- MaupassantNiveau 2
Il ne m'est rien arrivé pour l'instant et je l'ai fait il y a à peu près deux ans. J'ai la chance de ne pas avoir de soucis matériels mais à l'époque, je me suis dis que, de toute façon, étant donné les inspections qui se passaient mal, je ne pouvais rien espérer de plus niveau avancement. A voir selon les cas.
- Clecle78Bon génie
C'est tout à fait ce que j'ai vécu. Les injonctions contradictoires ...*Ombre* a écrit:Le problème est que, pour que cette autorité soit légitime, il faudrait qu'elle s'appuie sur quelque chose de plus solide que "C'est moi le chef".
Quand on a des IPR qui nous expliquent en 2000 que seul le travail en séquences est acceptable en français, que faire une leçon de langue claire et nette avec des exercices d'application, c'est une hérésie, que les mêmes IPR vous expliquent en 2009 que la leçon de grammaire est obligatoire, qu'on a assisté, ces dernières années, à des "dérives" (tiens, c'est étonnant), puis en 2024, alors que la recherche a démontré l'importance de la pédagogie explicite, qu'il faut retourner aux "chantiers de grammaire" et à un empirisme erratique, tout ça pour faire rentrer aux forceps l'enseignement du français dans un cadre impossible qui le déstructure complètement, et que les groupes deniveau,besoin, bidule, finalement, contrairement à ce qu'on a dit depuis 30 ans, en fait c'est très bien, cette autorité n'a pour elle que la force de coercition qu'elle se donne.
- AlcyoneFidèle du forum
Clecle78 a écrit:C'est tout à fait ce que j'ai vécu. Les injonctions contradictoires ...*Ombre* a écrit:Le problème est que, pour que cette autorité soit légitime, il faudrait qu'elle s'appuie sur quelque chose de plus solide que "C'est moi le chef".
Quand on a des IPR qui nous expliquent en 2000 que seul le travail en séquences est acceptable en français, que faire une leçon de langue claire et nette avec des exercices d'application, c'est une hérésie, que les mêmes IPR vous expliquent en 2009 que la leçon de grammaire est obligatoire, qu'on a assisté, ces dernières années, à des "dérives" (tiens, c'est étonnant), puis en 2024, alors que la recherche a démontré l'importance de la pédagogie explicite, qu'il faut retourner aux "chantiers de grammaire" et à un empirisme erratique, tout ça pour faire rentrer aux forceps l'enseignement du français dans un cadre impossible qui le déstructure complètement, et que les groupes deniveau,besoin, bidule, finalement, contrairement à ce qu'on a dit depuis 30 ans, en fait c'est très bien, cette autorité n'a pour elle que la force de coercition qu'elle se donne.
Tout à fait d'accord avec vous. Pour moi, la visite de l'IPR ne sert à rien. La formation au PAF non plus. A aucun moment on interroge la recherche ; le seul recul théorique sur la pratique se limite à "Moi, mes élèves aiment bien ceci cela" ou "Cette année, avec mes classes, ceci cela a bien marché, et chez vous ?"
Cette année, j'ai suivi une formation longue : à aucun moment il n'y a eu d'apport théorique, si ce n'est quelques petites citations réécrites sur le diaporama en introduction. La formation était sympathique, mais cela se limite à des ateliers, des échanges de pratiques. Il n'y a pas de discussion de fond sur ce que signifie réellement "apprendre" ou "lire" ou "produire un écrit" par exemples. Avec l'IPR, c'est la même chose. Chacun a ses croyances ou ses engagements en fonction des réformes et du Ministre. Le discours doit être identique d'une visite à l'autre comme un texte appris par cœur. La seule chose que l'IPR a trouvé positive dans ma progression : "Ah, c'est bien, je vois que vous leur faites lire des lectures cursives"... Comme si c'était ce qu'il fallait retenir de mon enseignement. Et je ne parle même pas des "leçons langagières" (le gros mot) - entièrement rédigées en commun - qu'il a pris pour des textes à trous que je leur projetais et faisais copier ! "Votre pratique est trop longue et fastidieuse, vous n'avez encore abordé que six leçons en deux mois."
- Mélusine2Niveau 10
Clecle78 a écrit:C'est tout à fait ce que j'ai vécu. Les injonctions contradictoires ...*Ombre* a écrit:Le problème est que, pour que cette autorité soit légitime, il faudrait qu'elle s'appuie sur quelque chose de plus solide que "C'est moi le chef".
Quand on a des IPR qui nous expliquent en 2000 que seul le travail en séquences est acceptable en français, que faire une leçon de langue claire et nette avec des exercices d'application, c'est une hérésie, que les mêmes IPR vous expliquent en 2009 que la leçon de grammaire est obligatoire, qu'on a assisté, ces dernières années, à des "dérives" (tiens, c'est étonnant), puis en 2024, alors que la recherche a démontré l'importance de la pédagogie explicite, qu'il faut retourner aux "chantiers de grammaire" et à un empirisme erratique, tout ça pour faire rentrer aux forceps l'enseignement du français dans un cadre impossible qui le déstructure complètement, et que les groupes deniveau,besoin, bidule, finalement, contrairement à ce qu'on a dit depuis 30 ans, en fait c'est très bien, cette autorité n'a pour elle que la force de coercition qu'elle se donne.
Même constat. Voir les mêmes personnes défendre tout et son contraire à quelques années d'intervalle, et retour, ça les décrédibilise pas mal... Et c'est bien dommage, parce qu'un regard extérieur et de vraies propositions d'amélioration, ça peut être bien utile.
Quant à la question initiale, il me semble que la réponse est à calculer : oui, la HC améliore bien la vie, qui nécessite un petit peu de sous pour être moins étroite. Non, il ne faut pas se laisser marcher dessus pour autant. Et c'est bien triste que la question se pose en ces termes.
- joebar69Fidèle du forum
Alcyone a écrit:[...] La seule chose que l'IPR a trouvé positive dans ma progression : "Ah, c'est bien, je vois que vous leur faites lire des lectures cursives"... Comme si c'était ce qu'il fallait retenir de mon enseignement. Et je ne parle même pas des "leçons langagières" (le gros mot) - entièrement rédigées en commun - qu'il a pris pour des textes à trous que je leur projetais et faisais copier ! "Votre pratique est trop longue et fastidieuse, vous n'avez encore abordé que six leçons en deux mois."
Cela me rappelle les propos d'un chargé de mission parfaitement suffisant et odieux, que je connaissais par ailleurs (même promo d'agreg), qui était venu "m'inspecter", un peu avant 2010, sur une classe de BTS, en lycée ZEP, et qui m'avait tenu ces propos : "M. Joebar vous expliquez trop finement les choses à vos étudiant.e.s. Les sciences doivent garder un peu de mystère, surtout pour eux."
Je lui avais répliqué, au tac-o-tac , sur un petit air désabusé et d'un ton paisible: "C'est exactement ce que j'expliquais à votre épouse hier soir, quand elle m'a demandé mon prénom. Je me suis permis de lui répondre que les relations extra-conjugales devaient garder un peu de mystère, surtout pour elle."
Bon, je connaissais son épouse, prof également, que j'avais côtoyé dans un autre établissement et qui appréciait ce genre d'humour.
Le gars, ne m'a plus rien dit. Il a remballé ses petites affaires et s'en est allé.
J'avais pris 4 points de bonif sur ma note pédagogique, avec passage à la HC, en fin d'année scolaire.
- cldxNiveau 3
*Ombre* a écrit:Le problème est que, pour que cette autorité soit légitime, il faudrait qu'elle s'appuie sur quelque chose de plus solide que "C'est moi le chef".
Quand on a des IPR qui nous expliquent en 2000 que seul le travail en séquences est acceptable en français, que faire une leçon de langue claire et nette avec des exercices d'application, c'est une hérésie, que les mêmes IPR vous expliquent en 2009 que la leçon de grammaire est obligatoire, qu'on a assisté, ces dernières années, à des "dérives" (tiens, c'est étonnant), puis en 2024, alors que la recherche a démontré l'importance de la pédagogie explicite, qu'il faut retourner aux "chantiers de grammaire"et à un empirisme erratique, tout ça pour faire rentrer aux forceps l'enseignement du français dans un cadre impossible qui le déstructure complètement, et que les groupes deniveau,besoin, bidule, finalement, contrairement à ce qu'on a dit depuis 30 ans, en fait c'est très bien, cette autorité n'a pour elle que la force de coercition qu'elle se donne.
Je crois qu'on c'est ce que nous vivons tous le plus mal, ces injonctions qui sans aucun doute ne seront plus les mêmes 3 ans après.
Je n'en peux plus de ces histoires de chantier de grammaire qui, sous couvert de vouloir faire travailler davantage la grammaire, ne fait que la complexifier et la passer au second plan. Peut-être que c'est une méthode qui fonctionne sur du long terme mais les élèves que j'ai récupérés étaient encore plus perdus que d'habitude.
- Clecle78Bon génie
Tu l'as déjà racontée il me semble, il n'y a pas très longtemps ?joebar69 a écrit:Alcyone a écrit:[...] La seule chose que l'IPR a trouvé positive dans ma progression : "Ah, c'est bien, je vois que vous leur faites lire des lectures cursives"... Comme si c'était ce qu'il fallait retenir de mon enseignement. Et je ne parle même pas des "leçons langagières" (le gros mot) - entièrement rédigées en commun - qu'il a pris pour des textes à trous que je leur projetais et faisais copier ! "Votre pratique est trop longue et fastidieuse, vous n'avez encore abordé que six leçons en deux mois."
Cela me rappelle les propos d'un chargé de mission parfaitement suffisant et odieux, que je connaissais par ailleurs (même promo d'agreg), qui était venu "m'inspecter", un peu avant 2010, sur une classe de BTS, en lycée ZEP, et qui m'avait tenu ces propos : "M. Joebar vous expliquez trop finement les choses à vos étudiant.e.s. Les sciences doivent garder un peu de mystère, surtout pour eux."
Je lui avais répliqué, au tac-o-tac , sur un petit air désabusé et d'un ton paisible: "C'est exactement ce que j'expliquais à votre épouse hier soir, quand elle m'a demandé mon prénom. Je me suis permis de lui répondre que les relations extra-conjugales devaient garder un peu de mystère, surtout pour elle."
Bon, je connaissais son épouse, prof également, que j'avais côtoyé dans un autre établissement et qui appréciait ce genre d'humour.
Le gars, ne m'a plus rien dit. Il a remballé ses petites affaires et s'en est allé.
J'avais pris 4 points de bonif sur ma note pédagogique, avec passage à la HC, en fin d'année scolaire.
- joebar69Fidèle du forum
@Clecle78 : Oui, mais je ne sais plus dans quel fil de discussion. Bon, je commence à radoter, alors
- joebar69Fidèle du forum
Et avec l'age avançant, ça ne s'arrange pas, à priori .Clecle78 a écrit:On radote tous, c'est un truc de prof !
- cldxNiveau 3
joebar69 a écrit:@Clecle78 : Oui, mais je ne sais plus dans quel fil de discussion. Bon, je commence à radoter, alors
Je ne la connaissais pas cette anecdote moi !
- cldxNiveau 3
J'en reviens à cette histoire de hors classe. Outre les bons rapports des inspections, ne faut-il pas également montrer son investissement dans l'enseignement, en menant des projets par exemple ? Si tel est le cas, je vas rester éternellement à l'échelon 5 !!
- gypsie52Niveau 5
Ah oui, je m'en rappelle, ça m'a marquée cette répartie sur "garder du mystère aux sciences!"Clecle78 a écrit:Tu l'as déjà racontée il me semble, il n'y a pas très longtemps ?joebar69 a écrit:Alcyone a écrit:[...] La seule chose que l'IPR a trouvé positive dans ma progression : "Ah, c'est bien, je vois que vous leur faites lire des lectures cursives"... Comme si c'était ce qu'il fallait retenir de mon enseignement. Et je ne parle même pas des "leçons langagières" (le gros mot) - entièrement rédigées en commun - qu'il a pris pour des textes à trous que je leur projetais et faisais copier ! "Votre pratique est trop longue et fastidieuse, vous n'avez encore abordé que six leçons en deux mois."
Cela me rappelle les propos d'un chargé de mission parfaitement suffisant et odieux, que je connaissais par ailleurs (même promo d'agreg), qui était venu "m'inspecter", un peu avant 2010, sur une classe de BTS, en lycée ZEP, et qui m'avait tenu ces propos : "M. Joebar vous expliquez trop finement les choses à vos étudiant.e.s. Les sciences doivent garder un peu de mystère, surtout pour eux."
Je lui avais répliqué, au tac-o-tac , sur un petit air désabusé et d'un ton paisible: "C'est exactement ce que j'expliquais à votre épouse hier soir, quand elle m'a demandé mon prénom. Je me suis permis de lui répondre que les relations extra-conjugales devaient garder un peu de mystère, surtout pour elle."
Bon, je connaissais son épouse, prof également, que j'avais côtoyé dans un autre établissement et qui appréciait ce genre d'humour.
Le gars, ne m'a plus rien dit. Il a remballé ses petites affaires et s'en est allé.
J'avais pris 4 points de bonif sur ma note pédagogique, avec passage à la HC, en fin d'année scolaire.
J'ai trouvé: message
@Clecle78 et @gypsie52 les boulets de service
- joebar69Fidèle du forum
@cldx : Non, la réglementation en vigueur indique que chaque agent doit pouvoir réaliser sa carrière sur 2 grades. La route est simplement un peu plus longue pour certain.e.s.
- JennyMédiateur
joebar69 a écrit:@cldx : Non, la réglementation en vigueur indique que chaque agent doit pouvoir réaliser sa carrière sur 2 grades. La route est simplement un peu plus longue pour certain.e.s.
Pour une carrière complète, non ?
- joebar69Fidèle du forum
@gypsie52 : Merci, pour le message retrouvé .
- joebar69Fidèle du forum
@Jenny : Le principe d’un déroulement de carrière sur au moins deux grades est acté. L'ensemble des enseignant.e.s déroulant une carrière complète pourront accéder à l’indice terminal de la hors-classe.
Je n'ai plus la ref du texte PPCR, je cherche ...
Je n'ai plus la ref du texte PPCR, je cherche ...
- MathadorEmpereur
À ma connaissance, aucune réglementation contraignante n'impose cela.joebar69 a écrit:@cldx : Non, la réglementation en vigueur indique que chaque agent doit pouvoir réaliser sa carrière sur 2 grades. La route est simplement un peu plus longue pour certain.e.s.
Les LDG des enseignants ont certes un barème qui permet d'avoir la HC à l'usure, mais ce que l'EN fait, l'EN peut le défaire. Pour le reste de la FPE, le décret régissant les entretiens professionnels contient cela:
(lien: https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000022593931/ )Lorsque le fonctionnaire a atteint, depuis au moins trois ans au 31 décembre de l'année au titre de laquelle il est procédé à l'évaluation, le dernier échelon du grade dont il est titulaire et lorsque la nomination à ce grade ne résulte pas d'un avancement de grade ou d'un accès à celui-ci par concours ou promotion internes, ses perspectives d'accès au grade supérieur sont abordées au cours de l'entretien et font l'objet d'une appréciation particulière du supérieur hiérarchique dans le compte rendu de cet entretien mentionné à l'article 4. Ces dispositions sont applicables aux agents en position de détachement, aux agents intégrés à la suite d'un détachement ou directement intégrés, qui n'ont bénéficié, depuis leur nomination au sein de leur administration, établissement ou collectivité territoriale d'origine, d'aucune promotion ni par voie d'avancement ni par voie de concours ou de promotion internes.
et ne déroge donc pas à la règle implicite de la FP « modernisée », le « pas proposé ⇒ pas promu » dénoncé régulièrement par @Lefteris sur Néo.
Au passage, les deux grades ne garantissent pas la HC: par exemple un certifié CN qui devient agrégé CN en est déjà à son deuxième grade.
_________________
"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- joebar69Fidèle du forum
@Mathador a dégainé plus vite que son ombre, comme à son habitude . Merci pour les précisions.
Ah! la FP est ses principes sur le papier qui ne se concrétisent pas toujours dans la réalité. Cela ne devrait plus m'étonner, pourtant.
Ah! la FP est ses principes sur le papier qui ne se concrétisent pas toujours dans la réalité. Cela ne devrait plus m'étonner, pourtant.
- cldxNiveau 3
- MathadorEmpereur
Ceci étant dit, le principe de la carrière sur deux grades a vraiment fait partie du PPCR, mais en tant que promesse politique.
Et on sait ce que Pasqua a dit sur ce genre de promesse…
Et on sait ce que Pasqua a dit sur ce genre de promesse…
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- Aperçu par hasardNeoprof expérimenté
Mathador a écrit:Ceci étant dit, le principe de la carrière sur deux grades a vraiment fait partie du PPCR, mais en tant que promesse politique.
Et on sait ce que Pasqua a dit sur ce genre de promesse…
Ce n'était pas plutôt Chirac?
- MathadorEmpereur
Le propos est couramment attribué aux deux, ainsi qu'à Henri Queuille.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- Vieux_MongolFidèle du forum
Oui, un grand cynique le père Queuille !
- PrezboGrand Maître
Mathador a écrit:Le propos est couramment attribué aux deux, ainsi qu'à Henri Queuille.
Je pense que c'est Queuille (qui valait mieux que sa réputation d'immobilisme cynique), et que ça a été largement repris ensuite.
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