- NLM76Grand Maître
D'ailleurs, ce n'était même pas une interrogativindirecte.
- JPhMMDemi-dieu
Bien bien, comment expliquer cela ?
Dans « Tous les oiseaux ne volent pas », tous les oiseaux est le sujet.
En effet, j'ai appris quand j'étais petit qu'il me suffisait de demander « Qui ne vole pas ? » et la réponse « Tous les oiseaux » indique le sujet.
Sauf que...
« Tous les oiseaux ne volent pas » signifie qu'il existe au moins un oiseau qui ne vole pas.
« Qui ne vole pas ? Tous les oiseaux. » signifie qu'il n'existe aucun oiseau qui vole.
Et ces deux assertions sont tout à fait différentes. D'ailleurs la seconde affirme quelque chose de faux.
Alors, je dois avouer, cela me chagrine. Quand je distingue le sujet pour produire une question qui l'identifie, je modifie radicalement le sens de la phrase. Est-il donc vraiment le sujet de la phrase ?
Je suppose que quelque part je fais une erreur, mais je ne vois pas où.
Dans « Tous les oiseaux ne volent pas », tous les oiseaux est le sujet.
En effet, j'ai appris quand j'étais petit qu'il me suffisait de demander « Qui ne vole pas ? » et la réponse « Tous les oiseaux » indique le sujet.
Sauf que...
« Tous les oiseaux ne volent pas » signifie qu'il existe au moins un oiseau qui ne vole pas.
« Qui ne vole pas ? Tous les oiseaux. » signifie qu'il n'existe aucun oiseau qui vole.
Et ces deux assertions sont tout à fait différentes. D'ailleurs la seconde affirme quelque chose de faux.
Alors, je dois avouer, cela me chagrine. Quand je distingue le sujet pour produire une question qui l'identifie, je modifie radicalement le sens de la phrase. Est-il donc vraiment le sujet de la phrase ?
Je suppose que quelque part je fais une erreur, mais je ne vois pas où.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User5899Demi-dieu
J'adore vous mettre en zactivité, c'est vrai que pendant ce temps, on peut roupiller tranquille. Je comprends certains collègues
- NLM76Grand Maître
JPhMM a écrit:Bien bien, comment expliquer cela ?
Dans « Tous les oiseaux ne volent pas », tous les oiseaux est le sujet.
En effet, j'ai appris quand j'étais petit qu'il me suffisait de demander « Qui ne vole pas ? » et la réponse « Tous les oiseaux » indique le sujet.
Sauf que...
« Tous les oiseaux ne volent pas » signifie qu'il existe au moins un oiseau qui ne vole pas.
« Qui ne vole pas ? Tous les oiseaux. » signifie qu'il n'existe aucun oiseau qui vole.
Et ces deux assertions sont tout à fait différentes. D'ailleurs la seconde affirme quelque chose de faux.
Alors, je dois avouer, cela me chagrine. Quand je distingue le sujet pour produire une question qui l'identifie, je modifie radicalement le sens de la phrase. Est-il donc vraiment le sujet de la phrase ?
Je suppose que quelque part je fais une erreur, mais je ne vois pas où.
Je pense que le problème pourrait se situer au niveau de la phrase en gras. En fait elle ne signifie rien. Si on posait la question, on répondrait "Certains oiseaux". Et cela vaudrait même avec "Tous les entiers naturels qui ne sont divisibles que par eux-mêmes ne sont pas premiers", alors qu'il n'y en a qu'un qui n'est pas premier.
En général, je crois qu'on dit qu'il vaut mieux analyser la forme affirmative de la phrase : dans "Tous les oiseaux ne volent pas", la négation ne porte pas sur le verbe seul, mais à travers le verbe, sur l'ensemble de la proposition.
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- GrypheMédiateur
Ah ben non, et ma question sur le Tyrol alors ?Cripure a écrit:J'adore vous mettre en zactivité
- User5899Demi-dieu
JP, la question ne comprend pas la négation.
Qui vole ?
-Tous les oiseaux.
-Non tous les oiseaux.
-Aucun oiseau ne.
Non ?
Qui vole ?
-Tous les oiseaux.
-Non tous les oiseaux.
-Aucun oiseau ne.
Non ?
- User5899Demi-dieu
C'est plus une question sur l'allemand que sur le français, non ? On trouve l'i grec partout sauf dans certaines graphies allemandes. Je dirais que c'est un boulot pour super Holderfar, çaGryphe a écrit:Non mais d'accord, mais comment expliques-tu qu'un "i" germanique se soit transformé en "y" français ? C'est ça qu'on n'a pas bien réussi à expliquer.klaus2 a écrit:en allemand, le son /i/ est rendu par i, le y correspond (à de rares exceptions près : Zylinder..) au son français /u/, comme dans Cypre : Zypern : "tsupeurn".
En revanche je n'ai aucun avis sur l'origine de l'i grec. Il n'y a probablement aucun rapport avec Tyr, et je ne pense pas qu'on puisse postuler une évolution depuis thyra/thyron, "la porte". Donc langue au chat
- JPhMMDemi-dieu
Merci. Tu as raison. Ton message m'a permis de comprendre.nlm76 a écrit:JPhMM a écrit:Bien bien, comment expliquer cela ?
Dans « Tous les oiseaux ne volent pas », tous les oiseaux est le sujet.
En effet, j'ai appris quand j'étais petit qu'il me suffisait de demander « Qui ne vole pas ? » et la réponse « Tous les oiseaux » indique le sujet.
Sauf que...
« Tous les oiseaux ne volent pas » signifie qu'il existe au moins un oiseau qui ne vole pas.
« Qui ne vole pas ? Tous les oiseaux. » signifie qu'il n'existe aucun oiseau qui vole.
Et ces deux assertions sont tout à fait différentes. D'ailleurs la seconde affirme quelque chose de faux.
Alors, je dois avouer, cela me chagrine. Quand je distingue le sujet pour produire une question qui l'identifie, je modifie radicalement le sens de la phrase. Est-il donc vraiment le sujet de la phrase ?
Je suppose que quelque part je fais une erreur, mais je ne vois pas où.
Je pense que le problème pourrait se situer au niveau de la phrase en gras. En fait elle ne signifie rien. Si on posait la question, on répondrait "Certains oiseaux". Et cela vaudrait même avec "Tous les entiers naturels qui ne sont divisibles que par eux-mêmes ne sont pas premiers", alors qu'il n'y en a qu'un qui n'est pas premier.
En général, je crois qu'on dit qu'il vaut mieux analyser la forme affirmative de la phrase : dans "Tous les oiseaux ne volent pas", la négation ne porte pas sur le verbe seul, mais à travers le verbe, sur l'ensemble de la proposition.
Oui, il s'agit en effet sans doute de l'objet sur lequel porte la négation.
En logique, on pourrait distinguer :
(A) Tous les oiseaux non-[volent].
(B) non-[tous les oiseaux] volent.
(C) non-[tous les oiseaux volent].
La phrase "Tous les oiseaux ne volent pas" correspond sans doute à la (C). En séparant le sujet on voudrait la rendre équivalente à la (A), d'où l'erreur.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Si.Cripure a écrit:JP, la question ne comprend pas la négation.
Qui vole ?
-Tous les oiseaux.
-Non tous les oiseaux.
-Aucun oiseau ne.
Non ?
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- GrypheMédiateur
Du coup, on s'était dit que c'est l'allemand qui avait simplifié un "y" existant depuis le "début". Mais quel début ?Cripure a écrit:On trouve l'i grec partout sauf dans certaines graphies allemandes.
Ah, je vais demander à Holderfar et Aevin alors.
- NLM76Grand Maître
A mon avis, c'est un -y- rajouté au moyen-âge par afféterie, en latin pompeux.
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- keroGrand sage
Cripure a écrit:C'est plus une question sur l'allemand que sur le français, non ? On trouve l'i grec partout sauf dans certaines graphies allemandes. Je dirais que c'est un boulot pour super Holderfar, çaGryphe a écrit:Non mais d'accord, mais comment expliques-tu qu'un "i" germanique se soit transformé en "y" français ? C'est ça qu'on n'a pas bien réussi à expliquer.klaus2 a écrit:en allemand, le son /i/ est rendu par i, le y correspond (à de rares exceptions près : Zylinder..) au son français /u/, comme dans Cypre : Zypern : "tsupeurn".
En revanche je n'ai aucun avis sur l'origine de l'i grec. Il n'y a probablement aucun rapport avec Tyr, et je ne pense pas qu'on puisse postuler une évolution depuis thyra/thyron, "la porte". Donc langue au chat
Je ne peux pas donner de réponse particulière pour ce cas-ci, mais il faut savoir que l'orthographe des toponyme était, au Moyen Âge, extrêmement variable (de même que l'orthographe des anthroponyme, un certain Bernhard pouvant être appelé Bernard ou Bernhardt dans la même source et par le même auteur !). Le toponyme Tirol/Tyrol me semble devoir être apparu au Moyen Âge et ainsi, d'autant plus sujet à ce genre de variation orthographique. Dans ces conditions, je suppose que l'utilisation du "i" en allemand et du "y" en français ne tient à rien d'autre qu'au fait qu'une manière de l'écrire s'est imposée et fixée au détriment de l'autre, et cela indépendemment en français et en allemand.
- GrypheMédiateur
Merci kero et nlm !
Si vous avez encore d'autres explications, je prends !
Si vous avez encore d'autres explications, je prends !
- keroGrand sage
Pour compléter: pour voir les différentes formes attestées pour Tyrol dans la toponymie médiévale: http://www.columbia.edu/acis/ets/Graesse/orblatt.html#Tirolis
- User5899Demi-dieu
C'est votre remarque qui, avec celle de nlm76, me semble la plus facilement compréhensible.kero a écrit:Cripure a écrit:C'est plus une question sur l'allemand que sur le français, non ? On trouve l'i grec partout sauf dans certaines graphies allemandes. Je dirais que c'est un boulot pour super Holderfar, çaGryphe a écrit:
Non mais d'accord, mais comment expliques-tu qu'un "i" germanique se soit transformé en "y" français ? C'est ça qu'on n'a pas bien réussi à expliquer.
En revanche je n'ai aucun avis sur l'origine de l'i grec. Il n'y a probablement aucun rapport avec Tyr, et je ne pense pas qu'on puisse postuler une évolution depuis thyra/thyron, "la porte". Donc langue au chat
Je ne peux pas donner de réponse particulière pour ce cas-ci, mais il faut savoir que l'orthographe des toponyme était, au Moyen Âge, extrêmement variable (de même que l'orthographe des anthroponyme, un certain Bernhard pouvant être appelé Bernard ou Bernhardt dans la même source et par le même auteur !). Le toponyme Tirol/Tyrol me semble devoir être apparu au Moyen Âge et ainsi, d'autant plus sujet à ce genre de variation orthographique. Dans ces conditions, je suppose que l'utilisation du "i" en allemand et du "y" en français ne tient à rien d'autre qu'au fait qu'une manière de l'écrire s'est imposée et fixée au détriment de l'autre, et cela indépendemment en français et en allemand.
D'ailleurs, par parenthèse, quand on lit Rousseau dans la Pléiade, avec l'orthographe de JJ respectée, on s'aperçoit que même à son époque, le français est loin d'avoir une orthographe fermement normée
- keroGrand sage
Cripure a écrit:D'ailleurs, par parenthèse, quand on lit Rousseau dans la Pléiade, avec l'orthographe de JJ respectée, on s'aperçoit que même à son époque, le français est loin d'avoir une orthographe fermement normée
C'est l'impression que j'avais retirée à la lecture de textes des l'époque moderne.
C'est au XIXe siècle qu'en français l'orthographe a été "normalisé", non ?
- GrypheMédiateur
Merci !kero a écrit:Pour compléter: pour voir les différentes formes attestées pour Tyrol dans la toponymie médiévale: http://www.columbia.edu/acis/ets/Graesse/orblatt.html#Tirolis
Dois-je comprendre que le français a privilégié le "y" par préciosité, pour faire savant, là où la langue allemande a été au plus simple (et au plus proche de leur prononciation en "i" et non en "u") ?nlm76 a écrit:A mon avis, c'est un -y- rajouté au moyen-âge par afféterie, en latin pompeux.
- JPhMMDemi-dieu
Je réalise que le fait que la négation porte sur la phrase et non sur le verbe a des conséquences cocasses.JPhMM a écrit:Merci. Tu as raison. Ton message m'a permis de comprendre.nlm76 a écrit:JPhMM a écrit:Bien bien, comment expliquer cela ?
Dans « Tous les oiseaux ne volent pas », tous les oiseaux est le sujet.
En effet, j'ai appris quand j'étais petit qu'il me suffisait de demander « Qui ne vole pas ? » et la réponse « Tous les oiseaux » indique le sujet.
Sauf que...
« Tous les oiseaux ne volent pas » signifie qu'il existe au moins un oiseau qui ne vole pas.
« Qui ne vole pas ? Tous les oiseaux. » signifie qu'il n'existe aucun oiseau qui vole.
Et ces deux assertions sont tout à fait différentes. D'ailleurs la seconde affirme quelque chose de faux.
Alors, je dois avouer, cela me chagrine. Quand je distingue le sujet pour produire une question qui l'identifie, je modifie radicalement le sens de la phrase. Est-il donc vraiment le sujet de la phrase ?
Je suppose que quelque part je fais une erreur, mais je ne vois pas où.
Je pense que le problème pourrait se situer au niveau de la phrase en gras. En fait elle ne signifie rien. Si on posait la question, on répondrait "Certains oiseaux". Et cela vaudrait même avec "Tous les entiers naturels qui ne sont divisibles que par eux-mêmes ne sont pas premiers", alors qu'il n'y en a qu'un qui n'est pas premier.
En général, je crois qu'on dit qu'il vaut mieux analyser la forme affirmative de la phrase : dans "Tous les oiseaux ne volent pas", la négation ne porte pas sur le verbe seul, mais à travers le verbe, sur l'ensemble de la proposition.
Oui, il s'agit en effet sans doute de l'objet sur lequel porte la négation.
En logique, on pourrait distinguer :
(A) Tous les oiseaux non-[volent].
(B) non-[tous les oiseaux] volent.
(C) non-[tous les oiseaux volent].
La phrase "Tous les oiseaux ne volent pas" correspond sans doute à la (C). En séparant le sujet on voudrait la rendre équivalente à la (A), d'où l'erreur.
Ainsi "être mécontent" pourrait sembler être synonyme de "ne pas être content".
Or "tout le monde est mécontent" ne signifie pas "tout le monde n'est pas content".
Donc cette synonymie ne me semble pas acquise.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- NLM76Grand Maître
De toute façon, la synonymie...
C'est un peu comme en maths. Si x et y appartiennent à N et que x=y, c'est que x et y sont le même nombre. En langue si x et y sont des mots et que valeur (x) = valeur (y), eh bien c'est que x et y sont un seul et même mot.
C'est un peu comme en maths. Si x et y appartiennent à N et que x=y, c'est que x et y sont le même nombre. En langue si x et y sont des mots et que valeur (x) = valeur (y), eh bien c'est que x et y sont un seul et même mot.
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- JPhMMDemi-dieu
En effet.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User5899Demi-dieu
JP, si je comprends bien, vous vous ébaudissez que (-(a+b)) soit différent de (a-b) ?
Gryphe, les Allemands ont une raison de choisir entre i et y : la prononciation de y, "productis labris" (un i, lèvres en avant).
Gryphe, les Allemands ont une raison de choisir entre i et y : la prononciation de y, "productis labris" (un i, lèvres en avant).
- JPhMMDemi-dieu
Pas exactement, mais un peu oui. :lol:Cripure a écrit:JP, si je comprends bien, vous vous ébaudissez que (-(a+b)) soit différent de (a-b) ?
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User5899Demi-dieu
JPhMM a écrit:Pas exactement, mais un peu oui. :lol:Cripure a écrit:JP, si je comprends bien, vous vous ébaudissez que (-(a+b)) soit différent de (a-b) ?
- ZeldaHabitué du forum
Comment savoir si un mot contient une ou deux consonnes? Y a-t-il une règle ou faut-il les apprendre tous par cœur?
ex : intentionnel mais international
ex : intentionnel mais international
- dandelionVénérable
En anglais, intentional, address, etc. Je me souviens avoir entendu comme explication de cette différence que les moines copistes étaient payés à la lettre, et qu'ils en doublaient certaines pour gagner plus, mais que ce n'étaient pas les mêmes suivant les pays, d'où la différence, et l'obligation d'apprendre par coeur.
Je ne suis pas sûre à la réflexion qu'il n'y ait pas des explications plus logiques, notamment une question d'accentuation.
Je ne suis pas sûre à la réflexion qu'il n'y ait pas des explications plus logiques, notamment une question d'accentuation.
- GrypheMédiateur
Les moines étaient payés ? Par qui ? :shock:dandelion a écrit:les moines copistes étaient payés à la lettre
- Questions pour les enseignants concernant le choix d'académie à faire pour le stage et mutations
- Cadeau pour les gagnants "Questions pour un champion" ?
- Aide pour trouver des questions pour mon mémoire
- Au secours: focalisation pour demain matin
- Frais de déplacement pour TZR en AFA? (Nejma au secours!!!!)
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum