- SisypheHabitué du forum
Jim Prideaux a écrit:C'est ce qu'un très lointain proviseur appelait l'exercice libéral de la fonction publique....
Il y a alors un risque à cette liberté pédagogique poussée à l'extrême : quelle lisibilité pour les élèves et les familles, quelle égalité de traitement alors que ParcourSup et la réforme du bac vont au contraire demander un travail en équipe ? Enfin les statuts ardemment défendus ici protègent les personnels, toute prise de position caricaturale ne fait que permettre à certains d'envisager des réformes bien plus radicales. Par exemple je ne viens en réunion que dans le cadre de mon ORS = augmentons donc l'ORS pour y inclure ces temps de réunions !!
Mais justement. C'est bien là le problème. Je ne crois pas du tout que ParcourSup soit bénéfique aux élèves, ni même qu'il permette une égalité de traitement. On a créé un truc complètement opaque qui ne fonctionne pas et on nous demande de sacrifier maintenant cette liberté pédagogique pour le rendre moins inégalitaire et inacceptable. Personnellement j'aime l'aspect solitaire de mon métier et si j'accepte malgré moi d'entrer dans la mascarade du bac et autres joyeusetés c'est parce que je sais que l'essentiel n'est pas là. Au delà de toutes les couleuvres et mensonges que l'on nous fait subir, à nous et aux élèves, il reste ces moments où je fais cours avec eux. Ceux-là en valent encore la peine.
Je m'insurge également contre l'idée qu'il nous faudrait accepter des réunions (complètement inutiles en français en plus d'être néfastes) parce que si nous ne l'acceptons pas, on pourrait les rendre obligatoires. C'est fou cette tendance à devancer les désirs de nos dirigeants.
Il y a 18 ans que je suis titulaire et je suis TZR sur deux établissements (collège et lycée). J'ai bien compris que je n'aurai probablement jamais de poste fixe tant les suppressions sont la règle. Je vois se profiler comme vous tous un changement qui va dégrader encore nos conditions de travail. Cette année, par exemple, je suis constamment dans les transports et j'ai donc moins de temps pour travailler efficacement. Je perds également du temps à récupérer une information qui est donnée lorsque je suis dans l'autre établissement... Bref, j'enseigne moins bien alors que j'ai passé l'agrégation pour bénéficier de ce temps. Je ne vais pas, sous prétexte qu'on pourrait m'y obliger, m'inscrire en plus dans des projets ou dans devoirs faits ! Si j'y suis contrainte, je ferais encore moins bien mon travail mais en attendant chaque année gagnée est importante.
- mathmaxExpert spécialisé
Jim Prideaux a écrit:Comme vous le soulignez ce document en lui même ce constitue pas une obligation. En revanche il demande explicitement à ce que deux démarches soient entamées, et si possible achevées avant les congés d'automne :
ce fameux protocole d'évaluation, qui lui doit être validé par le conseil pédagogique et présenté, sans vote, au CA. Les docs d'accompagnement de l'IG dessinent une trame suffisamment souple et suffisamment précise, tout est dans tout et réciproquement...
et surtout le volet prise en compte de l'absentéisme et de la fraude, qui lui sera annexé au Règlement Intérieur. Cette modification du RI implique la réunion du CVL, de la Commission Permanente et un vote en CA.
De là découlent les deux demies-journées banalisées etc....
En ce qui concerne la liberté pédagogique, et sans polémiquer jusqu'à la fin des temps, il est parfois étonnant de voir des personnels cadres A de la fonction publique réclamer une liberté quasi complète dans leur classe (je viens en réunion sur mes heures de cours seulement, je remplis le cahier de texte numérique si je le veux, je fais l'appel peut-être) etc.., sans parfois se soucier de ce que font leurs collègues de la même discipline dans le domaine pédagogique, et dans le même temps insister sur les obligations des autres (élèves, familles etc..). C'est ce qu'un très lointain proviseur appelait l'exercice libéral de la fonction publique....
Il y a alors un risque à cette liberté pédagogique poussée à l'extrême : quelle lisibilité pour les élèves et les familles, quelle égalité de traitement alors que ParcourSup et la réforme du bac vont au contraire demander un travail en équipe ? Enfin les statuts ardemment défendus ici protègent les personnels, toute prise de position caricaturale ne fait que permettre à certains d'envisager des réformes bien plus radicales. Par exemple je ne viens en réunion que dans le cadre de mon ORS = augmentons donc l'ORS pour y inclure ces temps de réunions !!
J’espère qu’il ne t’a pas échappé que de très nombreux enseignants s'opposent à cette réforme et à Parcoursup, justement parce que ces dispositifs génèrent des inégalités entre élèves en fonction de leur établissement, et alourdissent notre charge de travail. Dès lors il serait très étonnant que ces mêmes enseignants se plient sans broncher aux conséquences de ces décisions. Quant à penser qu’il faut accepter du bénévolat de peur qu’il ne devienne obligatoire, cela est un peu absurde, non ?
_________________
« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- Jim PrideauxNiveau 3
Si c'était seulement ParcourSup qui avait généré de l'inégalité... on a entendu je crois la même chose pour APB, et avant, et on a dû entendre cette petite musique à chaque réforme.
Il n'est pas question de bénévolat, mais de la définition de ce qu'est un professeur actuellement. Est-ce-que la simple définition d'un ORS permet de définir ces tâches ? Je n'en suis pas certain, cela pouvait convenir dans les années cinquante au regard de la population des collèges, et surtout des lycées d'alors. Il n'est encore pas question d'alourdir indéfiniment des tâches, mais de savoir ce qui est attendu d'un professeur.
Il n'est pas question de bénévolat, mais de la définition de ce qu'est un professeur actuellement. Est-ce-que la simple définition d'un ORS permet de définir ces tâches ? Je n'en suis pas certain, cela pouvait convenir dans les années cinquante au regard de la population des collèges, et surtout des lycées d'alors. Il n'est encore pas question d'alourdir indéfiniment des tâches, mais de savoir ce qui est attendu d'un professeur.
- SisypheHabitué du forum
Moi je veux enseigner. C'est déjà un projet ambitieux. Les réunions inutiles contrarient ce projet et me contrarient.
- Ajonc35Sage
Au début de ma carrière, j'enseignais puis j'évaluais. A la fin j'enseignais bien plus pour évaluer.Sisyphe a écrit:Moi je veux enseigner. C'est déjà un projet ambitieux. Les réunions inutiles contrarient ce projet et me contrarient.
- BlondieHabitué du forum
On m’impose déjà deux heures sup , je ne tiens pas à m’en ajouter trois pour une réunion qui ne me concerne pas. Ma priorité est la préparation de mes cours et les corrections. J’adapte mon temps de travail à ma rémunération ! ( Je précise que pendant 20 ans j’ai fait toutes les réunions, des heures sup bénévoles type révision pour le bac) J’avoue que j’en ai un peu assez de tout cela .
- Clecle78Bon génie
Va lire les attendus en français et tu me diras s'il est question ou pas d'alourdir ma tâche. C'est absolument délirant. Donc si c'est ce qu'on attend du professeur du 21 ème siècle ( formulation ridicule au demeurant) sans moi ...Jim Prideaux a écrit:Si c'était seulement ParcourSup qui avait généré de l'inégalité... on a entendu je crois la même chose pour APB, et avant, et on a dû entendre cette petite musique à chaque réforme.
Il n'est pas question de bénévolat, mais de la définition de ce qu'est un professeur actuellement. Est-ce-que la simple définition d'un ORS permet de définir ces tâches ? Je n'en suis pas certain, cela pouvait convenir dans les années cinquante au regard de la population des collèges, et surtout des lycées d'alors. Il n'est encore pas question d'alourdir indéfiniment des tâches, mais de savoir ce qui est attendu d'un professeur.
- sifiÉrudit
Sisyphe a écrit:Moi je veux enseigner. C'est déjà un projet ambitieux. Les réunions inutiles contrarient ce projet et me contrarient.
+1
- mamieprofEsprit éclairé
Est-on obligé de participer aux journées banalisées si elles sont sur des jours où l'on ne travaille pas ?
Sur le site du SNES concernant une précédente réforme il est indiqué : En cas de demi-journée banalisée, les collègues qui n’ont
pas cours ne sont pas susceptibles d’être victimes d’un retrait de salaire pour service non-fait
Sur le site du SNES concernant une précédente réforme il est indiqué : En cas de demi-journée banalisée, les collègues qui n’ont
pas cours ne sont pas susceptibles d’être victimes d’un retrait de salaire pour service non-fait
- BartleboothNiveau 7
C'est intéressant mamieprof. Dans mon établissement ces heures sont cependant présentées comme obligatoires, car correspondant aux deux demi-journées de prérentrée exigibles de nous si elles sont organisées à la demande du rectorat (ce qui est le cas ici). Je trouve que c'est de plus en plus difficile de s'y retrouver...
- mamieprofEsprit éclairé
Mais les 1/2 journées exigibles pour la prérentrée ne sont pas prévues sur des temps banalisés elles sont avant les cours Là des collègues voient leurs cours supprimés et d autres viennent sur leur temps libre c'est quand même contestable !
- BartleboothNiveau 7
Je suis bien d’accord.
- UpstartNiveau 5
mamieprof a écrit:Mais les 1/2 journées exigibles pour la prérentrée ne sont pas prévues sur des temps banalisés elles sont avant les cours Là des collègues voient leurs cours supprimés et d autres viennent sur leur temps libre c'est quand même contestable !
Diviser pour mieux régner. On lance un truc dont on sait qu'il ne contraint qu'un certain nombre de personnes (statistiquement une minorité) et on observe goguenard: râleries de pure forme écoutées les yeux au plafond, absence d'un vieux kamikaze commentée avec des sourires entendus, puis l'autodiscipline enseignante opère sa magie: un(e) collègue prend l'ordre du jour en main: chacun a hâte que ça commence car "ce sera plus vite fini". L'administration a posé une machine a café sur une table près de la porte avec quelques biscuits sous cellophane, finalement, on est bien.
- BalthazaardVénérable
Upstart a écrit:mamieprof a écrit:Mais les 1/2 journées exigibles pour la prérentrée ne sont pas prévues sur des temps banalisés elles sont avant les cours Là des collègues voient leurs cours supprimés et d autres viennent sur leur temps libre c'est quand même contestable !
Diviser pour mieux régner. On lance un truc dont on sait qu'il ne contraint qu'un certain nombre de personnes (statistiquement une minorité) et on observe goguenard: râleries de pure forme écoutées les yeux au plafond, absence d'un vieux kamikaze commentée avec des sourires entendus, puis l'autodiscipline enseignante opère sa magie: un(e) collègue prend l'ordre du jour en main: chacun a hâte que ça commence car "ce sera plus vite fini". L'administration a posé une machine a café sur une table près de la porte avec quelques biscuits sous cellophane, finalement, on est bien.
Parfaitement observé...
- PrezboGrand Maître
Upstart a écrit:
Diviser pour mieux régner. On lance un truc dont on sait qu'il ne contraint qu'un certain nombre de personnes (statistiquement une minorité) et on observe goguenard: râleries de pure forme écoutées les yeux au plafond, absence d'un vieux kamikaze commentée avec des sourires entendus, puis l'autodiscipline enseignante opère sa magie: un(e) collègue prend l'ordre du jour en main: chacun a hâte que ça commence car "ce sera plus vite fini". L'administration a posé une machine a café sur une table près de la porte avec quelques biscuits sous cellophane, finalement, on est bien.
Des spéculoos.
Mettre sa dignité dans sa poche et faire semblant de travailler au machin pour du café en thermos à pompe et des spéculoos (par paquets de deux).
- mamieprofEsprit éclairé
Balthazaard a écrit:Upstart a écrit:mamieprof a écrit:Mais les 1/2 journées exigibles pour la prérentrée ne sont pas prévues sur des temps banalisés elles sont avant les cours Là des collègues voient leurs cours supprimés et d autres viennent sur leur temps libre c'est quand même contestable !
Diviser pour mieux régner. On lance un truc dont on sait qu'il ne contraint qu'un certain nombre de personnes (statistiquement une minorité) et on observe goguenard: râleries de pure forme écoutées les yeux au plafond, absence d'un vieux kamikaze commentée avec des sourires entendus, puis l'autodiscipline enseignante opère sa magie: un(e) collègue prend l'ordre du jour en main: chacun a hâte que ça commence car "ce sera plus vite fini". L'administration a posé une machine a café sur une table près de la porte avec quelques biscuits sous cellophane, finalement, on est bien.
Parfaitement observé...
On a eu droit un jour lors d une réunion à la con pour la réforme du bac à une remarque sur l ENT qui a mis le feu aux poudres. Les profs ont boycotté car en réponse à ceux qui demandaient l horaire prévisionnel de fin, le CDE avait osé écrire " la durée de la réunion dépendra de votre efficacité ! "
- InvitéInvité
mamieprof a écrit:Est-on obligé de participer aux journées banalisées si elles sont sur des jours où l'on ne travaille pas ?
Sur le site du SNES concernant une précédente réforme il est indiqué : En cas de demi-journée banalisée, les collègues qui n’ont
pas cours ne sont pas susceptibles d’être victimes d’un retrait de salaire pour service non-fait
Et si j’ai cours la moitié des heures des deux demies journées, je dois y aller à toutes les heures ? Je dis ca car c’est des heures où je prépare mes cours normalement, et faire cours correctement me parait plus important que de participer à un show,…
sinon ici ils ont décidé que des «collègues volontaires» vont faire la synthèse des travaux faits en groupe par discipline. Ca donne quoi comme représentativité ca ? Elle est où la transparence de la démarche ? Comment faire la synthèse d’avis totalement opposés entre ceux qui acceptent et ceux qui refusent ?
- roxanneOracle
Ben nous ce seront les coordonnateur qui seront rapporteurs , deux fois. Trop contente.
- sifiÉrudit
Chez nous la "demi-journée" de travail a été ubuesque. Notre chef a décidé de nous surveiller ... cela a donc commencé par une AG de plus d'une heure, durant laquelle il nous a expliqué comment on fait pour évaluer : préciser aux élèves sur quoi ils vont être notés, ne pas oublier de leur rendre la copie, leur expliquer leurs erreurs... c'était honteux.
Ensuite, nous avons eu 1h45 pour produire un document à rendre à la direction : nous l'avons fait le plus vague et général possible.
Pour finir, re-AG, durant laquelle il a été demandé à chaque matière de présenter devant tout le monde (et la direction, donc) le fruit de ses cogitations : passionnant ! Le chef ne nous a lâchés qu'à 17h30 (nous avions commencé à 13h30) alors que nous avons eu en tout et pour tout 1h45 pour travailler...
Ensuite, nous avons eu 1h45 pour produire un document à rendre à la direction : nous l'avons fait le plus vague et général possible.
Pour finir, re-AG, durant laquelle il a été demandé à chaque matière de présenter devant tout le monde (et la direction, donc) le fruit de ses cogitations : passionnant ! Le chef ne nous a lâchés qu'à 17h30 (nous avions commencé à 13h30) alors que nous avons eu en tout et pour tout 1h45 pour travailler...
- UpstartNiveau 5
Une grande tolérance à la dissonance cognitive.
On va réussir, en comités restreints, au niveau local, à s'auto-imposer des contraintes contre lesquelles la profession se serait levée comme un(e) seul(e) homme / femme si c'était imposé d'en haut.
On va réussir, en comités restreints, au niveau local, à s'auto-imposer des contraintes contre lesquelles la profession se serait levée comme un(e) seul(e) homme / femme si c'était imposé d'en haut.
- InvitéInvité
Upstart a écrit:Une grande tolérance à la dissonance cognitive.
On va réussir, en comité restreints, au niveau local, à s'auto-imposer des contraintes contre lesquelles la profession se serait levée comme un(e) seul(e) homme / femme si c'était imposé d'en haut.
Tout à fait, j’ai vu mes collègues par exemple essayer de s’imposer dans les disciplines non concernés par le contrôle continu la même chose que les disciplines en contrôle continu. Des fous,… et le chef venu assister à une partie des débats, n’a pas ramé dans l’autre sens…
- BalthazaardVénérable
Upstart a écrit:Une grande tolérance à la dissonance cognitive.
On va réussir, en comités restreints, au niveau local, à s'auto-imposer des contraintes contre lesquelles la profession se serait levée comme un(e) seul(e) homme / femme si c'était imposé d'en haut.
Tout à fait comme cette citation, je ne sais plus de qui mais de plus en plus vraie chez nous "L'homme passe la moitié de son temps à se forger des chaînes, et l'autre moitié à se plaindre d'avoir à les porter."
- sifiÉrudit
Lors de la fameuse réunion, un collègue a sorti la formule suivante : "On nous demande de construire nous-mêmes les barreaux de la cellule dans laquelle on sera enfermés." J'ai trouvé ça très juste...
- roxanneOracle
Servitude volontaire..
Mon compagnon qui bosse dans le privé, grosse grosse boîte Cac 40, lorsque je lui parle des réformes me dit qu'il ne comprend pas, qu'on est invirables (quasiment), presque un million, qu'on pourrait faire ce qu'on veut en fait en étant unis.
Mon compagnon qui bosse dans le privé, grosse grosse boîte Cac 40, lorsque je lui parle des réformes me dit qu'il ne comprend pas, qu'on est invirables (quasiment), presque un million, qu'on pourrait faire ce qu'on veut en fait en étant unis.
- BalthazaardVénérable
sifi a écrit:Lors de la fameuse réunion, un collègue a sorti la formule suivante : "On nous demande de construire nous-mêmes les barreaux de la cellule dans laquelle on sera enfermés." J'ai trouvé ça très juste...
C'est déjà arrive plusieurs fois dans l'histoire, certains ont même creusé leur propre tombe.
- BalthazaardVénérable
roxanne a écrit:Servitude volontaire..
Mon compagnon qui bosse dans le privé, grosse grosse boîte Cac 40, lorsque je lui parle des réformes me dit qu'il ne comprend pas, qu'on est invirables (quasiment), presque un million, qu'on pourrait faire ce qu'on veut en fait en étant unis.
Nous ne le serons jamais parce que nos aspirations diffèrent....ce que j'ai aimé par dessus tout dans ce métier c'est la liberté qu'il procurait. On peut s'organiser comme on le désire,quand je vois que certains collègues ne seraient pas "contre le fait de passer 35 heures au lycée en échange d'un bureau et de la paye afférente" , je me dis que nous ne sommes pas de la même planète....Si il fait beau je vais dehors, quitte à me coucher très tard (ou me lever très tôt) pour boucler ce que je n'ai pas fait dans la journée.
Pou moi ce projet d'évaluation est un casus belli, Je m'en fous ayant atteint l'âge limite mais je frémis d'avance aux possibles réactions de collègues engagés, certains ne vivant leur métier que dans les progressions communes, les devoirs communs et autres
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