- ParménideNeoprof expérimenté
Si je veux vraiment m'investir dans des lectures il serait peut être souhaitable que je fasse une pause dans les entrainements. Parce que chaque entrainement constitue une sorte d'épée de Damoclès au dessus de moi, me met beaucoup de pression. Notamment à cause de l'angoisse du volume à remplir. Et ça c'est un problème bien plus actuel que celui de la diversité des traitements de sujets.
A mon plus haut niveau en prépa, je réussissais à faire des dissert de 13-14 pages.
Aujourd'hui j'arrive péniblement à 8 pages .
Et ça c'est un motif d'inquiétude vraiment important. Sachant que mon écriture n'est ni trop large ni trop resserrée, quel serait le volume moyen souhaitable pour une dissertation de philosophie? Tout ce qui est en dessous de 12 pages me parait top court. Certes le format des copies de concours a changé récemment, mais quand même...
A mon plus haut niveau en prépa, je réussissais à faire des dissert de 13-14 pages.
Aujourd'hui j'arrive péniblement à 8 pages .
Et ça c'est un motif d'inquiétude vraiment important. Sachant que mon écriture n'est ni trop large ni trop resserrée, quel serait le volume moyen souhaitable pour une dissertation de philosophie? Tout ce qui est en dessous de 12 pages me parait top court. Certes le format des copies de concours a changé récemment, mais quand même...
- GrypheMédiateur
Parménide a écrit:Aujourd'hui j'arrive péniblement à 8 pages .
Est-ce que tu pourrais arrêter de te torturer l'esprit avec des questions qui n'en valent pas la peine ?
Toute ma vie, j'ai rendu des copies très courtes. Lorsqu'elles étaient réussies, l'appréciation était "de bonnes qualités de concision et de synthèse", lorsque le devoir était raté, l'appréciation était "trop squelettique".
Bon voilà. Si ton style est d'écrire bref (quand il s'agit d'un devoir "officiel"), tu ne vas pas te le changer comme cela. Mais tu aurais matière à étoffer ta réflexion en lisant davantage.
Si 10 pages par jour, c'est trop au début, alors tente 5 pages, mais tiens-y toi, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige, que tu aies la maison à ranger, une dissert à faire, un rendez-vous à Pôle emploi ou tout le jardinage à faire, tiens toi à ces 5 pages. A un moment, tu ne pourras pas progresser si tu ne te confrontes pas à des grands penseurs.
- OlympiasProphète
Précision, concision, continence
- ParménideNeoprof expérimenté
Gryphe a écrit:Parménide a écrit:Aujourd'hui j'arrive péniblement à 8 pages .
Toute ma vie, j'ai rendu des copies très courtes. Lorsqu'elles étaient réussies, l'appréciation était "de bonnes qualités de concision et de synthèse", lorsque le devoir était raté, l'appréciation était "trop squelettique".
Ah oui?
Le problème à mes yeux est surtout que j'ai fait bien plus long par le passé. Et je trouve pas ça normal. Peut être que le fait d'avoir affaire à un programme précis jouait.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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https://www.babelio.com/monprofil.php
- GrypheMédiateur
Mais si c'est normal. Tu as expliqué toi-même que tu avais l'impression d'avoir plein de courbatures intellectuelles, d'être un peu rouillé, de ne plus réussir à lire, de tourner en rond dans tes pensées à toute allure mais sans réussir à avancer réellement et de chercher à vouloir tout contrôler au point de frôler la paralysie complète (bon, ça c'est moi qui l'ajoute, certes).Parménide a écrit:Le problème à mes yeux est surtout que j'ai fait bien plus long par le passé. Et je trouve pas ça normal.
Par conséquent, tes écrits sont plus courts. Absolument rien d'étonnant à cela.
Si tu parviens progressivement à sortir de l'eau, tu pourras à nouveau écrire des choses un peu plus longues et plus approfondies.
Cf. l'autre topic.
- supersosoSage
Parménide a écrit:Si je veux vraiment m'investir dans des lectures il serait peut être souhaitable que je fasse une pause dans les entrainements. Parce que chaque entrainement constitue une sorte d'épée de Damoclès au dessus de moi, me met beaucoup de pression. Notamment à cause de l'angoisse du volume à remplir. Et ça c'est un problème bien plus actuel que celui de la diversité des traitements de sujets.
A mon plus haut niveau en prépa, je réussissais à faire des dissert de 13-14 pages.
Aujourd'hui j'arrive péniblement à 8 pages .
Et ça c'est un motif d'inquiétude vraiment important. Sachant que mon écriture n'est ni trop large ni trop resserrée, quel serait le volume moyen souhaitable pour une dissertation de philosophie? Tout ce qui est en dessous de 12 pages me parait top court. Certes le format des copies de concours a changé récemment, mais quand même...
Tu ne lis pas. Comment veux-tu les nourrir tes disserts ? Forcément, y'a un moment, ça finit par se sentir (et je suis dans le même cas que toi : j'arrive péniblement à 10 pages sans autres support - mais j'écris gros - )parce qu'il me manque de la matière. Donc j'essaie de lire - un peu. Et je trouve de nouvelles idées dans mes lectures...
- ParménideNeoprof expérimenté
Gryphe a écrit:Mais si c'est normal. Tu as expliqué toi-même que tu avais l'impression d'avoir plein de courbatures intellectuelles, d'être un peu rouillé, de ne plus réussir à lire, de tourner en rond dans tes pensées à toute allure mais sans réussir à avancer réellement et de chercher à vouloir tout contrôler au point de frôler la paralysie complète (bon, ça c'est moi qui l'ajoute, certes).Parménide a écrit:Le problème à mes yeux est surtout que j'ai fait bien plus long par le passé. Et je trouve pas ça normal.
Par conséquent, tes écrits sont plus courts. Absolument rien d'étonnant à cela.
Si tu parviens progressivement à sortir de l'eau, tu pourras à nouveau écrire des choses un peu plus longues et plus approfondies.
Cf. l'autre topic.
Je pense qu'il y a aussi le fait de travailler sans programme, qui joue un rôle. Vu que rien n'est approfondi réellement, ça me donne moins de matière à utiliser.
Mais quand même, ça me met mal à l'aise de rendre des dissertations de 6 à 8 pages...
Cela dit j'en viens à me demander si ce ne serait pas intéressant, dans mon cas, de se donner pour ambition de faire les dissertations les plus courtes possibles. ça permettrait d'exorciser l'angoisse de ne pas écrire assez, à force.
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- supersosoSage
Et bien travaille avec le programme de l'agreg et passe les deux. Tu multiplies tes chances et tu as un programme.
- henrietteMédiateur
Excellente suggestion à mon avis : avoir un programme te rassurera, non ?supersoso a écrit:Et bien travaille avec le programme de l'agreg et passe les deux. Tu multiplies tes chances et tu as un programme.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- Thalia de GMédiateur
Ne risques-tu pas de culpabiliser ? Ne vaut-il mieux pas te fixer comme objectif d'alterner écrits courts et écrits longs ?Parménide a écrit:Gryphe a écrit:Mais si c'est normal. Tu as expliqué toi-même que tu avais l'impression d'avoir plein de courbatures intellectuelles, d'être un peu rouillé, de ne plus réussir à lire, de tourner en rond dans tes pensées à toute allure mais sans réussir à avancer réellement et de chercher à vouloir tout contrôler au point de frôler la paralysie complète (bon, ça c'est moi qui l'ajoute, certes).Parménide a écrit:Le problème à mes yeux est surtout que j'ai fait bien plus long par le passé. Et je trouve pas ça normal.
Par conséquent, tes écrits sont plus courts. Absolument rien d'étonnant à cela.
Si tu parviens progressivement à sortir de l'eau, tu pourras à nouveau écrire des choses un peu plus longues et plus approfondies.
Cf. l'autre topic.
Je pense qu'il y a aussi le fait de travailler sans programme, qui joue un rôle. Vu que rien n'est approfondi réellement, ça me donne moins de matière à utiliser.
Mais quand même, ça me met mal à l'aise de rendre des dissertations de 6 à 8 pages...
Cela dit j'en viens à me demander si ce ne serait pas intéressant, dans mon cas, de se donner pour ambition de faire les dissertations les plus courtes possibles. ça permettrait d'exorciser l'angoisse de ne pas écrire assez, à force.
Je me trompe peut-être, mais je te livre ma réaction à la lecture des derniers messages.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- supersosoSage
Et puis c'est tout bénef : en deux ans ou trois ans, ça permet de voir quand même un certain nombre d'oeuvres et de thèmes que l'on maîtrise. A la fin de l'année, j'aurais relu - un peu - de Platon, découvert Marx, travaillé sur la notion de phénomène, lu le discours de métaphysique de Leibniz, Lu l’Être et le Néant de Sarte, travaillé sur le thème de la logique et l'épistémologie. On ne connait pas le programme de l'année prochaine, pour l'instant. Mais quand même, je pourrais compter sur toutes les oeuvres et notions travaillées cette année pour les dissert et leçons sans programme.
- ParménideNeoprof expérimenté
Je tiens à faire les chose dans l'ordre :
-Capes
-Agrégation
-Thèse
(Malheureusement, il manquera l'ENS... )
-Capes
-Agrégation
-Thèse
(Malheureusement, il manquera l'ENS... )
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- Thalia de GMédiateur
Combien d'entre nous avons passé le concours et avons-nous échoué ? C'est le lot du commun des mortels.Parménide a écrit:(Malheureusement, il manquera l'ENS... )
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- User17706Bon génie
Je l'ai déjà dit X fois mais... quand on a validé un M2 et qu'on prépare les concours de philosophie, ne s'inscrire qu'au CAPES est le comble absolu de l'absurde. Encore un de ces calculs du type "tout à perdre, rien à gagner" où vraiment y'a les spécialistes et... les autres.
- GrypheMédiateur
Parménide a écrit:Je tiens à faire les choses dans l'ordre
Si je vous suis, le programme du CAPES est "le programme de Terminale", soit une cinquantaine de notions et le programme de l'agreg est plus circonscrit, c'est cela ?
Auquel cas effectivement, préparer le CAPES et l'agreg ensemble est une bonne idée.
Parménide, si travailler 50 notions t'est difficile et qu'il t'est plus facile d'en travailler 5, inscris-toi à l'agreg. (Ce qui suppose que tu réapprennes à lire, etc., je ne vais pas tout répéter à chaque message.)
Tu tiens à faire les choses dans l'ordre, mais il n'y a pas d'ordre, en vrai. Dans la vraie vie, il y a beaucoup plus de fantaisie que dans un cursus universitaire. Et de une, le tien est en panne, et de deux, si travailler avec un programme est une aide pour toi alors choisis de travailler les deux concours en parallèle (qui peut le plus peut le moins, etc.).
Quelles sont les 5 pages que tu as lues aujourd'hui, au fait ? :flower:
Et d'accord avec Thalia : à la base, l'ENS ça se rate. Ceux qui l'ont, c'est par accident, des sortes de génies qui dépassent le commun des mortels.
- FelixANiveau 6
Comme dirait Georges, "mon père a absolument tenu à ce que je me fasse recaler à Normale"
Je plussoie les autres: prépare le programme de l'agrégation, ça te permettra d'avoir un cadre et des thèmes précis, si tu ne sais pas par où commencer...
Je plussoie les autres: prépare le programme de l'agrégation, ça te permettra d'avoir un cadre et des thèmes précis, si tu ne sais pas par où commencer...
- GilbertineNeoprof expérimenté
Parménide a écrit:Je tiens à faire les chose dans l'ordre :
-Capes
-Agrégation
-Thèse
(Malheureusement, il manquera l'ENS... )
On n'en est qu'à la onzième page...
- ParménideNeoprof expérimenté
Toutes les difficultés que le capes me cause ou m'a causées font que je pense que c'est une très mauvaise chose psychologiquement pour moi de m'atteler à l'agrégation, tant que le capes n'est pas réussi.
Je dois réussir le capes avant l'agrégation, pour moi c'est fondamental.
Je dois réussir le capes avant l'agrégation, pour moi c'est fondamental.
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- supersosoSage
Gryphe a écrit:Parménide a écrit:Je tiens à faire les choses dans l'ordre
Si je vous suis, le programme du CAPES est "le programme de Terminale", soit une cinquantaine de notions et le programme de l'agreg est plus circonscrit, c'est cela ?
Auquel cas effectivement, préparer le CAPES et l'agreg ensemble est une bonne idée.
Parménide, si travailler 50 notions t'est difficile et qu'il t'est plus facile d'en travailler 5, inscris-toi à l'agreg. (Ce qui suppose que tu réapprennes à lire, etc., je ne vais pas tout répéter à chaque message.)
Tu tiens à faire les choses dans l'ordre, mais il n'y a pas d'ordre, en vrai. Dans la vraie vie, il y a beaucoup plus de fantaisie que dans un cursus universitaire. Et de une, le tien est en panne, et de deux, si travailler avec un programme est une aide pour toi alors choisis de travailler les deux concours en parallèle (qui peut le plus peut le moins, etc.).
Quelles sont les 5 pages que tu as lues aujourd'hui, au fait ? :flower:
Et d'accord avec Thalia : à la base, l'ENS ça se rate. Ceux qui l'ont, c'est par accident, des sortes de génies qui dépassent le commun des mortels.
Pour l'agreg tu as des épreuves sans programme et d'autres avec. Du coup, en préparant l'agreg, tu prépares aussi le CAPES. Mais travailler sur programme te permet aussi d'approfondir de nouveaux auteurs (et donc de combler des manques que tu aurais pu avoir dans tes études). Et puis ça a un côté rassurant : tu sais ce que tu dois travailler (dans mon cas, je préfère de loin préparer l'agreg avec comme objectif le capes : si j'étais partie bille en tête en me disant que je dois maîtriser toutes les notions, je serai encore en train de tourner en rond en me demandant par où commencer). Préparer l'agreg est un bon moyen de se refaire une culture philosophique à peu près cohérente.
- GrypheMédiateur
C'est n'imp'. On n'a pas dit de réussir l'un avant l'autre mais de préparer les deux en parallèle.Parménide a écrit:Je dois réussir le capes avant l'agrégation
Préparer les deux en parallèle t'aidera pour le CAPES.
Préparer l'agrégation peut t'aider à réussir le CAPES.
Mais bon comme on a parfois l'impression qu'en fait tu fais exprès de ne pas suivre les conseils...
Et sinon, tu as lu quoi aujourd'hui ?
- henrietteMédiateur
C'est complètement absurde, comme raison, j'espère que tu t'en rends compte...Parménide a écrit:Toutes les difficultés que le capes me cause ou m'a causées font que je pense que c'est une très mauvaise chose psychologiquement pour moi de m'atteler à l'agrégation, tant que le capes n'est pas réussi.
Je dois réussir le capes avant l'agrégation, pour moi c'est fondamental.
L'un aide pour l'autre.
Mais il n'est pire sourd...
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- User17706Bon génie
Non mais s'il y a, stratégiquement parlant, une option complètement perdante, vous pouvez être sûrs que ce sera, pour d'obscures raisons, la seule que Parménide juge envisageable. Il y a une sorte d'infaillibilité dans le choix du systématiquement pire qui a quelque chose de fascinant. D'ailleurs je suis fasciné.
Sous un passage piéton creuser un tunnel, à la fourchette (mais en plastique), pour être sûr de (ne pas) traverser. Ou construire un hélicoptère à pédales, mais tout en laine vierge, sinon ça risquerait de voler. Bref, traverser quand le bonhomme est vert, NON. Dangereux, psychologiquement risqué, et, au fond, impossible : comment être certain d'avoir correctement choisi celui de ses deux pieds qui devra faire le premier pas?
Sous un passage piéton creuser un tunnel, à la fourchette (mais en plastique), pour être sûr de (ne pas) traverser. Ou construire un hélicoptère à pédales, mais tout en laine vierge, sinon ça risquerait de voler. Bref, traverser quand le bonhomme est vert, NON. Dangereux, psychologiquement risqué, et, au fond, impossible : comment être certain d'avoir correctement choisi celui de ses deux pieds qui devra faire le premier pas?
- GrypheMédiateur
*Fou rire*
PY, ton post est exceptionnel.
Parménide, désolée, mais il y a un peu de ça, quand même...
PY, ton post est exceptionnel.
Parménide, désolée, mais il y a un peu de ça, quand même...
- ElyasEsprit sacré
Prosaïquement, peut-être que le CAPES est le geas de Parménide et que donc, il doit s'en détourner pour aller vers l'agrégation qui, de facto ne sera pas son geas et donc, ne cherchant pas à contrer le Dàn, il réussira, trouvera les bons cheminements d'apprentissage et triomphera de l'adversité tel Cuchulàin avant sa rencontre fatale avec Mab. Le CAPES est la Mab de Parménide ! Fuis, pauvre fou (Gandalf Inside) !
EDIT : un jour, l'Irlande antique et alto-médiévale sera au programme et je serai aux anges !
EDIT : un jour, l'Irlande antique et alto-médiévale sera au programme et je serai aux anges !
- GrypheMédiateur
Ah oui, d'ailleurs, tiens, Parménide, combien de fois as-tu raté l'agreg pour l'instant ? Moins de fois que le CAPES ?
Bon ben essaye, pour voir, alors. Qui ne risque rien n'a rien.
Et des fois, quand on fait des choses folles, ça marche. Alors que quand on fait des choses sensées, ça rate. Va comprendre...
Bon ben essaye, pour voir, alors. Qui ne risque rien n'a rien.
Et des fois, quand on fait des choses folles, ça marche. Alors que quand on fait des choses sensées, ça rate. Va comprendre...
- ClintNiveau 6
PauvreYorick a écrit:Non mais s'il y a, stratégiquement parlant, une option complètement perdante, vous pouvez être sûrs que ce sera, pour d'obscures raisons, la seule que Parménide juge envisageable. Il y a une sorte d'infaillibilité dans le choix du systématiquement pire qui a quelque chose de fascinant. D'ailleurs je suis fasciné.
Sous un passage piéton creuser un tunnel, à la fourchette (mais en plastique), pour être sûr de (ne pas) traverser. Ou construire un hélicoptère à pédales, mais tout en laine vierge, sinon ça risquerait de voler. Bref, traverser quand le bonhomme est vert, NON. Dangereux, psychologiquement risqué, et, au fond, impossible : comment être certain d'avoir correctement choisi celui de ses deux pieds qui devra faire le premier pas?
Excellent !
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Quand on tire, on raconte pas sa vie....
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