- Luigi_BGrand Maître
Pour ceux et celles qui veulent se distraire de leurs corrections, quelques petites statistiques de mon cru sur les sujets de brevet tombés en métropole depuis 2000 : http://www.laviemoderne.net/mirabilia/80-qui-a-peur-de-la-litterature
- Thalia de GMédiateur
Merci Luigi. Tu as fourni la réponse avant même que je ne pose la question qui me trotte dans la tête depuis quelques jours.Luigi_B a écrit:Pour ceux et celles qui veulent se distraire de leurs corrections, quelques petites statistiques de mon cru sur les sujets de brevet tombés en métropole depuis 2000 : http://www.laviemoderne.net/mirabilia/80-qui-a-peur-de-la-litterature
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- PointàlaligneExpert
Cripure a écrit:M'enfin ! Elle est comme Didon avec Enée !!Sphinx a écrit:Non, c'est sûr, mais on peut quand même s'interroger sur les circonstances de la rédaction, ou de l'entrevue pour ce qui concerne ce texte. Un condamné qui dit à sa femme que la victoire est proche et qu'elle doit continuer le combat sans que les gardiens interviennent ? Ca peut avoir lieu, mais j'aimerais qu'on me précise comment.
"Illum absens absentem auditque uidetque "
On est effectivement en pleine prosopopée, et la critique littéraire citée ci-dessous croit savoir qu'une telle entrevue a été possible en 1942. :shock:
G**gle b**ks donne accès (taper Delbo / scène / jouée / mémoire / emprisonnée) à L'Ecriture emprisonnée, un recueil d'articles dont l'un contient des précisions biographiques et des indications bien utiles à qui ne dispose pas de la totalité du texte de Delbo.
Lire les extraits disponibles de cet article m'a un peu réconciliée avec un sujet que comme beaucoup je trouve fort mal fait. Il y avait peut être des passages plus appropriés s'il s'agissait de faire découvrir un texte méconnu. Il était sans doute également possible d'avoir des indications plus précises sur le contexte. Quant aux questions...
Merci à Audrey pour sa géniale interprétation, qui me console un peu d'aller lire toutes ces lettres demain
- vivi1982Niveau 10
Comment ça? Tu n'as même pas hâte de lire ce que raconte Paul à "ses chers enfants"! Ni de lire 30 fois de suite "parmis " dans la dictée. :lol:
- IlianaGrand sage
C'est vrai que la Résistance et les camps, ça fait très feux de l'amour... Ou Levy. Ou Cartland comme j'ai pu le lire sur le topic.
Je me demande ce qu'il fallait ajouter au chapeau pour comprendre davantage le contexte.
Non, effectivement, les textes de Charlotte Delbo ne sont pas glamour, et ce n'est pas n'importe qui.
17 pages de mépris et de surenchère sur un texte qui, à mon goût, n'était pas adapté à un brevet des collèges parce que son intérêt résidait dans des subtilités que les questions ne faisaient qu'effleurer, ça commence à devenir franchement pesant.
Je suis d'accord avec ce que disaient Cripure et Mamamanette sur l'âge de nos élèves, qu'il ne faut pas oublier, et sur le fait que, peut-être, le sujet d'imagination pouvait faire appel à de belles choses. Je ne sais pas, je ne trouve pas le sujet niais, et une lettre d'adieu d'un père à ses enfants, je trouve ça émouvant. Reste à voir ce que nos élèves peuvent en faire bien sûr, on risque d'avoir un énorme décalage entre l'enjeu et la projection d'ados d'aujourd'hui (mais c'était difficile). Est-ce que ça mérite de tels ricanements ? Je suis perplexe.
Bref, entre ne pas aimer un texte, ne pas le trouver intéressant, et en faire trois tonnes, il me semble qu'il y a une marge. Et c'est sûrement aussi parce que je trouve que Charlotte Delbo est un auteur qui a écrit des textes magnifiques (même si celui-ci n'est pas le meilleur), qui a longtemps été trop peu connue. Alors ça me touche qu'on parle comme ça de ce texte comme s'il était à mettre sur le même plan que la dernière des m***** qu'on peut trouver dans le rayon librairie d'un supermarché.
Je me demande ce qu'il fallait ajouter au chapeau pour comprendre davantage le contexte.
Non, effectivement, les textes de Charlotte Delbo ne sont pas glamour, et ce n'est pas n'importe qui.
17 pages de mépris et de surenchère sur un texte qui, à mon goût, n'était pas adapté à un brevet des collèges parce que son intérêt résidait dans des subtilités que les questions ne faisaient qu'effleurer, ça commence à devenir franchement pesant.
Je suis d'accord avec ce que disaient Cripure et Mamamanette sur l'âge de nos élèves, qu'il ne faut pas oublier, et sur le fait que, peut-être, le sujet d'imagination pouvait faire appel à de belles choses. Je ne sais pas, je ne trouve pas le sujet niais, et une lettre d'adieu d'un père à ses enfants, je trouve ça émouvant. Reste à voir ce que nos élèves peuvent en faire bien sûr, on risque d'avoir un énorme décalage entre l'enjeu et la projection d'ados d'aujourd'hui (mais c'était difficile). Est-ce que ça mérite de tels ricanements ? Je suis perplexe.
Audrey, je suis étonnée que tu le prennes comme ça, parce que je t'ai lue répondre assez vertement à une candidate (ou un, je ne sais plus) au capes qui avait laissé Ronsard de côté en tirant son sujet, parce qu'il/elle trouvait que le texte n'était pas passionnant. Je ne sais plus si il/elle parlait de cliché, de collier de perles ou de Marc Lévy, mais tu avais l'air de dire que pour un futur prof de français, c'était choquant. Or si je trouvais également dommage de ne pas souligner les intérêts de construction et de volonté d'embellissement de la langue dans l'emploi des figures, etc, chez Ronsard, je trouve dommage, ici, de ne pas voir, au-delà de la simplicité de vocabulaire, la construction temporelle intéressante, la différence entre l'émotion immédiate de Françoise qui coupe les mots et les commentaires rétrospectifs...Audrey a écrit:Iliana, cela justifiait à ton sens que l'on porte un jugement intellectuel sur les personnes qui s'étaient exprimées?
Bref, entre ne pas aimer un texte, ne pas le trouver intéressant, et en faire trois tonnes, il me semble qu'il y a une marge. Et c'est sûrement aussi parce que je trouve que Charlotte Delbo est un auteur qui a écrit des textes magnifiques (même si celui-ci n'est pas le meilleur), qui a longtemps été trop peu connue. Alors ça me touche qu'on parle comme ça de ce texte comme s'il était à mettre sur le même plan que la dernière des m***** qu'on peut trouver dans le rayon librairie d'un supermarché.
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Minuit passé déjà. Le feu s'est éteint et je sens le sommeil qui gagne du terrain.
Je vais m'endormir contre vous, respirer doucement, parce que je sais où nous allons désormais.
Fauve - Révérence
- User5899Demi-dieu
Je l'ai dit, je le répète. Un texte, ce ne sont que des mots. La réalité historique, en lettres, m'indiffère complètement. La complexité de l'écriture fait de ce texte pour moi un texte riche, intéressant à étudier (et un mauvais sujet d'examen, à cause de cette difficulté d'un aparté sur deux plans temporels différents). Je peux comprendre qu'on ne ressente aucune émotion, je comprends moins qu'on se gausse comme on le fait.
Mais bon.
Mais bon.
- Luigi_BGrand Maître
Tu réponds toi-même à la question. Ce qui est décourageant, c'est que la littérature offre quelques beaux textes, me semble-t-il, mais qu'on en trouve de moins en moins au brevet.Iliaba a écrit: Et c'est sûrement aussi parce que je trouve que Charlotte Delbo est un auteur qui a écrit des textes magnifiques (même si celui-ci n'est pas le meilleur), qui a longtemps été trop peu connue.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- PointàlaligneExpert
En tout cas, l'échantillonnage que j'ai eu entre les mains n'a appréhendé ni complexité, ni subtilité, ni profondeur du texte.
Pour beaucoups parmis (orthographe dictée 2014) les candidats, "si je serais metteur en scène", il faudrait un coucher de soleil romantique :shock:
Pour beaucoups parmis (orthographe dictée 2014) les candidats, "si je serais metteur en scène", il faudrait un coucher de soleil romantique :shock:
Avant d'avoir lu les extraits d'article cités plus haut, je n'avais pas compris la portée autobiographique des apartés.iliana a écrit:Je me demande ce qu'il fallait ajouter au chapeau pour comprendre davantage le contexte.
- IlianaGrand sage
Luigi_B a écrit:Tu réponds toi-même à la question. Ce qui est décourageant, c'est que la littérature offre quelques beaux textes, me semble-t-il, mais qu'on en trouve de moins en moins au brevet.Iliaba a écrit: Et c'est sûrement aussi parce que je trouve que Charlotte Delbo est un auteur qui a écrit des textes magnifiques (même si celui-ci n'est pas le meilleur), qui a longtemps été trop peu connue.
A quelle question ?
Parce qu'il ne me semble pas en avoir posé.
Par contre, j'exprimais quelque chose qui me dérangeait avant et après la phrase que tu cites, et sur lequel je n'ai pas eu de remarque
Pointàlaligne a écrit:Avant d'avoir lu les extraits d'article cités plus haut, je n'avais pas compris la portée autobiographique des apartés.iliana a écrit:Je me demande ce qu'il fallait ajouter au chapeau pour comprendre davantage le contexte.
Je ne vois pas ce que ça apporte au texte de savoir qu'il a une portée autobiographique pour comprendre l'enjeu et les subtilités de construction.
Quant au fait de dire que ces subtilités n'ont globalement pas été saisies par les élèves (quoique j'ai eu d'excellentes remarques sur... allez, deux copies ?), je pense que nous sommes tous d'accord, c'est pourquoi nous étions nombreux à penser que c'était un "mauvais" sujet.
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Fauve - Révérence
- Luigi_BGrand Maître
A la question de la pertinence du choix de ce texte pour le brevet.Iliana a écrit:A quelle question ?
Parce qu'il ne me semble pas en avoir posé.
Par contre, j'exprimais quelque chose qui me dérangeait avant et après la phrase que tu cites, et sur lequel je n'ai pas eu de remarque
Pour le reste je n'ai pas porté de jugement sur l'écrivain Charlotte Delbo, mais seulement sur ce texte.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- IlianaGrand sage
Mais là-dessus je suis d'accord avec bien d'autres participants du topic : ce texte n'était sûrement pas le meilleur à choisir, ou avec d'autres questions, parce que ces dernières ne permettaient pas aux élèves de travailler de façon intéressante dessus.
Par ailleurs sa construction temporelle et son glissement par rapport aux codes du théâtre le rendaient difficile.
Rien à voir, mais vous aussi, dans vos consignes de correction on vous demandait d'accepter, pour la dictée :
- des chevaux de manèges
- armée de gens de liaisons,
- matériels de sabotage ?
Par ailleurs sa construction temporelle et son glissement par rapport aux codes du théâtre le rendaient difficile.
Rien à voir, mais vous aussi, dans vos consignes de correction on vous demandait d'accepter, pour la dictée :
- des chevaux de manèges
- armée de gens de liaisons,
- matériels de sabotage ?
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Fauve - Révérence
- cariboucGuide spirituel
J'en reviens.vivi1982 a écrit:Comment ça? Tu n'as même pas hâte de lire ce que raconte Paul à "ses chers enfants"! Ni de lire 30 fois de suite "parmis " dans la dictée. :lol:
Je suis écoeurée d'avoir lu 26 fois de suite "ne vous chamaillez/querellez/battez pas et prenez soin de votre maman". J'ai 3 sujets de réflexion, dont 2 illisibles et abscons.
J'ai eu un très joli : "il faut que elles vivees, elles." à la réécriture.
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"J'adore parler de rien : c'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances" (O. Wilde)
- babetteNeoprof expérimenté
là oui dans notre barème, on pouvait accepter le s à matériel (mais pas à sabotage).Iliana a écrit:Mais là-dessus je suis d'accord avec bien d'autres participants du topic : ce texte n'était sûrement pas le meilleur à choisir, ou avec d'autres questions, parce que ces dernières ne permettaient pas aux élèves de travailler de façon intéressante dessus.
Par ailleurs sa construction temporelle et son glissement par rapport aux codes du théâtre le rendaient difficile.
Rien à voir, mais vous aussi, dans vos consignes de correction on vous demandait d'accepter, pour la dictée :
- des chevaux de manèges J'ai mis -0.5, on nous a demandé de ne pas l'accepter.
- armée de gens de liaisons, Non, pas de -s non plus à liaison, c'était - 0.5 si il y avait un -s.
- matériels de sabotage ?
Par contre pour la dictée, on a aussi demandé d'accepter:
- tourne au singulier (une armée d'agents de liaison qui tourne/tournent).
- exige au singulier
- la série aux téléphones, aux télégraphes , aux lettres si tout était au pluriel.
Bref
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« Si ton rève se réalise, c'est qu'il n'était pas assez beau."
Proverbe chinois.
- MarieLNeoprof expérimenté
Iliana a écrit:Mais là-dessus je suis d'accord avec bien d'autres participants du topic : ce texte n'était sûrement pas le meilleur à choisir, ou avec d'autres questions, parce que ces dernières ne permettaient pas aux élèves de travailler de façon intéressante dessus.
Par ailleurs sa construction temporelle et son glissement par rapport aux codes du théâtre le rendaient difficile.
Rien à voir, mais vous aussi, dans vos consignes de correction on vous demandait d'accepter, pour la dictée :
- des chevaux de manèges
- armée de gens de liaisons,
- matériels de sabotage ?
Non. Pour une fois, très peu de consignes en fait. Il fallait accepter "exige" au singulier et tolérer le pluriel pour "aux téléphones, aux télégraphes".
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Je suis ce que je suis et je suis l'être même, je suis ma volonté en moi-même exaucée - A. Kalda
- Thalia de GMédiateur
Une correctrice s'est étonnée de l'absence de ponctuation dans une dictée. Vérification faite, c'était dans plusieurs dictées d'affilée.
Nous en avons conclu que ce n'était pas un prof de lettres qui avait dicté...
Elle n'a bien sûr pas sanctionné, mais c'est embêtant.
PS : mon poignet a tenu le coup.
Nous en avons conclu que ce n'était pas un prof de lettres qui avait dicté...
Elle n'a bien sûr pas sanctionné, mais c'est embêtant.
PS : mon poignet a tenu le coup.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- SteredDoyen
Question : avez-vous eu le corrigé national ?
On ne nous a donné que l'académique, malgré nos protestations...
On ne nous a donné que l'académique, malgré nos protestations...
- cariboucGuide spirituel
Ça m'a fait mal d'accepter "exige"babette a écrit:là oui dans notre barème, on pouvait accepter le s à matériel (mais pas à sabotage).Iliana a écrit:Mais là-dessus je suis d'accord avec bien d'autres participants du topic : ce texte n'était sûrement pas le meilleur à choisir, ou avec d'autres questions, parce que ces dernières ne permettaient pas aux élèves de travailler de façon intéressante dessus.
Par ailleurs sa construction temporelle et son glissement par rapport aux codes du théâtre le rendaient difficile.
Rien à voir, mais vous aussi, dans vos consignes de correction on vous demandait d'accepter, pour la dictée :
- des chevaux de manèges J'ai mis -0.5, on nous a demandé de ne pas l'accepter.
- armée de gens de liaisons, Non, pas de -s non plus à liaison, c'était - 0.5 si il y avait un -s.
- matériels de sabotage ?
Par contre pour la dictée, on a aussi demandé d'accepter:
- tourne au singulier (une armée d'agents de liaison qui tourne/tournent).
- exige au singulier
- la série aux téléphones, aux télégraphes , aux lettres si tout était au pluriel.
Bref
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"J'adore parler de rien : c'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances" (O. Wilde)
- cariboucGuide spirituel
Thalia de G a écrit:PS : mon poignet a tenu le coup.
On nous a donné les deux, en nous demadant bien de ne suivre que le barème académique...Stered a écrit:Question : avez-vous eu le corrigé national ?
On ne nous a donné que l'académique, malgré nos protestations...
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"J'adore parler de rien : c'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances" (O. Wilde)
- Thalia de GMédiateur
Je pense que j'ai eu le national (5 pages + 2 autres feuilles)Stered a écrit:Question : avez-vous eu le corrigé national ?
On ne nous a donné que l'académique, malgré nos protestations...
Beaucoup trop long, je l'ai lu rapidement et me suis aussi fiée à mon expérience et à mon bon sens.
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Soleil noir de mes mélancolies.
- SteredDoyen
J'aurais aimé voir les différences de notation, quand même.
Bon, nous, pour "exige", devant la mutinerie de la salle, ils ont lâché que nous conservions tout de même notre "libre-arbitre" de correction, donc chacun a choisi en son âme et conscience.
Bon, nous, pour "exige", devant la mutinerie de la salle, ils ont lâché que nous conservions tout de même notre "libre-arbitre" de correction, donc chacun a choisi en son âme et conscience.
- DwarfVénérable
- ouiIliana a écrit:Mais là-dessus je suis d'accord avec bien d'autres participants du topic : ce texte n'était sûrement pas le meilleur à choisir, ou avec d'autres questions, parce que ces dernières ne permettaient pas aux élèves de travailler de façon intéressante dessus.
Par ailleurs sa construction temporelle et son glissement par rapport aux codes du théâtre le rendaient difficile.
Rien à voir, mais vous aussi, dans vos consignes de correction on vous demandait d'accepter, pour la dictée :
- des chevaux de manèges
- armée de gens de liaisons,
- matériels de sabotage ?
- oui (mais c'était "armée d'agents")
- oui et même sabotages en sus!
- kimyGrand sage
On a eu les mêmes consignes pour la dictée.
Et que dire de la question 6 ! 1,5 pts pour dire que les apartés sont adressés au public.
Et que dire de la question 6 ! 1,5 pts pour dire que les apartés sont adressés au public.
- MarieLNeoprof expérimenté
Ah mais c'était bien plus exigeant ici alors... 0.5 pour l'illustration, 1 point pour avoir compris que "Françoise s'adresse de manière générale au public, à qui elle fait partager ses souvenirs de deux manières [...] certains apartés sont explicitement adressés au public [...] et on peut aussi comprendre que Françoise se parle comme à elle-même".
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Je suis ce que je suis et je suis l'être même, je suis ma volonté en moi-même exaucée - A. Kalda
- blancheExpert
kimy a écrit:On a eu les mêmes consignes pour la dictée.
Et que dire de la question 6 ! 1,5 pts pour dire que les apartés sont adressés au public.
Mêmes consignes en Lorraine!
Encore 22 rédac demain, je n'en peux plus!...Direction mon lit!
- cariboucGuide spirituel
J'eusse aimé un corrigé de ce type...
Ici, pour la question 2, le corrigé stipulait que Françoise partageait le choix, qu'il fallait refuser toute autre réponse.
Ici, pour la question 2, le corrigé stipulait que Françoise partageait le choix, qu'il fallait refuser toute autre réponse.
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"J'adore parler de rien : c'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances" (O. Wilde)
- blancheExpert
Chez nous, tant que c'était justifié, on acceptait toute réponse!...
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