- marxNiveau 6
valle a écrit:En tout cas, je pense moi aussi que c'est un "piège" que de vouloir montrer coûte que coûte qu'on fait nos 1000 et quelques heures en additionnant temps de cours, préparation et correction.
Le calcul est fait d'une façon globale, avec l'équivalent d'un temps plein.
Les gens s'imaginent un simple calcul "heures de cours"+"corrections"+"2 jours de réunions"+"2 soirs de réunions parents-profs". C'est de ce type de calcul qu'il faut sortir, qui ne prend pas du tout en compte le quotidien du métier.
Ou alors nous faire passer aux 35 heures, y compris le temps d'attente devant la photocopieuse, le rattrapage de l'oral de Machin, les 5 journées de voyage scolaire et le temps de préparation d'un rapport sur les actions d'orientation menées à terme.
Sauf erreur de ma part, il y a plusieurs manières officielles de calculer un salaire : à la pièce, à la mission, ou à l'heure/la journée.
Le traitement d'un enseignement est indexé sur des missions. Mais ces missions correspondent toujours à un certain temps de travail abstraitement déterminé (1h de cours=1,5h de préparation/remédiation). Le "temps plein" équivaut à un certain quota de missions d'enseignement (x classes pour un programme y). On ne peut pas sortir totalement de la logique temporelle.
- marxNiveau 6
Danska a écrit:Fallait le dire plus tôt, que c'était du trollage
C'est ça l'amour : corriger les copies de son conjoint.
Il faut trouver le bon conjoint.
C'est quand même une manière de sortir de la revendication salariale. Si le gouvernement n'augmente pas les salaires, il y a en fait beaucoup de solutions disponibles, pas toujours explosives, et qui n'impliquent pas toujours des charges de CRS à la fin.
Voilà pour mes propositions constructives du jour.
- JennyMédiateur
Il faut donc que je change de conjoint pour prendre le modèle qui corrige les copies.
- Vieux_MongolFidèle du forum
J'avais un tel modèle qui était en pleine capacité de le faire mais elle a bifurqué vers l'immobilier et n'a jamais voulu m'en corriger en souvenir du bon vieux temps. C'est étrange.
- BaldredSage
Côté conjoint, c'est râpé, mais niveau descendance c'est jouable : à force de refuser des CDI pour garder leur intégrité, ces petits c**** élevés à prix d'or sont des parfaits galériens de la sous-traitance de copies : merci aux contributeurs qui m'illuminent aujourd'hui.
- TangledingGrand Maître
Je pourrais vous raconter une bien bonne sur le sujet...
- Spoiler:
- Quand elle était en 3e, la fille de ma compagne me demandait de la laisser corriger des dictées. Un jour j'ai craqué et je l'ai laissé faire au crayon de papier, histoire de faire ma correction au stylo rouge de mon côté.
Sauf que je n'ai pas effectué ma correction dans la foulée, j'ai laissé trainer.
Le moment venu, une ou deux semaines plus tard, je prends mon stylo et je m'y colle. Et là je pète les plombs car je vois plein de passages fautifs que mes petits c... ont corrigé au crayon. Et donc je râle comme un idiot car je suis obligé de compter faux. Et pire comme il y a deux graphies je suis obligé de compter faux même quand le premier jet au stylo est correct.
Bref c'est un carnage. Au cours suivant je rends les copies et je commence par un sermon sur le fait que quand on corrige on barre la graphie fautive, et on ne corrige jamais au crayon.
Les drôles ne mouftent pas. Je rends les dictées. Et évidemment en fin d'heure c'est le bureau des réclamations et au bout de 10 réclamations, je finis par réaliser ma boulette. Du coup j'ai dû faire une double correction pour tout le monde. Et j'ai expliqué à la troupe que sans doute ma belle fille avait dû jouer avec les copies. (Je n'ai pas dit qu'elle avait eu mon accord)
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- JennyMédiateur
- henrietteMédiateur
Hélas, la sous-traitance n'est plus ce qu'elle était !
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- TangledingGrand Maître
Surtout quand le DG en charge de la sous-traitance est incompétent !
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- henrietteMédiateur
Ah, toujours la planification... :lol:
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- TangledingGrand Maître
Arf...
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- MoyenCrocoNiveau 10
J'ai pendant 2 ans refait l'intégralité de mes cours (pour les améliorer la 2eme année), pendant tout l'été, je n'ai fait quasiment que ça.Danska a écrit:
Oui enfin ma remarque portait uniquement sur le message de MoyenCroco... Je ne sais pas, moi, il me semblait qu'entre "semaine à moins de 30h" et "semaine à 65h voire 90h" il existait quelques étapes intermédiaires, dans lesquelles on doit être assez nombreux à se situer.
Pendant l'année scolaire, j'avais 11 classes (au collège, 1,5h/classe, pondéré rep+), et je tournais a environ 10 "évaluations" (TP, sommative, formative, etc, mais pas de QCM) par classes.
Ajouté à la vaisselle, la préparation des TP et autres, on arrive très très vite a + de 60h/semaine.
Les vacances me servaient à rattraper les copiés en retard, et en cumulé (j'avais fait une moyenne annuelle rapporté à 10 mois), je depassais les les 90h.
La 3eme année, la préparation en moins, me faisait tourner aux alentours de 60h.
Les programmes changent peu en SPC au collège, et je me suis rodé et fourni en matériel, ce qui me permet de gagner énormément de temps.
Maintenant je ne dépasse jamais les 40h/semaines (pour 19h de cours devant élèves)
Édit : j'ai modifié mon nombre et les types d'évaluations évidemment, et ai gardé mon efficacité de correction de bourreau de travail.
- nc33Niveau 10
Comme le salaire ne suit pas et que c'est possible (programmes stables), je vais me payer en temps libre à partir de l'an qui vient. J'ai presque fini d'optimiser/taper mes préparations pendant ces vacances d'été. Ensuite il n'y aura plus que les cours/les corrections, rien de plus.
- EnnaNiveau 10
Oui,se payer en temps libre semble un peu cynique mais tout à fait compréhensible. Tu as tout préparé pour que cela fonctionne , où est le problème ?
- valleExpert spécialisé
Voilà : se payer en temps libre est vaquer à ses occupations au lieu de (bien) faire son travail, parce qu'on considère que le temps que ce travail demande est supérieur à la rémunération obtenue.Enna a écrit:Oui,se payer en temps libre semble un peu cynique mais tout à fait compréhensible. Tu as tout préparé pour que cela fonctionne , où est le problème ?
C'est un choix qui suppose, un peu par définition, un problème moral.
Ce que tu décris, @nc33, est tout simplement "exécuter normalement les missions confiées" (bien entendu, il y a toujours des moments dans une carrière où le travail demande plus d'investissement, c'est aussi normal) et disposer de ton temps après avoir fait ton boulot.
Je trouve ça symptomatique qu'on soit les premiers à confondre les deux.
- EnaecoVénérable
Il y a pourtant un entre deux.
Se payer en temps libre, ça peut vouloir dire bâcler son travail mais aussi se restreindre au minimum.
On peut faire son métier correctement tout en économisant du temps sur la mise en page, en renonçant à passer un temps considérable pour une amélioration mineure, en réfléchissant à son nombre d'évaluations
C'est un métier où il ne fait pas bon être perfectionniste.
Se payer en temps libre, ça peut vouloir dire bâcler son travail mais aussi se restreindre au minimum.
On peut faire son métier correctement tout en économisant du temps sur la mise en page, en renonçant à passer un temps considérable pour une amélioration mineure, en réfléchissant à son nombre d'évaluations
C'est un métier où il ne fait pas bon être perfectionniste.
- TailleventFidèle du forum
Totalement d'accord. Il y a un vaste espace entre le je-m’en-foutisme et le perfectionnisme. J'ai mis du temps à le trouver.Enaeco a écrit:Il y a pourtant un entre deux.
Se payer en temps libre, ça peut vouloir dire bâcler son travail mais aussi se restreindre au minimum.
On peut faire son métier correctement tout en économisant du temps sur la mise en page, en renonçant à passer un temps considérable pour une amélioration mineure, en réfléchissant à son nombre d'évaluations
C'est un métier où il ne fait pas bon être perfectionniste.
- eliamEsprit éclairé
C'est ce que je fais l'été : cette année, j'ai eu plus de travail car j'ai quasiment tout changé en seconde mais j'attaque l'année avec l'ensemble des cours prêts. Dans l'année, je n'avais que les corrections et quelques adaptations peut-être à la marge. Je procède ainsi depuis un moment : travail l'été à mon rythme et tranquillité le reste de l'année.nc33 a écrit:Comme le salaire ne suit pas et que c'est possible (programmes stables), je vais me payer en temps libre à partir de l'an qui vient. J'ai presque fini d'optimiser/taper mes préparations pendant ces vacances d'été. Ensuite il n'y aura plus que les cours/les corrections, rien de plus.
- DanskaProphète
eliam a écrit:C'est ce que je fais l'été : cette année, j'ai eu plus de travail car j'ai quasiment tout changé en seconde mais j'attaque l'année avec l'ensemble des cours près. Dans l'année, je n'avait que les corrections et quelques adaptations peut-être à la marge. Je procède ainsi depuis un moment : travail l'été à mon rythme et tranquillité le reste de l'année.nc33 a écrit:Comme le salaire ne suit pas et que c'est possible (programmes stables), je vais me payer en temps libre à partir de l'an qui vient. J'ai presque fini d'optimiser/taper mes préparations pendant ces vacances d'été. Ensuite il n'y aura plus que les cours/les corrections, rien de plus.
Pareil : j'ai quasi fini pour cet été, j'ai modifié quelques chapitres que je ne voulais pas refaire de la même façon, actualisé les autres, et je n'y touche plus pour l'année ou vraiment à la marge. Les premières années je changeais beaucoup plus de choses quitte à y passer la moitié des vacances d'été, plus question d'en faire autant. D'autant que ça ne change absolument rien aux résultats des élèves finalement.
- BaldredSage
Taillevent a écrit:Totalement d'accord. Il y a un vaste espace entre le je-m’en-foutisme et le perfectionnisme. J'ai mis du temps à le trouver.Enaeco a écrit:Il y a pourtant un entre deux.
Se payer en temps libre, ça peut vouloir dire bâcler son travail mais aussi se restreindre au minimum.
On peut faire son métier correctement tout en économisant du temps sur la mise en page, en renonçant à passer un temps considérable pour une amélioration mineure, en réfléchissant à son nombre d'évaluations
C'est un métier où il ne fait pas bon être perfectionniste.
Ni perfectionniste ni je-m'en-foutiste, je ne trouverai jamais le bon équilibre. Entre l'incompressible malédiction des Lettres : les copies, et le superflu de mon plaisir que je ne compte pas : surfer 3 heures pour LA bonne illustration, relire un livre pour retrouver LE bon extrait, la gestion de mon temps de travail est déraisonnable. Si j'ajoute que je pense que mes meilleurs cours sont ceux que j'improvise dans l'inspiration du moment en abandonnant celui que j'avais minutieusement préparé, mon calcul salaire temps me paraît aussi déraisonnable que la centaine de litres d'eau nécessaire à faire pousser ma tomate de l'année. Elle était délicieuse.
- TivinouDoyen
Cette année, j'ai des premières générales et techno en lettres, donc des œuvres nouvelles (5 en tout), différentes dans les deux séries (j'aurais pu choisir parfois les mêmes œuvres mais il faut quand même que ce soit intéressant, pour eux et pour moi) ... et des BTS. Autant dire :
- que je suis très très loin d'avoir tout préparé ;
- que j'aurais beaucoup de corrections toute l'année.
Et pas de classe de seconde pour réutiliser des cours déjà prêts. Je peux juste réutiliser un peu Apollinaire (pas de chance, c'est l'œuvre qui était partiellement passée à la trappe en 2020 après le confinement.)
Je m'économiserai... ben je ne sais pas quand en fait.
- que je suis très très loin d'avoir tout préparé ;
- que j'aurais beaucoup de corrections toute l'année.
Et pas de classe de seconde pour réutiliser des cours déjà prêts. Je peux juste réutiliser un peu Apollinaire (pas de chance, c'est l'œuvre qui était partiellement passée à la trappe en 2020 après le confinement.)
Je m'économiserai... ben je ne sais pas quand en fait.
- JennyMédiateur
Tivinou : Bon courage.
- TailleventFidèle du forum
Entendons-nous quand je dis que j'ai trouvé : c'est à la fois un peu prétentieux et quelque peu excessif. Disons plutôt que j'arrive, une proportion raisonnable du temps, à être satisfait de mon niveau de préparation sans m'être totalement noyé. Mais il y a beaucoup d'exceptions.Baldred a écrit:Taillevent a écrit:Totalement d'accord. Il y a un vaste espace entre le je-m’en-foutisme et le perfectionnisme. J'ai mis du temps à le trouver.Enaeco a écrit:Il y a pourtant un entre deux.
Se payer en temps libre, ça peut vouloir dire bâcler son travail mais aussi se restreindre au minimum.
On peut faire son métier correctement tout en économisant du temps sur la mise en page, en renonçant à passer un temps considérable pour une amélioration mineure, en réfléchissant à son nombre d'évaluations
C'est un métier où il ne fait pas bon être perfectionniste.
Ni perfectionniste ni je-m'en-foutiste, je ne trouverai jamais le bon équilibre. Entre l'incompressible malédiction des Lettres : les copies, et le superflu de mon plaisir que je ne compte pas : surfer 3 heures pour LA bonne illustration, relire un livre pour retrouver LE bon extrait, la gestion de mon temps de travail est déraisonnable. Si j'ajoute que je pense que mes meilleurs cours sont ceux que j'improvise dans l'inspiration du moment en abandonnant celui que j'avais minutieusement préparé, mon calcul salaire temps me paraît aussi déraisonnable que la centaine de litres d'eau nécessaire à faire pousser ma tomate de l'année. Elle était délicieuse.
Cette tendance à faire une chose superflue et chronophage parce qu'elle nous fait plaisir, je ne la compte évidemment pas dans cet équilibre : on le fait plus pour nous que pour le cours et c'est très important de se l'autoriser, il paraît qu'on est là pour encourager la curiosité (est-ce que j'ose ajouter "intellectuelle" ?).
- TivinouDoyen
Merci Jenny. Bon, je me régale avec Rabelais quand même !
- EnnaNiveau 10
Notre seul critère,c'est l'efficacité face aux élèves. Chacun occupe ses vacances à sa guise et prépare aussi pour être moins submergé ou stressé dans l'année mais c'est un métier où on pourrait peaufiner indéfiniment.
À quelques années de la retraite , j'estime avoir assez préparé et conçu des séquences qui tiennent la route.
Bien sûr, l'actualité ou un événement culturel très porteur peut me faire faire un pas de côté mais je tiens à partir sur mes deux jambes, encore vaillante pour d'autres aventures que pédagogiques. Se préserver est essentiel .
À quelques années de la retraite , j'estime avoir assez préparé et conçu des séquences qui tiennent la route.
Bien sûr, l'actualité ou un événement culturel très porteur peut me faire faire un pas de côté mais je tiens à partir sur mes deux jambes, encore vaillante pour d'autres aventures que pédagogiques. Se préserver est essentiel .
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Enna
- TivinouDoyen
Ce n’est pas vrai. Je ne pourrais pas commencer l’année le 31 août sans avoir rien préparé ni même simplement sans avoir lu les nouvelles œuvres au programme.Enna a écrit: Notre seul critère,c'est l'efficacité face aux élèves. Chacun occupe ses vacances à sa guise et prépare aussi pour être moins submergé ou stressé dans l'année mais c'est un métier où on pourrait peaufiner indéfiniment.
À quelques années de la retraite , j'estime avoir assez préparé et conçu des séquences qui tiennent la route.
Bien sûr, l'actualité ou un événement culturel très porteur peut me faire faire un pas de côté mais je tiens à partir sur mes deux jambes, encore vaillante pour d'autres aventures que pédagogiques. Se préserver est essentiel .
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