- A TuinVénérable
Merci pour ton retour ! Cela donne des idées en effet,.pour introduire un thème ou même pour faire le point à la fin d'une séquence, en donnant des questions plus précises sur le registre ou les procédés d'écriture.
Utilisé de temps en temps, dans le cadre que tu évoques, c'est pertinent car cela crée un changement de rythme, et ceci permet aussi de prendre du temps individuel autrement, auprès des élèves,.d'où l'idée du lien à créer. Ce n'est pas discordant, mais plutôt complémentaire, mais comme tu le dis il faut avoir du temps et prévoir du temps, car souvent c'est assez chronophage.
Bonne soirée !
Utilisé de temps en temps, dans le cadre que tu évoques, c'est pertinent car cela crée un changement de rythme, et ceci permet aussi de prendre du temps individuel autrement, auprès des élèves,.d'où l'idée du lien à créer. Ce n'est pas discordant, mais plutôt complémentaire, mais comme tu le dis il faut avoir du temps et prévoir du temps, car souvent c'est assez chronophage.
Bonne soirée !
- MaupassantNiveau 2
Bonjour,
Je n'ai pas suivi le fil mais j'ai décidé de refuser mon RDV de carrière pour les mêmes raisons que toi. Qu'est ce que tu risques ? Rien si tu te fiches de ta carrière (hors classe etc.).
Je n'ai pas suivi le fil mais j'ai décidé de refuser mon RDV de carrière pour les mêmes raisons que toi. Qu'est ce que tu risques ? Rien si tu te fiches de ta carrière (hors classe etc.).
- cldxNiveau 3
Maupassant a écrit:Bonjour,
Je n'ai pas suivi le fil mais j'ai décidé de refuser mon RDV de carrière pour les mêmes raisons que toi. Qu'est ce que tu risques ? Rien si tu te fiches de ta carrière (hors classe etc.).
J'ai trouvé mon maître ! Tu ne crains pas les mêmes conséquences que certains, à savoir une mise sous tutorat ?
- PrCosinusNiveau 7
Avez-vous calculé le manque à gagner en fin de carrière et à la retraite de cette décision ? Etes vous détachée complètement des contingences matérielles ?Maupassant a écrit:Bonjour, Je n'ai pas suivi le fil mais j'ai décidé de refuser mon RDV de carrière pour les mêmes raisons que toi. Qu'est ce que tu risques ? Rien si tu te fiches de ta carrière (hors classe etc.).
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"Quand les gens sont d'accord avec moi, j'ai toujours le sentiment que je dois me tromper." O.Wilde
- valleExpert spécialisé
Il faut aussi dans ce cas-là, la probabilité d'être effectivement accéléré... Si quelqu'un est presque sûr de ne pas l'être, il n'a pas de manque à gagner.
Edit : Mais je suis d'accord avec @Clecle78
Edit : Mais je suis d'accord avec @Clecle78
- Clecle78Bon génie
Oui, bien réfléchir quand même. Je me fichais du passage à la hors classe mais c'est tout de même ce qui me permet aujourd'hui d'avoir une bonne retraite même si je n'ai pas toutes mes annuités. Et ne pas sous estimer le poids de l'inimitié sur des années quand on est systématiquement blacklisté. Entre faire ce qu'on veut discrètement entre deux inspections et s'affronter directement à l'autorité il vaut mieux peut-être la première solution. Après, certaines personnes vivent très bien le conflit, j'en ai connu qui s'en sortaient parfaitement.
- nicole 86Expert spécialisé
Je n'ai pas le tempérament contestataire et je trouve fort juste ce que dit Clecle 78. J'aurais envie de changer le titre du post en : "Tenir tête à l'IPR : quels bienfaits ? " . A part "pouvoir me regarder dans la glace", ce qui n'est pas négligeable, ce qui est même essentiel, je ne vois rien d'autre dès lors que lorsque tu es seule dans ta classe tu essaies de faire au mieux, comme la plupart d'entre nous.
- cldxNiveau 3
nicole 86 a écrit:Je n'ai pas le tempérament contestataire et je trouve fort juste ce que dit Clecle 78. J'aurais envie de changer le titre du post en : "Tenir tête à l'IPR : quels bienfaits ? " . A part "pouvoir me regarder dans la glace", ce qui n'est pas négligeable, ce qui est même essentiel, je ne vois rien d'autre dès lors que lorsque tu es seule dans ta classe tu essaies de faire au mieux, comme la plupart d'entre nous.
Ne me tente pas ! Et c'est bien pour cette seule et unique raison que je m'expose pour l'instant car j'entretiens l'espoir, l'illusion peut-être, d'aller au bout de mes convictions.
- nicole 86Expert spécialisé
cldx a écrit:nicole 86 a écrit:Je n'ai pas le tempérament contestataire et je trouve fort juste ce que dit Clecle 78. J'aurais envie de changer le titre du post en : "Tenir tête à l'IPR : quels bienfaits ? " . A part "pouvoir me regarder dans la glace", ce qui n'est pas négligeable, ce qui est même essentiel, je ne vois rien d'autre dès lors que lorsque tu es seule dans ta classe tu essaies de faire au mieux, comme la plupart d'entre nous.
Ne me tente pas ! Et c'est bien pour cette seule et unique raison que je m'expose pour l'instant car j'entretiens l'espoir, l'illusion peut-être, d'aller au bout de mes convictions.
Comme je suis pessimiste par nature, je dirais qu'il existe d'autres combats où la victoire voire seulement les avancées sont possibles, celui-là je n'y crois pas. Donc je choisirais d'autres luttes
- Lili22Niveau 4
Bonjour ,
Je pense effectivement qu il faut bien réfléchir .Tout dépend aussi où vous en etes dans votre carrière. Notre nouvelle inspectrice fait apparemment une tournée en ce moment .Quelques collègues hors classe 4 ou 5 ème echelon se sont faites inspectées mais franchement quel intérêt ?Je n ai vu personne depuis 12 ans , n ai eu aucune réponse à mes questions concernant les cap avec migrants qui savent à peine lire alors si jamais elle ose venir ,ce sera un bon gros refus .Je suis hors classe échelon 6 et ai encore 10 ans à faire !!!!Qu est ce que je risque ? Pas grand chose franchement mais vous , qui êtes plus jeunes
, prenez le temps de réfléchir, votre carrière est déjà ralentie par rapport à la mienne.(le passage d échelon était plus rapide ).
Je pense effectivement qu il faut bien réfléchir .Tout dépend aussi où vous en etes dans votre carrière. Notre nouvelle inspectrice fait apparemment une tournée en ce moment .Quelques collègues hors classe 4 ou 5 ème echelon se sont faites inspectées mais franchement quel intérêt ?Je n ai vu personne depuis 12 ans , n ai eu aucune réponse à mes questions concernant les cap avec migrants qui savent à peine lire alors si jamais elle ose venir ,ce sera un bon gros refus .Je suis hors classe échelon 6 et ai encore 10 ans à faire !!!!Qu est ce que je risque ? Pas grand chose franchement mais vous , qui êtes plus jeunes
, prenez le temps de réfléchir, votre carrière est déjà ralentie par rapport à la mienne.(le passage d échelon était plus rapide ).
- Ajonc35Sage
D'accord avec toi tout comme avec Clecle78. Il y a bien d'autres combats qui peuvent se concrétiser en victoires, en réussites. Contre un IPR, tu n'as aucune arme.nicole 86 a écrit:cldx a écrit:nicole 86 a écrit:Je n'ai pas le tempérament contestataire et je trouve fort juste ce que dit Clecle 78. J'aurais envie de changer le titre du post en : "Tenir tête à l'IPR : quels bienfaits ? " . A part "pouvoir me regarder dans la glace", ce qui n'est pas négligeable, ce qui est même essentiel, je ne vois rien d'autre dès lors que lorsque tu es seule dans ta classe tu essaies de faire au mieux, comme la plupart d'entre nous.
Ne me tente pas ! Et c'est bien pour cette seule et unique raison que je m'expose pour l'instant car j'entretiens l'espoir, l'illusion peut-être, d'aller au bout de mes convictions.
Comme je suis pessimiste par nature, je dirais qu'il existe d'autres combats où la victoire voire seulement les avancées sont possibles, celui-là je n'y crois pas. Donc je choisirais d'autres luttes
- cldxNiveau 3
@nicole 86 Entièrement d'accord avec toi. Je réagis de manière vive car la situation est inédite. Mon combat est exclusivement tourné vers les élèves, ma réelle priorité.
- Clecle78Bon génie
On risque de se voir barrer la classe exceptionnelle, et ce n'est pas rien ...Lili22 a écrit:Bonjour ,
Je pense effectivement qu il faut bien réfléchir .Tout dépend aussi où vous en etes dans votre carrière. Notre nouvelle inspectrice fait apparemment une tournée en ce moment .Quelques collègues hors classe 4 ou 5 ème echelon se sont faites inspectées mais franchement quel intérêt ?Je n ai vu personne depuis 12 ans , n ai eu aucune réponse à mes questions concernant les cap avec migrants qui savent à peine lire alors si jamais elle ose venir ,ce sera un bon gros refus .Je suis hors classe échelon 6 et ai encore 10 ans à faire !!!!Qu est ce que je risque ? Pas grand chose franchement mais vous , qui êtes plus jeunes
, prenez le temps de réfléchir, votre carrière est déjà ralentie par rapport à la mienne.(le passage d échelon était plus rapide ).
- Lili22Niveau 4
Alors ça, je m en contrefiche !!Je compte en plus me mettre à temps partiel d ici 3 ou 4 ans lorsque mon fils aura fini ces études. Je prépare déjà psychologiquement mon mari à cette éventualité.Clecle78 a écrit:On risque de se voir barrer la classe exceptionnelle, et ce n'est pas rien ...Lili22 a écrit:Bonjour ,
Je pense effectivement qu il faut bien réfléchir .Tout dépend aussi où vous en etes dans votre carrière. Notre nouvelle inspectrice fait apparemment une tournée en ce moment .Quelques collègues hors classe 4 ou 5 ème echelon se sont faites inspectées mais franchement quel intérêt ?Je n ai vu personne depuis 12 ans , n ai eu aucune réponse à mes questions concernant les cap avec migrants qui savent à peine lire alors si jamais elle ose venir ,ce sera un bon gros refus .Je suis hors classe échelon 6 et ai encore 10 ans à faire !!!!Qu est ce que je risque ? Pas grand chose franchement mais vous , qui êtes plus jeunes
, prenez le temps de réfléchir, votre carrière est déjà ralentie par rapport à la mienne.(le passage d échelon était plus rapide ).
- Clecle78Bon génie
Justement la classe exceptionnelle permet de contrebalancer en partie les effets du temps partiel. Ma chef m'en a barré l'accès et on a beau dire qu'on s'en fiche, ça fait mal quand même. Je ne vois pas l'intérêt de s'opposer directement si on peut le faire discrètement et en toute impunité, mais ce n'est que mon avis. Personnellement j'ai toujours pu faire bien comme je voulais, vu que je n'ai quasiment jamais vu d'inspecteur.
- Lili22Niveau 4
Je comprend ce que tu veux dire mais honnêtement, je pense que je ne l aurai pas car je ne fais pas d heures sups ,ai toujours refusé d être tutrice , ne suis plus au
CA .J ai plutôt une bonne appréciation de mon cde mais cela ne suffira pas .
CA .J ai plutôt une bonne appréciation de mon cde mais cela ne suffira pas .
- joebar69Fidèle du forum
Clecle78 a écrit:On risque de se voir barrer la classe exceptionnelle, et ce n'est pas rien ...
Rien de moins sûr, sur ce point.
Je n'ai passé qu'une quinzaine d'années dans le secondaire en tant que fonctionnaire, en plus des quatres en tant que M.A. au début de ma carrière d'enseignant. Je suis, désormais, depuis une quinzaine d'années dans l'ens. sup.
Des inspect.eur.rice.s, j'en ai connu de tout type, du-de la plus infecte au-à la plus compréhens.if.ve, et dans deux disciplines différentes, essentiellement lors des visites d'inspection (de l'époque), lors des corrections/jurys d'examens, lors des réunions plénières de formation, d'élaboration de sujets d'examens, etc ...
Des chargé.e.s de mission auprès de l'Inspection, j'en ai connu aussi, et je pense bien que ce sont ceux-celles là, les pires de tou.te.s, certain.e.s IG du primaire, tenant le pompon également !
Ce que j'ai appris à leur contact, c'est qu'on a le droit d'être en désaccord avec eux-elles (et je pense l'avoir été plus qu'à mon tour), de l'exprimer avec calme mais toujours en argumentant, même en étant aussi acerbe qu'eux-elles dans les propos.
J'ai déjà ouvertement refusé, parfois, des missions que l'on m'imposait, en m'aidant de collègues syndiqué.e.s, mais je n'ai jamais (du moins je le pense, même si je suis parfois caustique) dépassé les limites de mon "pré carré".
Ensuite, les lubies du moment de certain.e.s de ces inspect.eur.rice.s. qu'il fallait à tout prix appliquer, comme disait l'autre, ça m'en touchait une sans faire bouger l'autre.
Je n'ai jamais été "obligé" de suivre un stage ou une formation et même si cela avait été le cas, j'aurais joué au "gentil petit fonctionnaire" qui y assiste (bon sans doute en y faisant autre chose, si le thème m'avait gonflé). De là à y participer, la nuance est subtile.
Cela ne m'a jamais empêché de faire toute ma carrière au "Grand choix" (ça parlera aux plus ancien.ne.s), ni même de passer à la HC et à la CE (bon, c'était avant le PPCR), ni même de me trouver "barré" pour accéder à un poste de PRAG, lors de ma 1ère affectation dans le Sup (c'était sur une 2nde campagne de recrutement).
Depuis, je n'en vois plus. Cela ne me manque pas.
- glucheNiveau 10
nicole 86 a écrit:Je n'ai pas le tempérament contestataire et je trouve fort juste ce que dit Clecle 78. J'aurais envie de changer le titre du post en : "Tenir tête à l'IPR : quels bienfaits ? " . A part "pouvoir me regarder dans la glace", ce qui n'est pas négligeable, ce qui est même essentiel, je ne vois rien d'autre dès lors que lorsque tu es seule dans ta classe tu essaies de faire au mieux, comme la plupart d'entre nous.
En réunion avec les IPR ou simplement en réunion d'harmonisation d'examen, j'interviens quand même régulièrement quand un point me semble discutable, voire contestable, même dans une assemblée qui apparaît un peu amorphe (ce qui est de plus en plus le cas). Cela a l'intérêt d'ouvrir le débat et, surtout, de se rendre compte qu'on n'est pas seul (le plus souvent). Je le fais pour que d'autres sachent qu'il est possible de le faire, pour que d'autres le fassent à leur tour et que tous sachent: nous ne sommes pas voués à l'inaction. Mais en vérité, il ne s'agit pas exactement de "tenir tête à un IPR", plutôt d'argumenter, de défendre une autre position. J'aurais beaucoup de mal à faire autrement, si je ne dis rien, je fulmine, je suis comme une cocotte-minute.
Je comprends bien la stratégie du "gros dos" et je conseillerais à personne de s'exposer personnellement. Mais c'est aussi notre silence collectif qui permet certaines régressions, certaines aberrations.
Je n'avais pas non plus un tempérament contestataire. Mais parfois, quand on s'en prend à tes valeurs, la question ne se pose pas. Comme dirait Camus: "Jusque là, oui, au-delà, non."
- PrezboGrand Maître
gluche a écrit:nicole 86 a écrit:Je n'ai pas le tempérament contestataire et je trouve fort juste ce que dit Clecle 78. J'aurais envie de changer le titre du post en : "Tenir tête à l'IPR : quels bienfaits ? " . A part "pouvoir me regarder dans la glace", ce qui n'est pas négligeable, ce qui est même essentiel, je ne vois rien d'autre dès lors que lorsque tu es seule dans ta classe tu essaies de faire au mieux, comme la plupart d'entre nous.
En réunion avec les IPR ou simplement en réunion d'harmonisation d'examen, j'interviens quand même régulièrement quand un point me semble discutable, voire contestable, même dans une assemblée qui apparaît un peu amorphe (ce qui est de plus en plus le cas). Cela a l'intérêt d'ouvrir le débat et, surtout, de se rendre compte qu'on n'est pas seul (le plus souvent). Je le fais pour que d'autres sachent qu'il est possible de le faire, pour que d'autres le fassent à leur tour et que tous sachent: nous ne sommes pas voués à l'inaction. Mais en vérité, il ne s'agit pas exactement de "tenir tête à un IPR", plutôt d'argumenter, de défendre une autre position. J'aurais beaucoup de mal à faire autrement, si je ne dis rien, je fulmine, je suis comme une cocotte-minute.
Je comprends bien la stratégie du "gros dos" et je conseillerais à personne de s'exposer personnellement. Mais c'est aussi notre silence collectif qui permet certaines régressions, certaines aberrations.
Je n'avais pas non plus un tempérament contestataire. Mais parfois, quand on s'en prend à tes valeurs, la question ne se pose pas. Comme dirait Camus: "Jusque là, oui, au-delà, non."
J'ai fait souvent de même, quitte à stupéfier des collègues plus âgés, et sans conséquence, mais là il s'agit de tenir en tête à tête avec l'IPR, ce qui n'est pas du tout la même situation. Je rejoins les avis précédents : même si l'IPR à surtout un pouvoir de nuisance à la marge, c'est un conflit où il y a de l'énergie à perdre, et pas grand chose à gagner. Bref chacun fait ce qu'il veut mais écouter courtoisement, promettre qu'on prend bonne note, et laisser filer n'est pas forcément une mauvaise stratégie.
- PrezboGrand Maître
LemmyK a écrit:Excuse-moi, mais ceci est faux en ce qui concerne les inspecteurs.PrCosinus a écrit:C'est quand même très dommage d'arriver à de telles divergences de fond avec un inspecteur.
Lui et le prof ont dans le fond un objectif commun, l'amélioration de la qualité des cours.
J'ai eu la chance d'avoir une demi douzaine d'inspections dans ma carrière (maths et info) et ça s'est toujours assez bien passé.
J'ai parfois suivi les conseils à la lettre, pour d'autres je reste plus dubitatif.
L'inspecteur est le seul "pair" (dans le sens connaisseur de la discipline) qui vient dans votre cours et peut vous donner des conseils de façon objective . Alors autant les écouter.
Et si on n'est pas d'accord avec son inspecteur, il y a encore la posssibilité que ce soit nous qui sommes dans l'erreur.
Il y d'autre façons de se remettre en cause, mais celle-ci en est une valable.
J'ai l'impression que je vais encore passer pour un Troll en disant ces vérités élémentaires , mais je crains qu'on finisse dans ce forum par ne cesser de casser du sucre sur le dos des inspecteurs ...
Sinon en cas de désaccord de fond, les formations ça peut être un bon moyen, exemple concrêt à l'appui, de défendre son point de vue dans un contexte moins tendu.
Sur ce point, je suis d'accord. En maths, indépendamment de leurs qualités humaines qui peuvent être très variables selon les individus, les IPR relaient une politique dont l'objectif n'est plus l'amélioration des cours, ou ne l'a pas toujours été au grès de décisions erratiques, d'où une véritable divergence culturelle parfois avec les collègues de culture mathématique plus classique.
EN gros, les IPR n'aiment pas toujours les profs trop forts en maths.
Clecle78 a écrit:On risque de se voir barrer la classe exceptionnelle, et ce n'est pas rien ...Lili22 a écrit:Bonjour ,
Je pense effectivement qu il faut bien réfléchir .Tout dépend aussi où vous en etes dans votre carrière. Notre nouvelle inspectrice fait apparemment une tournée en ce moment .Quelques collègues hors classe 4 ou 5 ème echelon se sont faites inspectées mais franchement quel intérêt ?Je n ai vu personne depuis 12 ans , n ai eu aucune réponse à mes questions concernant les cap avec migrants qui savent à peine lire alors si jamais elle ose venir ,ce sera un bon gros refus .Je suis hors classe échelon 6 et ai encore 10 ans à faire !!!!Qu est ce que je risque ? Pas grand chose franchement mais vous , qui êtes plus jeunes
, prenez le temps de réfléchir, votre carrière est déjà ralentie par rapport à la mienne.(le passage d échelon était plus rapide ).
La classe exceptionnelle est de toute façon fortement contingentée, non ? Si on n'a pas été précocement dans les petits papiers, est-il réaliste de l'espérer ?
- Clecle78Bon génie
Ben oui, j'étais même sur la liste finale du vivier 1, si je n'avais pas muté 5 ans avant avant la retraite je l'aurais sûrement eue. Et les contingents vont être augmentés.Prezbo a écrit:LemmyK a écrit:Excuse-moi, mais ceci est faux en ce qui concerne les inspecteurs.PrCosinus a écrit:C'est quand même très dommage d'arriver à de telles divergences de fond avec un inspecteur.
Lui et le prof ont dans le fond un objectif commun, l'amélioration de la qualité des cours.
J'ai eu la chance d'avoir une demi douzaine d'inspections dans ma carrière (maths et info) et ça s'est toujours assez bien passé.
J'ai parfois suivi les conseils à la lettre, pour d'autres je reste plus dubitatif.
L'inspecteur est le seul "pair" (dans le sens connaisseur de la discipline) qui vient dans votre cours et peut vous donner des conseils de façon objective . Alors autant les écouter.
Et si on n'est pas d'accord avec son inspecteur, il y a encore la posssibilité que ce soit nous qui sommes dans l'erreur.
Il y d'autre façons de se remettre en cause, mais celle-ci en est une valable.
J'ai l'impression que je vais encore passer pour un Troll en disant ces vérités élémentaires , mais je crains qu'on finisse dans ce forum par ne cesser de casser du sucre sur le dos des inspecteurs ...
Sinon en cas de désaccord de fond, les formations ça peut être un bon moyen, exemple concrêt à l'appui, de défendre son point de vue dans un contexte moins tendu.
Sur ce point, je suis d'accord. En maths, indépendamment de leurs qualités humaines qui peuvent être très variables selon les individus, les IPR relaient une politique dont l'objectif n'est plus l'amélioration des cours, ou ne l'a pas toujours été au grès de décisions erratiques, d'où une véritable divergence culturelle parfois avec les collègues de culture mathématique plus classique.
EN gros, les IPR n'aiment pas toujours les profs trop forts en maths.Clecle78 a écrit:On risque de se voir barrer la classe exceptionnelle, et ce n'est pas rien ...Lili22 a écrit:Bonjour ,
Je pense effectivement qu il faut bien réfléchir .Tout dépend aussi où vous en etes dans votre carrière. Notre nouvelle inspectrice fait apparemment une tournée en ce moment .Quelques collègues hors classe 4 ou 5 ème echelon se sont faites inspectées mais franchement quel intérêt ?Je n ai vu personne depuis 12 ans , n ai eu aucune réponse à mes questions concernant les cap avec migrants qui savent à peine lire alors si jamais elle ose venir ,ce sera un bon gros refus .Je suis hors classe échelon 6 et ai encore 10 ans à faire !!!!Qu est ce que je risque ? Pas grand chose franchement mais vous , qui êtes plus jeunes
, prenez le temps de réfléchir, votre carrière est déjà ralentie par rapport à la mienne.(le passage d échelon était plus rapide ).
La classe exceptionnelle est de toute façon fortement contingentée, non ? Si on n'a pas été précocement dans les petits papiers, est-il réaliste de l'espérer ?
- MathadorEmpereur
Si je me souviens bien, il n'est pas seulement question d'augmenter le contingent mais aussi, ensuite, de passer à un taux de promotion plutôt qu'un contingent fixe, comme c'est déjà le cas pour les HC.
_________________
"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- scot69Modérateur
Sans réellement tenir tête, j'avais essayé d'expliquer à une IPR que je n'étais pas convaincu de l'intérêt des tâches finales, on aurait dit que je venais de lui annoncer la fin du monde. Elle m'avait répondu avec énormément d'agressivité, mais elle n'avait pas de réel argument. En gros "faut les faire sinon bah c'est pas bien". J'ai tout de suite compris qu'il était totalement inutile de discuter avec elle. Donc j'ai retenu la leçon: j'écoute ce que me dit l'IPR, je fais semblant d'être d'accord, je signe et sitôt qu'il/elle a le dos tourné, je recommence à faire comme bon me semble.
- AlcyoneFidèle du forum
scot69 a écrit:Sans réellement tenir tête, j'avais essayé d'expliquer à une IPR que je n'étais pas convaincu de l'intérêt des tâches finales, on aurait dit que je venais de lui annoncer la fin du monde. Elle m'avait répondu avec énormément d'agressivité, mais elle n'avait pas de réel argument. En gros "faut les faire sinon bah c'est pas bien". J'ai tout de suite compris qu'il était totalement inutile de discuter avec elle. Donc j'ai retenu la leçon: j'écoute ce que me dit l'IPR, je fais semblant d'être d'accord, je signe et sitôt qu'il/elle a le dos tourné, je recommence à faire comme bon me semble.
+1
Comme il n'y a souvent aucune discussion possible, mieux vaut laisser couler...
Pour moi, à chaque fois que l'IPR est venu observer mon cours, il n'a jamais entamé une discussion pédagogique ou didactique à partir de mes pratiques, il a toujours asséné ses propres vérités en la matière. Je pense que notre avis ou nos explications/justifications ne les intéressent pas. Pour moi, les IPR sont représentants d'une certaine forme d'autorité, ils ne sont pas là pour discuter. Ils parlent, on écoute.
- *Ombre*Grand sage
Le problème est que, pour que cette autorité soit légitime, il faudrait qu'elle s'appuie sur quelque chose de plus solide que "C'est moi le chef".
Quand on a des IPR qui nous expliquent en 2000 que seul le travail en séquences est acceptable en français, que faire une leçon de langue claire et nette avec des exercices d'application, c'est une hérésie, que les mêmes IPR vous expliquent en 2009 que la leçon de grammaire est obligatoire, qu'on a assisté, ces dernières années, à des "dérives" (tiens, c'est étonnant), puis en 2024, alors que la recherche a démontré l'importance de la pédagogie explicite, qu'il faut retourner aux "chantiers de grammaire" et à un empirisme erratique, tout ça pour faire rentrer aux forceps l'enseignement du français dans un cadre impossible qui le déstructure complètement, et que les groupes deniveau, besoin, bidule, finalement, contrairement à ce qu'on a dit depuis 30 ans, en fait c'est très bien, cette autorité n'a pour elle que la force de coercition qu'elle se donne.
Quand on a des IPR qui nous expliquent en 2000 que seul le travail en séquences est acceptable en français, que faire une leçon de langue claire et nette avec des exercices d'application, c'est une hérésie, que les mêmes IPR vous expliquent en 2009 que la leçon de grammaire est obligatoire, qu'on a assisté, ces dernières années, à des "dérives" (tiens, c'est étonnant), puis en 2024, alors que la recherche a démontré l'importance de la pédagogie explicite, qu'il faut retourner aux "chantiers de grammaire" et à un empirisme erratique, tout ça pour faire rentrer aux forceps l'enseignement du français dans un cadre impossible qui le déstructure complètement, et que les groupes de
- MaupassantNiveau 2
Il ne m'est rien arrivé pour l'instant et je l'ai fait il y a à peu près deux ans. J'ai la chance de ne pas avoir de soucis matériels mais à l'époque, je me suis dis que, de toute façon, étant donné les inspections qui se passaient mal, je ne pouvais rien espérer de plus niveau avancement. A voir selon les cas.
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