- ysabelDevin
Cripure a écrit:En revanche, je mets les corpus de devoirs : ce sont mes GT
moi aussi
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- trompettemarineMonarque
En fait, je triche...
Lorsque je conçois mon groupement de textes....je conçois une question sur corpus dessus... (et j'évite ainsi les corrigés d'internet car je peux le donner à la maison plutôt qu'en classe.)
Puis on la corrige et on en imagine d'autres encore, ou on procède à des activités comparatives (ou pas). Certains de ces textes se trouvent ensuite étudiés en LA.
Mais du coup j'évite les GT juste vus en bac blanc.
Lorsque je conçois mon groupement de textes....je conçois une question sur corpus dessus... (et j'évite ainsi les corrigés d'internet car je peux le donner à la maison plutôt qu'en classe.)
Puis on la corrige et on en imagine d'autres encore, ou on procède à des activités comparatives (ou pas). Certains de ces textes se trouvent ensuite étudiés en LA.
Mais du coup j'évite les GT juste vus en bac blanc.
- NLM76Grand Maître
@ trompettemarineCripure a écrit:Mais bien sûr. On ne met pas les docs complémentaires, parce qu'un point à évaluer est la capacité du candidat à présenter ses lectures.trompettemarine a écrit:quand en "complémentaire" on a : "la princesse de Clèves " (extraits)
Question : quels passages avez-vous étudiés ?
Bah, je sais pas, on m'a dit de pas ramener les textes complémentaires et puis ça remonte loin...
Et bien la note... elle ne monte pas loin non plus...
Voudriez-vous nous expliquer pourquoi l'argument de Cripure ci-dessus ne vous convient pas ?
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- trompettemarineMonarque
Comment puis-je savoir par exemple si l'élève ne me mène pas en bateau sur une oeuvre que je n'ai pas lue, ou un tableau.
Certains élèves sérieux vont même penser que ces textes ne se révisent pas et patatras
Ou alors c'est ma crainte de ne pas être à la hauteur qui resurgit...
Mais j'ai toujours besoin de la base du texte pour dialoguer et en être à poser quinze fois la même question "quel passage du livre avez-vous préféré et pourquoi? finit par me poser des questions d'ordre éthique.
Et puis enfin, si on a pu donner une photocopie à l'élève pour ses documents complémentaires, on peut bien en garder un en réserve pour l'examinateur : ce n'est pas une mission impossible !
Certains élèves sérieux vont même penser que ces textes ne se révisent pas et patatras
Ou alors c'est ma crainte de ne pas être à la hauteur qui resurgit...
Mais j'ai toujours besoin de la base du texte pour dialoguer et en être à poser quinze fois la même question "quel passage du livre avez-vous préféré et pourquoi? finit par me poser des questions d'ordre éthique.
Et puis enfin, si on a pu donner une photocopie à l'élève pour ses documents complémentaires, on peut bien en garder un en réserve pour l'examinateur : ce n'est pas une mission impossible !
- NLM76Grand Maître
D'une part, s'il me mène en bateau, c'est qu'il est bon.trompettemarine a écrit:Comment puis-je savoir par exemple si l'élève ne me mène pas en bateau sur une œuvre que je n'ai pas lue, ou un tableau.
Certains élèves sérieux vont même penser que ces textes ne se révisent pas et patatras
Ou alors c'est ma crainte de ne pas être à la hauteur qui resurgit...
Mais j'ai toujours besoin de la base du texte pour dialoguer et en être à poser quinze fois la même question "quel passage du livre avez-vous préféré et pourquoi? finit par me poser des questions d'ordre éthique.
Et puis enfin, si on a pu donner une photocopie à l'élève pour ses documents complémentaires, on peut bien en garder un en réserve pour l'examinateur : ce n'est pas une mission impossible !
Quant aux les élèves sérieux qui pensent que ces textes ne se révisent pas, je ne comprends pas : ils vont comprendre qu'il va falloir connaître vraiment puisqu'il ne suffira pas de répondre "oui" ou "non" à des questions très guidées.
Pourquoi poser 15 fois la même question vous pose-t-il problème ?
Enfin, pour les photocopies données aux élèves: j'en donne très rarement, surtout pour des textes complémentaires; ils vont les chercher dans leur manuel, à la bibliothèque ou ailleurs.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- Simone BouéNiveau 9
@Trompettemarine : Je fais pareil que toi... Je mets tout !
Oui, enfin, faire la photocopie des dits textes complémentaires pour l'examinateur, c'est tout de même
1. Lui faire gagner du temps (parce qu'avec ces 10/15 descriptifs à potasser, il n'a pas que ça à faire)
2. Lui permet de préparer les questions d'entretien.
3. Lui permettra de palier aux oublis des élèves.
Le pire ce sont les collègues qui mettent juste : "Manuel, p.150". Ils pensent que je vais aller regarder sur le site de l'établissement quel manuel est utilisé ? Et que je vais me trimballer avec les manuels pour la semaine ?
Je ne sais pas comment vous faites dans votre centre d'examen mais poser des questions sans textes, ça me paraît difficile.
Oui, enfin, faire la photocopie des dits textes complémentaires pour l'examinateur, c'est tout de même
1. Lui faire gagner du temps (parce qu'avec ces 10/15 descriptifs à potasser, il n'a pas que ça à faire)
2. Lui permet de préparer les questions d'entretien.
3. Lui permettra de palier aux oublis des élèves.
Le pire ce sont les collègues qui mettent juste : "Manuel, p.150". Ils pensent que je vais aller regarder sur le site de l'établissement quel manuel est utilisé ? Et que je vais me trimballer avec les manuels pour la semaine ?
Je ne sais pas comment vous faites dans votre centre d'examen mais poser des questions sans textes, ça me paraît difficile.
- NLM76Grand Maître
Bon. Le monde des examinateurs se divise en deux catégories : ceux qui veulent avoir les textes complémentaires, et ceux qui ne veulent pas. Ces deux catégories ne peuvent pas se comprendre l'une l'autre.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- User5899Demi-dieu
De toutes façons, à Besançon, les documents complémentaires ne sont pas transmis, la circulaire l'interdit. Trop de papiers à manipuler. Comme il n'y a pas de réunion de remise des descriptifs, ce sont les secrétariats qui gèrent, et ils en ont marre.
- User5899Demi-dieu
M'enfin, il nous est explicitement demandé de ne fournir que les textes polycopiés ! Et le descriptif doit fournir la référence des manuels !Simone Boué a écrit:Le pire ce sont les collègues qui mettent juste : "Manuel, p.150". Ils pensent que je vais aller regarder sur le site de l'établissement quel manuel est utilisé ? Et que je vais me trimballer avec les manuels pour la semaine ?
- retraitéeDoyen
"De mon temps", les élèves devaient apporter les manuels en double. Ils s'arrangeaient avec les copains.
- User5899Demi-dieu
Mais je pense que c'est encore ce qui est demandé au verso de leur convocation.retraitée a écrit:"De mon temps", les élèves devaient apporter les manuels en double. Ils s'arrangeaient avec les copains.
- trompettemarineMonarque
Cripure a écrit:De toutes façons, à Besançon, les documents complémentaires ne sont pas transmis, la circulaire l'interdit. Trop de papiers à manipuler. Comme il n'y a pas de réunion de remise des descriptifs, ce sont les secrétariats qui gèrent, et ils en ont marre.
Chez nous, c'est l'inverse.
- User5899Demi-dieu
Bon, voilà le texte OFFICIEL NATIONAL
C'est très dur à trouver, il faut taper "texte officiel oral EAF" dans Google
http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=57488
Il semble donc bien que le monde se divise en deux catégories : ceux qui respectent les textes officiels et ceux qui n'en ont cure
C'est très dur à trouver, il faut taper "texte officiel oral EAF" dans Google
http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=57488
BO spécial n°7, du 6/10/2011, a écrit:IV - Documents
L'examinateur reçoit à l'avance les descriptifs des lectures et activités des candidats qu'il aura à évaluer.
Les photocopies des textes étudiés en lecture analytique ne figurant pas dans les manuels sont jointes aux descriptifs.
Pour l'épreuve, le candidat apporte :
- son exemplaire du descriptif des lectures et activités ;
- deux exemplaires du manuel en usage dans sa classe ;
- un jeu de photocopies des textes ne figurant pas dans le manuel, identique à celui qui a été adressé à l'examinateur ;
- deux exemplaires des œuvres intégrales étudiées.
Le jour de l'épreuve, l'examinateur apporte les descriptifs des lectures et activités qu'il a reçus ainsi que les textes photocopiés joints.
Il semble donc bien que le monde se divise en deux catégories : ceux qui respectent les textes officiels et ceux qui n'en ont cure
- trompettemarineMonarque
Et bien, certains collègues ne le font pas (et ne savent pas comment on présente les références d'un ouvrage), et oublient que les éditeurs ont la fâcheuse habitude de rééditer leur bouquin avec une autre pagination.Cripure a écrit:M'enfin, il nous est explicitement demandé de ne fournir que les textes polycopiés ! Et le descriptif doit fournir la référence des manuels !Simone Boué a écrit:Le pire ce sont les collègues qui mettent juste : "Manuel, p.150". Ils pensent que je vais aller regarder sur le site de l'établissement quel manuel est utilisé ? Et que je vais me trimballer avec les manuels pour la semaine ?
Et comment font les collègues de collège convoqués par le bac, quand le CDI du lycée lui-même ne possède pas le manuel.
Non, pour les documents complémentaires, je veux bien qu'on m'oppose tout ce qu'on veut, mais pour les textes des LA, c'est la moindre des choses que de fournir les textes.
- trompettemarineMonarque
Cripure a écrit:Bon, voilà le texte OFFICIEL NATIONAL
C'est très dur à trouver, il faut taper "texte officiel oral EAF" dans Google
http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=57488BO spécial n°7, du 6/10/2011, a écrit:IV - Documents
L'examinateur reçoit à l'avance les descriptifs des lectures et activités des candidats qu'il aura à évaluer.
Les photocopies des textes étudiés en lecture analytique ne figurant pas dans les manuels sont jointes aux descriptifs.
Pour l'épreuve, le candidat apporte :
- son exemplaire du descriptif des lectures et activités ;
- deux exemplaires du manuel en usage dans sa classe ;
- un jeu de photocopies des textes ne figurant pas dans le manuel, identique à celui qui a été adressé à l'examinateur ;
- deux exemplaires des œuvres intégrales étudiées.
Le jour de l'épreuve, l'examinateur apporte les descriptifs des lectures et activités qu'il a reçus ainsi que les textes photocopiés joints.
A ce texte national, s'ajoutent, comme pour le corrigé du bac, des consignes académiques. Nous n'avons pas les mêmes que les vôtres, c'est tout. :diable:
- Simone BouéNiveau 9
+1 avec Trompettemarine. Quand les consignes académiques seront les mêmes que les consignes nationales, les problèmes seront résolus. Chez nous, on fait les photocopies, on les donne aux PA qui les envoie ensuite aux centres où les examinateurs récupèrent les descriptifs. Je ne comprends pas pourquoi, là encore, ce n'est pas pareil partout.
- User5899Demi-dieu
Vous savez très bien que ce que vous m'opposez n'a aucune valeur légale, pas plus sur cette question que sur la correction des examens. La république est une et indivisible, il est surprenant d'avoir à le rappeler. Ce que vous appelez consigne académique est une simple marque d'un psychisme perturbé d'un ou de plusieurs IPR qui se rêvent législateurs. Aucun professeur de 1re ne peut se voir reprocher de n'avoir pas fourni ce que le texte national ne mentionne pas.
- trompettemarineMonarque
nlm76 a écrit:Bon. Le monde des examinateurs se divise en deux catégories : ceux qui veulent avoir les textes complémentaires, et ceux qui ne veulent pas. Ces deux catégories ne peuvent pas se comprendre l'une l'autre.
Sur ce point nous sommes d'accord.
- User5899Demi-dieu
On ne peut pas demander des garanties aux textes de loi quand ils nous arrangent et en fabriquer des faux académiques quand les nationaux ne nous conviennent pas. Il n'y a pas à être d'accord ou pas avec Trompettemarine (avec qui j'aurais de la peine à me disputer), ni à souhaiter que les consignes académiques ceci cela. Les consignes académiques n'existent pas. Elles sont réputées non écrites, comme on dit joliment dans les lois nationales.Simone Boué a écrit:+1 avec Trompettemarine. Quand les consignes académiques seront les mêmes que les consignes nationales, les problèmes seront résolus.
- Simone BouéNiveau 9
Mais Cripure, on ne reproche pas cela, on dit juste que ça serait bien ! Quand aux IPR, ma foi, c'est plutôt au recteur que l'on doit s'adresser.
Enfin, les consignes académiques sont tout de même présentes... et je conviens bien qu'elles sont réputées non écrites mais on peut aussi souhaiter que les collègues nous donnent les textes complémentaires, non ? Je dis bien "souhaiter" car finalement on fait sans.
Enfin, les consignes académiques sont tout de même présentes... et je conviens bien qu'elles sont réputées non écrites mais on peut aussi souhaiter que les collègues nous donnent les textes complémentaires, non ? Je dis bien "souhaiter" car finalement on fait sans.
- OxfordNeoprof expérimenté
trompettemarine a écrit:Sgr gn gn, pour une fois je ne suis pas d'accord...
Moi, je mets tout...
Sauf les textes faits en devoir sur table (style corpus : parce qu'ils ne les révisent pas ou ne peuvent le faire).
Je mets même les peintures en couleurs...
Tout tout, manque plus que ma pomme...
Je passe un temps fou à relire le descriptif à fond pour que les élèves puissent bien comprendre chaque mot que l'on a utilisé...
Je précise les parcours de lecture sur telle ou telle œuvre parce que je ne peux pas étudier tous les aspects, thèmes et problèmes présents dans une œuvre... et je ne veux pas qu'un élève sérieux soit pénalisé.
Bon je dois peut-être trop en faire... Mais alors faut changer l'épreuve !
Je fais exactement pareil ! Mes collègues aussi...
- User5899Demi-dieu
Mais je ne pense pas que ce serait bien. Cet oral génère des masses de papier ahurissantes. Moi qui ai quelques heures de vol, j'ai interrogé pendant douze ans, de 1989 à 2001, sur des descriptifs que je ne recevais pas à l'avance, que le candidat me tendait sur le pas de la porte en entrant et tout se passait très bien. Je sais bien que maintenant, il y a une question à poser. Mais même si vous ne voulez pas poser la même question à tout le monde, vous avez la première demi-heure pour vous procurer les manuels auprès des candidats qui attendent et faire tous les sujets de la demi-journée. Vous n'allez pas me dire qu'il vous faut six jours pour faire huit sujets !Simone Boué a écrit:Mais Cripure, on ne reproche pas cela, on dit juste que ça serait bien ! Quand aux IPR, ma foi, c'est plutôt au recteur que l'on doit s'adresser.
Pas la peine de déforester 1% de l'Europe chaque année pour cet oral...
Quant à recevoir les textes complémentaires à l'avance, j'y suis opposé. Vous transformez l'esprit de l'oral en faisant ainsi. Un entretien repose sur des questions rapides et superficielles, ce n'est pas l'entretien qui suit la leçon d'agrégation. C'est pour ça que je ne les fournis pas et que je ne les indique pas sur le descriptif. Mes élèves s'appuieront sur ce qu'ils se rappellent, mais l'examinateur ne pourra pas jouer à ce jeu malsain dont certains ont abusé par le passé, remplacer un entretien général sur une question par une série de questions de cours pointues sur tel ou tel texte.
- trompettemarineMonarque
Cripure a écrit:Vous savez très bien que ce que vous m'opposez n'a aucune valeur légale, pas plus sur cette question que sur la correction des examens. La république est une et indivisible, il est surprenant d'avoir à le rappeler. Ce que vous appelez consigne académique est une simple marque d'un psychisme perturbé d'un ou de plusieurs IPR qui se rêvent législateurs. Aucun professeur de 1re ne peut se voir reprocher de n'avoir pas fourni ce que le texte national ne mentionne pas.
C'est vrai, mais je suis d'accord avec Simone Boué.
Il y a une injonction contradictoire à nous faire préparer des questions à l'avance sur des textes que l'on ne peut avoir parce qu'on n'a pas le manuel,
et à préparer un entretien tel que celui demandé par le même BO où il n'est de cesse de répéter que l'on s'attache aux lectures...
Désolée, mais je n'ai pas tout lu et ne veut pas faire semblant d'avoir lu.L'examinateur ne se livre pas à un « corrigé » de la première partie de l'épreuve. Il veille à ne pas exiger du candidat la récitation pure et simple d'une question de cours. Il cherche au contraire :
- à ouvrir des perspectives ;
- à approfondir et à élargir la réflexion, en partant du texte qui vient d'être étudié pour aller vers :
. l'œuvre intégrale ou le groupement d'où ce texte a été extrait,
. l'une des lectures cursives proposées en relation avec le texte qui vient d'être étudié,
. l'objet d'étude ou les objets d'étude en relation avec le texte qui vient d'être étudié ;
- à évaluer les connaissances du candidat sur l'œuvre ou l'objet d'étude ;
- à apprécier l'intérêt du candidat pour les textes qu'il a étudiés ou abordés en lecture cursive ;
- à tirer parti des lectures et activités personnelles du candidat.
En liaison avec l'objet ou les objets d'étude, l'examinateur cherche à évaluer un ensemble de connaissances et de compétences issu des lectures de l'année. Il ouvre le plus possible cet entretien aux lectures et aux activités personnelles du candidat, telles qu'elles sont mentionnées sur le descriptif.
Pour cette raison, l'examinateur s'appuie sur les propos du candidat et conduit un dialogue ouvert. Il évite les questions pointillistes.
Cripure, selon moi, le BO devrait être modifié en tenant compte de l'aspect pratique : on met les textes complémentaires, ou l'on supprime l'entretien (les deux me vont).
EDIT : et on s'aperçoit que certains candidats n'ont pas du tout été préparés à cette partie de l'oral (mais là, c'est un autre problème).
- Simone BouéNiveau 9
Peut-être en êtes-vous capable, cher collègue, mais moi et mes toutes petites heures de vol en sommes encore incapables. Je crois aussi que les répartitions des candidats ne se font pas de la même façon selon les académies et même les établissements.
Chez nous, les élèves convoqués par tranches horaires ne sont pas des mêmes établissements et de ce fait, il est donc impossible de récupérer un quelconque manuel. De plus, nombreux sont ceux qui ne viennent pas à l'heure.
Ceci étant dit, je me vois mal préparer 10 à 15 descriptifs différents tous les matins. Mais peut-être manquè-je d'expérience .
Chez nous, les élèves convoqués par tranches horaires ne sont pas des mêmes établissements et de ce fait, il est donc impossible de récupérer un quelconque manuel. De plus, nombreux sont ceux qui ne viennent pas à l'heure.
Ceci étant dit, je me vois mal préparer 10 à 15 descriptifs différents tous les matins. Mais peut-être manquè-je d'expérience .
- User5899Demi-dieu
Trompette, je crois que vous et moi ne nous entendons pas parce que je parle de documents complémentaires, pas de lectures cursives. Ce sont deux choses différentes. Et dans ce que vous avez mis en gras, vous vous appuyez sur ce que vous avez à votre disposition : élargir à l'oeuvre intégrale, où est le problème ?
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