- titus06Habitué du forum
Oui enfin il y a quelques pages, certains "frère d'armes" ont balancé sur leurs collègues "branquignoles" ...Isis39 a écrit:Oui tu as raison !Elyas a écrit:Bah non ! On voit que les profs d'histoire et géographie sont solidaires, tels des frères d'arme. On est dans le sujet.
- ElyasEsprit sacré
Ce qui me désespère personnellement, ce sont les gens qui prennent à témoin s les manuels pour pouvoir donner leur avis sur leas programmes ou la qualité de, l'enseignement d'un collègue. Quand on sait comment sont réalisés les manuels en HG ou les manuels en général, en plus.Isis39 a écrit:Oui tu as raison !Elyas a écrit:Bah non ! On voit que les profs d'histoire et géographie sont solidaires, tels des frères d'arme. On est dans le sujet.
Pour compléter ce que tu dis, Véronique, sur l'écriture en HG, et je crois avoir une certaine légitimité sur ce sujet, on en arrive à un point où les élèves font plus de travaux d'écriture en HG qu'en français. A tel point que je sais que dans certains bahuts, les profs de lettres le reprochent aux collègues en HG. Et là, je trouve qu'il y a un pépin en lettres mais mes amis profs de lettres partagent mon point de vue.
- ElyasEsprit sacré
on est des frères d'arme d'une armée mexicaine alors !titus06 a écrit:Oui enfin il y a quelques pages, certains "frère d'armes" ont balancé sur leurs collègues "branquignoles" ...Isis39 a écrit:Oui tu as raison !Elyas a écrit:Bah non ! On voit que les profs d'histoire et géographie sont solidaires, tels des frères d'arme. On est dans le sujet.
- Marie LaetitiaBon génie
Ben voyons...Anaxagore a écrit:Mais ceux qui voulaient comprendre ont bien compris ce dont tu parles, depuis le début.V.Marchais a écrit:Reprenons.
J'ai parlé du cahier de SVT de mon fils. Je fais part d'une expérience. (Va-t-il falloir que je la prouve en photocopiant ledit cahier ?)
Puis j'ai parlé d'un manuel d'HG en particulier. Aucune généralisation. Je n'avance aucune thèse, j'apporte un témoignage. Particulier là encore. Certains peuvent ne pas le croire, grand bien leur fasse. Je ne reconnais à personne ici la légitimité pour me sommer de prouver ce dont je témoigne tout simplement. Tant pis. Nous en resterons là.
En ce qui concerne ma dernière phrase, "il n'y a plus de cours nulle part", je reconnais qu'il s'agit là d'une généralisation quelque peu caricaturale (à peine parfois) mais elle ne vise pas spécialement l'HG. Les Lettres et le reste y ont leur large part. De nombreux collègues ont témoigné ici (mais il conviendra d'en douter tant qu'ils ne l'auront pas prouvé) de l'indigence de la "trace écrite" qui fait suite à une étude de texte censément de niveau Seconde. Je m'inquiète d'une tendance générale, certainement à mettre en lien avec le manque de maîtrise de la langue écrite par les élèves.
Par contre, je reconnais très volontiers une chose, phénomène récent que j'ai pu observer (mais ciel, je ne peux en apporter aucune preuve...), c'est que le problème de la langue écrite est devenu tel qu'en HG, justement, nombreux sont les collègues qui se sont attelés très sérieusement à la question de la rédaction (je crois qu'on a d'ailleurs vu fleurir les formations sur le sujet) et font dans ce domaine un excellent travail, qu'il est très intéressant de prendre en compte dans notre travail d'écriture à nous, professeurs de Lettres.
Bref, je crois être capable de faire la part des choses.
_________________
Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- titus06Habitué du forum
Qu'ont donc fait les Mexicains pour avoir si mauvaise réputation, mis à part être basanés, habillés d'un poncho assorti d'un sombrero, dormir toute la journée et boire de la téquila à gogo tout en mangeant des tacosElyas a écrit:on est des frères d'arme d'une armée mexicaine alors !titus06 a écrit:Oui enfin il y a quelques pages, certains "frère d'armes" ont balancé sur leurs collègues "branquignoles" ...Isis39 a écrit:Oui tu as raison !
En fait je faisais référence à plusieurs réflexions faisant état de la "nullité" de certains collègues se complaisant dans l'évolution du système scolaire actuel (cela ayant dévié sur la nullité des cours de quelques enseignants en histoire géographie).
- V.MarchaisEmpereur
Je ne sais pas à quoi tu fais allusion mais je n'ai proféré aucun jugement sur la qualité d'enseignement de mes collègues d'HG. J'avais demandé à mes élèves de chercher dans leur manuel une info dont ils avaient besoin pour le cours de Français et je suis restée coite devant le manuel en question. Je ne sais même pas si mes collègues l'utilisaient.Elyas a écrit:Ce qui me désespère personnellement, ce sont les gens qui prennent à témoin s les manuels pour pouvoir donner leur avis sur leas programmes ou la qualité de, l'enseignement d'un collègue. Quand on sait comment sont réalisés les manuels en HG ou les manuels en général, en plus.
Je suis toute prête à te croire (encore qu'avec des preuves, ce serait mieux... )Pour compléter ce que tu dis, Véronique, sur l'écriture en HG, et je crois avoir une certaine légitimité sur ce sujet, on en arrive à un point où les élèves font plus de travaux d'écriture en HG qu'en français. A tel point que je sais que dans certains bahuts, les profs de lettres le reprochent aux collègues en HG. Et là, je trouve qu'il y a un pépin en lettres mais mes amis profs de lettres partagent mon point de vue.
- AnaxagoreGuide spirituel
Les parents me demandent toujours en début d'année si avec moi "il y a un cours". Il faut croire que c'est loin d'être une évidence et qu'il y a du vécu derrière cette question...Marie Laetitia a écrit:Ben voyons...Anaxagore a écrit:Mais ceux qui voulaient comprendre ont bien compris ce dont tu parles, depuis le début.V.Marchais a écrit:Reprenons.
J'ai parlé du cahier de SVT de mon fils. Je fais part d'une expérience. (Va-t-il falloir que je la prouve en photocopiant ledit cahier ?)
Puis j'ai parlé d'un manuel d'HG en particulier. Aucune généralisation. Je n'avance aucune thèse, j'apporte un témoignage. Particulier là encore. Certains peuvent ne pas le croire, grand bien leur fasse. Je ne reconnais à personne ici la légitimité pour me sommer de prouver ce dont je témoigne tout simplement. Tant pis. Nous en resterons là.
En ce qui concerne ma dernière phrase, "il n'y a plus de cours nulle part", je reconnais qu'il s'agit là d'une généralisation quelque peu caricaturale (à peine parfois) mais elle ne vise pas spécialement l'HG. Les Lettres et le reste y ont leur large part. De nombreux collègues ont témoigné ici (mais il conviendra d'en douter tant qu'ils ne l'auront pas prouvé) de l'indigence de la "trace écrite" qui fait suite à une étude de texte censément de niveau Seconde. Je m'inquiète d'une tendance générale, certainement à mettre en lien avec le manque de maîtrise de la langue écrite par les élèves.
Par contre, je reconnais très volontiers une chose, phénomène récent que j'ai pu observer (mais ciel, je ne peux en apporter aucune preuve...), c'est que le problème de la langue écrite est devenu tel qu'en HG, justement, nombreux sont les collègues qui se sont attelés très sérieusement à la question de la rédaction (je crois qu'on a d'ailleurs vu fleurir les formations sur le sujet) et font dans ce domaine un excellent travail, qu'il est très intéressant de prendre en compte dans notre travail d'écriture à nous, professeurs de Lettres.
Bref, je crois être capable de faire la part des choses.
- MalagaModérateur
C'est le manuel que j'utilise avec mes élèves et que je trouve bien fichu. En général, les doubles pages de documents sont liés à des points précis du programme que nos élèves doivent connaitre. Par exemple, pour la Première Guerre mondiale, les élèves doivent étudier Verdun comme un exemple de la violence de masse dans les tranchées, le génocide arménien, la révolution russe. Dans mon cours, les élèves ont eu un résumé écrit sur Verdun après avoir étudié les documents à l'écrit; pour le génocide arménien, mes classes ont construit elles-mêmes le résumé (j'ai affiché le plan à suivre au tableau et je suis passée voir chaque élève pour l'aider); pour la révolution russe, le résumé se fait sous forme de tableau comparant la révolution de février et celle d'octobre. En plus de cela, mes élèves ont fait une frise chronologique plaçant les grandes phases de la guerre et les batailles essentielles. Et nous avons terminé en faisant le bilan de cette guerre et en étudiant le traité de Versailles.Hoa Mai a écrit:Malaga, mon fils a le Hatier. A chaque chapitre (séquence ?), au bout de dix pages de documents, on trouve un cours qui tient sur une colonne. Je trouve ça très léger.
J'ignore si ton fils a plus ou moins d’éléments dans son cahier mais pour faire tout cela, évidemment, j'ai "explosé" les horaires alloués à ce chapitre (4 ou 5h normalement). Si on s'en tient au strict respect des horaires, il devient impossible de faire des cours très complets. Personnellement, c'est la grande difficulté que je rencontre: concilier le respect des programmes et un contenu dense.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- doctor whoDoyen
Depuis les manuels "tout documents" des années 70, les auteurs sont revenus en arrière : il y a du cours dans les manuels d'HG.
ENsuite, on peut légitimement s'interroger sur l'absence de manuels à lire, où l'élève puisse trouver un texte aéré, peu dense en information, mais accessible et plaisant, afin de se familiariser avec l'objet historique étudié.
On peut imaginer deux types de cours : un dense, court, à apprendre par coeur. Un aéré, peu dense, plus narratif, à lire avant ou après la leçon.
ENsuite, on peut légitimement s'interroger sur l'absence de manuels à lire, où l'élève puisse trouver un texte aéré, peu dense en information, mais accessible et plaisant, afin de se familiariser avec l'objet historique étudié.
On peut imaginer deux types de cours : un dense, court, à apprendre par coeur. Un aéré, peu dense, plus narratif, à lire avant ou après la leçon.
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- Marie LaetitiaBon génie
SAUF QUE... ce qui est valable en Français ou en maths ne l'est pas nécessairement en HG. Notre discipline a eu ses errances, qui n'ont pas forcément été les mêmes ni faites au même moment que celles des autres...Anaxagore a écrit:Les parents me demandent toujours en début d'année si avec moi "il y a un cours". Il faut croire que c'est loin d'être une évidence et qu'il y a du vécu derrière cette question...
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Marie LaetitiaBon génie
Tout à fait. Avec beaucoup de documents explicités, de manière à ce que les élèves puissent se cultiver.doctor who a écrit:Depuis les manuels "tout documents" des années 70, les auteurs sont revenus en arrière : il y a du cours dans les manuels d'HG.
ENsuite, on peut légitimement s'interroger sur l'absence de manuels à lire, où l'élève puisse trouver un texte aéré, peu dense en information, mais accessible et plaisant, afin de se familiariser avec l'objet historique étudié.
On peut imaginer deux types de cours : un dense, court, à apprendre par coeur. Un aéré, peu dense, plus narratif, à lire avant ou après la leçon.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- doctor whoDoyen
[mode "provoc"=on]Le Lavisse, quoi ! [mode "provoc"=off]Marie Laetitia a écrit:Tout à fait. Avec beaucoup de documents explicités, de manière à ce que les élèves puissent se cultiver.doctor who a écrit:Depuis les manuels "tout documents" des années 70, les auteurs sont revenus en arrière : il y a du cours dans les manuels d'HG.
ENsuite, on peut légitimement s'interroger sur l'absence de manuels à lire, où l'élève puisse trouver un texte aéré, peu dense en information, mais accessible et plaisant, afin de se familiariser avec l'objet historique étudié.
On peut imaginer deux types de cours : un dense, court, à apprendre par coeur. Un aéré, peu dense, plus narratif, à lire avant ou après la leçon.
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- Marie LaetitiaBon génie
hé bien ici tu en trouveras https://www.neoprofs.org/t65501-travailler-le-recit-en-hg et même dans le premier post un beau scan de travail d'élève!V.Marchais a écrit:Je ne sais pas à quoi tu fais allusion mais je n'ai proféré aucun jugement sur la qualité d'enseignement de mes collègues d'HG. J'avais demandé à mes élèves de chercher dans leur manuel une info dont ils avaient besoin pour le cours de Français et je suis restée coite devant le manuel en question. Je ne sais même pas si mes collègues l'utilisaient.Elyas a écrit:Ce qui me désespère personnellement, ce sont les gens qui prennent à témoin s les manuels pour pouvoir donner leur avis sur leas programmes ou la qualité de, l'enseignement d'un collègue. Quand on sait comment sont réalisés les manuels en HG ou les manuels en général, en plus.
Je suis toute prête à te croire (encore qu'avec des preuves, ce serait mieux... )Pour compléter ce que tu dis, Véronique, sur l'écriture en HG, et je crois avoir une certaine légitimité sur ce sujet, on en arrive à un point où les élèves font plus de travaux d'écriture en HG qu'en français. A tel point que je sais que dans certains bahuts, les profs de lettres le reprochent aux collègues en HG. Et là, je trouve qu'il y a un pépin en lettres mais mes amis profs de lettres partagent mon point de vue.
Moi j'attends toujours la photo du manuel sans cours (têtue je suis)
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- doctor whoDoyen
EN plus, sans rire, je suis sûr que Véronique va trouver le travail des profs de ce fil extrêmement intéressant.Marie Laetitia a écrit:hé bien ici tu en trouveras https://www.neoprofs.org/t65501-travailler-le-recit-en-hg et même dans le premier post un beau scan de travail d'élève!V.Marchais a écrit:Je ne sais pas à quoi tu fais allusion mais je n'ai proféré aucun jugement sur la qualité d'enseignement de mes collègues d'HG. J'avais demandé à mes élèves de chercher dans leur manuel une info dont ils avaient besoin pour le cours de Français et je suis restée coite devant le manuel en question. Je ne sais même pas si mes collègues l'utilisaient.Elyas a écrit:Ce qui me désespère personnellement, ce sont les gens qui prennent à témoin s les manuels pour pouvoir donner leur avis sur leas programmes ou la qualité de, l'enseignement d'un collègue. Quand on sait comment sont réalisés les manuels en HG ou les manuels en général, en plus.
Je suis toute prête à te croire (encore qu'avec des preuves, ce serait mieux... )Pour compléter ce que tu dis, Véronique, sur l'écriture en HG, et je crois avoir une certaine légitimité sur ce sujet, on en arrive à un point où les élèves font plus de travaux d'écriture en HG qu'en français. A tel point que je sais que dans certains bahuts, les profs de lettres le reprochent aux collègues en HG. Et là, je trouve qu'il y a un pépin en lettres mais mes amis profs de lettres partagent mon point de vue.
Moi j'attends toujours la photo du manuel sans cours (têtue je suis)
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- *Fifi*Modérateur
Pour ça, il y a de très bons numéros de revues d'histoire pour les enfants. Mon CDI est très bien fourni et je pousse le plus possible les gamins à lire des articles. Mais y aller avant chaque chapitre pour en montrer me prend trop de temps mais j'aimerais en début de chapitre ou en cours de chapitre montrer quelques numéros aux élèves pour les motiver.doctor who a écrit:[mode "provoc"=on]Le Lavisse, quoi ! [mode "provoc"=off]Marie Laetitia a écrit:Tout à fait. Avec beaucoup de documents explicités, de manière à ce que les élèves puissent se cultiver.doctor who a écrit:Depuis les manuels "tout documents" des années 70, les auteurs sont revenus en arrière : il y a du cours dans les manuels d'HG.
ENsuite, on peut légitimement s'interroger sur l'absence de manuels à lire, où l'élève puisse trouver un texte aéré, peu dense en information, mais accessible et plaisant, afin de se familiariser avec l'objet historique étudié.
On peut imaginer deux types de cours : un dense, court, à apprendre par coeur. Un aéré, peu dense, plus narratif, à lire avant ou après la leçon.
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Pour accéder à la banque de données en HG, merci de lire le règlement ici :
https://www.neoprofs.org/t36320-bdd-hg-reglement
- Marie LaetitiaBon génie
Oui mais mis à jour avec tout plein d'influence des historiensdoctor who a écrit:[mode "provoc"=on]Le Lavisse, quoi ! [mode "provoc"=off]Marie Laetitia a écrit:Tout à fait. Avec beaucoup de documents explicités, de manière à ce que les élèves puissent se cultiver.doctor who a écrit:Depuis les manuels "tout documents" des années 70, les auteurs sont revenus en arrière : il y a du cours dans les manuels d'HG.
ENsuite, on peut légitimement s'interroger sur l'absence de manuels à lire, où l'élève puisse trouver un texte aéré, peu dense en information, mais accessible et plaisant, afin de se familiariser avec l'objet historique étudié.
On peut imaginer deux types de cours : un dense, court, à apprendre par coeur. Un aéré, peu dense, plus narratif, à lire avant ou après la leçon.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Marie LaetitiaBon génie
J'ai fini par trouver une solution: ma collègue du CDI me prépare une caisse de livres, BD et revues, les élèves peuvent emprunter directement dans ma salle (je note les cotes). Je prévois d'aménager un temps de travail en autonomie où les plus rapides auront le droit de venir feuilleter et faire leur choix...*Fifi* a écrit:Pour ça, il y a de très bons numéros de revues d'histoire pour les enfants. Mon CDI est très bien fourni et je pousse le plus possible les gamins à lire des articles. Mais y aller avant chaque chapitre pour en montrer me prend trop de temps mais j'aimerais en début de chapitre ou en cours de chapitre montrer quelques numéros aux élèves pour les motiver.doctor who a écrit:[mode "provoc"=on]Le Lavisse, quoi ! [mode "provoc"=off]Marie Laetitia a écrit:Tout à fait. Avec beaucoup de documents explicités, de manière à ce que les élèves puissent se cultiver.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- *Fifi*Modérateur
Tu fais ça pour tous les niveaux ? Ca doit demander beaucoup de temps. Ma doc est super mais très pointilleuse et bavarde, donc le moindre rdv avec elle prend 1 h !Marie Laetitia a écrit:J'ai fini par trouver une solution: ma collègue du CDI me prépare une caisse de livres, BD et revues, les élèves peuvent emprunter directement dans ma salle (je note les cotes). Je prévois d'aménager un temps de travail en autonomie où les plus rapides auront le droit de venir feuilleter et faire leur choix...*Fifi* a écrit:Pour ça, il y a de très bons numéros de revues d'histoire pour les enfants. Mon CDI est très bien fourni et je pousse le plus possible les gamins à lire des articles. Mais y aller avant chaque chapitre pour en montrer me prend trop de temps mais j'aimerais en début de chapitre ou en cours de chapitre montrer quelques numéros aux élèves pour les motiver.doctor who a écrit:[mode "provoc"=on]Le Lavisse, quoi ! [mode "provoc"=off]
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- Marie LaetitiaBon génie
Pas tant de temps que ça, il faut juste penser à sortir la caisse au bon moment... Quand je fais de l'histoire surtout. Pour la géo j'ai moins d'idées :lol:*Fifi* a écrit:Tu fais ça pour tous les niveaux ? Ca doit demander beaucoup de temps. Ma doc est super mais très pointilleuse et bavarde, donc le moindre rdv avec elle prend 1 h !Marie Laetitia a écrit:J'ai fini par trouver une solution: ma collègue du CDI me prépare une caisse de livres, BD et revues, les élèves peuvent emprunter directement dans ma salle (je note les cotes). Je prévois d'aménager un temps de travail en autonomie où les plus rapides auront le droit de venir feuilleter et faire leur choix...*Fifi* a écrit:Pour ça, il y a de très bons numéros de revues d'histoire pour les enfants. Mon CDI est très bien fourni et je pousse le plus possible les gamins à lire des articles. Mais y aller avant chaque chapitre pour en montrer me prend trop de temps mais j'aimerais en début de chapitre ou en cours de chapitre montrer quelques numéros aux élèves pour les motiver.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- AnaxagoreGuide spirituel
Vaste et passionnant sujet.Marie Laetitia a écrit:SAUF QUE... ce qui est valable en Français ou en maths ne l'est pas nécessairement en HG. Notre discipline a eu ses errances, qui n'ont pas forcément été les mêmes ni faites au même moment que celles des autres...Anaxagore a écrit:Les parents me demandent toujours en début d'année si avec moi "il y a un cours". Il faut croire que c'est loin d'être une évidence et qu'il y a du vécu derrière cette question...
Après, il y a la réalité dans les classes.
- Reine MargotDemi-dieu
Mais on peut simplement préciser de quel manuel il s'agit, histoire d'être sûrs de parler de la même chose? c'est quelle collection? (à moins qu'en tant qu'auteur de manuels il soit délicat pour toi de donner un nom de "mauvais" manuel)V.Marchais a écrit:Kiwi, tu peux changer de ton, je sais me servir d'un lexique et d'un manuel en général.
Je maintiens ce que j'ai dit.
Je suis peut-être tombée sur LE manuel pourrave.
Mais il serait bienvenu de ne mettre en cause ni mon honnêteté ni mes capacités intellectuelles qui, je crois, ne sont plus à prouver.
Cela dit, je le répète, vous pouvez ne pas me croire, cela ne changera rien à l'état des choses. Et je ne vous donne pas assez d'importance pour passer du temps à chercher dans la réserve d'Histoire un manuel qui n'est plus celui des élèves et vous faire des photos. Vous pouvez entendre ou ne pas entendre, croire ou ne pas croire, ce n'est plus mon affaire. J'ai d'autres chats à fouetter, surtout en ce moment.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- *Fifi*Modérateur
Donc tu prépares une caisse par thème du cours ? Il faudrait qu'on réfléchisse pour la rentrée à une idée comme ça. On a pleins de revues d'histoire au cdi et je trouve dommage que les gamins ne les regardent pas !Marie Laetitia a écrit:Pas tant de temps que ça, il faut juste penser à sortir la caisse au bon moment... Quand je fais de l'histoire surtout. Pour la géo j'ai moins d'idées :lol:*Fifi* a écrit:Tu fais ça pour tous les niveaux ? Ca doit demander beaucoup de temps. Ma doc est super mais très pointilleuse et bavarde, donc le moindre rdv avec elle prend 1 h !Marie Laetitia a écrit:J'ai fini par trouver une solution: ma collègue du CDI me prépare une caisse de livres, BD et revues, les élèves peuvent emprunter directement dans ma salle (je note les cotes). Je prévois d'aménager un temps de travail en autonomie où les plus rapides auront le droit de venir feuilleter et faire leur choix...
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- Marie LaetitiaBon génie
C'est ça. Pour l'islam, j'avais ma sélection, j'ai demandé à ma collègue de me préparer quelque chose pour le retour des vacances, autour des Lumières et de la Révolution pour les 4e et de l'Orient ancien pour les 6e.*Fifi* a écrit:Donc tu prépares une caisse par thème du cours ? Il faudrait qu'on réfléchisse pour la rentrée à une idée comme ça. On a pleins de revues d'histoire au cdi et je trouve dommage que les gamins ne les regardent pas !Marie Laetitia a écrit:Pas tant de temps que ça, il faut juste penser à sortir la caisse au bon moment... Quand je fais de l'histoire surtout. Pour la géo j'ai moins d'idées :lol:*Fifi* a écrit:Tu fais ça pour tous les niveaux ? Ca doit demander beaucoup de temps. Ma doc est super mais très pointilleuse et bavarde, donc le moindre rdv avec elle prend 1 h !
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- JohnMédiateur
La tournure que prend ce fil montre que les profs ne sont pas des moutons, mais qu'ils s'organisent de leur mieux pour sauver ce qui peut l'être.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- V.MarchaisEmpereur
Ou qu'ils pensent le faire en toute bonne foi.
Je vais dire une chose sans esprit de polémique, mais simplement parce que je voudrais mettre des mots sur une situation qui me trouble.
ML, je suis un peu au courant, qu'on écrit en HG. Ça fait un an que je conduis un travail en parallèle avec ma collègue directe, j'en ai parlé sur ce forum. Mais laisse tomber.
Ce qui me trouble, c'est que d'un côté, on rend à peu près impossible pour les profs de Lettres de travailler la rédaction. D'un autre côté, on insiste de plus en plus, en HG, sur la nécessité d'apprendre aux élèves à rédiger, on forme même les profs en ce sens (alors que je voudrais bien savoir quel prof de Lettres ici a eu la moindre formation sur la pédagogie de la rédaction). On va encore me dire que je vois le mal partout, mais dans un contexte où on nous vend de la polyvalence et de l'interdisciplinarité, je pense que ça va nous revenir en pleine figure.
Alors si je trouve très bien que les profs d'HG développent une pédagogie de la rédaction qui s'est presque complètement perdue en Français, si je pense que les collègues de Français qui le leur reprochent (?) n'avaient qu'à se bouger les fesses pour faire aussi bien, ce qui serait tout de même la moindre des choses pour des profs de Lettres, je n'en suis pas moins inquiète quant aux conclusions que nos grands décideurs vont tirer de cette situation paradoxale, organisée, à mon avis.
Enfin, pour faire le lien entre les manuels et le sujet de ce fil, je partage une autre réflexion que je me faisais cet après-midi en entendant une toute jeune collègue de Lettres, très sympa et pleine de bonne volonté, se plaindre qu'elle est déjà épuisée. Toute l'équipe lui a conseillé de s'appuyer davantage sur le manuel des élèves qu'elle trouve bien fait. Mais elle s'en dit incapable, dressée qu'elle a été à tout faire elle-même. Et je me disais que cette tyrannie du cours maison orchestrée par les IPR, au moins en Lettres, est un excellent moyen d'aliénation. Les profs lessivés, rincés, essorés - programme long sans adoucissant - n'ont plus la moindre énergie à investir dans quelque révolte que ce soit.
Je vais dire une chose sans esprit de polémique, mais simplement parce que je voudrais mettre des mots sur une situation qui me trouble.
ML, je suis un peu au courant, qu'on écrit en HG. Ça fait un an que je conduis un travail en parallèle avec ma collègue directe, j'en ai parlé sur ce forum. Mais laisse tomber.
Ce qui me trouble, c'est que d'un côté, on rend à peu près impossible pour les profs de Lettres de travailler la rédaction. D'un autre côté, on insiste de plus en plus, en HG, sur la nécessité d'apprendre aux élèves à rédiger, on forme même les profs en ce sens (alors que je voudrais bien savoir quel prof de Lettres ici a eu la moindre formation sur la pédagogie de la rédaction). On va encore me dire que je vois le mal partout, mais dans un contexte où on nous vend de la polyvalence et de l'interdisciplinarité, je pense que ça va nous revenir en pleine figure.
Alors si je trouve très bien que les profs d'HG développent une pédagogie de la rédaction qui s'est presque complètement perdue en Français, si je pense que les collègues de Français qui le leur reprochent (?) n'avaient qu'à se bouger les fesses pour faire aussi bien, ce qui serait tout de même la moindre des choses pour des profs de Lettres, je n'en suis pas moins inquiète quant aux conclusions que nos grands décideurs vont tirer de cette situation paradoxale, organisée, à mon avis.
Enfin, pour faire le lien entre les manuels et le sujet de ce fil, je partage une autre réflexion que je me faisais cet après-midi en entendant une toute jeune collègue de Lettres, très sympa et pleine de bonne volonté, se plaindre qu'elle est déjà épuisée. Toute l'équipe lui a conseillé de s'appuyer davantage sur le manuel des élèves qu'elle trouve bien fait. Mais elle s'en dit incapable, dressée qu'elle a été à tout faire elle-même. Et je me disais que cette tyrannie du cours maison orchestrée par les IPR, au moins en Lettres, est un excellent moyen d'aliénation. Les profs lessivés, rincés, essorés - programme long sans adoucissant - n'ont plus la moindre énergie à investir dans quelque révolte que ce soit.
- Marie LaetitiaBon génie
Quoi donc?ML, je suis un peu au courant, qu'on écrit en HG. Ça fait un an que je conduis un travail en parallèle avec ma collègue directe, j'en ai parlé sur ce forum. Mais laisse tomber.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
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