- DanskaProphète
On parle des courbe de Lorenz en SES effectivement, mais parler d'une courbe sans pouvoir la tracer, mouais... Et je les présente aux élèves quand j'aborde les inégalités et la question de la justice sociale : manque de chance, cette année ce chapitre n'était pas parmi les 8 à traiter avant le mois de mars ; je n'ai pas eu le temps de l'aborder depuis et je ne dois pas être la seule.
Cela étant, dans des circonstances plus normales ça pourrait effectivement être un bon sujet, même si je ne vois pas trop quelle problématique lui associer.
Cela étant, dans des circonstances plus normales ça pourrait effectivement être un bon sujet, même si je ne vois pas trop quelle problématique lui associer.
- ben2510Expert spécialisé
Danska a écrit: je ne vois pas trop quelle problématique lui associer.
"Comment mesurer les inégalités de revenu et de patrimoine ?"
En tout cas c'est comme ça que je le présente (ou plutôt le présentais en TES).
Tu remarqueras que pour moi c'est un sujet de Maths, pas de SES.
_________________
On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- CleroliDoyen
Pour moi, cette question n'est pas réellement problématisée.ben2510 a écrit:Danska a écrit: je ne vois pas trop quelle problématique lui associer.
"Comment mesurer les inégalités de revenu et de patrimoine ?"
En tout cas c'est comme ça que je le présente (ou plutôt le présentais en TES).
Tu remarqueras que pour moi c'est un sujet de Maths, pas de SES.
- ben2510Expert spécialisé
Cleroli a écrit:Pour moi, cette question n'est pas réellement problématisée.ben2510 a écrit:Danska a écrit: je ne vois pas trop quelle problématique lui associer.
"Comment mesurer les inégalités de revenu et de patrimoine ?"
En tout cas c'est comme ça que je le présente (ou plutôt le présentais en TES).
Tu remarqueras que pour moi c'est un sujet de Maths, pas de SES.
Je n'ai aucune idée de la signification de ta réponse.
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- VinZTDoyen
Ouf, je pensais être le seul à ne pas savoir ce que signifie « question problématisée ».
- Spoiler:
mon correcteur orthographique non plus, il a voulu remplacer « prolématisée » par « problématique » le fripon !
_________________
« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- ben2510Expert spécialisé
VinZT a écrit:Ouf, je pensais être le seul à ne pas savoir ce que signifie « question problématisée ».
- Spoiler:
mon correcteur orthographique non plus, il a voulu remplacer « prolématisée » par « problématique » le fripon !
Ptolémée je sais qui c'est par contre !
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- CleroliDoyen
Ce que je veux dire, c'est que je ne valide pas ce sujet tel quel pour les SES car il ne s'agit pas d'une problématique. Je n'ai pas lu tous les échanges, peut-être qu'il s'agit d'un sujet portant sur la seule spé maths ?
- CleroliDoyen
Je veux parfois faire court mais c'est au détriment de la clarté, j'en suis désolée. Je distingue donc une question (de cours ici) d'une problématique (il ne suffit pas de mettre un point d'interrogation en fin de phrase pour que celle-ci devienne une problématique).VinZT a écrit:Ouf, je pensais être le seul à ne pas savoir ce que signifie « question problématisée ».
- Spoiler:
mon correcteur orthographique non plus, il a voulu remplacer « prolématisée » par « problématique » le fripon !
- chmarmottineGuide spirituel
Très franchement, en maths, à quel moment de la scolarité on fait travailler nos élèves sur le problématisation d'une question ?
- PrezboGrand Maître
Danska a écrit:
@Sifi, pareil dans mon lycée. S'il n'y avait pas Néo et quelques élèves qui s'inquiètent, je jurerais que cette épreuve n'existe pas.
Peut-être qu'elle n'existe réellement pas et que nous sommes tous victimes d'un canular ?
Cleroli a écrit:Je veux parfois faire court mais c'est au détriment de la clarté, j'en suis désolée. Je distingue donc une question (de cours ici) d'une problématique (il ne suffit pas de mettre un point d'interrogation en fin de phrase pour que celle-ci devienne une problématique).VinZT a écrit:Ouf, je pensais être le seul à ne pas savoir ce que signifie « question problématisée ».
- Spoiler:
mon correcteur orthographique non plus, il a voulu remplacer « prolématisée » par « problématique » le fripon !
Je crois que l'ironie vient surtout du fait qu'on voit souvent insister sur le fait qu'une problématique n'est pas qu'une simple question, mais que tout le monde se garde bien de définir clairement ce qu'est une problématique. Probablement quelque chose de pas du tout adapté aux mathématiques et aux sciences dures, si ça existe.
De toute façon, les textes définissant le grand oral parlent de question, et à ma connaissance à aucun endroit de problématique.
- RuthvenGuide spirituel
Prezbo a écrit:
Je crois que l'ironie vient surtout du fait qu'on voit souvent insister sur le fait qu'une problématique n'est pas qu'une simple question, mais que tout le monde se garde bien de définir clairement ce qu'est une problématique. Probablement quelque chose de pas du tout adapté aux mathématiques et aux sciences dures, si ça existe.
De toute façon, les textes définissant le grand oral parlent de question, et à ma connaissance à aucun endroit de problématique.
Si, si, on peut définir clairement ce qu'est une problématique : c'est expliquer pourquoi on ne peut pas répondre spontanément à la question qui est posée (et éventuellement expliquer les étapes par lesquelles il va falloir passer pour pouvoir y répondre).
- chmarmottineGuide spirituel
Oui, en gros, c'est se compliquer la vie. Ce n'est pas poser une question pour y donner une réponse, mais dire ce qui pose problème dans la question. Bref, tout ce qu'on ne fait pas en maths.
- CleroliDoyen
C'est une des nombreuses limites de cette nouvelle épreuve. J'ai eu 3 matinées de formation et un échange avec notre IPR et systématiquement, on nous a indiqué que le sujet devait être problématisé (et non une question de cours). Et pourtant, ce critère n'apparait pas dans la grille d'évaluation, je suis bien d'accord avec toi (pour ne pas pénaliser les élèves, sûrement).Prezbo a écrit:De toute façon, les textes définissant le grand oral parlent de question, et à ma connaissance à aucun endroit de problématique.
Nous avons fait passer des oraux blancs (2 profs de la même matière ensemble pour interroger les élèves). Les plus mauvaises prestations étaient celles correspondant aux questions de cours (l'élève apprend le résumé du livre ou de son prof). Pourtant, le sujet se terminait bien par un point d'interrogation
- PrezboGrand Maître
Ruthven a écrit:Prezbo a écrit:
Je crois que l'ironie vient surtout du fait qu'on voit souvent insister sur le fait qu'une problématique n'est pas qu'une simple question, mais que tout le monde se garde bien de définir clairement ce qu'est une problématique. Probablement quelque chose de pas du tout adapté aux mathématiques et aux sciences dures, si ça existe.
De toute façon, les textes définissant le grand oral parlent de question, et à ma connaissance à aucun endroit de problématique.
Si, si, on peut définir clairement ce qu'est une problématique : c'est expliquer pourquoi on ne peut pas répondre spontanément à la question qui est posée (et éventuellement expliquer les étapes par lesquelles il va falloir passer pour pouvoir y répondre).
SI tu le dis...
J'ai fait toute ma scolarité (avec quand même quelques dissertations avant et après le bac) sans que ne soit jamais prononcé devant moi le mot "problématique", du moins en tant que nom commun. L'effet de mode me semble donc évident.
Le terme n'apparaît pas non plus dans les dictionnaires, ou dans un sens qui n'a rien à voir. J'arrive à trouver des définitions que ce qu'est une "problématique" sur les sites web de soutien scolaire type "aide à la dissertation", et le moins que l'on puisse dire est qu'elle ne sont ni limpides, ni consensuelles.
(Je n'ai eu qu'une heure d'évocation du grantoral par un IPR maths en réunion d'équipe, et le terme "problématique" n'a pas été prononcé. Cela peut permettre des moments amusant si les deux membres du jury ne sont par d'accord sur leurs exigences.)
Edit : en fait, j'ai l'impression que tu définis ce que signifie "problématiser" une question, ce qui n'éclaire pas ce que serait "une" problématique.
- DanskaProphète
chmarmottine a écrit:Oui, en gros, c'est se compliquer la vie. Ce n'est pas poser une question pour y donner une réponse, mais dire ce qui pose problème dans la question. Bref, tout ce qu'on ne fait pas en maths.
Heu, non : c'est mettre en lumière les enjeux de la question, expliquer pourquoi on ne peut pas y répondre par "oui", "non" ou "yakafocon". Appeler ça "se compliquer la vie", bonjour le mépris...
- chmarmottineGuide spirituel
Danska a écrit:chmarmottine a écrit:Oui, en gros, c'est se compliquer la vie. Ce n'est pas poser une question pour y donner une réponse, mais dire ce qui pose problème dans la question. Bref, tout ce qu'on ne fait pas en maths.
Heu, non : c'est mettre en lumière les enjeux de la question, expliquer pourquoi on ne peut pas y répondre par "oui", "non" ou "yakafocon". Appeler ça "se compliquer la vie", bonjour le mépris...
J'évoquais la problématisation en mathématiques. Mais tu as raison, je n'ai pas été claire.
- Fisherman1978Niveau 2
Pour la question problématisée, si l'on regarde le documents ci-joint, le terme "problématique" apparait de nombreuses fois. Mais les exemples sont souvent de simples questions (et c'est variable selon les matières).
- Fichiers joints
- ben2510Expert spécialisé
Danska a écrit:c'est mettre en lumière les enjeux de la question
Ce n'est pas le B.A.-BA de la dissertation ? Interroger/préciser/contextualiser une question ?
Pour moi ça fait partie de l'intro, c'est utile mais ce n'est pas essentiel. En Maths.
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- DanskaProphète
ben2510 a écrit:Danska a écrit:c'est mettre en lumière les enjeux de la question
Ce n'est pas le B.A.-BA de la dissertation ? Interroger/préciser/contextualiser une question ?
Pour moi ça fait partie de l'intro, c'est utile mais ce n'est pas essentiel. En Maths.
Si, tout à fait. Le terme "problématique" est sans doute à la mode, mais ce qu'il recouvre n'a rien de récent.
Et oui, bien sûr aussi que contextualiser le sujet n'a pas la même importance en maths qu'en SES par exemple. Mais en SES, un sujet tel que "comment réduire le chômage" ou "comment réduire les inégalités économiques" n'a aucune pertinence si on ne prend pas d'abord le temps d'expliquer en quoi le sujet est complexe à aborder. Évidemment, dans le cadre de l'oral, cinq minutes ne suffiront même pas à expliquer les enjeux du sujet, ce qui rend cette épreuve presque aussi absurde en maths qu'en sciences sociales.
Édit : je précise un peu mon propos => pour l'exemple du chômage, si on se contente de répondre à la question telle quelle, les deux premières réponses sont "il faut baisser le coût du travail" et "il faut augmenter les salaires". Ce qui n'a aucun sens si on n'a pas d'abord expliqué qu'il existait plusieurs causes au chômage et qu'il s'agit d'un phénomène relativement complexe à analyser ; autant dire que dans ma discipline, exposer le contexte et les difficultés propres au sujet est pratiquement incontournable si on veut échapper aux propos de Gérard-pilier-de-bar-du-café-du-commerce, en caricaturant à peine.
- VinZTDoyen
Oh purée ce document …
Bon, pour la quête on ne sait pas encore si c'est du côté de Kaamelott, de Don Quichotte ou de World of Warcraft qu'on doit s'orienter mais je vais leur en parler, promis : « Jean-Kévin, tu as une quête à accomplir, mais le boss final est super easy ».
Gnééé ?
C'est problématisé ça ?
Doc IGESR a écrit:
L'élève choisit ses questions, le professeur l'accompagne dans ce choix. L'énoncé de la question est le point final d’une réflexion qui fait l’objet d’un temps de maturation. Ce travail est donc progressif et s'affine avec l'avancée du programme et l'appropriation des notions. Les questions émanent d'une quête durant laquelle l'élève précise ses intérêts, les thématiques qu'il souhaite approfondir, les éléments qu'il souhaite mettre en avant dans un esprit d’ouverture mathématique. De cette quête peuvent émerger des questions variées et une pluralité des expressions, des thématiques et des expériences mobilisables.
[…]
Dans cet esprit, pour la deuxième partie du Grand oral, le jury aide l'élève à poursuivre sa
quête, à aller plus loin. Il ne s'agit nullement de piéger l'élève ou de contrôler des
connaissances que l’on estimerait fragiles. À ce titre, le jury veille à développer un climat
bienveillant, mettant le candidat en situation de confiance dans un esprit de « curiosité de l’autre » . Le dialogue doit s'installer, pour l'élève comme pour le jury, avec une qualité d'écoute et une exigence d’intelligibilité, de précision de l'expression et de clarté du propos.
Bon, pour la quête on ne sait pas encore si c'est du côté de Kaamelott, de Don Quichotte ou de World of Warcraft qu'on doit s'orienter mais je vais leur en parler, promis : « Jean-Kévin, tu as une quête à accomplir, mais le boss final est super easy ».
Doc IGESR a écrit:
Les pratiques collaboratives favorisent l’expression de chaque élève, elles pourront être mobilisées, notamment en fin d’année, sous des modalités diverses : travaux de groupe, « revue de projet », world café...
Gnééé ?
Doc IGESR a écrit:
Qu’est-ce qu’une croissance exponentielle ? Qui a inventé les logarithmes ?
C'est problématisé ça ?
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« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
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- CleroliDoyen
Non et d'ailleurs lors de ma dernière journée de formation au GO (début avril), les formateurs nous ont dit que finalement on ne pouvait pas attendre de problématisation en math (d'ailleurs les collègues de math devaient recevoir un doc spécifique pour leur expliquer les attendus pour leur matière).VinZT
C'est problématisé ça ?
La notion de "problématique" est loin de faire l'unanimité, c'est certain, surtout pour les sujets transversaux. En même temps, ces débats ne nous changent pas trop de ceux qu'on avait du temps des TPE.
- ben2510Expert spécialisé
Danska a écrit:ben2510 a écrit:Danska a écrit:c'est mettre en lumière les enjeux de la question
Ce n'est pas le B.A.-BA de la dissertation ? Interroger/préciser/contextualiser une question ?
Pour moi ça fait partie de l'intro, c'est utile mais ce n'est pas essentiel. En Maths.
Si, tout à fait. Le terme "problématique" est sans doute à la mode, mais ce qu'il recouvre n'a rien de récent.
Et oui, bien sûr aussi que contextualiser le sujet n'a pas la même importance en maths qu'en SES par exemple. Mais en SES, un sujet tel que "comment réduire le chômage" ou "comment réduire les inégalités économiques" n'a aucune pertinence si on ne prend pas d'abord le temps d'expliquer en quoi le sujet est complexe à aborder. Évidemment, dans le cadre de l'oral, cinq minutes ne suffiront même pas à expliquer les enjeux du sujet, ce qui rend cette épreuve presque aussi absurde en maths qu'en sciences sociales.
Édit : je précise un peu mon propos => pour l'exemple du chômage, si on se contente de répondre à la question telle quelle, les deux premières réponses sont "il faut baisser le coût du travail" et "il faut augmenter les salaires". Ce qui n'a aucun sens si on n'a pas d'abord expliqué qu'il existait plusieurs causes au chômage et qu'il s'agit d'un phénomène relativement complexe à analyser ; autant dire que dans ma discipline, exposer le contexte et les difficultés propres au sujet est pratiquement incontournable si on veut échapper aux propos de Gérard-pilier-de-bar-du-café-du-commerce, en caricaturant à peine.
OK, en Maths on appelle ça la "position du problème".
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- DanskaProphète
Si tu le dis, je te crois sur parole
Heu, au risque de poser une question idiote, il faut cinq minutes entières pour répondre à ça ?
Qui a inventé les logarithmes ?
Heu, au risque de poser une question idiote, il faut cinq minutes entières pour répondre à ça ?
- VinZTDoyen
Danska a écrit:Si tu le dis, je te crois sur parole
Qui a inventé les logarithmes ?
Heu, au risque de poser une question idiote, il faut cinq minutes entières pour répondre à ça ?
Ça doit dépendre si le candidat parle lentement
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