- CondorcetOracle
henriette a écrit:Non, sérieusement, travailler deux semaines de plus sans compensation financière ou réduction du temps de service, c'est carrément hors de question ! Déjà qu'il n'est pas question, si j'ai bien tout suivi, de revenir sur le jour de carence des arrêts maladies, et alors que Peillon soit disant reconnaît qu'il faudrait revaloriser la rémunération des profs ?
Un doute me vient : est-ce que par hasard on ne se paierait pas un tantinet notre tête, là ? :gratte:
A votre avis ?
Et après, on demande aux électeurs de gauche de voter PS sans conditions. Depuis 1997, à chaque élection, le refrain revient !
- Palombella RossaNeoprof expérimenté
Daphné a écrit:lalilala a écrit:Mais au fait , pourquoi un tel changement en 1999?
Parce qu'Allègre voulait dégraisser le mammouth !
En instaurant le movement en deux temps, le travail du ministère était considérablement réduit par rapport à l'ancien mouvement national, et il refilait le bébé aux académies sans leur donner du personnel en plus.
D'autre pert, c'étaient les 2 organisations majoritaires, SNES et SNALC, qui, de fait, co-géraient le mouvement avec le ministère -- y compris une année où, le système informatique officiel étant tombé en panne, l'administration, toute honte bue, fit appel aux ordis syndicaux...
Or, Allègre voulait "casser" le SNES (et accessoirement le SNALC), jugés "conservateurs" , et dialoguer en priorité avec la FEN et le SGEN-CFDT, plusgodill souples et plus collab compréhensifs (misère keske je suis polie ce soir je ne me reconnais pas )
Mettre fin au mouvement national, c'était ôter des arguments aux syndicats les plus revendicatifs -- comme on le voit dans la 1ere partie de l'article de Libé
Or, Allègre voulait "casser" le SNES (et accessoirement le SNALC), jugés "conservateurs" , et dialoguer en priorité avec la FEN et le SGEN-CFDT, plus
Mettre fin au mouvement national, c'était ôter des arguments aux syndicats les plus revendicatifs -- comme on le voit dans la 1ere partie de l'article de Libé
- ChocolatGuide spirituel
Mamino a écrit:http://lemonde.fr/education/article/2012/05/10/le-programme-hollande-pour-la-rentree-scolaire_1698891_1473685.html
Comment donner à la rentrée scolaire 2012 un petit air de rentrée de gauche, alors qu'elle a été préparée par la droite ? C'est le premier problème auquel le futur ministre de l'éducation va devoir s'atteler. Mais ce n'est pas le seul ! Qu'il soit ou non promis à la rue de Grenelle, Vincent Peillon, le conseiller éducation de François Hollande, a travaillé sur les premières semaines de l'agenda du futur ministre. Tout en préparant les dossiers de fond qui, eux, occuperont l'été. On ne "refonde" pas l'école à moins !
Les évaluations des élèves
Elles constituent la première urgence. Du 21 au 25 mai les 750 000 enfants de CM2 vont plancher sur les mathématiques et le français. Le candidat Hollande a promis la fin de ces évaluations très contestées. "Les livrets sont imprimés. Les enseignants reçoivent une prime de 400 euros pour s'en charger. Il est trop tard pour dire qu'on arrête tout. Que les enseignants les fassent passer pour savoir où en sont leurs élèves. En revanche, nous suspendons les remontées nationales des résultats", annonce M. Peillon au Monde.
"Nous remettons en cause ces évaluations, poursuit-il, parce qu'elles mélangent tout. On a voulu en faire un moyen de connaître le niveau des élèves et un outil de pilotage du système. Pour avoir des outils de pilotage, il faut travailler par sondage à partir d'évaluations réalisées par la direction de l'évaluation dont c'est le métier." Une mise au point très attendue par les enseignants après des années d'utilisation "politique" de ces outils initialement pédagogiques.
Le paragraphe qui concerne les évaluations de primaire va donc disparaître de la circulaire de rentrée qui était arrivée dans les établissements avant le premier tour. Ce texte, qui assoit les priorités du ministre de l'éducation, va être réécrit avant d'être à nouveau diffusé.
Des évaluations y étaient aussi annoncées en grande section de maternelle et en fin de 5e. Ces dernières risquaient d'introduire un palier d'orientation après la classe de 5e. Or le candidat Hollande s'est opposé durant sa campagne à toute orientation précoce, et a rappelé que le collège devait accueillir tous les élèves. La nouvelle circulaire de rentrée devrait le préciser.
Les suppressions de postes
Pour infléchir un peu les 14 000 coupes de postes prévues pour la rentrée, le nouveau ministre va piocher dans la liste des 3 000 recalés au concours du professorat des écoles de l'année. Le nouveau président avait promis de recruter 1 000 enseignants en urgence pour donner un peu d'oxygène aux zones difficiles. C'est prévu pour début juillet, après le collectif budgétaire qui permettra de les financer. Comme les 2 000 assistants d'éducation et les auxiliaires de vie scolaire.
En même temps, sera lancé le pré-recrutement. Ce dispositif d'aide doit permettre à des jeunes ne pouvant s'offrir cinq ans d'études mais rêvant de devenir enseignant de se lancer. La mesure, qui ne donnera des fruits que plus tard - mais reste essentielle pour être en mesure de recruter 60 000 personnels d'éducation - est prévue pour être en place à la rentrée.
La formation des enseignants
Sur chaque dossier, le ministre devra avoir un œil sur l'urgence et l'autre sur les changements de fond que la communauté éducative attend. Ainsi sur la formation des enseignants. L'équipe Peillon, qui ne s'est pas privée de critiquer la suppression de la formation initiale, travaille à mettre en place un dispositif permettant d'offrir aux nouveaux titulaires plusieurs centaines d'heures de formation avant qu'ils ne prennent leur classe... Tout en ouvrant une concertation avec les syndicats "sur la formation initiale et continue des enseignants, la création des Ecoles supérieures du professorat d'éducation, le cahier des charges et la position du concours dans le cursus", rappelle M. Peillon.
Les rythmes scolaires
"Nous ouvrirons évidemment le débat des rythmes scolaires en repartant des rapports commandés et non exploités par Luc Chatel. Le consensus existe. A nous d'avancer avec les forces syndicales et, évidemment, les parents", ajoute un membre de son équipe. Bruno Julliard, chargé de l'enseignement scolaire dans l'équipe, a travaillé le dossier avec une réduction de deux semaines des vacances d'été.
L'école primaire
La période estivale doit aussi voir s'amorcer une réflexion sur l'école primaire. "Le candidat a répété que ce niveau d'enseignement serait prioritaire. Nous ne pensons pas qu'y remettre des moyens suffira à faire baisser l'échec. Mais avec un maître de plus dans une école, on n'enseigne plus de la même manière, et c'est ce sujet que nous allons travailler avec les partenaires de l'école", ajoute un proche de M. Peillon.
Le socle commun
De même, l'attachement du nouveau président au socle commun de connaissances et de compétences, qui doit être maîtrisé par chaque jeune en fin de collège, n'empêchera pas des ajustements dans la définition de ce socle. Ni de poser la question de qui doit aujourd'hui rédiger les programmes scolaires. "Faut-il recréer un Conseil national des programmes et du socle, et si oui, qui doit y siéger", se demande Vincent Peillon. Un sujet de débat compliqué, certes, mais pas plus piégé que la réflexion sur le métier d'enseignant qui sera aussi au menu d'un été bien chargé.
Maryline Baumard
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- derouteÉrudit
Je ne comprends pas le principe du pré-recrutement...
- leyadeEsprit sacré
Je ne connaissais pas le principe du mouvement comme il était pratiqué avant, effectivement, c'était bien mieux.....
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Maggi is my way, Melfor is my church and Picon is my soutien. Oui bon je sais pas dire soutien en anglais.
LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- caroletteNeoprof expérimenté
Un échange de (bons) procédés : une bourse pour faire 5 ans d'étude en échange de l'engagement d'enseigner.
- caroletteNeoprof expérimenté
Et on rouvre les listes complémentaires pour la rentrée...
- derouteÉrudit
carolette a écrit:Un échange de (bons) procédés : une bourse pour faire 5 ans d'étude en échange de l'engagement d'enseigner.
J'aurais bien aimé en bénéficier! Et pour une année pour préparer le concours, il n'y a rien? Parce que cette année, j'ai essayé de le faire en même temps que de bosser à plein temps et c'est dur dur. Me voilà coincée dans le rôle de DA! J'ai hâte que les choses changent!
- ChocolatGuide spirituel
henriette a écrit:Bruno Julliard, chargé de l'enseignement scolaire dans l'équipe, a travaillé le dossier avec une réduction de deux semaines des vacances d'été.
Et une augmentation des rémunérations des profs au pro rata de ces deux semaines de travail en plus ?
De toute évidence, pour les profs, que ce soit à droite ou à gauche, c'est travailler plus pour gagner moins !
Je suis contente d'être restée chez moi dimanche, tiens !
_________________
- caroletteNeoprof expérimenté
Et on en revient à une question qui a ouvert un autre fil : ou comment se tirer une balle dans le pied...
- MoonchildSage
Et à plus longue échéance, est-ce que ça ne constituait pas aussi un premier pas en direction du recrutement local et de l'autonomie des établissements ?Palombella Rossa a écrit:Daphné a écrit:lalilala a écrit:Mais au fait , pourquoi un tel changement en 1999?
Parce qu'Allègre voulait dégraisser le mammouth !
En instaurant le movement en deux temps, le travail du ministère était considérablement réduit par rapport à l'ancien mouvement national, et il refilait le bébé aux académies sans leur donner du personnel en plus.D'autre pert, c'étaient les 2 organisations majoritaires, SNES et SNALC, qui, de fait, co-géraient le mouvement avec le ministère -- y compris une année où, le système informatique officiel étant tombé en panne, l'administration, toute honte bue, fit appel aux ordis syndicaux...
Or, Allègre voulait "casser" le SNES (et accessoirement le SNALC), jugés "conservateurs" , et dialoguer en priorité avec la FEN et le SGEN-CFDT, plusgodillsouples et pluscollabcompréhensifs (misère keske je suis polie ce soir je ne me reconnais pas )
Mettre fin au mouvement national, c'était ôter des arguments aux syndicats les plus revendicatifs -- comme on le voit dans la 1ere partie de l'article de Libé
- MarieLNeoprof expérimenté
C'est bien parce que les différentes réformes allaient toutes dans le même sens que nous en sommes là aujourd'hui.
Mais chaque fois qu'un syndicat criait au loup, on l'accusait de faire des procès d'intention.
Le résultat en ce qui me concerne, c'est que je n'ai plus aucune confiance dans les différentes annonces.
Mais chaque fois qu'un syndicat criait au loup, on l'accusait de faire des procès d'intention.
Le résultat en ce qui me concerne, c'est que je n'ai plus aucune confiance dans les différentes annonces.
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Je suis ce que je suis et je suis l'être même, je suis ma volonté en moi-même exaucée - A. Kalda
- AuroreEsprit éclairé
Pas mieux.Chocolat a écrit:henriette a écrit:Bruno Julliard, chargé de l'enseignement scolaire dans l'équipe, a travaillé le dossier avec une réduction de deux semaines des vacances d'été.
Et une augmentation des rémunérations des profs au pro rata de ces deux semaines de travail en plus ?
De toute évidence, pour les profs, que ce soit à droite ou à gauche, c'est travailler plus pour gagner moins !
Je suis contente d'être restée chez moi dimanche, tiens !
Formidable tribune de Palombella Rossa !
Le SMIC culturel du socle de compétences semble plus que jamais d'actualité, tout comme l'arnaque de la révision des rythmes scolaires sans compensation financière et le retour en force du management par l'"innovation pédagogique" rendue obligatoire. L'embellie entrevue avec la suppression (pas encore effectuée) de l'évaluation par les CDE risque donc d'être bien éphémère.
- User5899Demi-dieu
Parce que ça permet, entre autres, à certains syndicats d'augmenter leur pouvoir de pression locale, et parce que ça permet de créer des postes à profil dans le cadre d'une certaine autonomie des académies (qui, soit dit en passant, confine au dogmatisme).lalilala a écrit:Mais au fait , pourquoi un tel changement en 1999?
A vous de deviner les deux syndicats proches du PS qui ont appuyé la création de ce mouvement aberrant
- JohnMédiateur
Je ne suis pourtant pas du tout pour le devoir de voter, mais je trouve que se vanter d'avoir laissé voter les autres alors que, à 1,6% près, on aurait pu se retrouver à nouveau avec Sarkozy pendant 5 ans, c'est de mauvais goût.Je suis contente d'être restée chez moi dimanche, tiens !
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- DaphnéDemi-dieu
Cripure a écrit:Parce que ça permet, entre autres, à certains syndicats d'augmenter leur pouvoir de pression locale, et parce que ça permet de créer des postes à profil dans le cadre d'une certaine autonomie des académies (qui, soit dit en passant, confine au dogmatisme).lalilala a écrit:Mais au fait , pourquoi un tel changement en 1999?
A vous de deviner les deux syndicats proches du PS qui ont appuyé la création de ce mouvement aberrant
Pas besoin de deviner, je les ai nommés :lol:
- AuroreEsprit éclairé
Ce sont les leçons de morale en la matière qui sont d'un goût plus que douteux.John a écrit:Je ne suis pourtant pas du tout pour le devoir de voter, mais je trouve que se vanter d'avoir laissé voter les autres alors que, à 1,6% près, on aurait pu se retrouver à nouveau avec Sarkozy pendant 5 ans, c'est de mauvais goût.Je suis contente d'être restée chez moi dimanche, tiens !
- ChocolatGuide spirituel
John a écrit:
Je ne suis pourtant pas du tout pour le devoir de voter, mais je trouve que se vanter d'avoir laissé voter les autres alors que, à 1,6% près, on aurait pu se retrouver à nouveau avec Sarkozy pendant 5 ans, c'est de mauvais goût.
C'est ton problème - le vote par défaut, ou le vote utile, moi, j'en ai ras le bol !
Les programmes politiques sont de plus en plus vides de sens et de moins en moins défendables, et au lieu de les améliorer, on brandit les clichés des peurs collectives; c'est trop facile !
Par ailleurs, ta remarque est hors-sujet...
_________________
- JohnMédiateur
Aurore et Chocolat, relisez vos posts et appliquez-les les vous une bonne fois pour toutes : les leçons de morale et le hors-sujet.
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- User5899Demi-dieu
Qu'est-ce qu'on n'a pas lu ici même sur le programme de Mélenchon ! Et gna gna gna la dette, et gna gna gna communiste, et gna gna gna irréaliste, et gna gna gna Pol-Pot... Ce qui manque aux Français, c'est une bonne dictature africaine pendant dix ans, pour remettre certaines idées en place.Chocolat a écrit:Les programmes politiques sont de plus en plus vides de sens et de moins en moins défendables, et au lieu de les améliorer, on brandit les clichés des peurs collectives; c'est trop facile !
- Invité14Expert
"piocher dans la liste des 3 000 recalés au concours du professorat des écoles de l'année"
va t-il le faire pour les recalés au concours de médecine ou d'infirmière?
va t-il le faire pour les recalés au concours de médecine ou d'infirmière?
- IphigénieProphète
pour médecine, ce serait le cas si on augmentait le numerus clausus. Et ce ne serait pas forcément
surtout que dans l'enseignement, les recalés sont bien en service, souvent , en tant que remplaçants précaires.
TOut dépend évidemment de la proportion,mais augmenter le nombre de places d'un concours, ce n'est pas forcément une horreur: tous ceux qui ont passé des concours savent qu'entre le dernier reçu et le premier recalé, il n'y a pas forcément de différence de niveau.
surtout que dans l'enseignement, les recalés sont bien en service, souvent , en tant que remplaçants précaires.
TOut dépend évidemment de la proportion,mais augmenter le nombre de places d'un concours, ce n'est pas forcément une horreur: tous ceux qui ont passé des concours savent qu'entre le dernier reçu et le premier recalé, il n'y a pas forcément de différence de niveau.
- Palombella RossaNeoprof expérimenté
deroute a écrit:Je ne comprends pas le principe du pré-recrutement...
Autrefois, les IPES de passaient à bac + 2 et donnaient l'équivalence de l'écrit du CAPES.
On pouvait aussi les obtenir par admissibilité aux ENS
On était salarié 3 ans comme "élève-professeur" pour passer l'oral du CAPES, et éventuellement une 4eme année pour passer l'agreg.
En contrepartie, on s'engageait à bosser 10 ans dans l'Ed naze.
C'était plutôt un bon, plan - et avec la réforme des retraites, ça devient un TRÈS bon plan d'avoir cotisé depuis l'âge de 19 ans...
On pouvait aussi les obtenir par admissibilité aux ENS
On était salarié 3 ans comme "élève-professeur" pour passer l'oral du CAPES, et éventuellement une 4eme année pour passer l'agreg.
En contrepartie, on s'engageait à bosser 10 ans dans l'Ed naze.
C'était plutôt un bon, plan - et avec la réforme des retraites, ça devient un TRÈS bon plan d'avoir cotisé depuis l'âge de 19 ans...
- PryneiaNiveau 9
John a écrit:Je ne suis pourtant pas du tout pour le devoir de voter, mais je trouve que se vanter d'avoir laissé voter les autres alors que, à 1,6% près, on aurait pu se retrouver à nouveau avec Sarkozy pendant 5 ans, c'est de mauvais goût.Je suis contente d'être restée chez moi dimanche, tiens !
+1
On a eu chaud aux fesses...
Je ne sais pas ce qui nous attend avec Hollande, mais encore 5 ans de Sarko, je crois que je n'aurais pas pu, j'aurais changé de boulot.
_________________
"Leave me alone and let me go to hell by my own route." Calamity Jane
« Nicht ein Wolf ist der Mensch dem Menschen. Er ist ihm Produkt, die totale Ware ist er ihm. » E. Palmetshofer
(« L’homme n’est pas un loup pour l’homme. Il est un produit pour lui, une marchandise, rien de plus. »)
- ChocolatGuide spirituel
Cripure a écrit:Qu'est-ce qu'on n'a pas lu ici même sur le programme de Mélenchon ! Et gna gna gna la dette, et gna gna gna communiste, et gna gna gna irréaliste, et gna gna gna Pol-Pot... Ce qui manque aux Français, c'est une bonne dictature africaine pendant dix ans, pour remettre certaines idées en place.Chocolat a écrit:Les programmes politiques sont de plus en plus vides de sens et de moins en moins défendables, et au lieu de les améliorer, on brandit les clichés des peurs collectives; c'est trop facile !
Ce qui manque aux Français, c'est du vrai socialisme, au moins une fois !
Mais avec les hommes et les femmes politiques suffisants que nous avons - aucune chance !
_________________
- ChocolatGuide spirituel
Pryneia a écrit:
+1
On a eu chaud aux fesses...
Je ne sais pas ce qui nous attend avec Hollande, mais encore 5 ans de Sarko, je crois que je n'aurais pas pu, j'aurais changé de boulot.
Pour commencer, deux semaines de vacances en moins, et sans aucune compensation financière.
Un peu comme avec Sarko, mais à gauche.
Ensuite, l'école le samedi; comme ça, les parents séparés verront encore moins leurs enfants.
Bon, j'arrête, parce que ça va m'énerver...
_________________
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