- lalilalaEmpereur
Daphné a écrit:C'est élévé quand même.
En général on tourne plus autour de 10 voire 11 maxi en moyenne de classe.
En collège et a fortiori en lycée.
euh oui, c'est énorme 15,3 de moyenne de classe en TL! :shock: Il y a un souci là...
- Mike92Niveau 10
15,3 je n'ai dû le rencontrer qu'une fois ou deux (mais je le vois aujourd'hui dans les dossiers de prépa qu'on me demande d'analyser sur le web) ; pour les jurys de sélection, le prof a un problème, et l'élève est classé(e) sans cette moyenne. Car on ne peut pas savoir ce que ça veut dire.
- kensingtonEsprit éclairé
thrasybule a écrit:Petite anecdote perso: mes parents m'ont forcé à faire allemand première langue pour être dans une classe camif( collège de ZEP), alors que je voulais faire anglais puis espagnol. J'étais allé à une réunion où les profs d'allemand faisaient leur pub: la prof, lorsque je lui ai dit que je préférais faire de l'anglais, m'a sorti: " l'anglais, tu l'apprendras dans les couloirs...": quel mépris!
How shocking!
- BabayagaGrand sage
florestan a écrit: J'ai la chance d'enseigner dans un grand établissement avec quatre professeurs d'allemand, ce qui est exceptionnel. Dans la majorité des établissements il y a un seul prof d'allemand et tout repose sur lui. S' il s'avère défaillant, c'est mort pour la section, la rumeur se répand, les élèves sont dégoûtés, les frères et soeurs ne feront pas d'allemand et les élèves, une fois adultes pourront parler du prof d'allemand complètement fou/ bordélisé/incompétent.... qu'ils auront eu parfois pendant quatre ans. Les professeurs d'anglais ou d'espagnol ont une moins lourde responsabilité dans la mesure où il est rarissime qu'un élève ait le même enseignant pendant quatre ans , du coup il y a moins de légendes urbaines courant sur les profs d'anglais cinglés ou les profs d'espagnol franquistes du fait de généralisations abusives.
Je n'avais jamais pensé à ça mais tu as parfaitement raison.
Je suis professeur titulaire dans un collège où il y a 12 heures, 4*3, bilangues.
Je suis arrivée après plusieurs TZR successifs qui s'étaient plus ou moins fait bordéliser.
Je me suis fait bordéliser à mon tour. Résultat : juste 12 élèves inscrits en 6° l'année qui a suivi mon arrivée malgré ma campagne de promotion dans les primaires, un poil vexant.
Cette année une vingtaine d'inscrits, alléluia.
Bon, je retourne à ma lecture, j'en suis à peine à la page 4....
- BabayagaGrand sage
John a écrit:Et il y a eu la suite avec Komm mit nach Deutschland, où Tim et Uwe partaient jouer sur la Spielplatz. Vous avez connu, ça ?
Oh oui, ça me revient maintenant ! Un truc du genre :
- Hallo Steffen!
- Hallo Uwe!
- Wohin gehst du Steffen?
- Ich geh' auf den Speilplatz!
- Moment, ich komme mit !
Et rebelote avec Claudia dans la leçon qui suit.
- BabayagaGrand sage
Lenou3132 a écrit:
La grammaire allemande est plus simple à retenir d'apres ma tante, prof de français
:ma prof d'allemand n'a jamais été très motivante pour m'apprendre la grammaire
au final maintenant j'ai une petite cousine allemande, c'est elle qui m'apprend la grammaire...Et elle éclate de rire
Je pense qu'il y a des professeurs d'allemand qui n'aiment pas trop la grammaire. Je dis ça car à la fac d'allemand, il y avait peu de linguistes, mes amies préféraient la littérature ou la civilisation. Leur bête noire c'était souvent la linguisitique.
Moi j'étais linguiste et j'ai adoré disserter sur la "Kopfstellung des Verbs als Dekodierungssignal" :livre: , j'adore enseigner la grammaire mais je me réfrène car on n'en a plus vraiment le droit. Et au final, je connais des instants de grâce comme par exemple l'an passé quand mes élèves de troisième ont voulu comprendre le es explétif
Tout ça pour dire que quand on est vraiment motivé par ce qu'on fait, je crois que tout peut passer, même la grammaire
- DaphnéDemi-dieu
Kroumette a écrit:
Je pense qu'il y a des professeurs d'allemand qui n'aiment pas trop la grammaire. Je dis ça car à la fac d'allemand, il y avait peu de linguistes, mes amies préféraient la littérature ou la civilisation. Leur bête noire c'était souvent la linguisitique.
Moi j'étais linguiste et j'ai adoré disserter sur la "Kopfstellung des Verbs als Dekodierungssignal" :livre: , j'adore enseigner la grammaire mais je me réfrène car on n'en a plus vraiment le droit. Et au final, je connais des instants de grâce comme par exemple l'an passé quand mes élèves de troisième ont voulu comprendre le es explétif
Tout ça pour dire que quand on est vraiment motivé par ce qu'on fait, je crois que tout peut passer, même la grammaire
Tu sais, en anglais aussi on préférait la littérature et la civilisation à la linguistique, d'autant plus qu'en général les profs de linguistique étaient disons "vieux jeu" tandis qu'en littérature américaine par exemple on avait un américain L'amphi était plein........ de filles :lol:
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