- cavatineNiveau 9
edelweis62 a écrit:
Et en ce moment je lis un double pavé, du très très classique, pour l'item "Accusé à tort", je vous laisse deviner lequel.
Sur ce, bonnes vacances à qui de droit !
Le Comte de Monte-Cristo peut-être ?
Bonnes vacances également !
- jeanneÉrudit
Adren a écrit:Bonsoir à tous,
pour le défi 25 "guerre civile", j'ai lu le premier tome de L'Odyssée d'Hakim de Fabien Toulmé. Je sais que d'autres ont déjà lu cette BD pour un défi précédent parce que j'avais noté le titre ici. Fabien Toulmé, l'auteur, rencontre Hakim et sa famille, réfugiés en France après un long périple. Ce premier tome commence en Syrie avant son départ. Il devient le patron d'une entreprise d'horticulture qu'il doit abandonner du jour au lendemain lorsqu'il est arrêté sans raison en rendant visite à ses parents. La guerre civile rend sa situation dangereuse après la disparition de son frère cadet lors d'une manifestation. Dans ce premier tome, il se rend d'abord à Beyrouth, puis à Amman, avant d'arriver en Turquie où il rencontre sa future femme et se marie. Je vais enchaîner sur les tomes suivants que j'ai aussi.
Belle lecture ! Il ne me restait que le tome 3 à lire, il est allé dans l'item 47, livre publié une année bissextile (2020). Cette trilogie me tient d'autant plus à cœur que j'ai rencontré par hasard "Hakim" (ce n'est pas son vrai prénom)... on habite dans la même ville.
- CasparProphète
Bravo Oudemia, et dans ton cas ce n'est pas un poisson d'avril.
- TrinacriaNiveau 4
Félicitations @Oudemia ! Je suis moi aussi admirative de ce rythme de lecture !
- edelweis62Niveau 5
cavatine a écrit:edelweis62 a écrit:
Et en ce moment je lis un double pavé, du très très classique, pour l'item "Accusé à tort", je vous laisse deviner lequel.
Sur ce, bonnes vacances à qui de droit !
Le Comte de Monte-Cristo peut-être ?
Bonnes vacances également !
Bingo !
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"Il y a un autre monde, mais il est dans celui-ci." Paul Eluard
- MalagaModérateur
Bravo Oudemia !!
_________________
J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- *Ombre*Grand sage
Pour l'item Faire la paix, je termine un classique de la littérature tchèque, un pamphlet anti-militariste assez drôle : Les aventures du brave soldat Chveïk, de Josef Hasek.
Chveïk est un lointain cousin de Candide jeté à grand renfort de coups de pied au cul non pas hors du château de Thunder-Ten-Thronk dans le vaste monde, mais à bas de son lit vers la guerre qui s'amorce en Europe. L'histoire commence le jour de l'assassinat de l'archiduc d'Autriche, et Chveïk, trafiquant de chiens réformé pour idiotie, est accusé (à tort évidemment, le livre peu donc aussi convenir pour cet item) d'y avoir contribué. Balloté de tribunal en prison, de prison en caserne, de caserne en presbytère (!) et du presbytère au front, ce Candide est mâtiné de Bardamu, buvant comme un trou, jurant comme un charretier, et philosophant à sa façon. L'armée, l'Église, l'administration, tout le monde en prend pour son grade au fil des péripéties désopilantes qui s'accumulent.
Je suis contente d'avoir découvert ce roman dont j'avais entendu parler. J'ai souvent souri à cette lecture, mais le roman est inachevé et, après quelque 300 pages, j'ai trouvé que c'était pas plus mal : la satire burlesque, c'est amusant, mais ça finit par tourner un peu en rond. C'était un bon moment, et c'était bien que ça s'arrête.
Chveïk est un lointain cousin de Candide jeté à grand renfort de coups de pied au cul non pas hors du château de Thunder-Ten-Thronk dans le vaste monde, mais à bas de son lit vers la guerre qui s'amorce en Europe. L'histoire commence le jour de l'assassinat de l'archiduc d'Autriche, et Chveïk, trafiquant de chiens réformé pour idiotie, est accusé (à tort évidemment, le livre peu donc aussi convenir pour cet item) d'y avoir contribué. Balloté de tribunal en prison, de prison en caserne, de caserne en presbytère (!) et du presbytère au front, ce Candide est mâtiné de Bardamu, buvant comme un trou, jurant comme un charretier, et philosophant à sa façon. L'armée, l'Église, l'administration, tout le monde en prend pour son grade au fil des péripéties désopilantes qui s'accumulent.
Je suis contente d'avoir découvert ce roman dont j'avais entendu parler. J'ai souvent souri à cette lecture, mais le roman est inachevé et, après quelque 300 pages, j'ai trouvé que c'était pas plus mal : la satire burlesque, c'est amusant, mais ça finit par tourner un peu en rond. C'était un bon moment, et c'était bien que ça s'arrête.
- Reine MargotDemi-dieu
30. Livre qui parle d'animaux: son odeur après la pluie, Cédric Sapin-Defour
J'avais entendu parler de ce gros succès de librairie, que j'ai offert à Noël puis emprunté.
Au début j'ai trouvé le style assez ampoulé et parfois le ton un peu pédant, mais on est vite emporté par cette histoire d'amour qui nous touche tous, dans une société où on n'est pas censé pleurer la mort d'un animal, car on est vite suspect de ne pas assez aimer les hommes. On pense forcément aux animaux qu'on a connus puis perdus en voyant l'adoption de ce bouvier bernois, petite boule de poils éveillée qui n'a d'abord pas de nom, mais que son ami plus que son maître va finir par appeler du nom du versant de la montagne qui reste à l'abri du soleil. Le chien, de chiot curieux devient un adulte puissant qui accompagne avec joie l'auteur dans les montagnes, lui apprenant à savourer l'instant présent et à découvrir les choses cachées dans la nature. La rencontre avec Mathilde, avec qui ils choisissent de ne pas avoir d'enfants, l'amène à former une famille autour de leur couple et de deux autres chiens, Cordée la labrador sable, et Frison la fille d'Ubac. Un bonheur simple autour de la nature. Enfin, Ubac vieillit et c'est en pleurant que j'ai fini le livre, ce qui m'arrive très rarement, lorsqu'il meurt et que la détresse du narrateur est poignante.
Sans doute un de me préférés cette année.
J'avais entendu parler de ce gros succès de librairie, que j'ai offert à Noël puis emprunté.
Au début j'ai trouvé le style assez ampoulé et parfois le ton un peu pédant, mais on est vite emporté par cette histoire d'amour qui nous touche tous, dans une société où on n'est pas censé pleurer la mort d'un animal, car on est vite suspect de ne pas assez aimer les hommes. On pense forcément aux animaux qu'on a connus puis perdus en voyant l'adoption de ce bouvier bernois, petite boule de poils éveillée qui n'a d'abord pas de nom, mais que son ami plus que son maître va finir par appeler du nom du versant de la montagne qui reste à l'abri du soleil. Le chien, de chiot curieux devient un adulte puissant qui accompagne avec joie l'auteur dans les montagnes, lui apprenant à savourer l'instant présent et à découvrir les choses cachées dans la nature. La rencontre avec Mathilde, avec qui ils choisissent de ne pas avoir d'enfants, l'amène à former une famille autour de leur couple et de deux autres chiens, Cordée la labrador sable, et Frison la fille d'Ubac. Un bonheur simple autour de la nature. Enfin, Ubac vieillit et c'est en pleurant que j'ai fini le livre, ce qui m'arrive très rarement, lorsqu'il meurt et que la détresse du narrateur est poignante.
Sans doute un de me préférés cette année.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- lulucastagnetteEmpereur
Lu aussi pour le défi 30 et j'ai pleuré comme une madeleine à la fin... En plus, son chien est né la même année que le mien et beaucoup de choses ont résonné... Même avis que toi au début pour le style un peu too much.Reine Margot a écrit:30. Livre qui parle d'animaux: son odeur après la pluie, Cédric Sapin-Defour
J'avais entendu parler de ce gros succès de librairie, que j'ai offert à Noël puis emprunté.
Au début j'ai trouvé le style assez ampoulé et parfois le ton un peu pédant, mais on est vite emporté par cette histoire d'amour qui nous touche tous, dans une société où on n'est pas censé pleurer la mort d'un animal, car on est vite suspect de ne pas assez aimer les hommes. On pense forcément aux animaux qu'on a connus puis perdus en voyant l'adoption de ce bouvier bernois, petite boule de poils éveillée qui n'a d'abord pas de nom, mais que son ami plus que son maître va finir par appeler du nom du versant de la montagne qui reste à l'abri du soleil. Le chien, de chiot curieux devient un adulte puissant qui accompagne avec joie l'auteur dans les montagnes, lui apprenant à savourer l'instant présent et à découvrir les choses cachées dans la nature. La rencontre avec Mathilde, avec qui ils choisissent de ne pas avoir d'enfants, l'amène à former une famille autour de leur couple et de deux autres chiens, Cordée la labrador sable, et Frison la fille d'Ubac. Un bonheur simple autour de la nature. Enfin, Ubac vieillit et c'est en pleurant que j'ai fini le livre, ce qui m'arrive très rarement, lorsqu'il meurt et que la détresse du narrateur est poignante.
Sans doute un de me préférés cette année.
De mon côté, les vacances me permettent de consacrer plus de temps à la lecture, j'ai donc lu hier soir pour le défi 32 (Automne) : Le Voyage d'Anna d'Henri Gougaud. Je suis tombée dessus par hasard et j'espère ne pas trop faire rentrer le titre aux forceps dans l'item. Novembre 1620, Prague est mise à sac et les protestants sont massacrés. La jeune Anna, servante, parvient à sauver le jeune fils de ses maîtres et s'enfuit avec lui. Le début d'un périple...
Je le fais entrer dans cet item car les deux tiers du récit se déroulent en automne (et notamment l'événement majeur de départ, avec beaucoup de descriptions du vent froid, des arbres dénudés, etc..). J'espère que cela convient.
Les talents de conteur de Gougaud se mettent au service d'une histoire prenante, touchante, avec des pointes de merveilleux. Une belle découverte.
- lagoulueNiveau 8
*Ombre* a écrit:Pour l'item Faire la paix, je termine un classique de la littérature tchèque, un pamphlet anti-militariste assez drôle : Les aventures du brave soldat Chveïk, de Josef Hasek.
Chveïk est un lointain cousin de Candide jeté à grand renfort de coups de pied au cul non pas hors du château de Thunder-Ten-Thronk dans le vaste monde, mais à bas de son lit vers la guerre qui s'amorce en Europe. L'histoire commence le jour de l'assassinat de l'archiduc d'Autriche, et Chveïk, trafiquant de chiens réformé pour idiotie, est accusé (à tort évidemment, le livre peu donc aussi convenir pour cet item) d'y avoir contribué. Balloté de tribunal en prison, de prison en caserne, de caserne en presbytère (!) et du presbytère au front, ce Candide est mâtiné de Bardamu, buvant comme un trou, jurant comme un charretier, et philosophant à sa façon. L'armée, l'Église, l'administration, tout le monde en prend pour son grade au fil des péripéties désopilantes qui s'accumulent.
Je suis contente d'avoir découvert ce roman dont j'avais entendu parler. J'ai souvent souri à cette lecture, mais le roman est inachevé et, après quelque 300 pages, j'ai trouvé que c'était pas plus mal : la satire burlesque, c'est amusant, mais ça finit par tourner un peu en rond. C'était un bon moment, et c'était bien que ça s'arrête.
C’est amusant car je pensais être une des rares personnes à m’être procuré ce livre ! C’est suite à un propos du livre Désobéir de Frédéric Gros, où il évoquait une attitude, le « chvéïkisme », que j’ai eu vent de ce personnage. Et, quand j’ai vu un jour que cette histoire existait en livre de poche, je l’ai pris. Mais je ne l’ai pas encore lu (je craignais un peu, je l’avoue, que ce soit peut-être un peu fastidieux ; mais ton commentaire globalement positif fera que je me lancerai un jour ou l’autre).
- LaugarithmeFidèle du forum
@Reine Margot : J'ai beaucoup aimé ce livre , conseillé par e.t.o l'année dernière sur le topic " vous et vos annimaux". Je l'ai offert à ma fille qui a eu aussi le coup de cœur pour la préface de Jean- Paul Dubois (il y a un chien dans tous ses romans).
J'ai trouvé aussi le style un peu artificiel mais cela ne gâche pas le plaisir de lecture ni n'entrave les émotions.
Je le recommande aussi, même si on a un chien et la peur de le perdre, même si on n'en a pas et la crainte de s'ennuyer. Ce ne sera pas le cas.
J'ai trouvé aussi le style un peu artificiel mais cela ne gâche pas le plaisir de lecture ni n'entrave les émotions.
Je le recommande aussi, même si on a un chien et la peur de le perdre, même si on n'en a pas et la crainte de s'ennuyer. Ce ne sera pas le cas.
- Reine MargotDemi-dieu
- lulucastagnetteEmpereur
Un bouvier bernois de 17 ans, belle longévité !
Moi j'avais un flat-coated retriever né en 2003 comme ton bouvier et comme Ubac du roman mais il est mort brutalement un peu avant ses sept ans. Je n'ai plus jamais voulu reprendre de chien.
Moi j'avais un flat-coated retriever né en 2003 comme ton bouvier et comme Ubac du roman mais il est mort brutalement un peu avant ses sept ans. Je n'ai plus jamais voulu reprendre de chien.
- OudemiaBon génie
Voici le récapitulatif des titres commentés pour cette dernière période (ceux d'aujourd'hui ne sont pas pris en compte). Comme j'ai eu quelques problèmes d'enregistrement, je me demande bien pourquoi, j'espère qu'il n'y a pas trop d'oublis.
Edit : le gras est sens dessus-dessous, je ne rectifie pas, je pense que la prochaine fois je l'annulerai avant de recopier, si je m'en souviens...
Edit : le gras est sens dessus-dessous, je ne rectifie pas, je pense que la prochaine fois je l'annulerai avant de recopier, si je m'en souviens...
- 4e période du Défi:
Titres commentés du 25 mars au 24 avril, pages 8bis à 17bis
1 - un livre dont la couverture est verte
Robilar, BD de Chauvel p.11bis
This is not a love letter d'Anouk Filippini p.16bis
2 -livre d'un auteur dont le prénom ou le nom est aussi un nom commun
Dark Matter de Blake Crouch p.9bis
L'ami, de Tiffany Tavernier p.9bis
Les Caractères de La Bruyère p.9bis
Rien n'est joué, de Jacques Lecomte p.11bis
Holly Stephen King p.12bis
Destruction, de Blake Crouch p.14bis
3- Un livre avec un moyen de transport sur la couverture.
A rude épreuve d'Elizabeth Jane Howard p.16bis
Le monde sans fin, de Jancovici et Blain p.16bis
4. un possessif dans le titre
Les derniers jours de nos père de Joël Dicker p.16bis
Ce que faisait ma grand-mère à moitié nue sur le bureau du général de Christophe Donner p.17bis
5. Séduction
Baby sitter, de Joyce Carol Oate p.9bis
Le Boiseleur, BD p.17bis
6 - Déplacement
Comment j'ai retrouvé Xavier Dupont de Ligonnès, de Romain Puertolas p.10bis
7 - Un livre féministe ou sur une femme (réelle) qui a marqué son temps
Une chambre à soi de Virginia Woolf p.16bis
La fille d’avril d’Annelise Heurtier p.16bis
Jessie de Stephen King p.17bis
Artemisia, un duel pour l'immortalité, d'Alexandra Lapierre p.17bis
Nelly Bly, première journaliste d'investigation de Luciana Cimino et Sergio Algozzino p.17bis
8. Hors des sentiers battus
The Gameshouse, book 2: The Thief (VF : La Maison des jeux 2 : Le Voleur), de Claire North p.9bis
Ferdydurke de Witold Gombrowicz p.9bis
A l'est d'Eden de John Steinbeck p.16bis
9 - Un "book about books" (livre parlant de livres, de lecture, de lecteurs, de bibliothèques ou de librairies...).
84 Charing Cross Road, de Helen Hanff p. 8bis
Yoga, d’Emmanuel Carrère p.9bis
Un automne pour te pardonner de Morgane Moncomble p.13bis
Le Ver à soie R. Galbraith p. 13bis
10 - Un livre sur la langue ou les langues.
11 rois, reines, empereurs, impératrices et autres chefs d'état
La fille du bourreau - Céleste , de Céline Knidler p.9bis
Ubu roi d'Alfred Jarry p.12bis
Bal tragique à Windsor, p.13bis
Bal tragique à Windsor (tome 1 de Sa Majesté Mène l'Enquête), de S.J. Bennett p.14bis
12. Une région française au cœur d'un récit
L'oubliée de Salperwick, de Annie Degroote p.9bis
Le Grimoire d'Elfie de Christophe Arleston, Audrey Alwett et Mini Ludvin p.15bis
À l’ombre des jeunes filles en fleur, Marcel Proust p.15bis
13 - A la recherche de…
Vertiges, de Robin Cook p.9bis
Pierre et Jean de Maupassant p.12bis
Moby Dick d'Herman Melville p.14bis
14. Un livre cité dans un top 5 d'un précédent défi
Les impatientes, de Djaïli Amadou Amal p.9bis
A l'est d'Eden de John Steinbeck p.16bis
15 - Un livre dont le titre repose sur une antithèse ou un oxymore
Apaiser nos tempêtes, Jean Hegland p. 9bis
La Mémoire délavée, sous titré « traits et portraits » Natacha Appanah p.9bis
Sleepless Nights, Elizabeth Hardwick p.10bis
Reste si tu peux, pars s'il le faut de Helga Flatland p.13bis
16 Sabine Wespieser éditeur
Small Things Like These (VF : Ce genre de petites choses), 2021, Claire Keegan p.10bis
Tableau noir, de Michèle Lesbre p.14bis
17 : le titre comporte trois A
Antarctica (VF : L’Antarctique), 1999, Claire Keegan p.10bis
La Conquête de Plassans, Emile Zola p.10bis
Marcovaldo ou les saisons en ville d’Italo Calvino p.16bis
La Chambre de Giovanni de James Baldwin p.16bis
L'Amant de Lady Chatterley, HD Lawrence p.17bis
18. Accusé à tort
La Petite Menteuse p.9bis
Black Summer, M.W. Craven p.10bis
Les Courants fourbes du lac Tai, de Qiu Xialong p.10bis
Creepy de Y. Maekawa
19 Un livre dont le personnage principal est danseur ou musicien
La Contrebasse, de Patrick Süskind p.10bis
Des Diables et des saints de Jean-Baptiste Andrea p.17bis
20 - le titre évoque un personnage décédé dans le livre
L’Affaire Emmett Till, de J.-M. Pottier p.15bis
21 - Un livre dont l'histoire se passe en Russie
Ce n'était que la peste de Ludmila Olitskaïa p.12bis
Le Village, d’Ivan Bounine p.12bis
Dans les geôles de Sibérie, de Yoann Barbereau p.12bis
Le Nez, Gogol p.14bis
Le Manteau, Gogol p.14bis
22. Ascension
23. Archéologie
Les doigts coupés d'Hannelore Cayre p.14bis
Ombres portées d'Ariana Neumann p.17bis
Palladion, de Valerio Manfredi p.17bis
tome 1 de la saga des Cazalet : Etés anglais p.17bis
Meurtre en Mésopotamie en adaptation BD p.17bis
24 - So british
A prendre ou à laisser de Lionel Shriver, p.9bis
Le fourbe et l'histrion, de Bruce Alexander p.9bis
L'Appel du coucou de Robert Galbraith p.9bis
L'appel du ,coucou de Robert Galbraith p.12bis
L'appel du coucou Robert Galbraith p.14bis
Une demoiselle comme il faut de Barbara Pym p.14bis
Le mystère de Listerdale, Agatha Christie p.17bis
Dans les coulisses du musée de Kate Atkinson p.17bis
25 - Guerre civile
Sacrées guerres, de Jérémie Foa, dessins de Pochep p.12bis
L'Odyssée d'Hakim de Fabien Toulmé p.17bis
26. Un livre d'un auteur sud-africain
Quand le lion a faim, de Wilbur Smith p.12bis
Une Saison blanche et sèche d'André Brink p.15bis
Disgrâce de J.M. Coetzee p.16bis
La Promesse de Damon Galgut p.17bis
27. Un livre dont le titre contient un nom de fruit ou de légume
Les Amandes amères, de Laurence Cossé p.9bis
Le lait de l'oranger de Gisèle Halimi p.10bis
Jours de travail - Journal des Raisins de la colère, John Steinbeck p.12bis
La Nuit de la laitue de Vanessa Barbara p.12bis
Merle, merle, mûre de T. Mélachvili p.12bis
Les groseilles de novembre , d’ Andrus Kivirähk p.17bis
28. Ombre et lumière
Le chant des regrets éternels, d'Anyi Wang p.14bis
Numéro deux de David Foenkinos p.17bis
29. Un livre qui concerne un auteur, une autrice ou un artiste ayant existé.
La Goulue Reine du Moulin Rouge de Maryline Martin p.12bis
Mon sous-marin jaune de Jon Kalman Stefansson p.12bis
Proust, un roman familial de Laure Murat p.14bis
Melvill de Rodrigo Fresán p.17bis
30 Un livre qui parle d'animaux
La Disparition d'Hervé Snout, d'Olivier Bordaçarre p. 8bis
La maison des hautes falaises, de Karen Viggers p.9bis
The Lady, Ann Mc Caffrey p.9bis
Migrations de Charlotte McConaghy p.12bis
Pourquoi les oiseaux meurent de Victor Pouchet p.12bis
Watership Down, de Richard Adams p.17bis
31 - XVIe s.
Henri IV de Shakespeare p.15bis
Un été avec Montaigne, Antoine Compagnon p.15bis
Pantagruel, Rabelais p.16bis
Les Simples, de Yannick Grannec p.17bis
32 - Automne
Quatuor d'Automne, de Barbara Pym p.11bis
L'Automne du patriarche de Gabriel García Márquez p.14bis
L’obsolescence programmée de nos sentiments de Zidrou et Aimée de Jongh p.16bis
Quatuor d'automne, Barbara Pym p.16bis
33 - le diable
Inconnu à cette adresse, de K. Kressmann Taylor p. 8bis
La leçon du mal, Ysuske Kishi p.10bis
34 - Négritude
The big sea, de Langston Hugues p.10bis
Aminata, de Lawrence Hill p.13bis
35 - Livre avec une prostituée
La passante du Sans-Souci, J Kessel p.10bis
10 minutes et 38 secondes dans ce monde étrange d'Elif Shafak p.14bis
Ce que je sais de toi d’Éric Chacour p.16bis
36 - Pirates ou hors-la-loi
Le pirate de l'Elbe de Luis Sepulveda p.17bis
L'écharpe de soie rouge de Maurice Leblanc p.17bis
37 - livre avec homme dans le titre
L'homme au perroquet vert de Myriam Chirousse p.10bis
Beau comme un homme, André Stil p.11bis
...et les Martiens invitèrent les hommes, de Philippe Ébly p.12bis
38 ado
Toutes blessent, la dernière tue Karin Giebel p.9bis
Calliope (la voix des flammes) de Michael Mc Dowell et Tabitha King p.10bis
Les yeux de Mona de Thomas Schlesser p.10bis
39 - rêves d'enfant
L’enfant de poussière, tome 1 du Cycle de Syffe de Patrick Dewdney p.9bis
Et voilà tout de Maren Uthaug p.14bis
Lydie de Jordi Lafèbre et Zidrou
40. un roman noir
Harlem Shuffle, Colson Whitehead p.9bis
Personas decentes/ Ouragans tropicaux, de Leonardo Padura p.12bis
Bastille tango, de Jean-François Vilar p.14bis
Bastille tango, de Jean-François Vilar p.16bis
Le Dahlia noir de James Ellroy p.17bis
41 - un livre écrit par un historien
Enfants en exil: transfert de pupilles réunionnais en métropole (1963-1982) d'Ivan Jablonka p.10bis
Tombeaux. Autobiographie de ma famille d'Annette Wieviorka p.10bis
Lady Elizabeth d'Alison Weir p.13bis
42 - géométrie
Racine carrée du verbe être de Wajdi Mouawad p.10bis
Le cercle de la croix, d’Iain Pears p.12bis
Perpendiculaire au soleil de Valentine Cuny-Le Callet p.14bis
43 Un livre écrit par un auteur dont le prénom ou le nom est composé
Ton frère de Minh Tran Huy p.13bis
Le neveu du magicien (tome 1 du Monde de Narnia) de Clive Staple Lewis p.16bis
Histoire du fils de Marie-Hélène Lafon p.17bis
44 - un livre qui évoque l'Inde
Une bouffée d'air pur, d'Amulya Malladi p.10bis
Il suffit de traverser la rue d'Eric Faye p.15bis
Le Soleil rouge de l'Assam d'Abir Mukherjee p.16bis
45 - Quel temps!
La loi des Sames Lars Pettersson p.9bis
L'Etranger d'Albert Camus p.10bis
Sentinelle de la pluie de Tatiana de Rosnay p.13bis
L'homme peuplé de Franck Bouysse p.13bis
le petit derrière de l'histoire, Katia Even p.15bis
Il est encore temps ! de Jean-Philippe Blondel p.16bis
Naufrage de Vincent Delecroix p.17bis
46 - Écoute !
Les sept maris d'Evelyn Hugo de Taylor Jenkins Reid p.11bis
J'ai péché, péché dans le plaisir d'Abnousse Shalmani p.15bis
Ecoutez-moi jusqu'à la fin, Tess Gunty p.17bis
47 - Publié une année bissextile
Zulu de Caryl Férey p.10bis
Gouverner : loi, pouvoir et domination, de Hannah Arendt p.10bis
Révélation, de Blake Crouch (publication originale : 2012) p.12bis
Le Livre d'images, d'Alberto Manguel, paru en 2000 p.12bis
Le jour des cendres de Jean-Christophe Grangé p.16bis
Histoire du fils de Marie-Hélène Lafon p.17bis
Terrasses ou notre long baiser si longtemps retardé de Laurent GAUDE p.17bis
48 - Faire la paix
Préserver la laïcité, Iannis Roder p.12bis
Prends ma main de Dolen Perkins-Valdez p.12bis
Vivre vite de Brigitte Giraud p.15bis
49 - Objets inanimés avez-vous donc une âme ?
Le Grand Incident de Zelba p.9bis
Vider les lieux, d'Olivier Rolin p.13bis
Le Chardonneret de Donna Tartt p.16bis
50 - Trompeuses apparences
La recluse de Wildfell Hall, Anne Brontë p.11bis
Animal sauvage Joël Dicker p.13bis
#Bleue de Florence Hinckel p.16bis
- LaugarithmeFidèle du forum
Uta était un labrador qui vit , normalement, plus longtemps qu'un Bouvier Bernois , mais 17 ans , c'est un bel âge pour un chien , surtout de taille moyenne comme le labrador.lulucastagnette a écrit:Un bouvier bernois de 17 ans, belle longévité !
Moi j'avais un flat-coated retriever né en 2003 comme ton bouvier et comme Ubac du roman mais il est mort brutalement un peu avant ses sept ans. Je n'ai plus jamais voulu reprendre de chien.
Je comprends le choc que ça a du être lulu de perdre ton chien brutalement. 7 ans, c'est bien trop jeune.
J'espère au moins qu'il n'a pas souffert.
Fin du HS
- Reine MargotDemi-dieu
lulucastagnette a écrit:Un bouvier bernois de 17 ans, belle longévité !
Moi j'avais un flat-coated retriever né en 2003 comme ton bouvier et comme Ubac du roman mais il est mort brutalement un peu avant ses sept ans. Je n'ai plus jamais voulu reprendre de chien.
Uta était un labrador, mais oui un bel âge.
Désolée pour ton chien, 7 ans c'est jeune.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- cavatineNiveau 9
Après vérifications avec la propre liste d'Oudemia, voici la récap' d'avril !
(j'espère que la couleur violette choisie est assez lisible... j'ai configuré mon navigateur pour que les pages soient en mode sombre, mais ce n'est probablement pas le cas de tout le monde. Si cela gêne, dites-moi, et je mettrai une couleur plus lisible - ça ne demande qu'une micro-manip -)
(j'espère que la couleur violette choisie est assez lisible... j'ai configuré mon navigateur pour que les pages soient en mode sombre, mais ce n'est probablement pas le cas de tout le monde. Si cela gêne, dites-moi, et je mettrai une couleur plus lisible - ça ne demande qu'une micro-manip -)
- Spoiler:
- lulucastagnette, navrée pour toi... 7 ans, c'est bien trop jeune, en effet.
- OudemiaBon génie
C'est du travail de pro, Cavatine, magnifique !
- CasparProphète
La couleur est bien lisible, pas de problème.
- OudemiaBon génie
C'est là :Adren a écrit:Bravo Oudemia ! Tu voudras bien nous faire ton top 5 s'il te plaît ?
https://www.neoprofs.org/t143728-defi-lecture-2024-votre-top-5
- edelweis62Niveau 5
Oui, merci à toutes les deux !
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"Il y a un autre monde, mais il est dans celui-ci." Paul Eluard
- AsarteLilithBon génie
Pour le défi 1 '' livre à la couverture verte '' : je viens de finir La Prophetie des Andes, de James Redfield, aux édition J'ai lu. Couverture verte et dorée .
Le narrateur, américain, revoit par hasard une ancienne amie. Celle-ci lui parle d'un mystérieux Manuscrit péruvien, découpé en huit révélations prédisant la transformation radicale de la société humaine et comment l'atteindre. Le narrateur décide de partir à la recherche du Manuscrit.
Verdict: début intéressant, un peu type Da Vinci Code, mélange d'aventure et d'ésotérisme. On se lasse un peu vite, le narrateur enchaînant maîtrise de révélation sur maîtrise de révélation. La fin me semble un peu en queue de poisson. L'ensemble reste toutefois facile et rapide à lire (si pas de rentrée, 2-3 jours auraient largement suffi), plaisant par moments.
Le narrateur, américain, revoit par hasard une ancienne amie. Celle-ci lui parle d'un mystérieux Manuscrit péruvien, découpé en huit révélations prédisant la transformation radicale de la société humaine et comment l'atteindre. Le narrateur décide de partir à la recherche du Manuscrit.
Verdict: début intéressant, un peu type Da Vinci Code, mélange d'aventure et d'ésotérisme. On se lasse un peu vite, le narrateur enchaînant maîtrise de révélation sur maîtrise de révélation. La fin me semble un peu en queue de poisson. L'ensemble reste toutefois facile et rapide à lire (si pas de rentrée, 2-3 jours auraient largement suffi), plaisant par moments.
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
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