- BlondieHabitué du forum
La question de grammaire doit porter sur la syntaxe donc on ne peut pas interroger sur la valeur des temps
Et la formation des mots.
Et la formation des mots.
- AcamilleNiveau 4
Ah, je m'en doutais un peu. Bon ça restreint le champ des possibles mais c'est pas plus mal. Merci!
- TivinouDoyen
La question porte sur une phrase ou un segment de phrase, pas sur un extrait entier.
- AcamilleNiveau 4
Oui, je viens de voir que la question porte sur une phrase pu segment. J'ai une autre question : à quel moment doit-on traiter cette question lors de l'oral ?
- BlondieHabitué du forum
Le candidat répond à la question après son explication linéaire.
- SolovieïNiveau 10
Tu informes au même moment le candidat du texte (étude linéaire) sur lequel il passe, ainsi que la question de grammaire associée. Cela se fait en début d'épreuve, après la vérification d'identité.
Dans la formulation et la communication de la qu. de grammaire, il convient d'être précis, en ciblant la ligne, la phrase ou le segment (que l'on peut faire surligner ou mettre entre crochets). On peut dicter la qu. de grammaire au candidat qui la prend en note sur une feuille de brouillon ; certains examinateurs la donnent déjà imprimée sur un bout de papier (mais cela devient compliqué en cas de changement de dernière minute ou d'imprévu dans l'organisation). Pour ma part, je dicte et m'assure qu'elle est correctement écrite.
Il faut se tenir prêt à reformuler (ce qui est parfois difficile sans donner la réponse).
Plus on est précis, mieux on évite les ambiguïtés, les réponses décalées et les possibilités pour les petits malins "qui avait entendu/compris autre chose".
Le candidat répond habituellement à la qu. de gramm. à la fin de son étude linéaire (après le bilan/conclusion). C'est ainsi que la plupart des professeurs procèdent lors de la préparation. Il faut toutefois accepter que le candidat réponde à la qu. de gramm. dès le début, ou même dans le fil de son analyse (par ex. lorsqu'il parvient à la ligne concernée). Ces alternatives ne peuvent en aucun cas être pénalisées. De toute façon, l'essentiel est qu'il y réponde.
Les difficultés sont autres : la plupart du temps, la question n'est pas correctement traitée, pour des raisons diverses : négligence de la grammaire lors des révisions, programme tout simplement non traité en 2nde et/ou 1ère, incompréhension totale de la question ou des notions, sacrifice consenti des 2 points, etc.
Enfin, cette question doit être d'ordre syntaxique au sens strict. Donc, non, on ne peut pas interroger sur la formation des mots, ni sur la négation lexicale (que l'on retrouve pourtant dans presque toutes les leçons sur la négation, mais enfin...). De même, la réponse ne donne pas lieu à une interprétation (c'est le rôle de l'étude linéaire). Tu verras beaucoup de candidats qui dévieront immédiatement vers l'interprétation au service du sens général, l'analyse, etc. pour "botter en touche" en évitant la grammaire stricte. Il faudra les recadrer gentiment et peut-être reformuler ou préciser la question.
Dans la formulation et la communication de la qu. de grammaire, il convient d'être précis, en ciblant la ligne, la phrase ou le segment (que l'on peut faire surligner ou mettre entre crochets). On peut dicter la qu. de grammaire au candidat qui la prend en note sur une feuille de brouillon ; certains examinateurs la donnent déjà imprimée sur un bout de papier (mais cela devient compliqué en cas de changement de dernière minute ou d'imprévu dans l'organisation). Pour ma part, je dicte et m'assure qu'elle est correctement écrite.
Il faut se tenir prêt à reformuler (ce qui est parfois difficile sans donner la réponse).
Plus on est précis, mieux on évite les ambiguïtés, les réponses décalées et les possibilités pour les petits malins "qui avait entendu/compris autre chose".
Le candidat répond habituellement à la qu. de gramm. à la fin de son étude linéaire (après le bilan/conclusion). C'est ainsi que la plupart des professeurs procèdent lors de la préparation. Il faut toutefois accepter que le candidat réponde à la qu. de gramm. dès le début, ou même dans le fil de son analyse (par ex. lorsqu'il parvient à la ligne concernée). Ces alternatives ne peuvent en aucun cas être pénalisées. De toute façon, l'essentiel est qu'il y réponde.
Les difficultés sont autres : la plupart du temps, la question n'est pas correctement traitée, pour des raisons diverses : négligence de la grammaire lors des révisions, programme tout simplement non traité en 2nde et/ou 1ère, incompréhension totale de la question ou des notions, sacrifice consenti des 2 points, etc.
Enfin, cette question doit être d'ordre syntaxique au sens strict. Donc, non, on ne peut pas interroger sur la formation des mots, ni sur la négation lexicale (que l'on retrouve pourtant dans presque toutes les leçons sur la négation, mais enfin...). De même, la réponse ne donne pas lieu à une interprétation (c'est le rôle de l'étude linéaire). Tu verras beaucoup de candidats qui dévieront immédiatement vers l'interprétation au service du sens général, l'analyse, etc. pour "botter en touche" en évitant la grammaire stricte. Il faudra les recadrer gentiment et peut-être reformuler ou préciser la question.
- AcamilleNiveau 4
Merci @Solovieï pour cette réponse détaillée. J'y vois plus clair!
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