Cochez les propositions qui vous correspondent le mieux.
- Invité21Fidèle du forum
Derborence a écrit:Clarinette a écrit:Personnellement, j'ai toujours été excellente en orthographe sans y travailler, et sans vraiment connaître par cœur les règles, que j'ai réellement intégrées en formation et en faisant classe.
Je serais tentée de dire que c'est parce que j'ai lu énormément et très tôt, mais je connais des gens qui "n'impriment" pas ce qu'ils lisent, donc l'explication est sans doute plus complexe que cela.
Je suis à fond pour les langues anciennes dans la formation et à fond contre le recrutement de profs, toutes matières confondues, qui ne maîtrisent pas leur propre langue écrite.
Enfin, j'en ai un peu honte, parce que je trouve cela horriblement élitiste, mais je ne pourrais pas vivre avec quelqu'un qui fait beaucoup de fautes d'orthographe. De manière générale, j'ai du mal à avoir de l'estime pour quelqu'un qui a une mauvaise orthographe alors qu'il ou elle a suivi un cursus universitaire. Je sais que je suis terriblement intolérante sur ce coup-là, mais c'est ainsi...
Idem pour tout. j'ajoute que je suis infaillible un stylo à la main, mais que le clavier joint à la fatigue me font faire des fautes que je ne comprends pas moi-même. C'est troublant.
Parfois, l'orthographe calamiteuse de mes élèves me donne des suées de doute, vite balayées.
Le recrutement en primaire et dans l'enseignement secondaire et supérieur devrait se fonder sur une orthographe impeccable. Le "Tu t'ai trompé" lu ici il y a un jour ou deux est une honte, inexcusable.
On ne peut pas apprendre à écrire à des élèves sans savoir le faire soi-même. Pour avoir été récemment, afin d'aider une copine qui passe le CRPE, sur un forum d'aspirants instits, je peux dire que mes yeux ont saigné, et que je me suis mise en colère, toute seule...
Mais j'imagine que les personnes à orthographe irréprochable ne sont plus assez nombreuses pour combler tous les besoins.
Pour le compagnon: j'aurais du mal aussi. J'ai reçu un jour une lettre d'amour truffée, par-ci par là, de fautes, j'ai ri de bon coeur. C'est une histoire de maîtrise aussi, l'orthographe. Et le manque de maîtrise n'est pas attirant, a priori.
Edit: recruter d'anciens mauvais élèves...
Dans ce cas, il faut trouver d'anciens mauvais élèves rédimés, et c'est une denrée plus que rare...
- Thalia de GMédiateur
Le clavier est aussi mon ennemi. Combien de fois ai-je édité mes propres messages, pour ne pas être clouée au pilori par les lecteurs du forum !Sibérie a écrit:Derborence a écrit:Clarinette a écrit:Personnellement, j'ai toujours été excellente en orthographe sans y travailler, et sans vraiment connaître par cœur les règles, que j'ai réellement intégrées en formation et en faisant classe.
Je serais tentée de dire que c'est parce que j'ai lu énormément et très tôt, mais je connais des gens qui "n'impriment" pas ce qu'ils lisent, donc l'explication est sans doute plus complexe que cela.
Je suis à fond pour les langues anciennes dans la formation et à fond contre le recrutement de profs, toutes matières confondues, qui ne maîtrisent pas leur propre langue écrite.
Enfin, j'en ai un peu honte, parce que je trouve cela horriblement élitiste, mais je ne pourrais pas vivre avec quelqu'un qui fait beaucoup de fautes d'orthographe. De manière générale, j'ai du mal à avoir de l'estime pour quelqu'un qui a une mauvaise orthographe alors qu'il ou elle a suivi un cursus universitaire. Je sais que je suis terriblement intolérante sur ce coup-là, mais c'est ainsi...
Idem pour tout. j'ajoute que je suis infaillible un stylo à la main, mais que le clavier joint à la fatigue me font faire des fautes que je ne comprends pas moi-même. C'est troublant.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- ClarinetteGrand Maître
"Le recrutement en primaire et dans l'enseignement" Tu vas te faire des copains chez les PE, toi ! :lol:Sibérie a écrit:Le recrutement en primaire et dans l'enseignement devrait se fonder sur une orthographe impeccable. Le "Tu t'ai trompé" lu ici il y a un jour ou deux est une honte, inexcusable.
On ne peut pas apprendre à écrire à des élèves sans savoir le faire soi-même. Pour avoir été récemment, afin d'aider une copine qui passe le CRPE, sur un forum d'aspirants instits, je peux dire que mes yeux ont saigné, et que je me suis mise en colère, toute seule...
Mais j'imagine que les personnes à orthographe irréprochable ne sont plus assez nombreuses pour combler tous les besoins.
Bon, sinon, effectivement, pour toutes les raisons énoncées plus haut, il y a sans doute une pénurie massive de candidats maîtrisant parfaitement l'orthographe... et la grammaire... et les bases mathématiques... et l'histoire de France... bref... donc les règles du recrutement s'adaptent à la triste réalité...
Oui, il y a de ça aussi, plus un certain manque de respect pour le lecteur, finalement, car la plupart des gens qui font beaucoup de fautes, en font bien moins en se relisant attentivement. Alors, les fleurs, les bôzabis, le parfum, toussa toussa, c'est bien beau, mais l'orthographe, c'est important, aussi, flûte !Sibérie a écrit:Pour le compagnon: j'aurais du mal aussi. J'ai reçu un jour une lettre d'amour truffée, par-ci par là, de fautes, j'ai ri de bon coeur. C'est une histoire de maîtrise aussi, l'orthographe. Et le manque de maîtrise n'est pas attirant, a priori.
Rédimés !Sibérie a écrit:Edit: recruter d'anciens mauvais élèves...
Dans ce cas, il faut trouver d'anciens mauvais élèves rédimés, et c'est une denrée plus que rare...
Oui, si le mauvais élève n'a pas trouvé l'origine de ses erreurs passées, il ne sera certainement pas en mesure d'aider ses élèves.
- ClarinetteGrand Maître
C'est vrai que la fonction de prévisualisation est une excellente idée, de même que la possibilité d'éditer ses messages.Thalia de G a écrit:Le clavier est aussi mon ennemi. Combien de fois ai-je édité mes propres messages, pour ne pas être clouée au pilori par les lecteurs du forum !Sibérie a écrit:
Idem pour tout. j'ajoute que je suis infaillible un stylo à la main, mais que le clavier joint à la fatigue me font faire des fautes que je ne comprends pas moi-même. C'est troublant.
- CalandriaGrand sage
Alors, moi, j'ai une expérience bizarre de l'orthographe. Mon petit frère aussi d'ailleurs...
J'ai été excellente en orthographe. J'adorais faire des dictées et pour moi savoir orthographier un mot coulait de source. J'ai d'ailleurs longtemps participé aux Dicos D'or de Pivot et j'ai été qualifiée à plusieurs reprises. Ma carrière aux Dicos d'or s'est arrêtée après avoir passé une année aux Etats-Unis.
Pendant un an, je n'ai quasiment jamais parlé ni écrit fançais (enfin pas mal écrit d' e-mails quand même) et, à mon retour, j'avais perdu mon français : j'ai mis du temps à retrouver certains mots et ma mère a juste été horrifiée quand j'ai écrit "onion" sur la liste des courses. Maintenant, ça va mieux mais je n'ai plus la même aisance que je pouvais avoir auparavant.
Mon petit frère était nul en orthographe. Ma mère le faisait bosser à fond pour les dictées (et je lui faisais faire des dictées aussi ), il avait des notes catastrophiques. Mais, depuis quelques années, il ne fait plus de fautes... Peut être grâce au correcteur d'orthographe ? Il faudrait que je lui demande.
Sinon, mon père n'a jamais lu un seul livre mais il a une orthographe remarquable.
L'orthographe a toujours été un "critère" quand je rencontrais quelqu'un. Je suis devenue un peu moins exigeante. Mon conjoint écrit plutôt bien même s'il lui arrive régulièrement de laisser quelques fautes. Ce que je trouve important, ce n'est pas d'avoir quelqu'un qui ne fasse aucune faute mais plutôt quelqu'un qui fait des efforts pour écrire correctement (pas d'abbréviation...).
J'ai été excellente en orthographe. J'adorais faire des dictées et pour moi savoir orthographier un mot coulait de source. J'ai d'ailleurs longtemps participé aux Dicos D'or de Pivot et j'ai été qualifiée à plusieurs reprises. Ma carrière aux Dicos d'or s'est arrêtée après avoir passé une année aux Etats-Unis.
Pendant un an, je n'ai quasiment jamais parlé ni écrit fançais (enfin pas mal écrit d' e-mails quand même) et, à mon retour, j'avais perdu mon français : j'ai mis du temps à retrouver certains mots et ma mère a juste été horrifiée quand j'ai écrit "onion" sur la liste des courses. Maintenant, ça va mieux mais je n'ai plus la même aisance que je pouvais avoir auparavant.
Mon petit frère était nul en orthographe. Ma mère le faisait bosser à fond pour les dictées (et je lui faisais faire des dictées aussi ), il avait des notes catastrophiques. Mais, depuis quelques années, il ne fait plus de fautes... Peut être grâce au correcteur d'orthographe ? Il faudrait que je lui demande.
Sinon, mon père n'a jamais lu un seul livre mais il a une orthographe remarquable.
L'orthographe a toujours été un "critère" quand je rencontrais quelqu'un. Je suis devenue un peu moins exigeante. Mon conjoint écrit plutôt bien même s'il lui arrive régulièrement de laisser quelques fautes. Ce que je trouve important, ce n'est pas d'avoir quelqu'un qui ne fasse aucune faute mais plutôt quelqu'un qui fait des efforts pour écrire correctement (pas d'abbréviation...).
- CinnamonNiveau 8
Je suis une catastrophe en orthographe, depuis le Cp, toujours des 0. Cela est une véritable souffrance, et a même créer un blocage dans mon expression écrite. je n'ose pas m'exprimer à l'écrit, cela explique pourquoi je mets du temps à répondre sur le forum.
Je pense que le problème vient peut être de l'apprentissage, mais aussi de difficultés à attendre certains sons et à mémoriser les mots.
Dans un texte la première chose que vois c'est le sens, ensuite l'orthographe.
Par contre à l'oral je suis très sensible aux fautes de grammaire et de conjugaison.
Enfin, le Bescherelle est mon ami.
En lisant certaines, je me sens moins seule et je trouve le sujet très intéressant.
Je pense que le problème vient peut être de l'apprentissage, mais aussi de difficultés à attendre certains sons et à mémoriser les mots.
Dans un texte la première chose que vois c'est le sens, ensuite l'orthographe.
Par contre à l'oral je suis très sensible aux fautes de grammaire et de conjugaison.
Enfin, le Bescherelle est mon ami.
En lisant certaines, je me sens moins seule et je trouve le sujet très intéressant.
- HermionyGuide spirituel
Clarinette a écrit:Personnellement, j'ai toujours été excellente en orthographe sans y travailler, et sans vraiment connaître par cœur les règles, que j'ai réellement intégrées en formation et en faisant classe.
Je serais tentée de dire que c'est parce que j'ai lu énormément et très tôt, mais je connais des gens qui "n'impriment" pas ce qu'ils lisent, donc l'explication est sans doute plus complexe que cela.
Je suis à fond pour les langues anciennes dans la formation et à fond contre le recrutement de profs, toutes matières confondues, qui ne maîtrisent pas leur propre langue écrite.
+1
Je me rappelle de mon instit de CM1 qui avait dit à ma mère que me faire faire des dictées était inutile (mais j'adorais ça), parce que mon orthographe était "innée". J'ai dévoré des livres dès mon plus jeune âge aussi...Seul bémol : le mot "débarrasser" et tous les mots en "euil" ou "ueil" avec lesquels je me bats depuis le primaire .Ceci étant, les règles d'orthographe, je les ai découvertes en enseignant.
Je constate cependant que depuis que j'enseigne, j'ai tendance à faire des erreurs là où je n'en faisais pas avant, qu'à force de voir passer des erreurs, je finis par ne plus savoir écrire certains mots...Et cela me désespère. D'ailleurs, j'ai demandé à mon petit ami de me refaire faire des dictées. Et je crois que je n'aurai pas supporté de vivre avec quelqu'un qui truffe ses écrits de fautes (comme mon beauf... ).
Je suis un peu effarée quand je vois les erreurs de certains collègues sur les bulletins. Alors, d'accord, en général, ils enseignent des matières non littéraires, mais quand même, ça fait "tache".
- IgniatiusGuide spirituel
Je trouve en général qu'un texte contenant quelques fautes d'orthographe décrédibilise le propos de son rédacteur : elles me sautent aux yeux, c'est plus fort que moi.
J'ai aussi énormément de mal à comprendre que, parmi les enseignants, certains rejettent eux-mêmes l'orthographe comme discriminant et traumatisant : je me demande pourquoi ils sont devenus profs.
Et j'estime en effet comme beaucoup que l'orthographe des instits et profs de lettres et HG devrait être irréprochable.
Quand je lis des fautes énormes dans les cahiers de liaison de mes neveux, je suis effondré. Je me demande par suite ce qu'ils apprennent à l'école.
J'ai aussi énormément de mal à comprendre que, parmi les enseignants, certains rejettent eux-mêmes l'orthographe comme discriminant et traumatisant : je me demande pourquoi ils sont devenus profs.
Et j'estime en effet comme beaucoup que l'orthographe des instits et profs de lettres et HG devrait être irréprochable.
Quand je lis des fautes énormes dans les cahiers de liaison de mes neveux, je suis effondré. Je me demande par suite ce qu'ils apprennent à l'école.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- Raoul VolfoniGrand sage
Maîtrise de l'orthographe innée chez moi - et c'est de famille ; ma soeur et mon frère (pourtant plutôt cancre) ne font pas de fautes. Nous avons toujours lu, et, étant gamine, je lisais le dictionnaire, ce qui faisait poiler tout le monde. Maintenant, j'ai photographié pas mal de mots et quand j'ai un doute, il me suffit d'écrire les deux versions pour savoir laquelle choisir. En revanche je ne connais pas vraiment les règles (par exemple l'accord des participes) que j'applique instinctivement mais que je suis incapable d'expliquer.
Je n'ai jamais étudié les langues anciennes, je ne peux donc me prononcer sur leur influence sur l'orthographe (en revanche, ma mère qui parle couramment l'occitan, et l'a parlé avant le français, affirme que cela peut aider à orthographier certains mots français !)
Je suis ulcérée quand je vois les fautes dans les écrits de mon neveu et de ma nièce (qui est pourtant très scolaire)... et le dédain qu'ils affichent : "non mais tu as compris ce que je voulais dire, c'est le plus important non ?"
Quant aux profs qui font des fautes... quelle que soit la discipline, je trouve que c'est anormal. Cela fait partie de notre rôle de "modèles", d'après moi. Nous ne sommes pas infaillibles, mais nous nous devons de maîtriser la langue française de manière satisfaisante.
Je n'ai jamais étudié les langues anciennes, je ne peux donc me prononcer sur leur influence sur l'orthographe (en revanche, ma mère qui parle couramment l'occitan, et l'a parlé avant le français, affirme que cela peut aider à orthographier certains mots français !)
Je suis ulcérée quand je vois les fautes dans les écrits de mon neveu et de ma nièce (qui est pourtant très scolaire)... et le dédain qu'ils affichent : "non mais tu as compris ce que je voulais dire, c'est le plus important non ?"
Quant aux profs qui font des fautes... quelle que soit la discipline, je trouve que c'est anormal. Cela fait partie de notre rôle de "modèles", d'après moi. Nous ne sommes pas infaillibles, mais nous nous devons de maîtriser la langue française de manière satisfaisante.
- JEMSGrand Maître
J'ai énormément travaillé mon orthographe (mais pas la dysgraphie !) durant mes études. J'ai progressivement amélioré mon expression écrite après mon bac. Mon conjoint est excellent en orthographe, mais ce n'est pas pour cela que je l'aime J'ai du mal avec le fait que l'on puisse prendre comme critère de vie de couple cet argument. Ce métier arrive à imposer un doctrine à l'autre !
- stenchMonarque
JEMS a écrit: Mon conjoint est excellent en orthographe, mais ce n'est pas pour cela que je l'aime J'ai du mal avec le fait que l'on puisse prendre comme critère de vie de couple cet argument. Ce métier arrive à imposer un doctrine à l'autre !
Pareil, je trouve ça même un peu ridicule, dans les faits ça ne peut pas marcher comme ça. Je rencontre une nana/un mec, on tombe amoureux, on partage des choses, avant que je ne remarque qu'elle est mauvaise en orthographe : je la vire pour ça?
Après, c'est vrai que dans le cas particulier d'un site de rencontres, je conviens qu'un message plein de fautes me repoussera, c'est vrai. De là à ériger cette règle comme une condition incontournable, ça me "surprend".
Sinon, pour répondre à la question j'ai souvent le nez dans le dico pour vérifier et l'orthographe n'est pas naturelle chez moi.
- Fesseur ProGuide spirituel
+ 1 sur toutIgniatius a écrit:Je trouve en général qu'un texte contenant quelques fautes d'orthographe décrédibilise le propos de son rédacteur : elles me sautent aux yeux, c'est plus fort que moi.
J'ai aussi énormément de mal à comprendre que, parmi les enseignants, certains rejettent eux-mêmes l'orthographe comme discriminant et traumatisant : je me demande pourquoi ils sont devenus profs.
Et j'estime en effet comme beaucoup que l'orthographe des instits et profs de lettres et HG devrait être irréprochable.
Quand je lis des fautes énormes dans les cahiers de liaison de mes neveux, je suis effondré. Je me demande par suite ce qu'ils apprennent à l'école.
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Pourvu que ça dure...
- Fesseur ProGuide spirituel
Sinon, comme certains ont pu le remarquer, j'ai lancé la chasse ( en toute amitié ) aux confusions futur/conditionnel sur Néo.Bfred a écrit:Je suis une catastrophe en orthographe, depuis le Cp, toujours des 0. Cela est une véritable souffrance, et a même créé un blocage dans mon expression écrite.
C'est calme en ce moment.
_________________
Pourvu que ça dure...
- grandesvacancesNeoprof expérimenté
Clarinette a écrit:
Enfin, j'en ai un peu honte, parce que je trouve cela horriblement élitiste, mais je ne pourrais pas vivre avec quelqu'un qui fait beaucoup de fautes d'orthographe. De manière générale, j'ai du mal à avoir de l'estime pour quelqu'un qui a une mauvaise orthographe alors qu'il ou elle a suivi un cursus universitaire. Je sais que je suis terriblement intolérante sur ce coup-là, mais c'est ainsi...
:Gné:
Pour le reste, si j'ai toujours été bonne en orthographe sans effort particulier, c'est peut-être grâce à une mémoire visuelle et à une espèce d'instinct grammatical. Comme si j'étais tombée dedans quand j'étais petite fille. :lol:
Mais jamais il ne me viendrait à l'idée de juger quelqu'un sur ses performances en la matière.
- CondorcetOracle
stench a écrit:JEMS a écrit: Mon conjoint est excellent en orthographe, mais ce n'est pas pour cela que je l'aime J'ai du mal avec le fait que l'on puisse prendre comme critère de vie de couple cet argument. Ce métier arrive à imposer un doctrine à l'autre !
Pareil, je trouve ça même un peu ridicule, dans les faits ça ne peut pas marcher comme ça. Je rencontre une nana/un mec, on tombe amoureux, on partage des choses, avant que je ne remarque qu'elle est mauvaise en orthographe : je la vire pour ça?
Après, c'est vrai que dans le cas particulier d'un site de rencontres, je conviens qu'un message plein de fautes me repoussera, c'est vrai. De là à ériger cette règle comme une condition incontournable, ça me "surprend"
Itou. Par ailleurs, je suis le plus mal placé pour évaluer mon niveau en orthographe.
- User5899Demi-dieu
On est pile pareil Au-delà de trois fautes dans une série de bulletins, je serais favorable à la révocation :lol!:Clarinette a écrit:Personnellement, j'ai toujours été excellente en orthographe sans y travailler, et sans vraiment connaître par cœur les règles, que j'ai réellement intégrées en formation et en faisant classe.
Je serais tentée de dire que c'est parce que j'ai lu énormément et très tôt, mais je connais des gens qui "n'impriment" pas ce qu'ils lisent, donc l'explication est sans doute plus complexe que cela.
Je suis à fond pour les langues anciennes dans la formation et à fond contre le recrutement de profs, toutes matières confondues, qui ne maîtrisent pas leur propre langue écrite.
Enfin, j'en ai un peu honte, parce que je trouve cela horriblement élitiste, mais je ne pourrais pas vivre avec quelqu'un qui fait beaucoup de fautes d'orthographe. De manière générale, j'ai du mal à avoir de l'estime pour quelqu'un qui a une mauvaise orthographe alors qu'il ou elle a suivi un cursus universitaire. Je sais que je suis terriblement intolérante sur ce coup-là, mais c'est ainsi...
- User5899Demi-dieu
Kruella a écrit:Je suis ulcérée quand je vois les fautes dans les écrits de mon neveu et de ma nièce (qui est pourtant très scolaire)... et le dédain qu'ils affichent : "non mais tu as compris ce que je voulais dire, c'est le plus important non ?"
N O N
- jujuEsprit éclairé
Cripure, ce nouvel avatar
Assez douée en orthographe, je laissais tout de même traîner une ou deux fautes dans mes longues dissertations à la fac.
A force de voir mes élèves de collège écrire les mots les plus simples n'importe comment, j'ouvre souvent le dictionnaire, je l'avoue. Ils sont très créatifs, c'est incroyable!!!
J'admire mes parents qui maîtrisent l'orthographe, sans avoir fait de longues études. Mon jeune frère n'en a rien à faire en revanche, ses textos ou ses mails me font bondir. Mon conjoint est assez nul lui aussi, mais j'essaie de ne pas me focaliser là-dessus. Il n'a pas du tout la volonté de retenir les quelques règles qu'il me réclame pourtant...
Assez douée en orthographe, je laissais tout de même traîner une ou deux fautes dans mes longues dissertations à la fac.
A force de voir mes élèves de collège écrire les mots les plus simples n'importe comment, j'ouvre souvent le dictionnaire, je l'avoue. Ils sont très créatifs, c'est incroyable!!!
J'admire mes parents qui maîtrisent l'orthographe, sans avoir fait de longues études. Mon jeune frère n'en a rien à faire en revanche, ses textos ou ses mails me font bondir. Mon conjoint est assez nul lui aussi, mais j'essaie de ne pas me focaliser là-dessus. Il n'a pas du tout la volonté de retenir les quelques règles qu'il me réclame pourtant...
- YazilikayaNeoprof expérimenté
Orthographe innée chez moi, lorsque j'écris à la main. En tapuscrit, je laisse échapper d'horribles fautes (j'ai écrit un roman et je m'en veux des coquilles que j'ai laissé passer alors que sur mon manuscrit, c'est nickel).
Je suis désespérée quand, sur ce forum même, je vois la confusion -é ou -er.
Par contre, vivre avec quelqu'un qui fait des fautes ne me pose aucun souci (j'aurais divorcé depuis longtemps sinon). L'orthographe ne fait pas la personne.
Je suis désespérée quand, sur ce forum même, je vois la confusion -é ou -er.
Par contre, vivre avec quelqu'un qui fait des fautes ne me pose aucun souci (j'aurais divorcé depuis longtemps sinon). L'orthographe ne fait pas la personne.
- doublecasquetteEnchanteur
Je ne peux répondre au sondage puisque DC instit a déjà répondu.
Longtemps, j'ai été nulle en orthographe et frôlais le 10 de moyenne en orthographe-grammaire (dictée et questions) grâce aux questions qui suivaient la dictée. 0/10 en dictée et 10/10 en grammaire-conjugaison me faisaient ma moyenne. C'est en quatrième-troisième, grâce à l'enseignement de latin que je suis passée progressivement du 0/10 en dictée au 10/10.
Mais les fautes nombreuses que je commettais étaient des fautes. Rien à voir avec les atrocités auxquelles les générations actuelles soumettent notre pauvre langue française et qui dénotent une totale méconnaissance de la langue écrite, de la notion de mot.
Je n'ai par exemple jamais écrit "apar sa" pour "à part ça".
J'aurai écrit "les enfant blond mangeait une gallete au beure" mais non "les an faons blon man geai un galet obeur"
et "tous les ans" pouvait s'écrire "tout les an" mais jamais "toulézan".
Donc, vraiment rien à voir ... A mon mal, il y avait remède. Ce fut le latin où " puellae rosam amabant" et "puella rosas amabat" me rendaient incontournables et prononcés à l'oral les signes du pluriel.
DC véto
Longtemps, j'ai été nulle en orthographe et frôlais le 10 de moyenne en orthographe-grammaire (dictée et questions) grâce aux questions qui suivaient la dictée. 0/10 en dictée et 10/10 en grammaire-conjugaison me faisaient ma moyenne. C'est en quatrième-troisième, grâce à l'enseignement de latin que je suis passée progressivement du 0/10 en dictée au 10/10.
Mais les fautes nombreuses que je commettais étaient des fautes. Rien à voir avec les atrocités auxquelles les générations actuelles soumettent notre pauvre langue française et qui dénotent une totale méconnaissance de la langue écrite, de la notion de mot.
Je n'ai par exemple jamais écrit "apar sa" pour "à part ça".
J'aurai écrit "les enfant blond mangeait une gallete au beure" mais non "les an faons blon man geai un galet obeur"
et "tous les ans" pouvait s'écrire "tout les an" mais jamais "toulézan".
Donc, vraiment rien à voir ... A mon mal, il y avait remède. Ce fut le latin où " puellae rosam amabant" et "puella rosas amabat" me rendaient incontournables et prononcés à l'oral les signes du pluriel.
DC véto
- doublecasquetteEnchanteur
Je précise, pour décourager un peu plus Clarinette, que je lisais deux à trois livres par semaine, et ce dès le troisième trimestre de CP, sans aucun effet à court terme sur mon orthographe.
Je faisais moins de fautes en rédaction que je n'en faisais en dictée.
DC véto
Je faisais moins de fautes en rédaction que je n'en faisais en dictée.
DC véto
- CathEnchanteur
Orthographe sans aucun problème dès le début de l'école primaire, à une époque où on faisait du bled sans cesse (j'étais une très grosse lectrice, ce qui a sûrement joué). Au cm2, une faute d'orthographe coûtait 4 points dans la composition de dictée!
A l'écran, il m'arrive d'en laisser passer, car je tape en fait assez mal.
Et je trouve qu'il y a beaucoup de fautes quand même sur le forum, surtout des fautes qui me semblent incompréhensible du genre "or/hors": beaucoup ne font pas la différence!
Je ne parle pas de mes élèves, qui en sont à écrire "comme même", maintenant: ils ont du chewing-gum gum dans les oreille ou quoi?
A l'écran, il m'arrive d'en laisser passer, car je tape en fait assez mal.
Et je trouve qu'il y a beaucoup de fautes quand même sur le forum, surtout des fautes qui me semblent incompréhensible du genre "or/hors": beaucoup ne font pas la différence!
Je ne parle pas de mes élèves, qui en sont à écrire "comme même", maintenant: ils ont du chewing-gum gum dans les oreille ou quoi?
- AlcyoneFidèle du forum
Pour ma part, j'ai enfin compris la logique de notre langue quand j'ai suivi les cours de linguistique à la fac. Avant cela, je faisais pas mal de fautes mais je ne comprenais pas ou ne voyais pas mes erreurs. Les analyses très poussées de la langue m'ont permis d'écrire correctement.
Je trouve qu'il y a aussi une part de maturité langagière qui n'est pas liée à l'âge.
Chez moi, c'est la pression, la volonté mais aussi la honte à la fac qui m'ont également poussée à faire beaucoup d'efforts pour être prof de français!
Je trouve qu'il y a aussi une part de maturité langagière qui n'est pas liée à l'âge.
Chez moi, c'est la pression, la volonté mais aussi la honte à la fac qui m'ont également poussée à faire beaucoup d'efforts pour être prof de français!
- ClarinetteGrand Maître
Comme tu le soulignes, il y a manifestement des éléments inconscients, ou incohérents en apparence, dans l'acquisition de l'orthographe.Calandria a écrit:Alors, moi, j'ai une expérience bizarre de l'orthographe. Mon petit frère aussi d'ailleurs...
J'ai été excellente en orthographe. J'adorais faire des dictées et pour moi savoir orthographier un mot coulait de source. J'ai d'ailleurs longtemps participé aux Dicos D'or de Pivot et j'ai été qualifiée à plusieurs reprises. Ma carrière aux Dicos d'or s'est arrêtée après avoir passé une année aux Etats-Unis.
Pendant un an, je n'ai quasiment jamais parlé ni écrit fançais (enfin pas mal écrit d' e-mails quand même) et, à mon retour, j'avais perdu mon français : j'ai mis du temps à retrouver certains mots et ma mère a juste été horrifiée quand j'ai écrit "onion" sur la liste des courses. Maintenant, ça va mieux mais je n'ai plus la même aisance que je pouvais avoir auparavant.
Mon petit frère était nul en orthographe. Ma mère le faisait bosser à fond pour les dictées (et je lui faisais faire des dictées aussi ), il avait des notes catastrophiques. Mais, depuis quelques années, il ne fait plus de fautes... Peut être grâce au correcteur d'orthographe ? Il faudrait que je lui demande.
Sinon, mon père n'a jamais lu un seul livre mais il a une orthographe remarquable.
Oui, comme nous ne partons pas tous avec les mêmes chances à cet égard, je suis sensible au fait de vouloir s'améliorer. (Je ne suis pas un monstre, non plus ! :lol:)Calandria a écrit:L'orthographe a toujours été un "critère" quand je rencontrais quelqu'un. Je suis devenue un peu moins exigeante. Mon conjoint écrit plutôt bien même s'il lui arrive régulièrement de laisser quelques fautes. Ce que je trouve important, ce n'est pas d'avoir quelqu'un qui ne fasse aucune faute mais plutôt quelqu'un qui fait des efforts pour écrire correctement (pas d'abbréviation...).
Merci pour ta contribution !Bfred a écrit:Je suis une catastrophe en orthographe, depuis le Cp, toujours des 0. Cela est une véritable souffrance, et a même créer un blocage dans mon expression écrite. je n'ose pas m'exprimer à l'écrit, cela explique pourquoi je mets du temps à répondre sur le forum.
Je pense que le problème vient peut être de l'apprentissage, mais aussi de difficultés à attendre certains sons et à mémoriser les mots.
Dans un texte la première chose que vois c'est le sens, ensuite l'orthographe.
Par contre à l'oral je suis très sensible aux fautes de grammaire et de conjugaison.
Enfin, le Bescherelle est mon ami.
En lisant certaines, je me sens moins seule et je trouve le sujet très intéressant.
Oui, dans notre profession, c'est difficilement admissible, même pour un prof de maths.Hermiony a écrit:Je suis un peu effarée quand je vois les erreurs de certains collègues sur les bulletins. Alors, d'accord, en général, ils enseignent des matières non littéraires, mais quand même, ça fait "tache".
Entièrement d'accord avec tes propos.Igniatius a écrit:Je trouve en général qu'un texte contenant quelques fautes d'orthographe décrédibilise le propos de son rédacteur : elles me sautent aux yeux, c'est plus fort que moi.
J'ai aussi énormément de mal à comprendre que, parmi les enseignants, certains rejettent eux-mêmes l'orthographe comme discriminant et traumatisant : je me demande pourquoi ils sont devenus profs.
Et j'estime en effet comme beaucoup que l'orthographe des instits et profs de lettres et HG devrait être irréprochable.
Quand je lis des fautes énormes dans les cahiers de liaison de mes neveux, je suis effondré. Je me demande par suite ce qu'ils apprennent à l'école.
Absolument !Kruella a écrit:Quant aux profs qui font des fautes... quelle que soit la discipline, je trouve que c'est anormal. Cela fait partie de notre rôle de "modèles", d'après moi. Nous ne sommes pas infaillibles, mais nous nous devons de maîtriser la langue française de manière satisfaisante.
Je crois qu'une orthographe abominable révèle bien plus sur une personne que son simple niveau d'orthographe. Après, on peut être un parfait salaud avec une orthographe parfaite, évidemment.stench a écrit:JEMS a écrit: Mon conjoint est excellent en orthographe, mais ce n'est pas pour cela que je l'aime J'ai du mal avec le fait que l'on puisse prendre comme critère de vie de couple cet argument. Ce métier arrive à imposer un doctrine à l'autre !
Pareil, je trouve ça même un peu ridicule, dans les faits ça ne peut pas marcher comme ça. Je rencontre une nana/un mec, on tombe amoureux, on partage des choses, avant que je ne remarque qu'elle est mauvaise en orthographe : je la vire pour ça?
Après, c'est vrai que dans le cas particulier d'un site de rencontres, je conviens qu'un message plein de fautes me repoussera, c'est vrai. De là à ériger cette règle comme une condition incontournable, ça me "surprend".
Fesseur Pro a écrit:Sinon, comme certains ont pu le remarquer, j'ai lancé la chasse ( en toute amitié ) aux confusions futur/conditionnel sur Néo.
C'est calme en ce moment.
Nous avons été plusieurs à expliquer ici qu'une orthographe vraiment déplorable, sauf handicap ou scolarité erratique, dénote chez une personne un manque de logique, de rigueur, de sens de l'effort, voire de respect pour ses lecteurs, toutes qualités que je prise chez celui qui partage ma vie.grandesvacances a écrit:Clarinette a écrit:
Enfin, j'en ai un peu honte, parce que je trouve cela horriblement élitiste, mais je ne pourrais pas vivre avec quelqu'un qui fait beaucoup de fautes d'orthographe. De manière générale, j'ai du mal à avoir de l'estime pour quelqu'un qui a une mauvaise orthographe alors qu'il ou elle a suivi un cursus universitaire. Je sais que je suis terriblement intolérante sur ce coup-là, mais c'est ainsi...
:Gné:
Pour le reste, si j'ai toujours été bonne en orthographe sans effort particulier, c'est peut-être grâce à une mémoire visuelle et à une espèce d'instinct grammatical. Comme si j'étais tombée dedans quand j'étais petite fille. :lol:
Mais jamais il ne me viendrait à l'idée de juger quelqu'un sur ses performances en la matière.
Comme je l'ai dit, je sais que cette position est hyper-rigide, mais après tout, bien des gens avancent des critères autrement plus étonnants à mes yeux, comme la taille ou la couleur des yeux ! :lol:
Oui, on est souvent pile pareil !Cripure a écrit:On est pile pareil Au-delà de trois fautes dans une série de bulletins, je serais favorable à la révocation :lol!:Clarinette a écrit:Personnellement, j'ai toujours été excellente en orthographe sans y travailler, et sans vraiment connaître par cœur les règles, que j'ai réellement intégrées en formation et en faisant classe.
Je serais tentée de dire que c'est parce que j'ai lu énormément et très tôt, mais je connais des gens qui "n'impriment" pas ce qu'ils lisent, donc l'explication est sans doute plus complexe que cela.
Je suis à fond pour les langues anciennes dans la formation et à fond contre le recrutement de profs, toutes matières confondues, qui ne maîtrisent pas leur propre langue écrite.
Enfin, j'en ai un peu honte, parce que je trouve cela horriblement élitiste, mais je ne pourrais pas vivre avec quelqu'un qui fait beaucoup de fautes d'orthographe. De manière générale, j'ai du mal à avoir de l'estime pour quelqu'un qui a une mauvaise orthographe alors qu'il ou elle a suivi un cursus universitaire. Je sais que je suis terriblement intolérante sur ce coup-là, mais c'est ainsi...
Le mot est lâché...juju a écrit: Mon conjoint est assez nul lui aussi, mais j'essaie de ne pas me focaliser là-dessus. Il n'a pas du tout la volonté de retenir les quelques règles qu'il me réclame pourtant...
Un peu, quand même : cf plus haut.zazouyle a écrit:Par contre, vivre avec quelqu'un qui fait des fautes ne me pose aucun souci (j'aurais divorcé depuis longtemps sinon). L'orthographe ne fait pas la personne.
doublecasquette a écrit: Longtemps, j'ai été nulle en orthographe et frôlais le 10 de moyenne en orthographe-grammaire (dictée et questions) grâce aux questions qui suivaient la dictée. 0/10 en dictée et 10/10 en grammaire-conjugaison me faisaient ma moyenne. C'est en quatrième-troisième, grâce à l'enseignement de latin que je suis passée progressivement du 0/10 en dictée au 10/10.
Mais les fautes nombreuses que je commettais étaient des fautes. Rien à voir avec les atrocités auxquelles les générations actuelles soumettent notre pauvre langue française et qui dénotent une totale méconnaissance de la langue écrite, de la notion de mot.
A mon mal, il y avait remède. Ce fut le latin où " puellae rosam amabant" et "puella rosas amabat" me rendaient incontournables et prononcés à l'oral les signes du pluriel. DC véto
- ClarinetteGrand Maître
Meuh non, tu ne m'as pas découragée, puisque tu dis que ce sont les langues anciennes qui t'ont sauvée !doublecasquette a écrit: Je précise, pour décourager un peu plus Clarinette, que je lisais deux à trois livres par semaine, et ce dès le troisième trimestre de CP, sans aucun effet à court terme sur mon orthographe.
Je faisais moins de fautes en rédaction que je n'en faisais en dictée.
DC véto
cath5660 a écrit:Orthographe sans aucun problème dès le début de l'école primaire, à une époque où on faisait du bled sans cesse (j'étais une très grosse lectrice, ce qui a sûrement joué). Au cm2, une faute d'orthographe coûtait 4 points dans la composition!
A l'écran, il m'arrive d'en laisser passer, car je tape en fait assez mal.
Et je trouve qu'il y a beaucoup de fautes quand même sur le forum, surtout des fautes qui me semblent incompréhensible du genre "or/hors": beaucoup ne font pas la différence!
Je ne parle pas de mes élèves, qui en sont à écrire "comme même", maintenant: ils ont du chewing-gum gum dans les oreille ou quoi?
Comme quoi, quand on le veut vraiment...Alcyone a écrit:Pour ma part, j'ai enfin compris la logique de notre langue quand j'ai suivi les cours de linguistique à la fac. Avant cela, je faisais pas mal de fautes mais je ne comprenais pas ou ne voyais pas mes erreurs. Les analyses très poussées de la langue m'ont permis d'écrire correctement.
Je trouve qu'il y a aussi une part de maturité langagière qui n'est pas liée à l'âge.
Chez moi, c'est la pression, la volonté mais aussi la honte à la fac qui m'ont également poussée à faire beaucoup d'efforts pour être prof de français!
- jujuEsprit éclairé
Oui, le mot est assumé même: c'est une forme de paresse intellectuelle dont je l'accuse régulièrement!Clarinette a écrit:Le mot est lâché...juju a écrit: Mon conjoint est assez nul lui aussi, mais j'essaie de ne pas me focaliser là-dessus. Il n'a pas du tout la volonté de retenir les quelques règles qu'il me réclame pourtant...
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