- Cléopatra2Guide spirituel
Aphrodissia ce n'est pas moi qui ai lu La double vie d'Anna Song!
- AphrodissiaMonarque
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- OudemiaBon génie
Caspar, je crois bien n'avoir rien lu de Barbara Pym, ou alors je n'en ai aucun souvenir, ce qui revient au même, ce n'est pourtant pas faute d'avoir souvent vu ses livres sur les présentoirs de la bibliothèque ou en librairie ! Je vais m'y mettre, et très bientôt.
J'avais commencé un roman japonais qui ressemble à La papeterie Tsubaki, et qui m'est tombé des mains, je l'ai rendu sans l'avoir terminé, ce qui est rarissime.
Il faudrait que je fasse le point sur mes dernières lectures, tout ne va pas pour le défi, je vais essayer de démêler tout ça.
J'avais commencé un roman japonais qui ressemble à La papeterie Tsubaki, et qui m'est tombé des mains, je l'ai rendu sans l'avoir terminé, ce qui est rarissime.
Il faudrait que je fasse le point sur mes dernières lectures, tout ne va pas pour le défi, je vais essayer de démêler tout ça.
- CasparProphète
Oudemia a écrit:Caspar, je crois bien n'avoir rien lu de Barbara Pym, ou alors je n'en ai aucun souvenir, ce qui revient au même, ce n'est pourtant pas faute d'avoir souvent vu ses livres sur les présentoirs de la bibliothèque ou en librairie ! Je vais m'y mettre, et très bientôt.
J'avais commencé un roman japonais qui ressemble à La papeterie Tsubaki, et qui m'est tombé des mains, je l'ai rendu sans l'avoir terminé, ce qui est rarissime.
Il faudrait que je fasse le point sur mes dernières lectures, tout ne va pas pour le défi, je vais essayer de démêler tout ça.
Si je peux recruter quelques membres supplémentaires pour le fan-club je suis comblé.
- lagoulueNiveau 8
Lecture 10 : item 36 : Pirates ou hors-la-loi : Les Aiguilles d’or, Mickael Mc Dowell
Eh oui, j’ai donc lu ce roman que vous m’aviez donné très envie de lire. Et j’ai bien aimé ma foi, c’était très bien comme livre de rentrée (pas compliqué, accrocheur, addictif même, et … horrifiant !).
C’est peut-être un peu (comme pour Blackwater) expéditif à certains moments. Mais bon, je ne vais pas bouder mon plaisir, ça m’a vraiment tenue en haleine (et peut-être que c’est pour cela que j’en aurais voulu plus !).
Je le mets moi aussi pour le moment dans l’item hors-la-loi (deux familles s’affrontent dans cette histoire, l’une « respectable » - entre guillemets car sous la respectabilité les attitudes ne sont bien sûr pas toujours belles -, et l’autre faisant partie des bas-fonds new-yorkais). Une petite possibilité de le mettre dans l’item 35 (livre avec une prostituée) si jamais je lis une aventure de pirates par la suite.
Eh oui, j’ai donc lu ce roman que vous m’aviez donné très envie de lire. Et j’ai bien aimé ma foi, c’était très bien comme livre de rentrée (pas compliqué, accrocheur, addictif même, et … horrifiant !).
C’est peut-être un peu (comme pour Blackwater) expéditif à certains moments. Mais bon, je ne vais pas bouder mon plaisir, ça m’a vraiment tenue en haleine (et peut-être que c’est pour cela que j’en aurais voulu plus !).
Je le mets moi aussi pour le moment dans l’item hors-la-loi (deux familles s’affrontent dans cette histoire, l’une « respectable » - entre guillemets car sous la respectabilité les attitudes ne sont bien sûr pas toujours belles -, et l’autre faisant partie des bas-fonds new-yorkais). Une petite possibilité de le mettre dans l’item 35 (livre avec une prostituée) si jamais je lis une aventure de pirates par la suite.
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
je viens de lire Et le désert disparaîtra de Marie Pavlenko, je ne sais pas si c'est ici que j'en avais en tendu parler. Je pense qu'il peut convenir pour le défi 38 "le personnage principal est un enfant mais le livre n'appartient pas à la littérature jeunesse". Sinon, il peut aussi aller pour le 39 "rêves d'enfant".
La jeune Samaa vit dans le désert avec sa tribu. Les hommes sont ou chasseurs ou négociants. Mais il ne chassent pas et ne négocient pas les animaux, il n'y en a plus dans le désert. Seule l'Ancienne en parle encore, mais il est évident qu'elle est complètement folle. Non, ce que les hommes chassent pendant des jours pour les négocier ensuite dans la ville immense, ce sont des arbres. Samaa voudrait bien les accompagner aussi, mais elle n'a pas le droit. Elle est trop jeune, et de toute façon, c'est une fille. Alors elle les suit en cachette et finit par se perdre dans le désert. J'ai bien aimé ce récit qui rappelle un peu les contes, ce qu'il nous dit de nous et de nos relations avec la nature. Rien d'exceptionnel, mais agréable à lire.
je viens de lire Et le désert disparaîtra de Marie Pavlenko, je ne sais pas si c'est ici que j'en avais en tendu parler. Je pense qu'il peut convenir pour le défi 38 "le personnage principal est un enfant mais le livre n'appartient pas à la littérature jeunesse". Sinon, il peut aussi aller pour le 39 "rêves d'enfant".
La jeune Samaa vit dans le désert avec sa tribu. Les hommes sont ou chasseurs ou négociants. Mais il ne chassent pas et ne négocient pas les animaux, il n'y en a plus dans le désert. Seule l'Ancienne en parle encore, mais il est évident qu'elle est complètement folle. Non, ce que les hommes chassent pendant des jours pour les négocier ensuite dans la ville immense, ce sont des arbres. Samaa voudrait bien les accompagner aussi, mais elle n'a pas le droit. Elle est trop jeune, et de toute façon, c'est une fille. Alors elle les suit en cachette et finit par se perdre dans le désert. J'ai bien aimé ce récit qui rappelle un peu les contes, ce qu'il nous dit de nous et de nos relations avec la nature. Rien d'exceptionnel, mais agréable à lire.
- edelweis62Niveau 5
Bonjour tout le monde!
Voici mes deux dernières lectures pour le défi :
Pour le défi 16 "Un livre publié chez Sabine Wespieser Éditeur", j'ai lu le roman Pour qu'ils soient face au soleil levant de l'écrivain irlandais John McGahern. Pour le coup, ce n'est pas un roman court et l'on suit pendant plus de 400 pages la vie quotidienne de personnages dans le voisinage d'un lac au cœur de la campagne irlandaise. Il ne se passe rien si ce n'est les événements de la vie, du monde rural, qui rythment l'année qui s'écoule. Sous le regard bienveillant d'un couple anglo-irlandais venu s'installer là après une vie londonienne agitée, se déroule toute une galerie de personnages, dans une succession de dialogues très travaillés. Mine de rien, le roman répercute par touches, tout en discrétion, certains aspects de la société irlandaise : le traitement des enfants dans certaines institutions religieuses, le déracinement et la désillusion de ceux qui ont fait le choix du départ pour l'Angleterre, leur impossible retour, les positionnements divers face au conflit armé, les écarts de génération, et le départ des jeunes pour Dublin... La 4e de couverture parle de l'auteur comme d'un "Giono irlandais", je ne sais pas, mais en tout cas, j'ai été assez séduite par la narration, subtile, et par l'atmosphère typique, paisible, mais non sans nuance et complexité, qui se dégage de ces pages pourtant sans prétention.
Ensuite un gros morceau avec, pour le défi 4 "Un livre dont le titre comporte un possessif", le roman Mon nom est Rouge de l'écrivain turc Orhan Pamuk que je n'avais encore jamais lu. Il s'agit d'un roman polyphonique (chaque chapitre fait entendre une voix différente - y compris celle de l'assassin -, et le récit progresse ainsi), très prenant, très érudit et passionné, qui nous plonge dans le milieu des peintres miniaturistes en plein Empire ottoman, à la fin du XVIe. A la suite de la découverte du cadavre d'un doreur appartenant au grand atelier du Sultan, le roman se construit comme une enquête policière à intrigue, sur fond de rivalité entre peintres, de conceptions religieuses et artistiques antagonistes, et de confrontation entre Orient et Occident. Une belle découverte, mais il faut s'accrocher, c'est parfois dense et déroutant (un vrai voyage dans le temps et l'espace!) et l'on regrette de ne pas avoir sous les yeux toutes ces miniatures décrites.
Voici mes deux dernières lectures pour le défi :
Pour le défi 16 "Un livre publié chez Sabine Wespieser Éditeur", j'ai lu le roman Pour qu'ils soient face au soleil levant de l'écrivain irlandais John McGahern. Pour le coup, ce n'est pas un roman court et l'on suit pendant plus de 400 pages la vie quotidienne de personnages dans le voisinage d'un lac au cœur de la campagne irlandaise. Il ne se passe rien si ce n'est les événements de la vie, du monde rural, qui rythment l'année qui s'écoule. Sous le regard bienveillant d'un couple anglo-irlandais venu s'installer là après une vie londonienne agitée, se déroule toute une galerie de personnages, dans une succession de dialogues très travaillés. Mine de rien, le roman répercute par touches, tout en discrétion, certains aspects de la société irlandaise : le traitement des enfants dans certaines institutions religieuses, le déracinement et la désillusion de ceux qui ont fait le choix du départ pour l'Angleterre, leur impossible retour, les positionnements divers face au conflit armé, les écarts de génération, et le départ des jeunes pour Dublin... La 4e de couverture parle de l'auteur comme d'un "Giono irlandais", je ne sais pas, mais en tout cas, j'ai été assez séduite par la narration, subtile, et par l'atmosphère typique, paisible, mais non sans nuance et complexité, qui se dégage de ces pages pourtant sans prétention.
Ensuite un gros morceau avec, pour le défi 4 "Un livre dont le titre comporte un possessif", le roman Mon nom est Rouge de l'écrivain turc Orhan Pamuk que je n'avais encore jamais lu. Il s'agit d'un roman polyphonique (chaque chapitre fait entendre une voix différente - y compris celle de l'assassin -, et le récit progresse ainsi), très prenant, très érudit et passionné, qui nous plonge dans le milieu des peintres miniaturistes en plein Empire ottoman, à la fin du XVIe. A la suite de la découverte du cadavre d'un doreur appartenant au grand atelier du Sultan, le roman se construit comme une enquête policière à intrigue, sur fond de rivalité entre peintres, de conceptions religieuses et artistiques antagonistes, et de confrontation entre Orient et Occident. Une belle découverte, mais il faut s'accrocher, c'est parfois dense et déroutant (un vrai voyage dans le temps et l'espace!) et l'on regrette de ne pas avoir sous les yeux toutes ces miniatures décrites.
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"Il y a un autre monde, mais il est dans celui-ci." Paul Eluard
- lulucastagnetteEmpereur
Ombre, figure-toi que je voulais justement préciser mon message de départ en disant qu'en revanche j'avais bien aimé cet auteur découvert grâce à Amaliah . J'ai lu 3/4 romans d'affilée l'an dernier.*Ombre* a écrit:lulucastagnette a écrit:Pour le défi 46 (Ecoute), j'ai lu La papeterie Tsubaki d'Ito Ogawa plébiscité par bon nombre d'entre vous.
L'histoire d'une jeune femme qui devient écrivain public et gérante d'une papeterie à la suite de la mort de sa grand-mère. Le récit est une suite de rencontres au gré des commandes de divers clients.
Je n'ai pas accroché à l'histoire qui m'a souvent ennuyée. J'ai trouvé pénible qu'une grande partie de l'histoire soit consacrée aux détails de ce qu'elle boit et mange et ce qui m'a également gênée c'est le style : une succession de phrases courtes.
J'ai bien aimé les passages où elle décrit son travail de calligraphie.
C'est une déception pour moi mais vu l'enthousiasme de bon nombre d'entre vous, j'en conclus que c'est moi qui suis hermétique à la littérature japonaise.
Lulu, une fois de plus, je me retrouve dans ce que tu dis. J'étais un peu étonnée par l'unanimité autour de ce petit roman qui m'a laissée plutôt indifférente. (D'ailleurs, je l'ai lu il y a un an ou deux et déjà parfaitement oublié.) Je commençais à me dire que j'étais passée à côté d'un petit bijou. Mais effectivement, moi qui suis passionnée par d'autres aspects de la civilisation japonaise, je ne suis généralement pas séduite par leur littérature, en dehors de la poésie.
édit : Pour découvrir un certain état d'esprit japonais, j'ai bien aimé les enquêtes de Kaga Kyoichiro, personnage créé par Keigo Hagashino. Chaque enquête est aussi une plongée dans certains détails de la vie japonaise, mais... il y a davantage d'intrigue puisque ce sont des romans policiers.
- Reine MargotDemi-dieu
Pour "le diable", j'ai pris ce roman japonais qui me fait de l'oeil depuis un moment: "la leçon du mal", de Yûsuke Kishi.
"De l’avis de tous, Seiji Hasumi est le professeur le plus charmant, le plus séduisant, le plus charismatique du lycée Shinkô Gakuin de Machida. Adulé de ses élèves, admiré de ses collègues, apprécié de sa direction, le jeune homme est fin, drôle, toujours prêt à voler au secours des uns, à aider les autres, à combattre les injustices et le harcèlement, à dénouer les conflits.
Hasumi est tout cela et pire encore. Hasumi est un psychopathe. Manipulateur, calculateur, pervers, prêt à tout pour prendre le contrôle et asseoir son pouvoir. Un être violent, qui n’hésite pas à éliminer quiconque se met en travers de sa route.
Trois élèves l’ont percé à jour. Commence alors une traque terrifiante, aux conséquences inimaginables… "
https://www.babelio.com/livres/Kishi-La-lecon-du-mal/1421131
"De l’avis de tous, Seiji Hasumi est le professeur le plus charmant, le plus séduisant, le plus charismatique du lycée Shinkô Gakuin de Machida. Adulé de ses élèves, admiré de ses collègues, apprécié de sa direction, le jeune homme est fin, drôle, toujours prêt à voler au secours des uns, à aider les autres, à combattre les injustices et le harcèlement, à dénouer les conflits.
Hasumi est tout cela et pire encore. Hasumi est un psychopathe. Manipulateur, calculateur, pervers, prêt à tout pour prendre le contrôle et asseoir son pouvoir. Un être violent, qui n’hésite pas à éliminer quiconque se met en travers de sa route.
Trois élèves l’ont percé à jour. Commence alors une traque terrifiante, aux conséquences inimaginables… "
https://www.babelio.com/livres/Kishi-La-lecon-du-mal/1421131
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Cléopatra2Guide spirituel
Pour le défi Livre qui parle d'un auteur existant, j'ai lu La petite dernière de Susie Morgenstern. C'est une autobiographie dans laquelle elle raconte l'année de ses 10 ans, la relation à ses soeurs, à sa famille, à la religion... La vie d'une jeune américaine de classe moyenne dans les années 50. C'est un livre très drôle et très tendre, que j'ai pris du plaisir à lire (après mon dernier flop de Susie Morgenstern je l'ai pris avec une certaine appréhension!!!!). C'est le seul livre qu'elle a écrit en anglais (mais je l'ai lu traduit malheureusement). Je l'ai passé à ma fille car il peut tout à fait plaire aux enfants .
- OudemiaBon génie
Les cordonniers, c’est bien connu, sont les plus mal chaussés : je m’aperçois que j’ai oublié dans la liste récapitulative mon CR du Chevalier d’Harmental, pourtant publié au bas de la page 33, qui va en 17. Un livre avec trois « a » dans le titre… Cavatine, pourras-tu le réintégrer ?
J’ajoute quelques lectures récentes :
Une bonne épouse indienne, d’Anne Cherian, repéré ici pour l’item Inde, item que depuis j’ai rempli avec un autre livre. Alors je le mets en 5. Séduction, parce que c’est ce qui arrive au héros (pas très sympathique, à mon avis) qui tombe peu à peu sous le charme de celle (très sympathique, elle) qu’il a épousée en mariage arrangé. Il y a un petit côté Vent d’est, vent d’ouest à ce roman facile, parfait pour un voyage en train.
8. Hors des sentiers battus : c’est bien le moyen utilisé par le héros de Carrefour des nostalgies, d’Antoine Laurain, pour retrouver d’anciens camarades de classes, car il demande à un pote des Services secrets de lui fournir des renseignements ! Il découvre alors que certains ont pris d’étranges chemins, et lui-même va se lancer sur des voies sortant de l’ordinaire.
C’est toujours l’écriture très agréable de cet auteur que je commence à bien connaître, dans un livre qui n’est pas capital mais qui offre un bon moment de lecture.
33. Le diable : j’y mets La carrière du mal, de Robert Galbraith. J’ai eu un peu de mal à me repérer dans les divers suspects, heureusement Cormoran y voit clair, lui !
41. Livre écrit par un historien : Seuls les enfants savent lire, de Michel Zink. Ce livre est parfait pour l’item 9, mais j’ai déjà un livre qui y convient très bien. Zink est un médiéviste, professeur de littérature et non d’histoire, mais j’espère que vous m’accorderez que c’est quand même un spécialiste de la période.
Je n’ai pas beaucoup d’années que moins que lui, je retrouve donc beaucoup de mes premières lectures dans les siennes, Ernest Perochon par ex., et nous avons des passions communes, comme celle de Gaspard des montagnes, et du Trésor des contes d’Henri Pourrat, que j’ai lu dans la même édition que lui (infiniment plus attrayante que celle réalisée depuis, thématique, et donc rébarbative).
C’est un livre mince, qui ne m’a pas demandé beaucoup de temps, et je l’échangerai contre un autre si nécessaire.
J'ai fait un copié-collé en Word, je ne comprends pas à quoi est due la variété de la typographie...
J’ajoute quelques lectures récentes :
Une bonne épouse indienne, d’Anne Cherian, repéré ici pour l’item Inde, item que depuis j’ai rempli avec un autre livre. Alors je le mets en 5. Séduction, parce que c’est ce qui arrive au héros (pas très sympathique, à mon avis) qui tombe peu à peu sous le charme de celle (très sympathique, elle) qu’il a épousée en mariage arrangé. Il y a un petit côté Vent d’est, vent d’ouest à ce roman facile, parfait pour un voyage en train.
8. Hors des sentiers battus : c’est bien le moyen utilisé par le héros de Carrefour des nostalgies, d’Antoine Laurain, pour retrouver d’anciens camarades de classes, car il demande à un pote des Services secrets de lui fournir des renseignements ! Il découvre alors que certains ont pris d’étranges chemins, et lui-même va se lancer sur des voies sortant de l’ordinaire.
C’est toujours l’écriture très agréable de cet auteur que je commence à bien connaître, dans un livre qui n’est pas capital mais qui offre un bon moment de lecture.
33. Le diable : j’y mets La carrière du mal, de Robert Galbraith. J’ai eu un peu de mal à me repérer dans les divers suspects, heureusement Cormoran y voit clair, lui !
41. Livre écrit par un historien : Seuls les enfants savent lire, de Michel Zink. Ce livre est parfait pour l’item 9, mais j’ai déjà un livre qui y convient très bien. Zink est un médiéviste, professeur de littérature et non d’histoire, mais j’espère que vous m’accorderez que c’est quand même un spécialiste de la période.
Je n’ai pas beaucoup d’années que moins que lui, je retrouve donc beaucoup de mes premières lectures dans les siennes, Ernest Perochon par ex., et nous avons des passions communes, comme celle de Gaspard des montagnes, et du Trésor des contes d’Henri Pourrat, que j’ai lu dans la même édition que lui (infiniment plus attrayante que celle réalisée depuis, thématique, et donc rébarbative).
C’est un livre mince, qui ne m’a pas demandé beaucoup de temps, et je l’échangerai contre un autre si nécessaire.
J'ai fait un copié-collé en Word, je ne comprends pas à quoi est due la variété de la typographie...
- floisaNiveau 9
13. A la recherche de... Pékin de neige et de sang, de Mi Jianxiu (pseudonyme de Michel Imbert)
Un bon polar bien enlevé et très ancré dans le Pékin des années 2010, avec sa spéculation immobilière, destructions, pots de vins, travailleurs migrants du bâtiment. Le policier enquêteur ne cesse de sillonner la ville plongée dans un froid glacial de fin décembre et les embouteillages, à la recherche de...
Un "à la manière de" réussi.
Un bon polar bien enlevé et très ancré dans le Pékin des années 2010, avec sa spéculation immobilière, destructions, pots de vins, travailleurs migrants du bâtiment. Le policier enquêteur ne cesse de sillonner la ville plongée dans un froid glacial de fin décembre et les embouteillages, à la recherche de...
Un "à la manière de" réussi.
- CasparProphète
J'aime beaucoup Seuls les enfants savent lire de Michel Zink (ainsi que, rien à voir, John McGahern cité plus haut par edelweiss...)
- AmaliahEmpereur
lulucastagnette a écrit:Ombre, figure-toi que je voulais justement préciser mon message de départ en disant qu'en revanche j'avais bien aimé cet auteur découvert grâce à Amaliah . J'ai lu 3/4 romans d'affilée l'an dernier.*Ombre* a écrit:lulucastagnette a écrit:Pour le défi 46 (Ecoute), j'ai lu La papeterie Tsubaki d'Ito Ogawa plébiscité par bon nombre d'entre vous.
L'histoire d'une jeune femme qui devient écrivain public et gérante d'une papeterie à la suite de la mort de sa grand-mère. Le récit est une suite de rencontres au gré des commandes de divers clients.
Je n'ai pas accroché à l'histoire qui m'a souvent ennuyée. J'ai trouvé pénible qu'une grande partie de l'histoire soit consacrée aux détails de ce qu'elle boit et mange et ce qui m'a également gênée c'est le style : une succession de phrases courtes.
J'ai bien aimé les passages où elle décrit son travail de calligraphie.
C'est une déception pour moi mais vu l'enthousiasme de bon nombre d'entre vous, j'en conclus que c'est moi qui suis hermétique à la littérature japonaise.
Lulu, une fois de plus, je me retrouve dans ce que tu dis. J'étais un peu étonnée par l'unanimité autour de ce petit roman qui m'a laissée plutôt indifférente. (D'ailleurs, je l'ai lu il y a un an ou deux et déjà parfaitement oublié.) Je commençais à me dire que j'étais passée à côté d'un petit bijou. Mais effectivement, moi qui suis passionnée par d'autres aspects de la civilisation japonaise, je ne suis généralement pas séduite par leur littérature, en dehors de la poésie.
édit : Pour découvrir un certain état d'esprit japonais, j'ai bien aimé les enquêtes de Kaga Kyoichiro, personnage créé par Keigo Hagashino. Chaque enquête est aussi une plongée dans certains détails de la vie japonaise, mais... il y a davantage d'intrigue puisque ce sont des romans policiers.
Une fois de plus, je suis d'accord avec Lulu, j'ai dû lire La Papeterie Tsubaki pour le défi de l'an dernier ou le précédent et je ne me souviens que de ma déception. J'ai trouvé cette lecture insignifiante : je ne me souviens de rien. La littérature japonaise et moi, ça fait deux sauf Keigo Higashino et un petit roman japonais d'Aki Shimazaki qui me laisse un doux souvenir mais dont j'ai oublié le nom (je crois que ça parle d'Alzheimer ).
Je viens de finir Zakuro d'Aki Shimazaki, choisi parce que des Neos ont précisé que le titre signifiait "grenade" en japonais. Je le classerai dans "Automne" puisque dès la première page, le narrateur précise que c'est l'automne et qu'à la dernière page, il est dit que c'est la fin de l'automne. Je n'ai pas été sous le charme du récit, je crois que je peux résumer l'intrigue en quelques lignes et c'est tout ce qu'il m'en restera.
- henrietteMédiateur
Fil provisoirement fermé - merci pour vos alertes.
EDIT : Fil nettoyé et rouvert.
EDIT : Fil nettoyé et rouvert.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- *Ombre*Grand sage
Que s'est-il passé ? Quelqu'un a affirmé que Marguerite Duras, c'est épouvantable ? Ou que la notice du Thermomix méritait le prochain Goncourt ?
- CasparProphète
Amaliah a écrit:lulucastagnette a écrit:Ombre, figure-toi que je voulais justement préciser mon message de départ en disant qu'en revanche j'avais bien aimé cet auteur découvert grâce à Amaliah . J'ai lu 3/4 romans d'affilée l'an dernier.*Ombre* a écrit:lulucastagnette a écrit:Pour le défi 46 (Ecoute), j'ai lu La papeterie Tsubaki d'Ito Ogawa plébiscité par bon nombre d'entre vous.
L'histoire d'une jeune femme qui devient écrivain public et gérante d'une papeterie à la suite de la mort de sa grand-mère. Le récit est une suite de rencontres au gré des commandes de divers clients.
Je n'ai pas accroché à l'histoire qui m'a souvent ennuyée. J'ai trouvé pénible qu'une grande partie de l'histoire soit consacrée aux détails de ce qu'elle boit et mange et ce qui m'a également gênée c'est le style : une succession de phrases courtes.
J'ai bien aimé les passages où elle décrit son travail de calligraphie.
C'est une déception pour moi mais vu l'enthousiasme de bon nombre d'entre vous, j'en conclus que c'est moi qui suis hermétique à la littérature japonaise.
Lulu, une fois de plus, je me retrouve dans ce que tu dis. J'étais un peu étonnée par l'unanimité autour de ce petit roman qui m'a laissée plutôt indifférente. (D'ailleurs, je l'ai lu il y a un an ou deux et déjà parfaitement oublié.) Je commençais à me dire que j'étais passée à côté d'un petit bijou. Mais effectivement, moi qui suis passionnée par d'autres aspects de la civilisation japonaise, je ne suis généralement pas séduite par leur littérature, en dehors de la poésie.
édit : Pour découvrir un certain état d'esprit japonais, j'ai bien aimé les enquêtes de Kaga Kyoichiro, personnage créé par Keigo Hagashino. Chaque enquête est aussi une plongée dans certains détails de la vie japonaise, mais... il y a davantage d'intrigue puisque ce sont des romans policiers.
Une fois de plus, je suis d'accord avec Lulu, j'ai dû lire La Papeterie Tsubaki pour le défi de l'an dernier ou le précédent et je ne me souviens que de ma déception. J'ai trouvé cette lecture insignifiante : je ne me souviens de rien. La littérature japonaise et moi, ça fait deux sauf Keigo Higashino et un petit roman japonais d'Aki Shimazaki qui me laisse un doux souvenir mais dont j'ai oublié le nom (je crois que ça parle d'Alzheimer ).
Je viens de finir Zakuro d'Aki Shimazaki, choisi parce que des Neos ont précisé que le titre signifiait "grenade" en japonais. Je le classerai dans "Automne" puisque dès la première page, le narrateur précise que c'est l'automne et qu'à la dernière page, il est dit que c'est la fin de l'automne. Je n'ai pas été sous le charme du récit, je crois que je peux résumer l'intrigue en quelques lignes et c'est tout ce qu'il m'en restera.
Quant à moi je n'ai pas pu finir La librairie Morisaki de Satoshi Yagisawa tellement j'ai trouvé ça nul, alors que c'est censé être un best-seller international, donc mon amour de la littérature japonaise et des books about books a des limites quand même. C'est un auteur d'une quarantaine d'années qui a choisi une jeune femme comme narratrice, c'est peut être ce qui ne va pas...write what you know comme on dit aux États-Unis.
(Merci henriette pour ce petit ménage de printemps.)
- CasparProphète
*Ombre* a écrit:Que s'est-il passé ? Quelqu'un a affirmé que Marguerite Duras, c'est épouvantable ? Ou que la notice du Thermomix méritait le prochain Goncourt ?
Nous avons échappé à une révolution pédagogique....
J'ai prévu de lire Duras pour "trois a dans le titre": Un barrage contre le Pacifique
- *Ombre*Grand sage
Je me demandais comment il était possible que ce fil dégénère. Réponse : il suffit de l'instrumentaliser.
Ouf, ce n'est pas un débat pour ou contre la littérature japonaise !
Ouf, ce n'est pas un débat pour ou contre la littérature japonaise !
- AdrenFidèle du forum
Comme Ombre, je me suis demandé ce qui causait le verrouillage de ce fil et j'ai bien rigolé en lisant le message visé. J'ai même hésité à le copier tellement il sonnait juste et vrai et allait nous porter la bonne parole.
Bref...
Pour les besoins de la cause (le contrôle de lecture des 3e demain), je viens de (re)lire Sweet sixteen d'Annelise Heurtier. Je pense qu'il convient pour le défi 34 "Négritude".
Ce roman jeunesse, inspiré de faits réels, raconte l'année scolaire des premiers élèves noirs inscrits dans un lycée de Blancs en Arkansas en 1954. D'après les définitions glanées en ligne (merci wikipedia), le titre me semble convenir pour cet item.
Bonne soirée.
Bref...
Pour les besoins de la cause (le contrôle de lecture des 3e demain), je viens de (re)lire Sweet sixteen d'Annelise Heurtier. Je pense qu'il convient pour le défi 34 "Négritude".
Ce roman jeunesse, inspiré de faits réels, raconte l'année scolaire des premiers élèves noirs inscrits dans un lycée de Blancs en Arkansas en 1954. D'après les définitions glanées en ligne (merci wikipedia), le titre me semble convenir pour cet item.
Bonne soirée.
- OudemiaBon génie
Ah, voilà, c'est La librairie Morisaki dont parle Caspard qui m'est tombée des mains à moi aussi !
- nicole 86Expert spécialisé
Je pense qu'il s'agit de SemiAmaliah a écrit:lulucastagnette a écrit:Ombre, figure-toi que je voulais justement préciser mon message de départ en disant qu'en revanche j'avais bien aimé cet auteur découvert grâce à Amaliah . J'ai lu 3/4 romans d'affilée l'an dernier.*Ombre* a écrit:lulucastagnette a écrit:Pour le défi 46 (Ecoute), j'ai lu La papeterie Tsubaki d'Ito Ogawa plébiscité par bon nombre d'entre vous.
L'histoire d'une jeune femme qui devient écrivain public et gérante d'une papeterie à la suite de la mort de sa grand-mère. Le récit est une suite de rencontres au gré des commandes de divers clients.
Je n'ai pas accroché à l'histoire qui m'a souvent ennuyée. J'ai trouvé pénible qu'une grande partie de l'histoire soit consacrée aux détails de ce qu'elle boit et mange et ce qui m'a également gênée c'est le style : une succession de phrases courtes.
J'ai bien aimé les passages où elle décrit son travail de calligraphie.
C'est une déception pour moi mais vu l'enthousiasme de bon nombre d'entre vous, j'en conclus que c'est moi qui suis hermétique à la littérature japonaise.
Lulu, une fois de plus, je me retrouve dans ce que tu dis. J'étais un peu étonnée par l'unanimité autour de ce petit roman qui m'a laissée plutôt indifférente. (D'ailleurs, je l'ai lu il y a un an ou deux et déjà parfaitement oublié.) Je commençais à me dire que j'étais passée à côté d'un petit bijou. Mais effectivement, moi qui suis passionnée par d'autres aspects de la civilisation japonaise, je ne suis généralement pas séduite par leur littérature, en dehors de la poésie.
édit : Pour découvrir un certain état d'esprit japonais, j'ai bien aimé les enquêtes de Kaga Kyoichiro, personnage créé par Keigo Hagashino. Chaque enquête est aussi une plongée dans certains détails de la vie japonaise, mais... il y a davantage d'intrigue puisque ce sont des romans policiers.
Une fois de plus, je suis d'accord avec Lulu, j'ai dû lire La Papeterie Tsubaki pour le défi de l'an dernier ou le précédent et je ne me souviens que de ma déception. J'ai trouvé cette lecture insignifiante : je ne me souviens de rien. La littérature japonaise et moi, ça fait deux sauf Keigo Higashino et un petit roman japonais d'Aki Shimazaki qui me laisse un doux souvenir mais dont j'ai oublié le nom (je crois que ça parle d'Alzheimer ).
- Spoiler:
- Oserai-je dire que j'ai apprécié ce roman respectueux envers la personne atteinte de la maladie ?
- edelweis62Niveau 5
Caspar a écrit:J'aime beaucoup Seuls les enfants savent lire de Michel Zink (ainsi que, rien à voir, John McGahern cité plus haut par edelweiss...)
C'est grâce à toi que je suis allée vers cet auteur, car tu en as parlé l'année dernière Mais il me semble que tu avais évoqué un autre roman, pas celui que j'ai lu, je ne me souviens plus lequel...
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"Il y a un autre monde, mais il est dans celui-ci." Paul Eluard
- CasparProphète
edelweis62 a écrit:Caspar a écrit:J'aime beaucoup Seuls les enfants savent lire de Michel Zink (ainsi que, rien à voir, John McGahern cité plus haut par edelweiss...)
C'est grâce à toi que je suis allée vers cet auteur, car tu en as parlé l'année dernière Mais il me semble que tu avais évoqué un autre roman, pas celui que j'ai lu, je ne me souviens plus lequel...
The Leavetaking...Je ne me souviens plus du titre français et sinon j'avais adoré La Caserne (The Barracks) malgré son titre pas très accrocheur: un beau portrait de femme.
- edelweis62Niveau 5
C'est noté ! Merci
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