- CathEnchanteur
J'ai eu la chance de connaitre l'iufm la première (?) année de son existence.
Les formateurs y étaient à peu près réalistes, même s'ils n’avaient jamais enseigné en LP (encore une aberration).
Et ceux qui nous ennuyaient, ben...on n'allait pas à leurs cours. Jamais. On se saluait aimablement devant la machine à café.
On n'était pas inspecté, d'ailleurs. Et plusieurs concours de circonstances ont fait que les formateurs ne m'ont jamais vu en situation devant des élèves. Bon, j'avais déjà enseigné 2 ans.
Bref, je n'ai jamais été (dé)formée par l'institution.
Je serai donc une excellente formatrice!
Ou pas...
Les formateurs y étaient à peu près réalistes, même s'ils n’avaient jamais enseigné en LP (encore une aberration).
Et ceux qui nous ennuyaient, ben...on n'allait pas à leurs cours. Jamais. On se saluait aimablement devant la machine à café.
On n'était pas inspecté, d'ailleurs. Et plusieurs concours de circonstances ont fait que les formateurs ne m'ont jamais vu en situation devant des élèves. Bon, j'avais déjà enseigné 2 ans.
Bref, je n'ai jamais été (dé)formée par l'institution.
Je serai donc une excellente formatrice!
Ou pas...
- LefterisEsprit sacré
Le vrai problème, c'est que les formateurs semblent avoir fait allégeance à un modèle commun, faute duquel on n'est pas coopté. Si les formateurs pouvaient être recruté dans divers horizons, de manière neutre, sans être inféodés à des personnalités et à leur courant de pensée, tout irait déjà mieux.cath5660 a écrit:J'ai eu la chance de connaitre l'iufm la première (?) année de son existence.
Les formateurs y étaient à peu près réalistes, même s'ils n’avaient jamais enseigné en LP (encore une aberration).
Et ceux qui nous ennuyaient, ben...on n'allait pas à leurs cours. Jamais. On se saluait aimablement devant la machine à café.
On n'était pas inspecté, d'ailleurs. Et plusieurs concours de circonstances ont fait que les formateurs ne m'ont jamais vu en situation devant des élèves. Bon, j'avais déjà enseigné 2 ans.
Bref, je n'ai jamais été (dé)formée par l'institution.
Je serai donc une excellente formatrice!
Ou pas...
Je ne comprends vraiment pas cet acharnement à ne pas vouloir s'éloigner du dogme. Quasiment 100% des enseignants passés par les IUFM ( ou leurs avatars actuels) les désavouent . Tous les enseignants seraient-ils des imbéciles incapables d'adhérer à LA vérité ?
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- RoninMonarque
Toi tu vas avoir des soucis...
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- LefterisEsprit sacré
Moi ? Je ne risque plus de passer par l'IUFM ou l'équivalent Du reste ça ne me déplairait pas d'oeuvrer à la formation, à condition :Ronin a écrit:Toi tu vas avoir des soucis...
- de ne pas devoir faire des contorsions et des allégeances n'ayant rien à voir avec mon métier
- de ne pas y être à temps complet
- de faire de la formation disciplinaire
- de ne pas subir d'injonctions pour harceler des stagiaires
( tu vas me dire que tout ça interdit toute probabilité, hein ..? )
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- eliamEsprit éclairé
Bien sûr, je ne peux parler que de ce que je connais mais jamais dans aucune réunion ni formation des tuteurs (avant ou après réforme de la formation), on ne nous a donné ce genre de consigne. On nous demande un avis précis clair et argumenté, c'est tout.choco a écrit:Se faire renouveller n'a plus rien d'exceptionnel désormais et même si on nous dit qu'il faut avoir de gros soucis pour l'être, je pense que ce n'est pas vrai. On m'a dit qu'il y aurait des quotas et que dans certaines disciplines les attentes variaient ainsi que les consignes ( soit le tuteur devait se montrer bienveillant soit ou au contraire pointer et insister ce qui ne va pas).
Pour ma part, mon problème a été plutôt dans un rapport tendu avec ma tutrice qui m'a laissé me débrouiller seule pour me dire à la toussaint qu'elle m'avait laissée volontairement me planter. On a jamais travaillé ensemble mais elle m'a fait pleins de reproches sur les rapports, en plus elle ne m'a jamais rien dit en face sauf en juin où elle m'a dit que j'aurai dû lui mettre dans son casier mes déroulés de séquences ( j'avoue avoir été idiote : vu qu'on me l'avait pas demandé je ne l'ai pas deviné !).
Sinon je suis anxieuse : j'ai eu un entretien avec mes tutrices et mon cde qui m'ont expliqué que tout allait bien, mais qu'il faut bien que je me remette toujours en cause ( si les élèves ne travaillent pas, s'agitent etc... c'est en grande partie de ma faute et qu'il faut donc que je trouve des solutions pour les amener malgré tout _et malgré eux_ à atteindre l'objectif visé, solutions moins vieille école ) et que je conforte 4 compétences du rapport. Ils envisagent les cases "suffisant ou à conforter" comme des indications des points qu'il me faudra travailler dans les années à venir. Pour moi ce n'est pas ça et l'an dernier j'avais des collègues qui ont eu toutes les cases "suffisant" de cocher. Ca m'inquiète beaucoup car moi je trouve donc le rapport moyen et j'ai peur que cela influe sur ma titularisation. Qu'en pensez-vous ?
Maintenant, en ce qui concerne tes inquiétudes, il me semble que si le rapport indique que tu peux progresser, cela ne devrait pas te causer de tort.
- LoubdalouExpert
Je suis d'accord avec toi choco, il doit y avoir certaines consignes selon les IPR qui choisissent les tuteurs, et qui les forment...
- Elle aimeExpert
Choco,
MP :flower:
MP :flower:
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"Moi, je crois que la grammaire, c’est une voie d’accès à la beauté. Quand on parle, quand on lit ou quand on écrit, on sent bien si on a fait une belle phrase ou si on est en train d’en lire une. On est capable de reconnaître une belle tournure ou un beau style. Mais quand on fait de la grammaire, on a accès à une autre dimension de la beauté de la langue. Faire de la grammaire, c’est la décortiquer, regarder comment elle est faite, la voir toute nue, en quelque sorte. Et c’est là que c’est merveilleux : parce qu’on se dit : « Comme c’est bien fait, qu’est-ce que c’est bien fichu ! », « Comme c’est solide, ingénieux, subtil ! ». Moi, rien que savoir qu’il y a plusieurs natures de mots et qu’on doit les connaître pour en conclure à leurs usages et à leurs compatibilités possibles, ça me transporte."
- chocoNiveau 6
Pour les consignes, c'est deux collègues tutrices qui m'ont dit les avoir reçu. Quant aux formations, leurs qualités dépendent sans doute des formateurs eux-mêmes mais souvent elles ne sont pas en adéquation avec nos attentes, les miennes sont fréquemment trop théoriques et il a fallu qu'on râle pour qu'elles le soient moins.
- LoubdalouExpert
Moi j'ai dit que ce serait bien que ce soit plus concret, notamment quand la formatrice à la fin de l'année nous a demandé très sérieusement quelles suggestions nous pourrions proposer pour améliorer la formation l'année suivante et quels conseils donner aux stagiaires à venir. J'ai donné des conseils très concrets (parler avec l'élève à la fin de l'heure et pas sur le coup etc.) elle ma rétorqué qu'avec notre niveau d'étude il était important de conceptualiser.
Du coup les conseils qu'ils ont eu, ben je ne m'en souviens même plus tellement c'était du vent.
Du coup les conseils qu'ils ont eu, ben je ne m'en souviens même plus tellement c'était du vent.
- PatissotDoyen
Je rejoins les propos de Lefteris. Le Droit semble être le seul langage dont on puisse user avec un certain nombre d'acteurs de l'EN. Hélas dépourvu de connaissances juridiques j'en suis réduit à un babil incohérent.
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« Déjà, certaines portions de ma vie ressemblent aux salles dégarnies d'un palais trop vaste, qu'un propriétaire appauvri renonce à occuper tout entier. »
- LefterisEsprit sacré
En droit administratif et de la fonction publique, on peut se former un peu seul . Il se trouve que j'avais un métier à dominante juridique, mais pas du tout dans ce domaine (plutôt droit public) et que je m'y suis mis en étant délégué syndical. Or, je m'aperçois que les CDE par exemple en sont légèrement frottés, dans leur formation touche-à-tout , qu'ils impressionnent beaucoup , mais qu'ils n'en savent pas tant que ça . Mes CDE, avec qui je n'ai pas de problèmes d'ailleurs,confondaient par exemple une mesure d'ordre intérieur (MOI) et une sanction, hésitant ainsi à exclure un élève provisoirement. J'ai donné mon petit avis, et aussi sur quelques points pour ne pas se faire retoquer sur le règlement intérieur. Il faut suivre les principes généraux du droit (PGD) , dans tous les actes administratifs, ça vaut pour eux, pour nous, pur les parents geignards.Patissot a écrit: Le Droit semble être le seul langage dont on puisse user avec un certain nombre d'acteurs de l'EN. Hélas dépourvu de connaissances juridiques j'en suis réduit à un babil incohérent.
Pour en revenir à nos stagiaires , toutes les décisions sont prises sous le contrôle possible a posteriori du juge de la légalité, en l'occurrence le juge administratif , et cette légalité impose par exemple de porter à la connaissance de l'intéressé toutes les pièces faisant grief ou pouvant faire grief, tout acte administratif doit respecter la hiérarchie des textes, et tout acte individuel doit être motivé (pour être éventuellement contesté selon le principe du contradictoire, principe auquel on ne saurait déroger) . La justification implique qu'il n'y ait aucune erreur matérielle (dossier partiel, incomplet, erroné) aucune erreur "manifeste d'appréciation" ( un jugement hâtif sur l'état mental , une appréciation déplacée etc.) ni erreur "de fait" (absence des faits reprochés, inexactitude..), erreur de droit (par exemple renouveler un stage avec les mêmes notateurs, ou ne pas donner manifestement une chance - voir plus haut, j'ai gagné un dossier difficile de licenciement comme ça...) Or, je suis presque certain que des dossiers de nos stagiaires ont été traités "à la louche", parce que l'habitude de la soumission et du silence fait que certains se croient tout permis.
Bon, j'ai perdu la main en quelques années, et il faudrait que je me fasse aux habitudes concrètes de l'EN . En fait, les syndicats devraient être dotés de juristes qui ne font que ça et se décarcassent, parce que ça demande du boulot , de la documentation et du temps . Ils n'aiment pas trop ça parce que l'application du droit coupe court au négociations de dessous de table. (C'st ce qui m'a coûté ma carrière antérieure, d'où mon départ vers l'EN, écoeuré)
Pour les litiges de moindre importance, ne pas oublier le médiateur académique ou le médiateur E.N.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- LoubdalouExpert
J'en ai demandé une de médiation à la place j'ai eu une visite conseil en dernière heure avec la classe la plus horrible...
- RoninMonarque
Tu me donnes des idées, si j'ai un jour du temps libre j'irai peut-être me frotter aux arcanes juridiques pour emmerder les chefaillons...
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- LefterisEsprit sacré
La médiation, c'est plutôt pour les problèmes de carrière, les problèmes administratifs . Là par exemple j'ai un problème de calcul d’ancienneté d'échelon que je traîne depuis mon entrée dans l'EN, il y a quelques années, et ça dure. Je préfère passer par le médiateur, puisqu'il est facile de démonter l'erreur (j'ai déjà eu gain de cause sur un fait évident , alors que l'administration avait "observé le silence", c'est -à-dire refus implicite) .Loubdalou a écrit:J'en ai demandé une de médiation à la place j'ai eu une visite conseil en dernière heure avec la classe la plus horrible...
Pour une histoire pédagogique, ils vont s'adresser aux mêmes personnes , et on tourne en rond. Pour une affaire qu touche à l'extérieur de la machine (par exemple un problème avec un élève, un parent) , il vaut mieux carrément une mutuelle avec assistance juridique.
C'est triste, mais notre société devient chicaneuse, à la mode étasunienne...
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- LoubdalouExpert
c'est triste en effet, car les personnes qui interviennent défendent forcément le tuteur dans ce cas là.
- LefterisEsprit sacré
Ca n'est pas particulièrement passionnant, à mon sens, mais fort utile, et comme disait Th. Gautier "ce qui est utile est laid" . Sans vantardise, il n'est pas difficile d'être plus fort qu'un CDE : à moins qu'ils n'aient une formation antérieure dans le domaine, ils font ça à la volée, pendant leur stage, où ils font mille et un trucs superficiels et managériaux, et apprennent des cas d'école tout fait sans vraiment maîtriser les mécanismes de fond.Ronin a écrit:Tu me donnes des idées, si j'ai un jour du temps libre j'irai peut-être me frotter aux arcanes juridiques pour emmerder les chefaillons...
Un passionné (ça existe), un pratiquant, un autodidacte peut se débrouiller, être au moins en état de déceler les failles , sans prétendre égaler un avocat au Conseil d'Etat.
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- LefterisEsprit sacré
Ben oui, c'est comme les tribunaux militaires en 1915 : tu étais jugé par ta hiérarchie (le colonel) , le défenseur était aux ordres du juge dans le service quotidien, et l'appel se faisait devant le général qui commandait le colonel . Belle indépendance de la justice, de la défense, et des voies de recours.Loubdalou a écrit:c'est triste en effet, car les personnes qui interviennent défendent forcément le tuteur dans ce cas là.
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- RoninMonarque
Je te crois, mon problème pour l'instant c'est qu'il me faut finir d'apprendre mon métier puisque l'on ne me l'a pas appris à l'iufm. Je vais sans doute y passer encore un peu de temps. Après j'ai prévu d'apprendre à faire de la mécanique auto puis du bricolage. Après j'attaque le droit administratif... mais je crains que tu n'ais raison c'est pourquoi je dis cela sérieusement, j'avais fait du droit pénal en autodidacte pour un concours et obtenu une note honorable, donc pourquoi pas ?
- LefterisEsprit sacré
L'avantage du droit, c'est que ça ne demande pas trop de prérequis . La preuve, à la fac, dans les métiers juridiques, la plupart des gens partent de zéro.. En plus en droit administratif, qui rapporte peu , on trouve peu de "pointures" , ce n'st pas la destination majeure des étudiants. les services juridiques des administrations font des boulettes préjudiciables, ce qui cause des préjudices, mais permet aussi de gagner , et tu vois que j'ai connu les deux cas.Ronin a écrit:Je te crois, mon problème pour l'instant c'est qu'il me faut finir d'apprendre mon métier puisque l'on ne me l'a pas appris à l'iufm. Je vais sans doute y passer encore un peu de temps. Après j'ai prévu d'apprendre à faire de la mécanique auto puis du bricolage. Après j'attaque le droit administratif... mais je crains que tu n'es raison c'est pourquoi je dis cela sérieusement, j'avais fait du droit pénal en autodidacte pour un concours et obtenu une note honorable, donc pourquoi pas ?
Je ne m'y remettrais plus je pense parce que je suis épuisé mentalement par ma vie passée, mais si je peux encore léguer quelques bons conseils...
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- RoninMonarque
Restons donc sur le forum...
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- LefterisEsprit sacré
Déjà, le 1er pas, c'est débloquer mentalement certains, leur faire sortir l'idée de la tête qu'on ne peut jamais rien faire et qu'il faut tout subir (c'st un peu le discours social et administratif diffusé) , et rentrer en pleurant chez soi . Ca les orientera au moins dans la bonne direction.Ronin a écrit:Restons donc sur le forum...
Et avoir une arme permet de ne pas s'en servir : le simple fait d'émettre l'idée de se défendre fait parfois reculer ... J'ai remarqué que l’administration de l'EN n'aime pas trop les vagues, la mauvaise pub.
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- RoninMonarque
Il faut se munir du Dalloz de droit administratif ou il y a plus synthétique ?
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- LefterisEsprit sacré
Le Dalloz est un code, il n'apprend pas les principes. Il y des bouquins qui guident , comme un cours, qui apprennent les principes , j'ai oublié le titre d'un des plus célèbres . Il existe aussi des manuels de procédure (comment recourir) . Le web est également riche , on y trouve beaucoup de jurisprudence peut s'abonner à des sites comme la RAJF ,mais pour y comprendre un peu, il faut quelques basesRonin a écrit:Il faut se munir du Dalloz de droit administratif ou il y a plus synthétique ?
http://www.rajf.org/rubrique.php3?id_rubrique=104&id_mot=21
Bref il faut s'y intéresser, ça prend du temps, et aussi suivre car tout évolue (plus vite que le latin )
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- suzonNiveau 2
Impressionnant de voir comme la conversation a dévié...
C'est très intéressant, le droit administratif comme livre de chevet, j'y songerai.
Et édifiant d'en arriver là quand on pense qu'on parlait de conditions de stage et de redoublements...
C'est très intéressant, le droit administratif comme livre de chevet, j'y songerai.
Et édifiant d'en arriver là quand on pense qu'on parlait de conditions de stage et de redoublements...
- Marie LaetitiaBon génie
Lefteris, tu ne veux pas écrire un guide en pdf ?
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
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