- ThalieGrand sage
Non aucune idée encore des dates. Pour la deuxième question, je fais des hypothèses. Daigner s'emparer de ce "machin" n'est pas à la hauteur de sa seigneurie...jeanne a écrit:Tu as une idée des dates, Thalie ? Et pourquoi Qui-vous-savez ne s'y collerait pas ? (Si on parle de la même)Thalie a écrit:Henriette et Baldred, les formations par bassin vont avoir lieu bientôt, pas sûre cependant que Qui-vous-savez s'y colle !
- ThalieGrand sage
henriette a écrit:Quelle perte ce sera.Thalie a écrit:Henriette et Baldred, les formations par bassin vont avoir lieu bientôt, pas sûre cependant que Qui-vous-savez s'y colle !
- Manu7Expert spécialisé
Laotzi a écrit:https://www.marianne.net/societe/education/groupes-de-niveaux-lenseignement-catholique-n-appliquera-pas-ou-si-peu-la-reforme-d-attal-belloubet
Vous serez heureux (mais pas surpris) d'apprendre que le privé sous contrat, toujours financé par l'argent public en ce qui concerne la scolarité obligatoire, refuse d'appliquer la réforme et donc ne la mettra pas en oeuvre.
Je ne comprends pas, une si belle réforme conçue par des gens qui ont fait pourtant toute leur scolarité dans ce type d'établissements ?
L’affaire est actée : la petite dizaine de recteurs qui cherchait encore à imposer le texte sur les groupes de niveaux à l’enseignement catholique a baissé les bras ces dernières semaines. Le privé n’est pas tenu de l’appliquer, affirme à « Marianne » l'enseignement catholique qui dit par ailleurs ne disposer d'aucun poste pour mettre en œuvre cette réforme.
Le « choc des savoirs » macroniste est en train de se heurter au mur, plutôt solide, de l'enseignement catholique. « Nous n’avons rien contre cette réforme qui peut répondre à des besoins particuliers d’élèves à un moment donné. Elle n’est pas illégitime » : les représentants de l’enseignement catholique sont toujours polis de prime abord mais ils n’en pensent pas moins. Leurs établissements ne l’appliqueront pas ou a minima.
N'oublions pas que l'enseignement sous contrat et en particulier l'enseignement catholique a demandé des heures et donc des postes correspondants à cette réforme et n'a rien reçu, donc c'était impossible. Dans de nombreux collèges ruraux sous contrat (dont le mien) nous perdons des heures et on espérait obtenir des heures "grâce" à cette réforme et ainsi sauver des postes en maths. La réponse est négative alors on perds des postes et je ne vois pas comment on pourrait mettre en place cette réforme sans profs ??? La formule de Marianne "l'enseignement catholique qui dit par ailleurs ne disposer d'aucun poste pour mettre en œuvre cette réforme" est assez étrange, le "par ailleurs" semble supposer que cela n'a pas un lien direct alors que tout le problème est là.
Je l'ai déjà dit plusieurs fois, je me demande bien comment les collèges publics vont faire pour mettre cette réforme en place ? Il faudrait que de nombreux profs du public accepte des EDT à 22h et recruter des centaines de nouveaux profs pour que cela soit réalisable. Cela me semble être de la poudre aux yeux.
Je ne sais pas si c'est mieux d'être dans le privé sous contrat et d'être obligé de changer de collège et faire 30 km, en plus ou bien être dans le public et se retrouver obliger de mettre en place cette idée totalement absurde ???
- BOU74Niveau 9
Ce soir, j'ai envie de renommer cette fichue réforme en " Flop des savoirs".
Fatiguée de ce qui nous attend...
Fatiguée de ce qui nous attend...
- poutouNiveau 10
Manu7 a écrit:Laotzi a écrit:https://www.marianne.net/societe/education/groupes-de-niveaux-lenseignement-catholique-n-appliquera-pas-ou-si-peu-la-reforme-d-attal-belloubet
Vous serez heureux (mais pas surpris) d'apprendre que le privé sous contrat, toujours financé par l'argent public en ce qui concerne la scolarité obligatoire, refuse d'appliquer la réforme et donc ne la mettra pas en oeuvre.
Je ne comprends pas, une si belle réforme conçue par des gens qui ont fait pourtant toute leur scolarité dans ce type d'établissements ?
L’affaire est actée : la petite dizaine de recteurs qui cherchait encore à imposer le texte sur les groupes de niveaux à l’enseignement catholique a baissé les bras ces dernières semaines. Le privé n’est pas tenu de l’appliquer, affirme à « Marianne » l'enseignement catholique qui dit par ailleurs ne disposer d'aucun poste pour mettre en œuvre cette réforme.
Le « choc des savoirs » macroniste est en train de se heurter au mur, plutôt solide, de l'enseignement catholique. « Nous n’avons rien contre cette réforme qui peut répondre à des besoins particuliers d’élèves à un moment donné. Elle n’est pas illégitime » : les représentants de l’enseignement catholique sont toujours polis de prime abord mais ils n’en pensent pas moins. Leurs établissements ne l’appliqueront pas ou a minima.
N'oublions pas que l'enseignement sous contrat et en particulier l'enseignement catholique a demandé des heures et donc des postes correspondants à cette réforme et n'a rien reçu, donc c'était impossible. Dans de nombreux collèges ruraux sous contrat (dont le mien) nous perdons des heures et on espérait obtenir des heures "grâce" à cette réforme et ainsi sauver des postes en maths. La réponse est négative alors on perds des postes et je ne vois pas comment on pourrait mettre en place cette réforme sans profs ??? La formule de Marianne "l'enseignement catholique qui dit par ailleurs ne disposer d'aucun poste pour mettre en œuvre cette réforme" est assez étrange, le "par ailleurs" semble supposer que cela n'a pas un lien direct alors que tout le problème est là.
Je l'ai déjà dit plusieurs fois, je me demande bien comment les collèges publics vont faire pour mettre cette réforme en place ? Il faudrait que de nombreux profs du public accepte des EDT à 22h et recruter des centaines de nouveaux profs pour que cela soit réalisable. Cela me semble être de la poudre aux yeux.
Je ne sais pas si c'est mieux d'être dans le privé sous contrat et d'être obligé de changer de collège et faire 30 km, en plus ou bien être dans le public et se retrouver obliger de mettre en place cette idée totalement absurde ???
Ils ont trouvé la parade: nous mettre tous à 20h, puisqu'ils en ont le droit, et nous faire partager une classe.
- Isis39Enchanteur
Manu7 a écrit:Laotzi a écrit:https://www.marianne.net/societe/education/groupes-de-niveaux-lenseignement-catholique-n-appliquera-pas-ou-si-peu-la-reforme-d-attal-belloubet
Vous serez heureux (mais pas surpris) d'apprendre que le privé sous contrat, toujours financé par l'argent public en ce qui concerne la scolarité obligatoire, refuse d'appliquer la réforme et donc ne la mettra pas en oeuvre.
Je ne comprends pas, une si belle réforme conçue par des gens qui ont fait pourtant toute leur scolarité dans ce type d'établissements ?
L’affaire est actée : la petite dizaine de recteurs qui cherchait encore à imposer le texte sur les groupes de niveaux à l’enseignement catholique a baissé les bras ces dernières semaines. Le privé n’est pas tenu de l’appliquer, affirme à « Marianne » l'enseignement catholique qui dit par ailleurs ne disposer d'aucun poste pour mettre en œuvre cette réforme.
Le « choc des savoirs » macroniste est en train de se heurter au mur, plutôt solide, de l'enseignement catholique. « Nous n’avons rien contre cette réforme qui peut répondre à des besoins particuliers d’élèves à un moment donné. Elle n’est pas illégitime » : les représentants de l’enseignement catholique sont toujours polis de prime abord mais ils n’en pensent pas moins. Leurs établissements ne l’appliqueront pas ou a minima.
N'oublions pas que l'enseignement sous contrat et en particulier l'enseignement catholique a demandé des heures et donc des postes correspondants à cette réforme et n'a rien reçu, donc c'était impossible. Dans de nombreux collèges ruraux sous contrat (dont le mien) nous perdons des heures et on espérait obtenir des heures "grâce" à cette réforme et ainsi sauver des postes en maths. La réponse est négative alors on perds des postes et je ne vois pas comment on pourrait mettre en place cette réforme sans profs ??? La formule de Marianne "l'enseignement catholique qui dit par ailleurs ne disposer d'aucun poste pour mettre en œuvre cette réforme" est assez étrange, le "par ailleurs" semble supposer que cela n'a pas un lien direct alors que tout le problème est là.
Je l'ai déjà dit plusieurs fois, je me demande bien comment les collèges publics vont faire pour mettre cette réforme en place ? Il faudrait que de nombreux profs du public accepte des EDT à 22h et recruter des centaines de nouveaux profs pour que cela soit réalisable. Cela me semble être de la poudre aux yeux.
Je ne sais pas si c'est mieux d'être dans le privé sous contrat et d'être obligé de changer de collège et faire 30 km, en plus ou bien être dans le public et se retrouver obliger de mettre en place cette idée totalement absurde ???
N'oublions pas que la majorité des collèges n'a pas eu d'heures et de postes pour le faire non plus.
- Isis39Enchanteur
La ministre a annoncé lors de son audition hier que les heures Devoirs faits font partie des moyens pour les groupes de niveau. Alors comment mettre dans la dhg des heures qui n'en font pas partie ? Il va falloir m'expliquer !
- lilith888Grand sage
Et si le public s'inspirait du privé pour le coup, non ?
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Lédissé a écrit:Il faut avoir un compte sur X pour accéder à la suite du tweet ? J'ai des soucis depuis que Twitter est devenu X, c'est énervant.
Au passage, je suis tout à fait d'accord avec cette remarque : non seulement citer un lien de tweet demande d'aller le lire “sur X” (donc d'accepter d'être pisté par X), mais une fois sur ceux, on n'y accède pas. De même, utiliser les balises n'affiche que partiellement le message (il faut attendre un certain nombre d'heures pour l'avoir en lecture).
Autrement dit, c'est réservé aux tweeters pratiquants et cela rend les discussions totalement illisibles !
Lorsque l'on cite un article de journal pour sourcer ses propos on cite : 1° le lien pointant vers l'origine et 2° le texte lui-même entre balise “quote” : il serait bon de faire le même effort dans ce cas.
_________________
Si tu vales valeo.
- Ajonc35Sage
Ce flop n'est qu'une nouvelle brique à cette déliquescence depuis bien des années.BOU74 a écrit:Ce soir, j'ai envie de renommer cette fichue réforme en " Flop des savoirs".
Fatiguée de ce qui nous attend...
Ceux qui ne connaissent pas l'EN pensent que les enseignants sont toujours mécontents. Oui, ils ont raison ces enseignants car c'est, depuis longtemps, une fuite en avant vers toujours moins. Je ne connais pas assez le collège. Enseignante en lep, j'ai vu arriver de plus en plus d'élèves avec de moins en moins de compétences, à qui ON a encore moins donné tandis que les tâches qui m'incombaient étaient toujours plus nombreuses et complexes. Ces élèves sont toujours plus nombreux à obtenir leur diplôme et bien sûr avec plus de mentions.
( au passage, je regardais dans ma pqr, les résultats des lycées de mon département pour le bac. Beaucoup avec 100% ou 99% la où il y a 20 ans, il y avait 80- 85 % et c'était un bon score. Je veux bien que tous les jeunes aient leur bac, mais en montrant bien qu'ls ont de réelles compétences)
- Aperçu par hasardNeoprof expérimenté
La lecture de ce fil confirme pour moi une impression qui ne fait que s'amplifier d'année en année: le métier d'enseignant ressemble de plus en plus à une sorte de survival game où il ne s'agit plus de trouver des solutions à des problèmes usuels dans un cadre "normal", mais de lutter pour obtenir des conditions minimales de survie dans un cadre chaotique. Le gouvernement pourrait faire en sorte que les participants au grand jeu de l'éducation nationale se concentrent sur la préparation du repas en leur donnant accès à un stock décent d'allumettes, mais il trouve plus amusant de les obliger à trouver un moyen de faire du feu en frottant des morceaux de bois humide.
- SoiréeHabitué du forum
Démantèlement des savoirsBOU74 a écrit:Ce soir, j'ai envie de renommer cette fichue réforme en " Flop des savoirs".
Fatiguée de ce qui nous attend...
- Marc75Niveau 3
Manu7 a écrit:N'oublions pas que l'enseignement sous contrat et en particulier l'enseignement catholique a demandé des heures et donc des postes correspondants à cette réforme et n'a rien reçu, donc c'était impossible.
Ok c'est impossible. Et donc ? C'est là la différence perçue comme très injuste :
- l'enseignement privé dit "c'est impossible donc on n'appliquera pas" et ça passe.
- l'enseignement public dit "c'est impossible donc on n'appliquera pas" et reçoit injonctions et menaces.
- chmarmottineGuide spirituel
Marc75 a écrit:Manu7 a écrit:N'oublions pas que l'enseignement sous contrat et en particulier l'enseignement catholique a demandé des heures et donc des postes correspondants à cette réforme et n'a rien reçu, donc c'était impossible.
Ok c'est impossible. Et donc ? C'est là la différence perçue comme très injuste :
- l'enseignement privé dit "c'est impossible donc on n'appliquera pas" et ça passe.
- l'enseignement public dit "c'est impossible donc on n'appliquera pas" et reçoit injonctions et menaces.
Un peu marre de ces établissements privés qui font ce qu'ils veulent ...
Qu'ils rompent le contrat ...
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Dans mon collège, nous sommes d'accord pour ne pas mettre en place de progression commune. Refuser de participer à la constitution des groupes sera plus difficile.
- BaldredSage
Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Dans mon collège, nous sommes d'accord pour ne pas mettre en place de progression commune. Refuser de participer à la constitution des groupes sera plus difficile.
C'est compréhensible dans la mesure où à la fin ( sauf reculade mais bon) nous aurons ces groupes. En revanche, nous avons dit que puisque le texte précise que cela doit se faire sous la responsabilité des CdE, nous ne gérerions aucun changement de groupe et justification auprès de parents.
Pour l'instant, nous n'envisageons pas non plus de progression commune, mais nous attendons la réaction des IPR et leurs "propositions" afin d'éviter, je ne parle pas pour toi, les postures matamoresques qui conduisent aux débacles.
L'exemple de la réforme du Lycée montre assez que n'importe quoi peut être appliqué quand le cadre administratif est imposé, le contenu pédagogique n'étant qu'un prétexte.
- *Hildegarde*Niveau 9
epekeina.tes.ousias a écrit:Lédissé a écrit:Il faut avoir un compte sur X pour accéder à la suite du tweet ? J'ai des soucis depuis que Twitter est devenu X, c'est énervant.
Au passage, je suis tout à fait d'accord avec cette remarque : non seulement citer un lien de tweet demande d'aller le lire “sur X” (donc d'accepter d'être pisté par X), mais une fois sur ceux, on n'y accède pas. De même, utiliser les balises n'affiche que partiellement le message (il faut attendre un certain nombre d'heures pour l'avoir en lecture).
Autrement dit, c'est réservé aux tweeters pratiquants et cela rend les discussions totalement illisibles !
Lorsque l'on cite un article de journal pour sourcer ses propos on cite : 1° le lien pointant vers l'origine et 2° le texte lui-même entre balise “quote” : il serait bon de faire le même effort dans ce cas.
Voici dont les captures d'écran des tweets...
- OudemiaBon génie
Oui, toi et moi sommes à l'abri, mais les autres...
- laMissSage
Isis39 a écrit:La ministre a annoncé lors de son audition hier que les heures Devoirs faits font partie des moyens pour les groupes de niveau. Alors comment mettre dans la dhg des heures qui n'en font pas partie ? Il va falloir m'expliquer !
+1
En plus, il me semble que le montant de l'enveloppe Devoirs faits n'est connue qu'assez tardivement.
C'est un point à éclaircir car cela signifierait qu'on supprimerait peu à peu Devoirs faits.
_________________
Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- ylmExpert spécialisé
L'intégration des X/tweets ça marche très bien sur les sites/forums qui fonctionnent avec des logiciels modernes. Sur Neoprofs force est de reconnaître que ça ne fonctionne pas très bien...epekeina.tes.ousias a écrit:Lédissé a écrit:Il faut avoir un compte sur X pour accéder à la suite du tweet ? J'ai des soucis depuis que Twitter est devenu X, c'est énervant.
Au passage, je suis tout à fait d'accord avec cette remarque : non seulement citer un lien de tweet demande d'aller le lire “sur X” (donc d'accepter d'être pisté par X), mais une fois sur ceux, on n'y accède pas. De même, utiliser les balises n'affiche que partiellement le message (il faut attendre un certain nombre d'heures pour l'avoir en lecture).
Autrement dit, c'est réservé aux tweeters pratiquants et cela rend les discussions totalement illisibles !
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The life of man, solitary, poor, nasty, brutish and short.
Thomas Hobbes
- lilith888Grand sage
Marc75 a écrit:Manu7 a écrit:N'oublions pas que l'enseignement sous contrat et en particulier l'enseignement catholique a demandé des heures et donc des postes correspondants à cette réforme et n'a rien reçu, donc c'était impossible.
Ok c'est impossible. Et donc ? C'est là la différence perçue comme très injuste :
- l'enseignement privé dit "c'est impossible donc on n'appliquera pas" et ça passe.
- l'enseignement public dit "c'est impossible donc on n'appliquera pas" et reçoit injonctions et menaces.
De quelles injonctions et menaces s'agit-il exactement ?
- DicloniaExpert
chmarmottine a écrit:Marc75 a écrit:Manu7 a écrit:N'oublions pas que l'enseignement sous contrat et en particulier l'enseignement catholique a demandé des heures et donc des postes correspondants à cette réforme et n'a rien reçu, donc c'était impossible.
Ok c'est impossible. Et donc ? C'est là la différence perçue comme très injuste :
- l'enseignement privé dit "c'est impossible donc on n'appliquera pas" et ça passe.
- l'enseignement public dit "c'est impossible donc on n'appliquera pas" et reçoit injonctions et menaces.
Un peu marre de ces établissements privés qui font ce qu'ils veulent ...
Qu'ils rompent le contrat ...
Un peu marre que les "
quand on aura le même salaire net que dans le public, on en reparlera.
Quand on aura la meê retraite que dans le public, on en reparlera.
L'argent public ? les familles du privé paient leurs impôts.
Quand le privé cessera de payer vos retraites, on en reparlera !
Là, là réforme concerne tout le monde, mais vous ne voyez que privé- public !
Maintenant, puisque vous dites (sans preuve autre qu'un article de presse) que le privé n'a pas besoin d'appliquer la réforme,
je vais en informer ma direction, et je passerai le reste de l'année très zen !
Merci pour cette bonne nouvelle !
- Mat'himNiveau 6
lilith888 a écrit:Marc75 a écrit:Manu7 a écrit:N'oublions pas que l'enseignement sous contrat et en particulier l'enseignement catholique a demandé des heures et donc des postes correspondants à cette réforme et n'a rien reçu, donc c'était impossible.
Ok c'est impossible. Et donc ? C'est là la différence perçue comme très injuste :
- l'enseignement privé dit "c'est impossible donc on n'appliquera pas" et ça passe.
- l'enseignement public dit "c'est impossible donc on n'appliquera pas" et reçoit injonctions et menaces.
De quelles injonctions et menaces s'agit-il exactement ?
Les cde dans le public rendent des comptes au dasen qui décide des mutations d'où les pressions, je pense que dans le privé les chefs d'établissements n'ont pas le même rapport avec le ou la dasen....
Ce n'est pas au niveau des enseignants que cela se passe quand il s'agit d'appliquer ou non une réforme qui touche l'organisation des heures d'enseignement.
- chmarmottineGuide spirituel
Diclonia a écrit:chmarmottine a écrit:Marc75 a écrit:Manu7 a écrit:N'oublions pas que l'enseignement sous contrat et en particulier l'enseignement catholique a demandé des heures et donc des postes correspondants à cette réforme et n'a rien reçu, donc c'était impossible.
Ok c'est impossible. Et donc ? C'est là la différence perçue comme très injuste :
- l'enseignement privé dit "c'est impossible donc on n'appliquera pas" et ça passe.
- l'enseignement public dit "c'est impossible donc on n'appliquera pas" et reçoit injonctions et menaces.
Un peu marre de ces établissements privés qui font ce qu'ils veulent ...
Qu'ils rompent le contrat ...
Un peu marre que les "collègues" du public parlent du privé comme ça...
quand on aura le même salaire net que dans le public, on en reparlera.
Quand on aura la meê retraite que dans le public, on en reparlera.
L'argent public ? les familles du privé paient leurs impôts.
Quand le privé cessera de payer vos retraites, on en reparlera !
Là, là réforme concerne tout le monde, mais vous ne voyez que privé- public !
Maintenant, puisque vous dites (sans preuve autre qu'un article de presse) que le privé n'a pas besoin d'appliquer la réforme,
je vais en informer ma direction, et je passerai le reste de l'année très zen !
Merci pour cette bonne nouvelle !
Oui, la réforme devrait concerner tout le monde ou personne ...
Mais comme trop souvent, le privé veut faire à sa sauce et ce n'est pas normal, surtout quand par ricochet, ça met en difficulté l'établissement public voisin.
Je ne vois pas le rapport avec le salaire et les retraites ...
- vyneilNiveau 5
Diclonia a écrit:chmarmottine a écrit:
Un peu marre de ces établissements privés qui font ce qu'ils veulent ...
Qu'ils rompent le contrat ...
Un peu marre que les "collègues" du public parlent du privé comme ça...
quand on aura le même salaire net que dans le public, on en reparlera.
Quand on aura la meê retraite que dans le public, on en reparlera.
L'argent public ? les familles du privé paient leurs impôts.
Quand le privé cessera de payer vos retraites, on en reparlera !
Là, là réforme concerne tout le monde, mais vous ne voyez que privé- public !
La guerre public-privé n'a pas été ranimée par les membres de ce forum.
Cherchez plutôt en direction des gouvernements que nous subissons, les précédents comme l'actuel, mais l'actuel en tête évidemment.
Cherchez du côté des politiques successives mises en œuvre par les ministres de l'Éducation Nationale, et en particulier celle du premier ministre. Cherchez du côté du président de la république et sa chère épouse, sans doute très public-addict. Tous désorganisent sciemment le fonctionnement de l'École publique et notamment, que cela vous plaise ou non, au profit de l'École privée.
https://www.liberation.fr/societe/la-tres-inegale-repartition-sociale-des-eleves-dans-lenseignement-prive-et-le-public-20221018_FJPH6NUK6JHNTEPOWB6WGBZ27U/
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