- MoyenCrocoNiveau 10
Logiquement il devrait être publié avant les premiers résultats d'admission, mais la logique de l'E.N...
- KeaFidèle du forum
Si l’EN respectait les candidats à ses concours, elle le publierait même avant la fin de la campagne d’inscription, ou à la limite avant le début des épreuves...
- CasparProphète
Kea a écrit:Si l’EN respectait les candidats à ses concours, elle le publierait même avant la fin de la campagne d’inscription, ou à la limite avant le début des épreuves...
Exemple parmi d'autres: nous avons eu les dates des épreuves de spécialité à la mi-septembre et les modifications de programmes une semaine plus tard donc le respect de l'institution on.peut toujours l'attendre. Ça n'a jamais été parfait mais ces dernières années ça atteint des sommets.
- WanakaNiveau 6
Ma crainte est que si pas de signature du pacte, pas de classe exceptionnelle pour les "vieux"..
- Clecle78Bon génie
Oh ! Quand j'ai passé l'agreg interne en 1996 le nombre de postes (en baisse de 50%) a été publié le matin de l'écrit Ça avait bien plombé l'ambiance, je m'en souviens !
- TFSFidèle du forum
Wanaka a écrit:Ma crainte est que si pas de signature du pacte, pas de classe exceptionnelle pour les "vieux"..
Parfaitement possible... tout comme des freins à la mobilité... ou tout un tas d'autres moyens plus ou moins coercitifs...
- Pontorson50Fidèle du forum
Wanaka a écrit:Ma crainte est que si pas de signature du pacte, pas de classe exceptionnelle pour les "vieux"..
C'est très probable en effet, mais ce ne sera pas une nouveauté si le mot "exceptionnel" a un sens : l'accès à la hors-classe est descendu à 50 ans avec un âge moyen de la profession autour de 43 ans, et qui monte, ce qui veut dire que le vivier de recrutement pour la classe exceptionnelle est appelé à augmenter fortement, or en 2023 on atteindra déjà le pourcentage de collègues dans ce corps au plafond (10%). Sans même que ce soit officiel, sans même ce pacte, une candidature à la classe exceptionnelle sans faire autre chose que ses seules heures de service serait écartée aujourd'hui, les deux viviers requièrent déjà des tâches lourdes, notamment le premier auquel on accède le plus tôt, et une partie seulement accède aux fameux chevrons avec encore un barrage. Ce grade "complet" est donc dès l'origine fait pour ceux des collègues qui ont eu des charges lourdes hors-enseignement. Le pacte ne ferait qu'officialiser encore plus la chose.
Le risque serait même d'en faire un verrou d'exclusion de la hors-classe, mais comme le Men a toujours affirmé que cette hors-classe était la fin de carrière normale pour toute carrière complète, cela déclencherait une bronca (quoique pour avoir une vraie mobilisation dans le métier en ce moment...).
- LaotziSage
L'Obs publie un entretien en cinq parties, donc sur cinq jours (en abonné mais lisible par europresse ou autre) avec le ministre Pap Ndiaye.
Concernant le "pacte", voilà ce qui est dit dans la deuxième partie : https://www.nouvelobs.com/education/20221025.OBS65085/la-methode-pap-ndiaye-le-propre-d-une-revolution-copernicienne-c-est-qu-elle-aille-loin.html
Pour ce que j'ai mis en gras, "cours au débotté", c'est un façon de ne pas dire garderie j'ai l'impression. Quant aux formations hors temps de classe, c'est toujours considérer que dès lors que l'on est sorti de la classe, on ne travaille plus...
Mais énormément de thèmes sont évoqués dans ces entretiens (pas toujours précisément comme d'habitude), y compris sur le collège (mais hors sujet ici). En revanche, c'est quand même très pénible que cela soit dans la presse payante que les professeurs peuvent essayer d'apprendre des bribes d'informations concernant leur avenir...
La première partie est ici : https://www.nouvelobs.com/education/20221024.OBS65048/pap-ndiaye-je-suis-hermetique-au-piege-de-l-instantaneite.html
La troisième ici (dans laquelle il parle notamment du collège et de la pédagogie) : https://www.nouvelobs.com/education/20221026.OBS65134/la-methode-pap-ndiaye-il-faut-se-demander-pourquoi-la-transmission-des-savoirs-se-fait-moins-bien-en-france.html
Concernant le "pacte", voilà ce qui est dit dans la deuxième partie : https://www.nouvelobs.com/education/20221025.OBS65085/la-methode-pap-ndiaye-le-propre-d-une-revolution-copernicienne-c-est-qu-elle-aille-loin.html
Votre deuxième grand défi est de convaincre les professeurs de signer le « pacte » que leur a proposé le président : accepter contre rétribution de prendre en charge de nouvelles missions. Comment comptez-vous les embarquer dans cette aventure alors que nombre d’entre eux se disent fatigués et peu désireux de « travailler plus pour gagner plus » ?
En prenant d’abord des engagements fermes en matière salariale : 10 % de revalorisation en moyenne, plus 10 % pour les nouvelles missions, et ce dès la rentrée 2023. En écoutant ensuite ce qu’ils ont à nous dire. Les concertations avec les organisations syndicales vont courir jusqu’à début mars. Et, à ce que je sache, aucune organisation ne s’est montrée opposée par principe à la discussion. Je pense très sincèrement que sur le constat des besoins non couverts, la plupart des acteurs du monde éducatif peuvent converger. Nous avons besoin de remplacer les professeurs absents de manière plus efficace – mieux vaut un cours organisé au débotté qu’une heure de permanence. Nous devons former les professeurs en dehors des heures de classe afin de ne pas générer d’absences évitables. Nous avons besoin de rapprocher l’école des familles, de mieux individualiser l’enseignement, de rendre les temps hors classe plus éducatifs, de mieux orienter les élèves, notamment au lycée, un point sur lequel nous sommes encore très défaillants. La réforme du lycée lancée par mon prédécesseur permet de mieux préparer les jeunes au supérieur, de les inciter plus tôt à être acteurs de leur projet, mais elle souffre d’un déficit d’accompagnement. Les jeunes se retrouvent trop souvent seuls à choisir leurs spécialités en première-terminale puis leurs formations dans le supérieur. Ils ont besoin d’aide et je reste persuadé que les professeurs sont les plus à même de l’apporter. Ils connaissent leurs élèves, leurs forces, leurs faiblesses, leurs envies et peuvent apporter un vrai recul sur leurs projets.
Combien d’enseignants signeront ce pacte selon vous ?
Le principe pour les enseignants en poste est celui du volontariat. Pour le troisième trimestre 2023, qui devrait correspondre au lancement du pacte, nous avons provisionné des moyens qui permettront de gratifier 15 % du corps enseignant. Ce serait un bon début. Si les enseignants sont nombreux à s’engager, ce que je souhaite, ce sera parfait et les moyens suivront.
Pour ce que j'ai mis en gras, "cours au débotté", c'est un façon de ne pas dire garderie j'ai l'impression. Quant aux formations hors temps de classe, c'est toujours considérer que dès lors que l'on est sorti de la classe, on ne travaille plus...
Mais énormément de thèmes sont évoqués dans ces entretiens (pas toujours précisément comme d'habitude), y compris sur le collège (mais hors sujet ici). En revanche, c'est quand même très pénible que cela soit dans la presse payante que les professeurs peuvent essayer d'apprendre des bribes d'informations concernant leur avenir...
La première partie est ici : https://www.nouvelobs.com/education/20221024.OBS65048/pap-ndiaye-je-suis-hermetique-au-piege-de-l-instantaneite.html
La troisième ici (dans laquelle il parle notamment du collège et de la pédagogie) : https://www.nouvelobs.com/education/20221026.OBS65134/la-methode-pap-ndiaye-il-faut-se-demander-pourquoi-la-transmission-des-savoirs-se-fait-moins-bien-en-france.html
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- BaldredSage
Laotzi a écrit:L'Obs publie un entretien en cinq parties, donc sur cinq jours (en abonné mais lisible par europresse ou autre) avec le ministre Pap Ndiaye.
Concernant le "pacte", voilà ce qui est dit dans la deuxième partie : https://www.nouvelobs.com/education/20221025.OBS65085/la-methode-pap-ndiaye-le-propre-d-une-revolution-copernicienne-c-est-qu-elle-aille-loin.html
Votre deuxième grand défi est de convaincre les professeurs de signer le « pacte » que leur a proposé le président : accepter contre rétribution de prendre en charge de nouvelles missions. Comment comptez-vous les embarquer dans cette aventure alors que nombre d’entre eux se disent fatigués et peu désireux de « travailler plus pour gagner plus » ?
En prenant d’abord des engagements fermes en matière salariale : 10 % de revalorisation en moyenne, plus 10 % pour les nouvelles missions, et ce dès la rentrée 2023. En écoutant ensuite ce qu’ils ont à nous dire. Les concertations avec les organisations syndicales vont courir jusqu’à début mars. Et, à ce que je sache, aucune organisation ne s’est montrée opposée par principe à la discussion. Je pense très sincèrement que sur le constat des besoins non couverts, la plupart des acteurs du monde éducatif peuvent converger. Nous avons besoin de remplacer les professeurs absents de manière plus efficace – mieux vaut un cours organisé au débotté qu’une heure de permanence. Nous devons former les professeurs en dehors des heures de classe afin de ne pas générer d’absences évitables. Nous avons besoin de rapprocher l’école des familles, de mieux individualiser l’enseignement, de rendre les temps hors classe plus éducatifs, de mieux orienter les élèves, notamment au lycée, un point sur lequel nous sommes encore très défaillants. La réforme du lycée lancée par mon prédécesseur permet de mieux préparer les jeunes au supérieur, de les inciter plus tôt à être acteurs de leur projet, mais elle souffre d’un déficit d’accompagnement. Les jeunes se retrouvent trop souvent seuls à choisir leurs spécialités en première-terminale puis leurs formations dans le supérieur. Ils ont besoin d’aide et je reste persuadé que les professeurs sont les plus à même de l’apporter. Ils connaissent leurs élèves, leurs forces, leurs faiblesses, leurs envies et peuvent apporter un vrai recul sur leurs projets.
Combien d’enseignants signeront ce pacte selon vous ?
Le principe pour les enseignants en poste est celui du volontariat. Pour le troisième trimestre 2023, qui devrait correspondre au lancement du pacte, nous avons provisionné des moyens qui permettront de gratifier 15 % du corps enseignant. Ce serait un bon début. Si les enseignants sont nombreux à s’engager, ce que je souhaite, ce sera parfait et les moyens suivront.
Pour ce que j'ai mis en gras, "cours au débotté", c'est un façon de ne pas dire garderie j'ai l'impression. Quant aux formations hors temps de classe, c'est toujours considérer que dès lors que l'on est sorti de la classe, on ne travaille plus...
Mais énormément de thèmes sont évoqués dans ces entretiens (pas toujours précisément comme d'habitude), y compris sur le collège (mais hors sujet ici). En revanche, c'est quand même très pénible que cela soit dans la presse payante que les professeurs peuvent essayer d'apprendre des bribes d'informations concernant leur avenir...
La première partie est ici : https://www.nouvelobs.com/education/20221024.OBS65048/pap-ndiaye-je-suis-hermetique-au-piege-de-l-instantaneite.html
La troisième ici (dans laquelle il parle notamment du collège et de la pédagogie) : https://www.nouvelobs.com/education/20221026.OBS65134/la-methode-pap-ndiaye-il-faut-se-demander-pourquoi-la-transmission-des-savoirs-se-fait-moins-bien-en-france.html
Merci du partage, je suis preneur des bons extraits sur le collège.
Sinon on peut leur reconnaitre le mérite de la constance : remplacement des cours, formation pendant les vacances, c'est au menu de l'Institut Montaigne et de la cour des comptes depuis longtemps. La charge est chaque fois un peu plus rude et nos digues plus fragiles dans la mesure où ces mesures paraissent "de bon sens".
Le ridicule ne tuant pas, ils ont en effet besoin de nous pour expliquer le nouveau lycée et parcourssup.
Mais le vrai Scud est ailleurs : nos syndicats "discutent". On aimerait sans doute qu'ils ne discutent pas, du moins sans avoir obtenu au préalable quelques broutilles Les 10% pour tous sans contrepartie, un déroulement de carrière décent et quelques autres petites choses.
- LordAnthonyNiveau 6
Pour le PE je ne vois pas bien en quoi va constituer le pacte... Les remplacement au débotté, les PE le font déjà quand ils répartissent les élèves. Les formation hors temps scolaire idem (mon épouse s'est vu proposer les formations en distanciel pendant la pause repas...). Les missions de vie scolaire aussi. A part leur proposer d'assurer l'accueil périscolaire je ne vois pas trop ce qu'ils vont pouvoir rajouter... Du coup pas de pacte et pas d'augmentation ?
- BalthamosDoyen
qui permettront de gratifier 15 % du corps enseignant. Ce serait un bon début.
C'est quand même intéressant.
C'est déjà un aveu que ce ne sont pas des missions que "nous faisons déjà".
Puis c'est un argument contre cette augmentation de 20%, puisque ca sera moins de 15 % des collègues qui en profiteront.
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- Spoiler:
- gnafron2004Grand sage
LordAnthony a écrit:Pour le PE je ne vois pas bien en quoi va constituer le pacte... Les remplacement au débotté, les PE le font déjà quand ils répartissent les élèves. Les formation hors temps scolaire idem (mon épouse s'est vu proposer les formations en distanciel pendant la pause repas...). Les missions de vie scolaire aussi. A part leur proposer d'assurer l'accueil périscolaire je ne vois pas trop ce qu'ils vont pouvoir rajouter... Du coup pas de pacte et pas d'augmentation ?
L'accueil périscolaire, les formations pendant les vacances scolaires... je suis sûre qu'ils vont trouver!
- IphigénieProphète
le tout est de nous dire pour qui "cela vaut mieux".mieux vaut un cours organisé au débotté qu’une heure de permanence.
car ce n'est pas mieux pour les élèves, évidemment puisque pour eux, au mieux c'est pareil, au pire, c'est pire...
- BalthazaardVénérable
Baldred a écrit:
Merci du partage, je suis preneur des bons extraits sur le collège.
Sinon on peut leur reconnaitre le mérite de la constance : remplacement des cours, formation pendant les vacances, c'est au menu de l'Institut Montaigne et de la cour des comptes depuis longtemps. La charge est chaque fois un peu plus rude et nos digues plus fragiles dans la mesure où ces mesures paraissent "de bon sens".
Le ridicule ne tuant pas, ils ont en effet besoin de nous pour expliquer le nouveau lycée et parcourssup.
Mais le vrai Scud est ailleurs : nos syndicats "discutent". On aimerait sans doute qu'ils ne discutent pas, du moins sans avoir obtenu au préalable quelques broutilles Les 10% pour tous sans contrepartie, un déroulement de carrière décent et quelques autres petites choses.
Ben oui! un syndicat a été satisfait avec Peillon que nos missions soient "reconnues"....traduction "que ce qui était facultatif devienne obligatoire, sans gagner un sou de plus"...et même de moins d'ailleurs. Il y a encore beaucoup de choses à discuter dans la "reconnaissance" de nos missions..
- pirouetteNiveau 5
A quoi bon discuter puisque NDiaye part d'une base mensongère, "10% en moyenne".
- CasparProphète
Mensonge aussi de dire que les élèves sont "seuls face au choix de leurs spécialités": eh bien non, les élèves ne sont pas seuls, ils ont des professeurs, un PP, des Psy-ÉN et accessoirement des parents.
- LaotziSage
Ce n'est pas seulement mensonger, c'est insultant pour les professeurs qui accompagnent déjà effectivement du mieux possible ces élèves, en dépit d'une réforme imposée d'en haut, qui a profondément déstructuré le lycée, quasiment achevé le bac, et en dépit de la mise en place de parcoursup qui a considérablement renforcé l'angoisse des élèves quant à l'orientation. Je ne sais pas comment ça se passe à l'école alsacienne où il a scolarisé ses enfants, mais dans les lycées publics, on essaie aussi bien que possible d'accompagner les élèves en dépit de tous les agissements ministériels.
Mais pas d'inquiétude hein, il est "légitime" comme il le dit lui-même pour traiter les questions d'inégalités puisqu'il s'est occupé de cela à Sciences Po Paris...
Mais pas d'inquiétude hein, il est "légitime" comme il le dit lui-même pour traiter les questions d'inégalités puisqu'il s'est occupé de cela à Sciences Po Paris...
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- CasparProphète
Oui, tu as raison pour le côté insultant: message adressé au grand public toujours prêt à croire que les élèves ne sont pas assez suivis.
- JennyMédiateur
C'est particulièrement méprisant pour les PP de lycée, payés une misère (encore moins qu'au collège pour les niveaux 1re et Tle).
Quand je vois le temps que j'y passe en Tle, je trouve ça fort de café. Et je n'ai pas l'impression que mes collègues de 2nde en font moins. On est dans les missions qui devraient justement être fortement revalorisées, et pas besoin d'un pacte pour ça.
Certains Perdirs mettent aussi la main à la pâte.
Nos élèves sont loin d'être seuls.
Quand je vois le temps que j'y passe en Tle, je trouve ça fort de café. Et je n'ai pas l'impression que mes collègues de 2nde en font moins. On est dans les missions qui devraient justement être fortement revalorisées, et pas besoin d'un pacte pour ça.
Caspar a écrit:Mensonge aussi de dire que les élèves sont "seuls face au choix de leurs spécialités": eh bien non, les élèves ne sont pas seuls, ils ont des professeurs, un PP, des Psy-ÉN et accessoirement des parents.
Certains Perdirs mettent aussi la main à la pâte.
Nos élèves sont loin d'être seuls.
- BaldredSage
Il faut sans doute prendre cette intervention du ministre dans la presse pour ce qu'elle est : de la com, c'est à dire une stratégie pour propager un récit. Nous, nous savons qu'il est faux, mais nous ne faisons pas de com. D'une certaine manière, il force la main des syndicats en les assignant à la table de négociations sans enjeu. Il me semble que les syndicats devraient refuser et mettre en place un contre récit, le nôtre.
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- Charles-MauriceNiveau 10
Absolument d'accord. Ne pas discuter. Imposer 10%pour tous, refonte des grilles et aménagement des fins de carrière. Et rien d'autre.
- JennyMédiateur
Rien d'autre, je ne sais pas... On pourrait aussi aborder la question des indemnités de résidence et le paiement de certaines missions (PP, tuteur, indemnités de jury en particulier les missions actuellement non rémunérées, revalorisation des HS comme dans le privé...).
10 % de revalorisation au vu de l'inflation, c'est nul.
10 % de revalorisation au vu de l'inflation, c'est nul.
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Charles-Maurice a écrit:Absolument d'accord. Ne pas discuter. Imposer 10%pour tous, refonte des grilles et aménagement des fins de carrière. Et rien d'autre.
C'est tout ?
- JennyMédiateur
Ah toi aussi, ça t'interpelle ?
- BaldredSage
Le catalogue n'est pas un récit, nous avons pourtant beaucoup à raconter.
- CasparProphète
Jenny a écrit:C'est particulièrement méprisant pour les PP de lycée, payés une misère (encore moins qu'au collège pour les niveaux 1re et Tle).
Quand je vois le temps que j'y passe en Tle, je trouve ça fort de café. Et je n'ai pas l'impression que mes collègues de 2nde en font moins. On est dans les missions qui devraient justement être fortement revalorisées, et pas besoin d'un pacte pour ça.Caspar a écrit:Mensonge aussi de dire que les élèves sont "seuls face au choix de leurs spécialités": eh bien non, les élèves ne sont pas seuls, ils ont des professeurs, un PP, des Psy-ÉN et accessoirement des parents.
Certains Perdirs mettent aussi la main à la pâte.
Nos élèves sont loin d'être seuls.
Oui en effet j'aurais dû mettre etc pour n'oublier personne.
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