'hui ce sont eux qui émettent l'avis final, mais les CAP et la hiérarchie (recteur et, le cas échéant, ministre), bien qu'ils suivent généralement cet avis, n'y sont pas obligés.
Ils sont décisionnaires dans la mesure où encore aujourd'hui ce sont eux qui émettent l'avis final, mais les CAP et la hiérarchie (recteur et, le cas échéant, ministre), bien qu'ils suivent généralement cet avis, n'y sont pas obligés.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- G'zNiveau 6
Matteo a écrit:Ce texte dit exactement la même chose que moi. Programme, textes juridiques, contrôle par IPR du respect des programmes et des textes. Au caveat certes du projet d'établissement mais ça détruit un peu ta théorie de l'IPR "concepteur des conditions de l'enseignement". J'ai l'impression que tu cherches très fort à rajouter des parties à ce texte mais elles n'y sont pas. C'est "dans le respect de X, contrôlé par Y" pas "dans le respect de ce qui est contrôlé par Y".
Effectivement, cela est ton impression ...
Par ailleurs, je parlais de conditions d'apprentissage ... et non de condition d'enseignement.
Par exemple, je connais 2 IPR :
- Un IPR de lettres qui a impulsé / recommandé des ateliers FLUENCE dans un collège, ... puis les profs ont proposé la mise en place de groupes de besoins pour les élèves
- Un IPR d'EPS qui a impulsé / recommandé des classes dédoublées en vue du " savoir-nager ", ... puis les profs ont proposé 3 profs pour 2 classes
Mais bon, libre à chacun de faire ce qu'il l'entend ... tant que l'élève apprend et progresse. Et " La liberté pédagogique des uns s'arrête où là commence la liberté pédagogique des autres " comme l'a déjà dit un autre participant du forum
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