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- User5899Demi-dieu
Ce n'est pas à proprement parler une chute, puisque les histoires des romans précédents sont closes. Mais il y a un transfert intéressant où les personnages sont traités comme des personnes qui, hors des romans, ont une vie qui peut continuer, et il y a aussi cette sorte de folie explicative qui s'échine à prouver que cette famille de gens "réels" présente la totalité des types de caractères que l'hérédité de l'époque croit avoir identifiés. C'est, je trouve, plus digeste que des ouvrages théoriques.Izambard a écrit:C'est amusant de considérer qu'il y a une forme de "suspense"dans les RM.... Je l'ai lu il y a bien longtemps (sans l'avoir apprécié bien que Zola demeure un de mes écrivains favoris également) mais je n'ai pas le souvenir que le Dr Pascal dévoile une sorte de chute ou d'aboutissement de ce qui nous aurait tenus en haleine durant les 19 tomes précédents.
- User5899Demi-dieu
Ouais, ben entre les arbres illisibles, les incomplets et ceux qui s'intéressent aux Rougond maquart (sic)...Rabelais a écrit:Ma préférée.Oui, merci, peut- être en cursive!
A cette heure tardive, je n'avais pas la lumière à tous les étages!
Je pensais leur donner l'arbre généalogique en document complémentaire et leur conseiller la faute de l'abbé Mouret pendant des vacances mais j'ai eu subitement peur que les parents m'écharpent à la rentrée. :lol: :lol:
Sur ce, je vais vous laisser pour ce soir en vous disant merci à tous et toutes , vraiment.
NB La Faute de l'abbé Mouret est un roman au programme, sur lequel, comme sur les autres, les parents n'ont pas à chercher à nous délivrer de message
- RabelaisVénérable
Tout à fait d'accord avec vous, Cripture, mais pour conclure, mes mains sont liées cette année, un parent qui chouine et c'est un risque de mauvais rapport , mon tuteur qui rechigne et c'est un mauvais rapPort, l'IPR qui trépigne et c'est la Porte...pire que dans le privé, où la période d'essai est moins longue.. Bref, sages séquences, douces séances, belles progressions avec titre et objectifs , voici ce qui sera mon quotidien l'an prochain. ..Et si au milieu de tout ça j'ai la chance d'apprendre un peu le métier...
- RabelaisVénérable
Je viens de lire un rapport d'inspection de ma région et me voilà rassurée et confiante, en fait. Je vous fais part d'une petite partie:
R/ Parce qu’il y a eu DÉRIVE. « La didactique du français a permis des avancées puisqu’elle contraint l’enseignant à la conscience et à l’explicitation de ses choix, de ses objectifs et de ses démarches. Mais ce progrès a engendré des dérives et construire les notions didactiques est « devenu un obstacle à la construction du sens. » La règle d’une bonne stratégie de lecture devrait être : « d’abord, on choisit le texte… pour l’expliquer ! et non comme on le voit majoritairement pour mettre en place l’outil. » "Il faut non point bannir toute instrumentalisation mais se garder d'en faire une fin. Pour analyser les textes, l'enseignant a toujours utilisé des outils d'analyse ; ils se sont diversifiés par l'apport de la linguistique, de la sémiotique, de la génétique des textes, etc... A nous de les utiliser à bon escient pour en faire des clés de lecture, des "instruments de lecture", non pour réduire l'enseignement des lettres à leur mise en oeuvre". On voit trop souvent dans les manuels ou dans les pratiques de classe que des textes sont choisis et étudiés, non pas selon leur intérêt littéraire, mais en fonction d’objectifs abstraits purement technicistes.
Q/ D’où vient cette dérive ?
R/ De la notion - ou plutôt de la mauvaise utilisation - de la notion d’OBJECTIF PÉDAGOGIQUE. Faisons un rapide historique de cette dérive.
Jusqu’aux années 70, il n’y avait pas « d’objectifs pédagogiques. »Le choix des textes se faisait en fonction de leur présence dans le manuel ou de la sélection personnelle du professeur, selon ses goûts ou sa conviction de leur importance patrimoniale.
L’apparition des objectifs pédagogiques a été en soi un progrès, mais est devenu un obstacle dès lors que les textes se sont transformés en simples outils… au service de l’objectif.
R/ Parce qu’il y a eu DÉRIVE. « La didactique du français a permis des avancées puisqu’elle contraint l’enseignant à la conscience et à l’explicitation de ses choix, de ses objectifs et de ses démarches. Mais ce progrès a engendré des dérives et construire les notions didactiques est « devenu un obstacle à la construction du sens. » La règle d’une bonne stratégie de lecture devrait être : « d’abord, on choisit le texte… pour l’expliquer ! et non comme on le voit majoritairement pour mettre en place l’outil. » "Il faut non point bannir toute instrumentalisation mais se garder d'en faire une fin. Pour analyser les textes, l'enseignant a toujours utilisé des outils d'analyse ; ils se sont diversifiés par l'apport de la linguistique, de la sémiotique, de la génétique des textes, etc... A nous de les utiliser à bon escient pour en faire des clés de lecture, des "instruments de lecture", non pour réduire l'enseignement des lettres à leur mise en oeuvre". On voit trop souvent dans les manuels ou dans les pratiques de classe que des textes sont choisis et étudiés, non pas selon leur intérêt littéraire, mais en fonction d’objectifs abstraits purement technicistes.
Q/ D’où vient cette dérive ?
R/ De la notion - ou plutôt de la mauvaise utilisation - de la notion d’OBJECTIF PÉDAGOGIQUE. Faisons un rapide historique de cette dérive.
Jusqu’aux années 70, il n’y avait pas « d’objectifs pédagogiques. »Le choix des textes se faisait en fonction de leur présence dans le manuel ou de la sélection personnelle du professeur, selon ses goûts ou sa conviction de leur importance patrimoniale.
L’apparition des objectifs pédagogiques a été en soi un progrès, mais est devenu un obstacle dès lors que les textes se sont transformés en simples outils… au service de l’objectif.
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- InvitéInvité
Je ne comprends vraiment pas ce que des parents auraient à redire à La Faute de l'abbé Mouret.
D'ailleurs je l'ai déjà travaillé en OI, et personne n'a rien dit. Pourquoi ? Qu'aurait-on pu dire?
D'ailleurs je l'ai déjà travaillé en OI, et personne n'a rien dit. Pourquoi ? Qu'aurait-on pu dire?
- RabelaisVénérable
Tant mieux!
Mais étant donnée l'actualité, je ne me sentirais pas à l'aise sur la tentation des prêtres , tout ça tout ça .
Mais je ne vois rien à redire du tout, personnellement .
Mais étant donnée l'actualité, je ne me sentirais pas à l'aise sur la tentation des prêtres , tout ça tout ça .
Mais je ne vois rien à redire du tout, personnellement .
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- PersephoneiaNiveau 9
Courage Rabelais : entre le tuteur, l'inspection, les élèves, ta réflexion ne sera pas perdu bien au contraire ! Tu auras moult exemples de textes et de projets possibles
Petite question : Micromégas n'est-il pas abordable en première, à la suite d'un GT sur la rencontre avec l'autre ?
Ma remplaçante de l'époque a jugé bon de le remplacer par l'Ingénu en disant que vu les très mauvaises notes du questionnaire de lecture (elle est descendue à 2/20) elle a préféré changer.
Et quelqu'un aurait-il tenter un roman concentrationnaire ?
Petite question : Micromégas n'est-il pas abordable en première, à la suite d'un GT sur la rencontre avec l'autre ?
Ma remplaçante de l'époque a jugé bon de le remplacer par l'Ingénu en disant que vu les très mauvaises notes du questionnaire de lecture (elle est descendue à 2/20) elle a préféré changer.
Et quelqu'un aurait-il tenter un roman concentrationnaire ?
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2011-2021 : Contractuelle
2022-2023 : Stagiaire - Collège : 6/6/5/4 + 1h15 aller
- User5899Demi-dieu
Ce n'est pas un roman, mais Si c'est un homme est un beau livre, consistant, riche, pas mal reçu.
- PersephoneiaNiveau 9
Merci Cripure, je vais donc proposer Micromégas et L'Ingénu en cursive, et préparer Si c'est un homme, c'est à lui que je pensais aussi
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- AeliaNiveau 7
Bonjour,
Je me permets de faire remonter le sujet car je m'interroge sur l'OI que je vais étudier avec mes 1res STI, l'an prochain. Pour l'OE "La question de l'homme dans les genres de l'argumentation", je travaille un GT sur le thème du monstre. Mais je sèche totalement pour l'OI. Quelles œuvres fonctionnent bien avec une STI ?
Je vous remercie par avance pour vos précieuses réponses.
Je me permets de faire remonter le sujet car je m'interroge sur l'OI que je vais étudier avec mes 1res STI, l'an prochain. Pour l'OE "La question de l'homme dans les genres de l'argumentation", je travaille un GT sur le thème du monstre. Mais je sèche totalement pour l'OI. Quelles œuvres fonctionnent bien avec une STI ?
Je vous remercie par avance pour vos précieuses réponses.
- faustine62Érudit
La Métamorphose de Kafka ?
- GolouNeoprof expérimenté
Moi je tente pour la première fois:
*Regarde les lumières mon amour, Annie Ernaux, 2014
*Regarde les lumières mon amour, Annie Ernaux, 2014
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mon recueil de poèmes
ma petite autobio
- nath75Niveau 6
J'hésite à me lancer dans Ce que j'appelle oubli de Laurent Mauvignier. C'est un texte que j'apprécie, que j'avais cette année conseillé aux élèves intéressés après en avoir parlé brièvement en classe et qui avait suscité un bel engouement. Seulement, comme cette formule "les genres de l'argumentation" me semble toujours aussi floue, je ne suis pas sûre que cela convienne. Qu'en pensez-vous?
- IzambardFidèle du forum
Que la formule "genres de l'argumentation" on s'en fout.
- ysabelDevin
Izambard a écrit:Que la formule "genres de l'argumentation" on s'en fout.
ça c'est bien vrai ! :lol:
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- GolouNeoprof expérimenté
nath75 a écrit:J'hésite à me lancer dans Ce que j'appelle oubli de Laurent Mauvignier. C'est un texte que j'apprécie, que j'avais cette année conseillé aux élèves intéressés après en avoir parlé brièvement en classe et qui avait suscité un bel engouement. Seulement, comme cette formule "les genres de l'argumentation" me semble toujours aussi floue, je ne suis pas sûre que cela convienne. Qu'en pensez-vous?
L'idée c'est juste que les élèves comprennent qu'il y a de l'argumentation dans les différents genres. En gros qu'ils comprennent qu'il y a l'argumentation directe et indirecte.
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- IphigénieProphète
C'est le problème de ce classement générique: il force les étiquettes: mais il fallait innover, on n'allait pas rester réactionnairement sur un classement chronologique type Lagarde et Michard et, d'un autre côté il fallait bien garder une case pour Pascal ou Diderot: résultat, on a une bouillie hétéroclite sur des thèmes rebattus mais à la mode de chez nous, ou d'Internet, ou des manuels...h
Cela dit le plus flou ce n'est pas" les genres de l'argumentation" mais bien " la question de l'homme"... Le problème des programmes c'est qu'on n'ose plus rien imposer. Mais le petit moment où il y a eu un programme précis (ex: les Confessions, livre 1 à 4) c'était le moment le plus cohérent: aussi a-t-il été bref: il faut bien dire que beaucoup de profs trouvaient que ça brimait leur liberté de penser...
Personnellement, je pense que l'objectif de cette partie du programme c'est d'éveiller les élèves aux mécanismes de l'argumentation (directe ou indirecte mais aussi la réflexion sur les critères de vérité, sur l'esprit critique etc) ; je trouve que les ouvres contemporaines sont incroyablement dures pour les élèves, non pas d'un point de vue "technique" mais pour les thèmes abordés. L'avantage des textes plus anciens c'est qu'ils dédramatisent, par la distanciation, le contenu ( disons par commodité "l'esclavage" ou la "torture" par exemple, qui aujourd'hui , bon... même si on pourrait en discuter, mais enfin...) tout en gardant leur intérêt réflexif. Je garde en mémoire la semaine où dans mon lycée, on a offert aux élèves une conférence sur le suicide des jeunes, suivi d'une intervention de la mère qui avait euthanasié son fils avec l'accord du médecin: pauvres jeunes que l'on veut tout de suite placer devant les horreurs du monde des adultes. Sans être pour les maintenir chez les bisounours, je trouve choquant de confronter de trop les jeunes à l'horreur: je crois d'ailleurs que loin de les "sensibiliser" cela conduit à "banaliser" l'horreur. Je me souviens aussi avec effroi de toute une classe maternelle amenée à l'enterrement d'un enfant victime d'un accident domestique (je travaillais alors dans un établissement qui jouxtait le cimetière, faut dire...). Bref, chacun travaille bien sur ce qui l'intéresse, mais je pense quand même qu'il faut veiller à rester dans une intention de transmission de connaissances et pas dans la manipulation des "affects" ou, pire "la morale directement opérationnelle".
Cela dit le plus flou ce n'est pas" les genres de l'argumentation" mais bien " la question de l'homme"... Le problème des programmes c'est qu'on n'ose plus rien imposer. Mais le petit moment où il y a eu un programme précis (ex: les Confessions, livre 1 à 4) c'était le moment le plus cohérent: aussi a-t-il été bref: il faut bien dire que beaucoup de profs trouvaient que ça brimait leur liberté de penser...
Personnellement, je pense que l'objectif de cette partie du programme c'est d'éveiller les élèves aux mécanismes de l'argumentation (directe ou indirecte mais aussi la réflexion sur les critères de vérité, sur l'esprit critique etc) ; je trouve que les ouvres contemporaines sont incroyablement dures pour les élèves, non pas d'un point de vue "technique" mais pour les thèmes abordés. L'avantage des textes plus anciens c'est qu'ils dédramatisent, par la distanciation, le contenu ( disons par commodité "l'esclavage" ou la "torture" par exemple, qui aujourd'hui , bon... même si on pourrait en discuter, mais enfin...) tout en gardant leur intérêt réflexif. Je garde en mémoire la semaine où dans mon lycée, on a offert aux élèves une conférence sur le suicide des jeunes, suivi d'une intervention de la mère qui avait euthanasié son fils avec l'accord du médecin: pauvres jeunes que l'on veut tout de suite placer devant les horreurs du monde des adultes. Sans être pour les maintenir chez les bisounours, je trouve choquant de confronter de trop les jeunes à l'horreur: je crois d'ailleurs que loin de les "sensibiliser" cela conduit à "banaliser" l'horreur. Je me souviens aussi avec effroi de toute une classe maternelle amenée à l'enterrement d'un enfant victime d'un accident domestique (je travaillais alors dans un établissement qui jouxtait le cimetière, faut dire...). Bref, chacun travaille bien sur ce qui l'intéresse, mais je pense quand même qu'il faut veiller à rester dans une intention de transmission de connaissances et pas dans la manipulation des "affects" ou, pire "la morale directement opérationnelle".
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Je suis d'accord avec toi pour l'essentiel, mais par contre revenir au programme par oeuvres, non! Je garde un très mauvais souvenir de Rousseau avec les élèves de techno notamment. .. et je ne fais pas confiance aux choix venus d'en haut, je trouve important de s'adapter aux classes qu'on a.
Comme tu le dis on travaille mieux sur ce qui nous intéresse.
Comme tu le dis on travaille mieux sur ce qui nous intéresse.
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- IphigénieProphète
Certes, il faudrait réfléchir à un programme adapté aux techno, mais au moins cela avait l'immense avantage de permettre une dissertation sur un contenu cernable par les élèves.Écusette de Noireuil a écrit:Je suis d'accord avec toi pour l'essentiel, mais par contre revenir au programme par oeuvres, non! Je garde un très mauvais souvenir de Rousseau avec les élèves de techno notamment. .. et je ne fais pas confiance aux choix venus d'en haut, je trouve important de s'adapter aux classes qu'on a.
Comme tu le dis on travaille mieux sur ce qui nous intéresse.
Pour les choix venus d'en haut, c'est sûr que si on regarde le programme des terminales L (j'allais écrire terminables: bonjour Freud!) on voit qu'ils mériteraient d'être nuancés par des "en-bas" avisés...
Mais enfin on voit bien que c'est très compliqué de contenter tout le monde et soi-même!
- Knick KnackNiveau 2
Je me sens perdu : je serai en stage en lycée l'an prochain et je ne sais pas encore quelles classes j'aurai. Mais j'ai toujours l'impression, en lisant vos différentes propositions, que je ne dispose pas de suffisamment de "bagage littéraire" pour me dire "tiens cet objet d'étude pourrait être traité avec telle oeuvre ou tel auteur"... Je sens que mes premiers cours seront pompés sur ceux que j'ai moi-même eu de mon temps...
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- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Tu sais au début on fait tous ce qu'on peut! C'est sûr que au fur et à mesure tu te feras plusieurs séquences d'avance et que tu pourras choisir ce que tu veux changer. . Mais au départ, il faut partir de ce qu'on connaît, ou des conseils du tuteur, si tu le sens...
Profite de l'été pour refaire ou faire quelques lectures, éventuellement.
Profite de l'été pour refaire ou faire quelques lectures, éventuellement.
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- ysabelDevin
Knick Knack a écrit:Je me sens perdu : je serai en stage en lycée l'an prochain et je ne sais pas encore quelles classes j'aurai. Mais j'ai toujours l'impression, en lisant vos différentes propositions, que je ne dispose pas de suffisamment de "bagage littéraire" pour me dire "tiens cet objet d'étude pourrait être traité avec telle oeuvre ou tel auteur"... Je sens que mes premiers cours seront pompés sur ceux que j'ai moi-même eu de mon temps...
Ne t'inquiète pas, cela viendra...
Heureusement que tu en sais moins à 25 ans qu'à 50 ans... Cela veut dire que tu as encore plein de titres et auteurs à découvrir ou redécouvrir ! sinon la vie serait d'un triste.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- Cunégonde44Niveau 1
Bonjour à tous! J'aimerais étudier Gargantua avec des 1ères S. Est-ce que cette oeuvre se rapproche trop du programme de 1ère L? Je pensais y ajouter un corpus sur l'utopie et peut-être l'éducation...
_________________
"On ne peut me connaître
Mieux que tu me connais
[...]
Tes yeux dans lesquels je voyage
Ont donné aux gestes des routes
Un sens détaché de la terre
[...]
On ne peut te connaître
Mieux que je te connais."
- telmoukNiveau 5
J ai l intention de travailler sur La mort du roi Tsongor ... avec mes premières S. Je le trouve intéressant et le reste de ma progression est par ailleurs tout à fait "classique" . Par contre, je ne suis pas inspirée concernant la lecture cursive . Des idées à me soumettre?
- lit et ratureNiveau 5
Pour l'Objet d'étude la question de l'homme ......etc....., vous pouvez proposer en oeuvre intégrale : La ferme des animaux , Le Misanthrope, La Peste, Micromégas, Le monde comme il va, Memnon ou la sagesse humaine , Huis clos , les animaux dénaturés le dialogue du chapon et de la poularde (ça marche très bien !)
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- Quelle oeuvre intégrale pour "Humanisme et Renaissance"?
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