- jilucorgNeoprof expérimenté
Proportionnels aux étudiants intéressés... (et le "patrimoine" – gallo-romain – est une ressource en pleine croissance)
- IgniatiusGuide spirituel
Filnydar a écrit: Je regarde plutôt les maths, et l'avenir est très sombre.
Les flux d'étudiants sont faibles, et ceux qui sont en mesure d'obtenir un M2 ont des options plus attractives que l'enseignement.
Augmenter le nombre de postes encouragera peut-être quelques nouvelles vocations, mais l'effet ne se verra que dans 5 ans.
Je ne crois pas que l'augmentation du nb de postes améliorera significativement la situation.
Déjà que les jurys ne pourvoient pas tous les postes ouverts...
Je me demande comment l'IG de maths interprète cette raréfaction des étudiants en maths : il faudrait peut-être s'interroger sur la représentativité des programmes et des instructions officielles du secondaire. Pour moi, ils mentent aux jeunes quant à la réalité des maths, d'où des désillusions de plus en plus tardives (en prepa desormais) quant à la nature des maths.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- jilucorgNeoprof expérimenté
Quelqu'un qui est bon en maths et qui aime faire des maths a quand même autre chose à espérer de plus exaltant et rémunérateur que de bosser pour l'Éduknat !
- FroidefontaineNiveau 1
C'est moins flagrant, certes, mais il y a aussi une pénurie de prof d'anglais.
La rémunération n'explique pas !
La rémunération n'explique pas !
- DulcineaNiveau 9
Mais, ne fait-on pas tout pour dégoûter les lycéens à poursuivre des études de langues? Horaires minimes, méthode actionnelle qui ne permet plus d'apprendre...
On pourrait s'interroger sur le profil des étudiants en LLCE, pour beaucoup de mes collègues vacataires dans des facs parisiennes, il y a beaucoup d'anciens bac pro, STG... bref des étudiants qui ne vont pas jusqu'au bout et qui n'ont pas le niveau.
Peut-être qu'Alberto pourrait nous éclairer sur cette question?
On pourrait s'interroger sur le profil des étudiants en LLCE, pour beaucoup de mes collègues vacataires dans des facs parisiennes, il y a beaucoup d'anciens bac pro, STG... bref des étudiants qui ne vont pas jusqu'au bout et qui n'ont pas le niveau.
Peut-être qu'Alberto pourrait nous éclairer sur cette question?
- jilucorgNeoprof expérimenté
[Je complète ma réponse à iphigénie] Pour le fait de ne plus avoir d'enseignement du latin et du grec avant le supérieur, cela ne ferait que mettre ces deux langues/civilisations sur le même plan que d'autres langues/civilisations anciennes : après tout, il y a de très bons spécialistes – au hasard – d'araméen ou de mycénien (linéaire B), qui n'en ont pas commencé l'étude dans le secondaire...
- IphigénieProphète
oui mais combien? Ce n'est plus du tout la même échelle!
- jilucorgNeoprof expérimenté
Oui oui, ce serait un domaine comparable à celui de ces langues, un truc purement 'recherche'. C'est une des voies possibles évoquées dans le fameux rapport de l'IG...
- shadowoflifeÉrudit
Je n'ai pas le temps de lire tout le fil mais j'ai une info concernant les listes complémentaires: dans ma matière, l'anglais, certains admissibles à l'agrégation externe se voient offrir le CAPES... Non seulement c'est une aberration parce que les deux concours n'ont rien à voir (et cela les hiérarchise encore plus... CAPES = agreg au rabais, je crois que ça ne peut pas être plus clair), mais donner un concours de langue vivante sans faire passer l'oral est juste hallucinant.
De plus, comme l'a relevé un professeur des universités, on donne donc le CAPES à des étudiants qui, inscrits au CAPES et à l'agrégation cette année, admissibles aux deux concours mais ayant échoué aux deux à l'oral, sont "repêchés" grâce à l'écrit de l'agreg et se voient offrir le CAPES qu'ils avaient pourtant loupé à l'oral... Comme on dit chez nous: what the fuck???
De plus, comme l'a relevé un professeur des universités, on donne donc le CAPES à des étudiants qui, inscrits au CAPES et à l'agrégation cette année, admissibles aux deux concours mais ayant échoué aux deux à l'oral, sont "repêchés" grâce à l'écrit de l'agreg et se voient offrir le CAPES qu'ils avaient pourtant loupé à l'oral... Comme on dit chez nous: what the fuck???
- qililiNiveau 2
Juste une remarque: il y a des postes aussi non pourvus en privé, et pas forcément dans les mêmes matières (SVT, histoire), et les barres d'admission sont différentes. Réunir les deux concours (comme avant je crois) pourrait-il être une solution?
- fandorineNiveau 9
Je regarde plutôt les maths, et l'avenir est très sombre.
Les flux d'étudiants sont faibles, et ceux qui sont en mesure d'obtenir un M2 ont des options plus attractives que l'enseignement.
Augmenter le nombre de postes encouragera peut-être quelques nouvelles vocations, mais l'effet ne se verra que dans 5 ans.
Non mais sérieusement, dans vos classes, vous voyez beaucoup d'élèves souhaitant devenir professeurs? A ce train-là, dans 5 ans, c'est la catastrophe.
- farfallaEmpereur
shadowoflife a écrit:Je n'ai pas le temps de lire tout le fil mais j'ai une info concernant les listes complémentaires: dans ma matière, l'anglais, certains admissibles à l'agrégation externe se voient offrir le CAPES... Non seulement c'est une aberration parce que les deux concours n'ont rien à voir (et cela les hiérarchise encore plus... CAPES = agreg au rabais, je crois que ça ne peut pas être plus clair), mais donner un concours de langue vivante sans faire passer l'oral est juste hallucinant.
De plus, comme l'a relevé un professeur des universités, on donne donc le CAPES à des étudiants qui, inscrits au CAPES et à l'agrégation cette année, admissibles aux deux concours mais ayant échoué aux deux à l'oral, sont "repêchés" grâce à l'écrit de l'agreg et se voient offrir le CAPES qu'ils avaient pourtant loupé à l'oral... Comme on dit chez nous: what the fuck???
Non seulement c'est aberrant mais en plus c'est complètement injuste ! Ce serait comme d'avoir son CAPES dans une pochette surprise ! :shock: :shock:
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"Si nada nos salva de la muerte, al menos que el amor nos salve de la vida" Pablo Neruda
"Yo lloré porque no tenía zapatos hasta que vi un niño que no tenía pies." Oswaldo Guayasamin
- jilucorgNeoprof expérimenté
8 pages de discussion là-dessus → https://www.neoprofs.org/t48151-en-cas-de-postes-non-pourvus-au-capes-faut-il-integrer-dans-le-corps-des-certifies-les-admissibles-a-l-agregationshadowoflife a écrit:Je n'ai pas le temps de lire tout le fil mais j'ai une info (...)
- alberto79Habitué du forum
Dulcinea a écrit:Mais, ne fait-on pas tout pour dégoûter les lycéens à poursuivre des études de langues? Horaires minimes, méthode actionnelle qui ne permet plus d'apprendre...
On pourrait s'interroger sur le profil des étudiants en LLCE, pour beaucoup de mes collègues vacataires dans des facs parisiennes, il y a beaucoup d'anciens bac pro, STG... bref des étudiants qui ne vont pas jusqu'au bout et qui n'ont pas le niveau.
Peut-être qu'Alberto pourrait nous éclairer sur cette question?
Bien évidemment je ne dispose de statistiques sur ce sujet, Dulcinea. Néanmoins, je peux vous dire mes impressions. Ainsi, pour moi LLCE espagnol reste une filière assez vocationnel et donc il y un bon nombre d´étudiants qui aiment l´espagnol, qui ont étudie un bac L et qui ont un niveau moyen-haut. Je ne sais pas si c´est le cas pour LLCE anglais car ils ont beaucoup plus d´étudiants. C´est vrai par contre qu´il y a peu d´étudiants chez nous (une fac de province moyenne) qui font une prépa litt pour rentrer après en L3 ce qui naguère était très courante. Il y a très peu d´étudiants qui viennent des bacs techno ou pro en LLCE espagnol. Par contre en LEA anglais-espagnol il y a environ la moitié ou même plus d´étudiants qui viennent des bacs techno/pro. LEA est devenue une sorte de « filière décharge » alors que (ou peut-être précisément parce que) normalement elle offre beaucoup plus de débouches que LLCE espagnol. Ainsi le nombre d´inscrits est d´environ 1 étudiant en LLCE espagnol pour 7-8 en LEA ang-esp.
- DulcineaNiveau 9
Merci Alberto pour toutes ces infos!
- InviteeFVénérable
alberto79 a écrit:
Bien évidemment je ne dispose de statistiques sur ce sujet, Dulcinea. Néanmoins, je peux vous dire mes impressions. Ainsi, pour moi LLCE espagnol reste une filière assez vocationnel et donc il y un bon nombre d´étudiants qui aiment l´espagnol, qui ont étudie un bac L et qui ont un niveau moyen-haut. Je ne sais pas si c´est le cas pour LLCE anglais car ils ont beaucoup plus d´étudiants. C´est vrai par contre qu´il y a peu d´étudiants chez nous (une fac de province moyenne) qui font une prépa litt pour rentrer après en L3 ce qui naguère était très courante. Il y a très peu d´étudiants qui viennent des bacs techno ou pro en LLCE espagnol. Par contre en LEA anglais-espagnol il y a environ la moitié ou même plus d´étudiants qui viennent des bacs techno/pro. LEA est devenue une sorte de « filière décharge » alors que (ou peut-être précisément parce que) normalement elle offre beaucoup plus de débouches que LLCE espagnol. Ainsi le nombre d´inscrits est d´environ 1 étudiant en LLCE espagnol pour 7-8 en LEA ang-esp.
Je plussoie vivement à cette analyse très réaliste !
- LoejNiveau 1
bonjour
je pense que cette crise de recrutement est en partie due à une erreur d'analyse de la situation. Le même niveau Bac +5 pour tous les enseignants de la maternelle à la prépa est un non sens.
Les mêmes qualités ne sont pas requises suivant le niveau d’enseignement.
Cette uniformisation bloque les possibilités de promotion et d'augmentation de salaires.
Je peux développer ces idées si certains sont intéressés.
Je pense qu'il faudrait distinguer entre l'enseignement du socle commun et le niveau Bac -3 bac +3.
je pense que cette crise de recrutement est en partie due à une erreur d'analyse de la situation. Le même niveau Bac +5 pour tous les enseignants de la maternelle à la prépa est un non sens.
Les mêmes qualités ne sont pas requises suivant le niveau d’enseignement.
Cette uniformisation bloque les possibilités de promotion et d'augmentation de salaires.
Je peux développer ces idées si certains sont intéressés.
Je pense qu'il faudrait distinguer entre l'enseignement du socle commun et le niveau Bac -3 bac +3.
- InvitéInvité
Loej a écrit:
Cette uniformisation bloque les possibilités de promotion et d'augmentation de salaires.
Je peux développer ces idées si certains sont intéressés.
Bonjour,
au moins celle que j'ai mis en gras, oui, ça m’intéresse...
mais seulement après être passé par ici : https://www.neoprofs.org/f26-votre-presentation
merci
- LoejNiveau 1
Plutôt que de taper un long ou très long post, je vais expliquer mon point de vue au travers des échanges qu'on pourra avoir...
- point n°1 Aujourd’hui un métier peu rémunérateur n'est pas et ne sera pas valorisé dans la société, et ce malgré l'importance de tous les autres aspects qui caractérisent un métier
- point n°2 un métier sans perspective n 'est pas attractif.
On observe que la crise de recrutement n'est pas qu'une question de vivier : il y a très peu d'élèves imaginant le métier de prof comme une réussite professionnelle, et ceci est d'autant plus vrai que le niveau socioprofessionnel des élèves ou étudiants est élevé.
On observe que les perspectives d'évolution valorisantes qui sont citées correspondent en général à une sortie du métier de professeur.
deux exceptions qui me semblent notables : des profs de collège qui arrivent en Lycée, particulièrement lorsqu'ils ont en charge des 1ere ou des Terminales sont assez motivés et s'investissent fortement, avec souvent un approfondissement de leur connaissance et d'autre part les profs de lycée qui obtiennent un poste en prépa ou parfois (mais cela me semble moins vrai) en BTS.
Toutes les solutions pour une réponse à la crise du recrutement et à une sortie par le haut du système éducatif doit répondre selon moi à ces deux points. Toutes les réponses sont imaginables si elles tiennent compte des contraintes, en particulier les contraintes budgétaires.
Il me semble que toutes les solutions qui s'attaquent au problème du vivier ou au problème des conditions de travail, même si elles sont importantes ne ciblent pas le coeur du pbm et c'est ma motivation première pour intervenir sur ce forum et développer les idées car les "experts" éludent en général ces deux questions car elles paraissent insolubles pour des gens "raisonnables".
Je remarque qu'ils existent des métiers très attractifs dont les conditions de travail sont très dures et pour lesquels il n'est pourtant besoin d'aucune publicité. Ces métiers sont en général rémunérateurs et fortement valorisés dans l'opinion publique. Le bon sens serait de se demander ce qui motivent les gens à travailler très dur pour exercer certains métiers : la réponse n°1 est de loin me semble -t-il le statut social.
- point n°1 Aujourd’hui un métier peu rémunérateur n'est pas et ne sera pas valorisé dans la société, et ce malgré l'importance de tous les autres aspects qui caractérisent un métier
- point n°2 un métier sans perspective n 'est pas attractif.
On observe que la crise de recrutement n'est pas qu'une question de vivier : il y a très peu d'élèves imaginant le métier de prof comme une réussite professionnelle, et ceci est d'autant plus vrai que le niveau socioprofessionnel des élèves ou étudiants est élevé.
On observe que les perspectives d'évolution valorisantes qui sont citées correspondent en général à une sortie du métier de professeur.
deux exceptions qui me semblent notables : des profs de collège qui arrivent en Lycée, particulièrement lorsqu'ils ont en charge des 1ere ou des Terminales sont assez motivés et s'investissent fortement, avec souvent un approfondissement de leur connaissance et d'autre part les profs de lycée qui obtiennent un poste en prépa ou parfois (mais cela me semble moins vrai) en BTS.
Toutes les solutions pour une réponse à la crise du recrutement et à une sortie par le haut du système éducatif doit répondre selon moi à ces deux points. Toutes les réponses sont imaginables si elles tiennent compte des contraintes, en particulier les contraintes budgétaires.
Il me semble que toutes les solutions qui s'attaquent au problème du vivier ou au problème des conditions de travail, même si elles sont importantes ne ciblent pas le coeur du pbm et c'est ma motivation première pour intervenir sur ce forum et développer les idées car les "experts" éludent en général ces deux questions car elles paraissent insolubles pour des gens "raisonnables".
Je remarque qu'ils existent des métiers très attractifs dont les conditions de travail sont très dures et pour lesquels il n'est pourtant besoin d'aucune publicité. Ces métiers sont en général rémunérateurs et fortement valorisés dans l'opinion publique. Le bon sens serait de se demander ce qui motivent les gens à travailler très dur pour exercer certains métiers : la réponse n°1 est de loin me semble -t-il le statut social.
- Karine B.Guide spirituel
Loej a écrit:Plutôt que de taper un long ou très long post, je vais expliquer mon point de vue au travers des échanges qu'on pourra avoir...
- point n°1 Aujourd’hui un métier peu rémunérateur n'est pas et ne sera pas valorisé dans la société, et ce malgré l'importance de tous les autres aspects qui caractérisent un métier
- point n°2 un métier sans perspective n 'est pas attractif.
On observe que la crise de recrutement n'est pas qu'une question de vivier : il y a très peu d'élèves imaginant le métier de prof comme une réussite professionnelle, et ceci est d'autant plus vrai que le niveau socioprofessionnel des élèves ou étudiants est élevé.
On observe que les perspectives d'évolution valorisantes qui sont citées correspondent en général à une sortie du métier de professeur.
deux exceptions qui me semblent notables : des profs de collège qui arrivent en Lycée, particulièrement lorsqu'ils ont en charge des 1ere ou des Terminales sont assez motivés et s'investissent fortement, avec souvent un approfondissement de leur connaissance et d'autre part les profs de lycée qui obtiennent un poste en prépa ou parfois (mais cela me semble moins vrai) en BTS.
Toutes les solutions pour une réponse à la crise du recrutement et à une sortie par le haut du système éducatif doit répondre selon moi à ces deux points. Toutes les réponses sont imaginables si elles tiennent compte des contraintes, en particulier les contraintes budgétaires.
Il me semble que toutes les solutions qui s'attaquent au problème du vivier ou au problème des conditions de travail, même si elles sont importantes ne ciblent pas le coeur du pbm et c'est ma motivation première pour intervenir sur ce forum et développer les idées car les "experts" éludent en général ces deux questions car elles paraissent insolubles pour des gens "raisonnables".
Je remarque qu'ils existent des métiers très attractifs dont les conditions de travail sont très dures et pour lesquels il n'est pourtant besoin d'aucune publicité. Ces métiers sont en général rémunérateurs et fortement valorisés dans l'opinion publique. Le bon sens serait de se demander ce qui motivent les gens à travailler très dur pour exercer certains métiers : la réponse n°1 est de loin me semble -t-il le statut social.
Cela ne répond pas à la question de Will
Par ailleurs, on ne dit pas prof de collège ou de lycée, mais prof en collège ou en lycée
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Le SNES, what else ?
Stagiaire agrégée à la rentrée 2015
Blog Maison Avant / Après Mise à jour en août 2013
- LoejNiveau 1
effectivement c'est une maladresse de langage mais qui ne me semble pas d'une importance capitale pour le débat d'idées.
Je vais répondre à la question mais plutôt que de faire un long monologue je voulais déjà savoir si mon diagnostique est partagé. Si ce n'est pas le cas il est clair qu'il n'est pas nécessaire que je poursuive.
Je voulais donc pointer le fait que pour être attractif le métier doit donner à la fois accès à un statut social et à un épanouissement , qui en ce qui me concerne , doit être de nature intellectuelle.
Je vais répondre à la question mais plutôt que de faire un long monologue je voulais déjà savoir si mon diagnostique est partagé. Si ce n'est pas le cas il est clair qu'il n'est pas nécessaire que je poursuive.
Je voulais donc pointer le fait que pour être attractif le métier doit donner à la fois accès à un statut social et à un épanouissement , qui en ce qui me concerne , doit être de nature intellectuelle.
- Karine B.Guide spirituel
Je ne connais personne qui exerce un métier pour se sentir dégradé socialement et dépriméLoej a écrit:Je voulais donc pointer le fait que pour être attractif le métier doit donner à la fois accès à un statut social et à un épanouissement , qui en ce qui me concerne , doit être de nature intellectuelle.
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Stagiaire agrégée à la rentrée 2015
Blog Maison Avant / Après Mise à jour en août 2013
- GrypheMédiateur
Pensez à vous présenter avant de poster. Merci.
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Τί ἐστιν ἀλήθεια ;
- LoejNiveau 1
Le but de mes posts n'est pas de polémiquer mais de réfléchir à plusieurs sur des réponses possibles à cette crise du recrutement .
Sincèrement, je ne connais pas beaucoup de collègues professeurs ayant le sentiment d'avoir un statut social satisfaisant et je connais beaucoup de collègues qui ne sont que modérément épanouis et très peu véritablement épanouis intellectuellement ...
Sincèrement, je ne connais pas beaucoup de collègues professeurs ayant le sentiment d'avoir un statut social satisfaisant et je connais beaucoup de collègues qui ne sont que modérément épanouis et très peu véritablement épanouis intellectuellement ...
- InvitéInvité
Je me cite car je n'aime pas trop écrire dans le vide...Will.T a écrit:Bonjour,Loej a écrit:Cette uniformisation bloque les possibilités de promotion et d'augmentation de salaires.
Je peux développer ces idées si certains sont intéressés.
au moins celle que j'ai mis en gras, oui, ça m’intéresse...
mais seulement après être passé par ici : https://www.neoprofs.org/f26-votre-presentation
merci
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