- SérénaNeoprof expérimenté
Jean, c'est en lettres modernes. Ma tutrice n'est pas vraiment à fond dans le discours IUFM, elle pense simplement que j'ai un niveau d'exigences trop élevé pour le public que nous avons. Quand elle vient me voir, j'ai en effet tendance à laisser passer plus de choses.
Les conseils qui ont été donnés plus haut me paraissent effectivement très efficaces; et je vais les appliquer dès lundi, puisque j'ai cette fameuse classe en première heure. Reste à savoir s'ils marcheront avec ces élèves: je commence à avoir l'impression que rien ne marche vraiment (ou du moins sur le long terme) avec eux, c'est un peu le problème.
Hermione, lorsque le niveau sonore montait trop, j'avais l'attitude inverse de celle que tu décris: crier plus fort qu'eux (tout en me rendant compte que ça ne servait à rien... paradoxe). Je vais donc essayer de me taire et les regarder fixement, mais je crains qu'ils ne se remettent à parler sitôt l'effet de surprise passé (c'est une classe très particulière aux dires de ma CDE et ils sont vraiment ingérables).
Les conseils qui ont été donnés plus haut me paraissent effectivement très efficaces; et je vais les appliquer dès lundi, puisque j'ai cette fameuse classe en première heure. Reste à savoir s'ils marcheront avec ces élèves: je commence à avoir l'impression que rien ne marche vraiment (ou du moins sur le long terme) avec eux, c'est un peu le problème.
Hermione, lorsque le niveau sonore montait trop, j'avais l'attitude inverse de celle que tu décris: crier plus fort qu'eux (tout en me rendant compte que ça ne servait à rien... paradoxe). Je vais donc essayer de me taire et les regarder fixement, mais je crains qu'ils ne se remettent à parler sitôt l'effet de surprise passé (c'est une classe très particulière aux dires de ma CDE et ils sont vraiment ingérables).
- CelebornEsprit sacré
Jean a écrit:Surtout ne jamais élever la voix (Hermione a raison).
Je nuance. Ça dépend de ce que ça donne en termes de volume sonore, de puissance, de hauteur de voix. Chez certaines personnes, c'est effectivement ridicule ; chez d'autres, utilisé à bon escient, ça peut produire un effet bœuf. Mais une fois encore, tout dépend de votre organe et de la tête que vous faites quand vous vous laissez allez à la colère expressive.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- JeanNiveau 8
Je vais donc essayer de me taire et les regarder fixement, mais je crains qu'ils ne se remettent à parler sitôt l'effet de surprise passé (c'est une classe très particulière aux dires de ma CDE et ils sont vraiment ingérables).
Je m'excuse si je radote, mais je persiste à penser que leur sortir comme phrase d'accueil, lundi, que désormais tout bavardage et tout chuchotement sont désormais interdits et punir aussitôt le premier qui moufte risque de les laisser interdits... et de régler l'essentiel du problème pour le reste de l'année.
Je m'excuse si je radote, mais je persiste à penser que leur sortir comme phrase d'accueil, lundi, que désormais tout bavardage et tout chuchotement sont désormais interdits et punir aussitôt le premier qui moufte risque de les laisser interdits... et de régler l'essentiel du problème pour le reste de l'année.
- PiliGrand sage
Reste à savoir s'ils marcheront avec ces élèves: je commence à avoir l'impression que rien ne marche vraiment (ou du moins sur le long terme) avec eux, c'est un peu le problème.
Tess, FAUTE !! Carton jaune !
On t'a conseillé d'être convaincante et de croire en ce que tu annonces...Tu pars déjà perdante là !...
- SérénaNeoprof expérimenté
C'est-à-dire que j'ai déjà tenté deux recadrages, en plus de la mise en place de règles dès le premier jour, qui ont bien marché sur le coup, et qui se sont révélés inefficaces au bout de quelques semaines (et pourtant, je n'avais rien "lâché").
Et puis cette classe me pompe toute mon énergie, pendant tout le 1er trimestre je suis rentrée chez moi le mercredi midi (où je les avais 2 h d'affilée) en larmes, donc oui, je suis un peu défaitiste, ce qui ne va pas m'empêcher d'appliquer tous ces conseils et de paraître fermement décidée!
Et puis cette classe me pompe toute mon énergie, pendant tout le 1er trimestre je suis rentrée chez moi le mercredi midi (où je les avais 2 h d'affilée) en larmes, donc oui, je suis un peu défaitiste, ce qui ne va pas m'empêcher d'appliquer tous ces conseils et de paraître fermement décidée!
- Hermione0908Modérateur
Tess. a écrit:
Hermione, lorsque le niveau sonore montait trop, j'avais l'attitude inverse de celle que tu décris: crier plus fort qu'eux (tout en me rendant compte que ça ne servait à rien... paradoxe).
C'est ce que je faisais quand j'étais stagiaire, crier plus fort qu'eux. Ma tutrice m'avait fait remarquer que ça n'avait pas d'effet, et qu'à force, ils s'habituent, et là, c'est comme les perruches : plus tu parles fort, plus ils parlent fort. L'année d'après, j'ai déjà moins crié, et j'ai remarqué plus d'efficacité dans mon "autorité" (mais c'était encore flottant). Là, c'est ma cinquième année si on compte le stage, et s'il m'arrive encore d'élever la voix, c'est bien plus rare, quasiment exceptionnel (une fois cette année je crois pour l'instant), ça a beaucoup plus d'effet : comme ils n'ont pas l'habitude de m'entendre de la sorte, ça les désarçonne de voir que oui, je crie aussi.
- SteredDoyen
Je suis tout à fait d'accord avec Hermione : le but de mon année de T1 était de ne plus crier, après une année de stage atroce où effectivement il y avait surenchère dans le volume sonore.
Aujourd'hui (je commence ma 6e année), je ne hausse presque plus le ton ou alors de façon exceptionnelle et, effectivement, ils sont sciés à chaque fois.
Je rejoins aussi les autres : toujours jouer la colère avant de l'être vraiment pour ne pas perdre le contrôle de sa voix, de son corps, et se ridiculiser à leurs yeux.
La première année est dure, mais tu ne referas plus les mêmes erreurs
D'ici là, courage !
Aujourd'hui (je commence ma 6e année), je ne hausse presque plus le ton ou alors de façon exceptionnelle et, effectivement, ils sont sciés à chaque fois.
Je rejoins aussi les autres : toujours jouer la colère avant de l'être vraiment pour ne pas perdre le contrôle de sa voix, de son corps, et se ridiculiser à leurs yeux.
La première année est dure, mais tu ne referas plus les mêmes erreurs
D'ici là, courage !
- AmaliahEmpereur
Oui, c'est tout à fait vrai ce que dit Hermione. Dans deux de mes trois classes, je n'ai jamais crié cette année (touchons du bois!) et dans ma 4° à problèmes, je n'ai crié qu'une seule fois, le jour où vraiment je me suis dit qu'il le fallait, j'ai pris sur moi, je me suis mise dans mon rôle de prof vraiment pas content et j'ai vraiment crié sur un élève qui était insolent, eh bien, ça les a tous scotchés!
Edit: Tout pareil aussi que Stered!
Edit: Tout pareil aussi que Stered!
- ysabelDevin
Jean a écrit:Surtout ne jamais élever la voix (Hermione a raison).
Penser aux moutons : quand on se saisit d'un des moutons du troupeau, tous les autres se tournent avec inquiétude vers leur congénère. Item, ne jamais faire de reproches, ne jamais lancer de récriminations à la cantonade : temps et forces gaspillées! Par contre toujours s'abattre sur UN individu en particulier.
tout à fait, et de préférence un élève qui suscite plutôt l'admiration - malsaine - des autres. Il faut casser un dur.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- Hermione0908Modérateur
Celeborn a écrit:Jean a écrit:Surtout ne jamais élever la voix (Hermione a raison).
Je nuance. Ça dépend de ce que ça donne en termes de volume sonore, de puissance, de hauteur de voix. Chez certaines personnes, c'est effectivement ridicule ; chez d'autres, utilisé à bon escient, ça peut produire un effet bœuf. Mais une fois encore, tout dépend de votre organe et de la tête que vous faites quand vous vous laissez allez à la colère expressive.
Quand je parle d'élever la voix dans ce cas précis, je pense au fait de crier "bêtement", lorsqu'il faut que ça sorte et que c'est plus fort que nous, et que la seule réponse au bruit, c'est de crier en espérant que ça marche (brrr, ça me rappelle de mauvais souvenirs de mon année de stage). J'ai déjà utilisé la soufflante en augmentant progressivement le volume, ça n'a rien à voir, et ça, ça marche, quand c'est utilisé de manière exceptionnelle, qu'ils n'ont pas l'habitude de nous voir criailler.
- ysabelDevin
Celeborn a écrit:Jean a écrit:Surtout ne jamais élever la voix (Hermione a raison).
Je nuance. Ça dépend de ce que ça donne en termes de volume sonore, de puissance, de hauteur de voix. Chez certaines personnes, c'est effectivement ridicule ; chez d'autres, utilisé à bon escient, ça peut produire un effet bœuf. Mais une fois encore, tout dépend de votre organe et de la tête que vous faites quand vous vous laissez allez à la colère expressive.
oui oui ! J'ai le cri qui tue... silence de mort et alors je dis tout doucement : la prochaine fois je crie. j'adore la tête atterrée des élèves. :lol:
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« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- lapetitemuExpert
Hermione0908 a écrit:Lorsque le niveau sonore monte trop, je m'arrête en plein milieu de ma phrase, voire d'un mot, je m'assois au bureau ou je m'appuie à mon bureau, je croise les bras et je les regarde dans les yeux les uns après les autres. Quand j'ai le silence complet (au bout d'un moment, ça les inquiète de ne plus avoir la voix du prof en bruit de fond), je leur remets les pendules à l'heure sur le ton le plus glacial que je puisse adopter, presque à voix basse (en tout cas, ne jamais crier, c'est pire), et ensuite, je tombe sur le paletot du premier qui rouvre la bouche.
Mais ça ne marche pas tout le temps, ni avec toutes les classes. C'est cependant une technique qui ne fonctionne pas trop mal.
Franchement, ce n'est pas automatique. Le dernier jour où j'ai eu les 4e avant les vacances, je me suis arrêtée de faire cours pendant cinq bonnes minutes, assise à mon bureau, et ils ont, je crois, tout simplement oublié ma présence. Sauf deux ou trois qui étaient au premier rang et se rendaient compte (ouf) que quelque chose n'allait pas.
Le problème avec les classes ingérables, c'est qu'elles sont beaucoup plus adaptables que nous. Elles captent les techniques, et au bout de deux ou trois fois, ça ne marche déjà plus.
Et pour ce qui est d'annoncer en première heure, lundi, que dorénavant même un chuchotement sera interdit, quand on a eu le bazar (y compris des élèves qui parlent à voix haute pendant le cours) pendant quatre mois. Je ne vois pas comment je vais pouvoir faire taire les chuchotements alors que je n'arrive pas à faire taire ceux qui parlent à voix forte à leur copain de l'autre bout de la salle. (Parce qu'ils sont trop nombreux, et que je n'ai pas la punition adaptée).
Mes bonnes résolutions pour 2011 : moins crier (je suis d'accord avec ce que vous dites là-dessus, mais ça va m'être très difficile), les prendre en colle avec moi le vendredi après-midi... Et je n'ai pas d'autres idées. C'est d'ailleurs ça le problème : ayant quasiment tout essayé, je ne sais plus quoi inventer, et ça me fatigue à l'avance d'y penser.
- SérénaNeoprof expérimenté
la petitemu, je suis dans le même cas que toi. Rien ne marche à long terme avec une de mes cinquièmes, donc je vais mettre en pratique tous les conseils que l'on m'a prodigués mais je crains que cette classe ne demeure hermétique...
- DulcineaNiveau 9
Bon courage à Tess et à Lo,
Les conseils donnés sont les bons, je ne vais pas en rajouter. Je trouve que le vouvoiement est une super idée, mais je n'y suis jamais parvenue quand j'enseignais au collège, sauf sur les copies, certainement par esprit conformiste, de peur d'être trop différente de mes collègues. Jean, comment faites-vous? Vous prenez-vous des remarques de la part des collègues? En lycée, cela me semble tout naturel, il faut dire que nous sommes nombreux à vouvoyer nos élèves, c'est plus simple.
Autrement, un petit truc que j'ai trouvé pour stabiliser mes classes, c'est un passage à l'oral noté d'un élève en début d'heure devant la classe et un autre en fin d'heure, histoire de maintenir la pression. Précision: l'élève vient avec son cahier que je vérifie. S'il n'est pas capable d'ouvrir la bouche, c'est 0 pointé devant tout le monde. Autant vous dire qu'ils n'apprécient pas du tout. Autre précision: je suis prof d'espagnol, ce système n'est peut-être pas transposable en lettres.
Les conseils donnés sont les bons, je ne vais pas en rajouter. Je trouve que le vouvoiement est une super idée, mais je n'y suis jamais parvenue quand j'enseignais au collège, sauf sur les copies, certainement par esprit conformiste, de peur d'être trop différente de mes collègues. Jean, comment faites-vous? Vous prenez-vous des remarques de la part des collègues? En lycée, cela me semble tout naturel, il faut dire que nous sommes nombreux à vouvoyer nos élèves, c'est plus simple.
Autrement, un petit truc que j'ai trouvé pour stabiliser mes classes, c'est un passage à l'oral noté d'un élève en début d'heure devant la classe et un autre en fin d'heure, histoire de maintenir la pression. Précision: l'élève vient avec son cahier que je vérifie. S'il n'est pas capable d'ouvrir la bouche, c'est 0 pointé devant tout le monde. Autant vous dire qu'ils n'apprécient pas du tout. Autre précision: je suis prof d'espagnol, ce système n'est peut-être pas transposable en lettres.
- lapetitemuExpert
Je compte aussi essayer ce système en lettres : interroger un élève à chaque cours, ou du moins régulièrement, soit en début de cours, soit en plein milieu. Mais ce qui m'ennuie, c'est que les élèves auront tous une note, au final, mais ce qui sera noté va différer selon le cours. Certains élèves vont être interrogés sur des leçons plus simples que d'autres.
Y en a-t-il qui, en français, pratiquent l'interrogation orale individuelle ?
(J'avoue que ce serait aussi un bon moyen d'avoir une note en plus sans corriger de copies...)
Y en a-t-il qui, en français, pratiquent l'interrogation orale individuelle ?
(J'avoue que ce serait aussi un bon moyen d'avoir une note en plus sans corriger de copies...)
- Reine MargotDemi-dieu
ysabel a écrit:Jean a écrit:Surtout ne jamais élever la voix (Hermione a raison).
Penser aux moutons : quand on se saisit d'un des moutons du troupeau, tous les autres se tournent avec inquiétude vers leur congénère. Item, ne jamais faire de reproches, ne jamais lancer de récriminations à la cantonade : temps et forces gaspillées! Par contre toujours s'abattre sur UN individu en particulier.
tout à fait, et de préférence un élève qui suscite plutôt l'admiration - malsaine - des autres. Il faut casser un dur.
le problème après c'est l'effet-victime "pourquoi vous me regardez?" "pourquoi moi?" "j'ai rien fait", etc...
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- PiliGrand sage
Tess. a écrit:la petitemu, je suis dans le même cas que toi. Rien ne marche à long terme avec une de mes cinquièmes, donc je vais mettre en pratique tous les conseils que l'on m'a prodigués mais je crains que cette classe ne demeure hermétique...
Tess! Carton rouge !!! ça fait 2 fois!
Tu n'y crois pas du tout, comment veux-tu que ton message passe, si toi-même tu doutes ?...
Reprends confiance, c'est ça l'urgence...reprends les commandes !!!
Bon courage
- LoEsprit sacré
Je suis en train de relire tout le fil et je ne sais pas si j'arriverai à faire tout ça lundi...je les connais, je vais arriver avec la voix cassée et ils vont tout de suite en profiter au maximum.
- JeanNiveau 8
@lapetitemenu
Il ne s'agit pas de "les faire taire", mais de créer une ambiance tellement réfrigérante, tellement glaciale, d'apparaître tellement méprisante, tellement lointaine, tellement distante, tellement emm... d'être là (alors que ce n'est pas vrai du tout, car ce métier vous passionne), tellement indifférente à leur présence qu'ils en soient surpris, et glacés.
C'est votre tronche qui doit être par elle-même dissuasive.
Et je crois aussi que le mot "interdire", si les syllabes en sont détachées, a un effet pas lui-même. C'est tellement insolite, aujourd'hui, d'interdire quelque chose à ces chérubins !
@ Dulcinea
Je les appelle "Monsieur Martin" , "Mademoiselle Laugel", ou simplement "Monsieur", "Mademoiselle", même en 6ème. Très rarement par leur prénom, de plus en plus rarement, toujours en les vouvoyant. Cela passe sans aucun problème. Ils se sentent même valorisés. Quant à ce que font mes collègues, à vrai dire, peu me chaut...
Il ne s'agit pas de "les faire taire", mais de créer une ambiance tellement réfrigérante, tellement glaciale, d'apparaître tellement méprisante, tellement lointaine, tellement distante, tellement emm... d'être là (alors que ce n'est pas vrai du tout, car ce métier vous passionne), tellement indifférente à leur présence qu'ils en soient surpris, et glacés.
C'est votre tronche qui doit être par elle-même dissuasive.
Et je crois aussi que le mot "interdire", si les syllabes en sont détachées, a un effet pas lui-même. C'est tellement insolite, aujourd'hui, d'interdire quelque chose à ces chérubins !
@ Dulcinea
Je les appelle "Monsieur Martin" , "Mademoiselle Laugel", ou simplement "Monsieur", "Mademoiselle", même en 6ème. Très rarement par leur prénom, de plus en plus rarement, toujours en les vouvoyant. Cela passe sans aucun problème. Ils se sentent même valorisés. Quant à ce que font mes collègues, à vrai dire, peu me chaut...
- JeanNiveau 8
Lo a écrit:Je suis en train de relire tout le fil et je ne sais pas si j'arriverai à faire tout ça lundi...je les connais, je vais arriver avec la voix cassée et ils vont tout de suite en profiter au maximum.
La tronche dissuasive, Lo, la tronche dissuasive! L'air sinistre!
- JohnMédiateur
Il faut quand même vraiment que ça colle à sa personnalité.La tronche dissuasive, Lo, la tronche dissuasive! L'air sinistre!
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- Reine MargotDemi-dieu
comme pour tout, les trucs ne marchent que quand on y croit et que ça correspond à notre façon d'agir habituelle...
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La famille Bélier
- JeanNiveau 8
John a écrit:Il faut quand même vraiment que ça colle à sa personnalité.La tronche dissuasive, Lo, la tronche dissuasive! L'air sinistre!
En l'occurrence, c'est préférable !
- JeanNiveau 8
marquisedemerteuil a écrit:comme pour tout, les trucs ne marchent que quand on y croit et que ça correspond à notre façon d'agir habituelle...
Un professeur n'est pas un copain, c'est un professeur. Il s'en déduit un certain nombre de principes...
- thrasybuleDevin
Sinon ça peut être contre-productif et l'on perd toute crédibilitéJohn a écrit:Il faut quand même vraiment que ça colle à sa personnalité.La tronche dissuasive, Lo, la tronche dissuasive! L'air sinistre!
- thrasybuleDevin
Êntre les recettes simplificatrices et les principes, il y a un mondeJean a écrit:marquisedemerteuil a écrit:comme pour tout, les trucs ne marchent que quand on y croit et que ça correspond à notre façon d'agir habituelle...
Un professeur n'est pas un copain, c'est un professeur. Il s'en déduit un certain nombre de principes...
- Main dans la main avec les parents ! Non merci.
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