- Ajonc35Sage
ON, pourrait déjà profiter de la baisse des effectifs en primaire et ne fermer aucune classe. Moins d'élèves par classe, donc plus de temps pour chacun et surtout les plys fragiles. Ou encore plus de maîtres que de classes ( je ne sais si c'est bien, mais j'ai pu constater, à travers un de mes petit- fils alors en maternelle que le travail en petits groupes facilitait l'échange etc...)TFS a écrit:*Ombre* a écrit:Prezbo a écrit:
La réforme actuelle prétend répondre à une situation qui est la conséquence de la massification de l'enseignement secondaire, elle même conséquence le la loi collège unique
Je ne suis pas d'accord. La situation, en français au moins (mais le français n'est-il pas la mère de toute pensée, donc de toute réussite scolaire ?), est le résultat de décennies de coupes dans les heures d'enseignements et les moyens en général, parce qu'on a voulu une massification sans moyens (déjà... autres temps, mêmes moeurs...).
En 1970, un élève de 6e avait 6 heures de français par semaine, dont 3 dédoublées.
Quand j'ai débuté, un peu avant l'an 2000, il y avait 5 heures de français, 6 en REP, dont une heure dédoublée + une heure de soutien.
Aujourd'hui, un élève de 6e a 4h30 de français par semaine, plus aucun dédoublement, et une malheureuse heure quinzaine de "soutien approfondissement" ajoutée après la disparition de tout dispositif d'aide en 2016 et avant sa re-disparition aussi sec un an après.
Mais surtout, en 1970, un élève de CP faisait 15 heures de français par semaine, contre 10 aujourd'hui (après un passage par une période de grande misère à 8h par semaine dans les années 2010).
Cela change tout.
Sauver Les Lettres a calculé qu'un élève de 5e a perdu, par rapport à un élève du même niveau des années 70, l'équivalent de deux ans et demi de scolarité, en nombre d'heures de cours passées par pertes et profits.
L'effondrement du niveau, comme à l'hôpital, est avant tout dû aux coupes sombres dans les moyens alloués. On nous a seriné pendant des années que ces baisses n'étaient pas graves, qu'on ferait mieux avec moins grâce à des pédagogies innovantes. On découvre que c'était du pipeau. On a eu les économies, mais l'école s'est effondrée.
On veut un vrai choc des savoirs ? Inutile de revenir au XIXe siècle. Il suffit de remettre un nombre suffisant d'heures de français, d'abord en primaire, et de rétablir des dédoublements et de vrais dispositifs de soutien assurés par des professionnels et pas par le premier aed qui passe.
+1000.
En Maths, on peut comptabiliser la même perte de moyens, qui se totalise à plus d'une année d'enseignementven moins.
La diminution a accompagné la massification pour des raisons purement budgétaires, rendant impossible le but premier du collège unique.
Il faudrait rendre les heures... mais il n'y a plus de professeurs pour les effectuer !
Il faudrait des années pour remettre tout cela sur des rails s'il y avait la volonté politique de le faire... et on n'en prends pas du tout le chemin...
Plutôt que réarmer, on ne sait comment, changeons le fusil d'épaule.
Partout je vois ici, des classes qui fermeraient, plus nombreuses que celles qui ouvriraient.
- ysabelDevin
*Ombre* a écrit:Prezbo a écrit:
La réforme actuelle prétend répondre à une situation qui est la conséquence de la massification de l'enseignement secondaire, elle même conséquence le la loi collège unique
Je ne suis pas d'accord. La situation, en français au moins (mais le français n'est-il pas la mère de toute pensée, donc de toute réussite scolaire ?), est le résultat de décennies de coupes dans les heures d'enseignements et les moyens en général, parce qu'on a voulu une massification sans moyens (déjà... autres temps, mêmes moeurs...).
En 1970, un élève de 6e avait 6 heures de français par semaine, dont 3 dédoublées.
Quand j'ai débuté, un peu avant l'an 2000, il y avait 5 heures de français, 6 en REP, dont une heure dédoublée + une heure de soutien.
Aujourd'hui, un élève de 6e a 4h30 de français par semaine, plus aucun dédoublement, et une malheureuse heure quinzaine de "soutien approfondissement" ajoutée après la disparition de tout dispositif d'aide en 2016 et avant sa re-disparition aussi sec un an après.
Mais surtout, en 1970, un élève de CP faisait 15 heures de français par semaine, contre 10 aujourd'hui (après un passage par une période de grande misère à 8h par semaine dans les années 2010).
Cela change tout.
Sauver Les Lettres a calculé qu'un élève de 5e a perdu, par rapport à un élève du même niveau des années 70, l'équivalent de deux ans et demi de scolarité, en nombre d'heures de cours passées par pertes et profits.
L'effondrement du niveau, comme à l'hôpital, est avant tout dû aux coupes sombres dans les moyens alloués. On nous a seriné pendant des années que ces baisses n'étaient pas graves, qu'on ferait mieux avec moins grâce à des pédagogies innovantes. On découvre que c'était du pipeau. On a eu les économies, mais l'école s'est effondrée.
On veut un vrai choc des savoirs ? Inutile de revenir au XIXe siècle. Il suffit de remettre un nombre suffisant d'heures de français, d'abord en primaire, et de rétablir des dédoublements et de vrais dispositifs de soutien assurés par des professionnels et pas par le premier aed qui passe.
C'est pourquoi mes 1e techno écrivent comme des 5e...
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- PrezboGrand Maître
*Ombre* a écrit:Prezbo a écrit:
La réforme actuelle prétend répondre à une situation qui est la conséquence de la massification de l'enseignement secondaire, elle même conséquence le la loi collège unique
Je ne suis pas d'accord. La situation, en français au moins (mais le français n'est-il pas la mère de toute pensée, donc de toute réussite scolaire ?), est le résultat de décennies de coupes dans les heures d'enseignements et les moyens en général, parce qu'on a voulu une massification sans moyens (déjà... autres temps, mêmes moeurs...).
En 1970, un élève de 6e avait 6 heures de français par semaine, dont 3 dédoublées.
Quand j'ai débuté, un peu avant l'an 2000, il y avait 5 heures de français, 6 en REP, dont une heure dédoublée + une heure de soutien.
Aujourd'hui, un élève de 6e a 4h30 de français par semaine, plus aucun dédoublement, et une malheureuse heure quinzaine de "soutien approfondissement" ajoutée après la disparition de tout dispositif d'aide en 2016 et avant sa re-disparition aussi sec un an après.
Mais surtout, en 1970, un élève de CP faisait 15 heures de français par semaine, contre 10 aujourd'hui (après un passage par une période de grande misère à 8h par semaine dans les années 2010).
Cela change tout.
Sauver Les Lettres a calculé qu'un élève de 5e a perdu, par rapport à un élève du même niveau des années 70, l'équivalent de deux ans et demi de scolarité, en nombre d'heures de cours passées par pertes et profits.
L'effondrement du niveau, comme à l'hôpital, est avant tout dû aux coupes sombres dans les moyens alloués. On nous a seriné pendant des années que ces baisses n'étaient pas graves, qu'on ferait mieux avec moins grâce à des pédagogies innovantes. On découvre que c'était du pipeau. On a eu les économies, mais l'école s'est effondrée.
On veut un vrai choc des savoirs ? Inutile de revenir au XIXe siècle. Il suffit de remettre un nombre suffisant d'heures de français, d'abord en primaire, et de rétablir des dédoublements et de vrais dispositifs de soutien assurés par des professionnels et pas par le premier aed qui passe.
Je ne suis pas d'accord.
Une chute du nombre d'heure d'écoles en primaire, oui, mais elle s'est faite en ajoutant des heures de réunions aux PE-ex instits, pas en réduisant le rapport entre le nombre de PE et le nombre d'enfants. Est-ce que tu préconiserais comme solution le retour à une semaine plus lourde pour ces PE ?
Au collège, la chute du nombre d'heures de maths et de français s'est surtout faite au bénéfice des autres matières, ou en raison de la chute du nombre d'heures élèves global, mais pas par une réduction du taux d'encadrement. Je ne pense pas là aussi que le rapport nombre de profs/élèves soit inférieur à ce qu'il était dans les années 70, et je serais curieux qu'on me démontre le contraire.
Globalement, je ne pense pas que le pays dépense une part du PIB pour l'éducation moindre aujourd'hui que ce qu'elle était dans les années 70, et je ne suis même pas sûre que la dépense annuelle par élève en euros constant ait diminué. Il ne faut pas confondre les rêves d'économies que peut faire le gouvernement avec les tendances sociales et historiques lourdes, ni se tromper de diagnostic.
Ensuite, si on veut mettre les moyens en regard des besoins éventuellement en hausse, il faut accepter de débattre des besoins.
- Iwiwon46Niveau 5
Un article intéressant sur l'évolution de l'investissement en part de PIB de la dépense pour l'éducation. Et si tu regardes le détail en le correlant à la démographie et en analysant aussi les dispositifs qui font maintenant partie du budget de l'éducation et qui se sont ajoutés ( paiement et gestion des AESH, prise en charge du handicap), tu verras que ça a quand-même bien diminué.Prezbo a écrit:*Ombre* a écrit:Prezbo a écrit:
La réforme actuelle prétend répondre à une situation qui est la conséquence de la massification de l'enseignement secondaire, elle même conséquence le la loi collège unique
Je ne suis pas d'accord. La situation, en français au moins (mais le français n'est-il pas la mère de toute pensée, donc de toute réussite scolaire ?), est le résultat de décennies de coupes dans les heures d'enseignements et les moyens en général, parce qu'on a voulu une massification sans moyens (déjà... autres temps, mêmes moeurs...).
En 1970, un élève de 6e avait 6 heures de français par semaine, dont 3 dédoublées.
Quand j'ai débuté, un peu avant l'an 2000, il y avait 5 heures de français, 6 en REP, dont une heure dédoublée + une heure de soutien.
Aujourd'hui, un élève de 6e a 4h30 de français par semaine, plus aucun dédoublement, et une malheureuse heure quinzaine de "soutien approfondissement" ajoutée après la disparition de tout dispositif d'aide en 2016 et avant sa re-disparition aussi sec un an après.
Mais surtout, en 1970, un élève de CP faisait 15 heures de français par semaine, contre 10 aujourd'hui (après un passage par une période de grande misère à 8h par semaine dans les années 2010).
Cela change tout.
Sauver Les Lettres a calculé qu'un élève de 5e a perdu, par rapport à un élève du même niveau des années 70, l'équivalent de deux ans et demi de scolarité, en nombre d'heures de cours passées par pertes et profits.
L'effondrement du niveau, comme à l'hôpital, est avant tout dû aux coupes sombres dans les moyens alloués. On nous a seriné pendant des années que ces baisses n'étaient pas graves, qu'on ferait mieux avec moins grâce à des pédagogies innovantes. On découvre que c'était du pipeau. On a eu les économies, mais l'école s'est effondrée.
On veut un vrai choc des savoirs ? Inutile de revenir au XIXe siècle. Il suffit de remettre un nombre suffisant d'heures de français, d'abord en primaire, et de rétablir des dédoublements et de vrais dispositifs de soutien assurés par des professionnels et pas par le premier aed qui passe.
Je ne suis pas d'accord.
Une chute du nombre d'heure d'écoles en primaire, oui, mais elle s'est faite en ajoutant des heures de réunions aux PE-ex instits, pas en réduisant le rapport entre le nombre de PE et le nombre d'enfants. Est-ce que tu préconiserais comme solution le retour à une semaine plus lourde pour ces PE ?
Au collège, la chute du nombre d'heures de maths et de français s'est surtout faite au bénéfice des autres matières, ou en raison de la chute du nombre d'heures élèves global, mais pas par une réduction du taux d'encadrement. Je ne pense pas là aussi que le rapport nombre de profs/élèves soit inférieur à ce qu'il était dans les années 70, et je serais curieux qu'on me démontre le contraire.
Globalement, je ne pense pas que le pays dépense une part du PIB pour l'éducation moindre aujourd'hui que ce qu'elle était dans les années 70, et je ne suis même pas sûre que la dépense annuelle par élève en euros constant ait diminué. Il ne faut pas confondre les rêves d'économies que peut faire le gouvernement avec les tendances sociales et historiques lourdes, ni se tromper de diagnostic.
Ensuite, si on veut mettre les moyens en regard des besoins éventuellement en hausse, il faut accepter de débattre des besoins.
https://www.cafepedagogique.net/2022/11/30/la-depense-d-education-reste-plus-faible-que-pour-la-generation-precedente/
- TrucOuBiduleHabitué du forum
Et on peut rajouter que la France sous-investit dans l'éducation en comparaison avec d'autres pays de l'OCDE :Iwiwon46 a écrit:Un article intéressant sur l'évolution de l'investissement en part de PIB de la dépense pour l'éducation. Et si tu regardes le détail en le correlant à la démographie et en analysant aussi les dispositifs qui font maintenant partie du budget de l'éducation et qui se sont ajoutés ( paiement et gestion des AESH, prise en charge du handicap), tu verras que ça a quand-même bien diminué.Prezbo a écrit:*Ombre* a écrit:Prezbo a écrit:
La réforme actuelle prétend répondre à une situation qui est la conséquence de la massification de l'enseignement secondaire, elle même conséquence le la loi collège unique
Je ne suis pas d'accord. La situation, en français au moins (mais le français n'est-il pas la mère de toute pensée, donc de toute réussite scolaire ?), est le résultat de décennies de coupes dans les heures d'enseignements et les moyens en général, parce qu'on a voulu une massification sans moyens (déjà... autres temps, mêmes moeurs...).
En 1970, un élève de 6e avait 6 heures de français par semaine, dont 3 dédoublées.
Quand j'ai débuté, un peu avant l'an 2000, il y avait 5 heures de français, 6 en REP, dont une heure dédoublée + une heure de soutien.
Aujourd'hui, un élève de 6e a 4h30 de français par semaine, plus aucun dédoublement, et une malheureuse heure quinzaine de "soutien approfondissement" ajoutée après la disparition de tout dispositif d'aide en 2016 et avant sa re-disparition aussi sec un an après.
Mais surtout, en 1970, un élève de CP faisait 15 heures de français par semaine, contre 10 aujourd'hui (après un passage par une période de grande misère à 8h par semaine dans les années 2010).
Cela change tout.
Sauver Les Lettres a calculé qu'un élève de 5e a perdu, par rapport à un élève du même niveau des années 70, l'équivalent de deux ans et demi de scolarité, en nombre d'heures de cours passées par pertes et profits.
L'effondrement du niveau, comme à l'hôpital, est avant tout dû aux coupes sombres dans les moyens alloués. On nous a seriné pendant des années que ces baisses n'étaient pas graves, qu'on ferait mieux avec moins grâce à des pédagogies innovantes. On découvre que c'était du pipeau. On a eu les économies, mais l'école s'est effondrée.
On veut un vrai choc des savoirs ? Inutile de revenir au XIXe siècle. Il suffit de remettre un nombre suffisant d'heures de français, d'abord en primaire, et de rétablir des dédoublements et de vrais dispositifs de soutien assurés par des professionnels et pas par le premier aed qui passe.
Je ne suis pas d'accord.
Une chute du nombre d'heure d'écoles en primaire, oui, mais elle s'est faite en ajoutant des heures de réunions aux PE-ex instits, pas en réduisant le rapport entre le nombre de PE et le nombre d'enfants. Est-ce que tu préconiserais comme solution le retour à une semaine plus lourde pour ces PE ?
Au collège, la chute du nombre d'heures de maths et de français s'est surtout faite au bénéfice des autres matières, ou en raison de la chute du nombre d'heures élèves global, mais pas par une réduction du taux d'encadrement. Je ne pense pas là aussi que le rapport nombre de profs/élèves soit inférieur à ce qu'il était dans les années 70, et je serais curieux qu'on me démontre le contraire.
Globalement, je ne pense pas que le pays dépense une part du PIB pour l'éducation moindre aujourd'hui que ce qu'elle était dans les années 70, et je ne suis même pas sûre que la dépense annuelle par élève en euros constant ait diminué. Il ne faut pas confondre les rêves d'économies que peut faire le gouvernement avec les tendances sociales et historiques lourdes, ni se tromper de diagnostic.
Ensuite, si on veut mettre les moyens en regard des besoins éventuellement en hausse, il faut accepter de débattre des besoins.
https://www.cafepedagogique.net/2022/11/30/la-depense-d-education-reste-plus-faible-que-pour-la-generation-precedente/
https://www.letudiant.fr/educpros/actualite/depenses-deducation-la-france-investit-peu-par-rapport-aux-autres-pays-de-locde.html
- *Ombre*Grand sage
Prezbo a écrit:
Je ne suis pas d'accord.
Au collège, la chute du nombre d'heures de maths et de français s'est surtout faite au bénéfice des autres matières, ou en raison de la chute du nombre d'heures élèves global
Eh bien, sans doute étaient-ce de mauvais choix.
Sans doute que quand on fait moins des bases qui apprennent à penser et à raisonner, et un peu de tout, on fait surtout n'importe quoi.
Peut-être que moins d'école en tout, ça fait moins d'apprentissages globalement.
Une chute du nombre d'heure d'écoles en primaire, oui, mais elle s'est faite en ajoutant des heures de réunions aux PE-ex instits, pas en réduisant le rapport entre le nombre de PE et le nombre d'enfants. Est-ce que tu préconiserais comme solution le retour à une semaine plus lourde pour ces PE ?
Je préconiserais plutôt de libérer les instits des réunions qui servent à rien pour remettre des heures de cours qui servent à quelque chose (i.-e. pas des heures comme citées ci-dessus).
Réparer les erreurs grossières, quoi.
- MathadorEmpereur
Oh mais avec le bon accompagnement on peut faire passer ça comme une lettre à la poste.Prezbo a écrit:Une chute du nombre d'heure d'écoles en primaire, oui, mais elle s'est faite en ajoutant des heures de réunions aux PE-ex instits, pas en réduisant le rapport entre le nombre de PE et le nombre d'enfants. Est-ce que tu préconiserais comme solution le retour à une semaine plus lourde pour ces PE ?
Je propose:
1) la suppression des réunions débiles pour soulager la surcharge de travail;
2) l'alignement de la paye des PE sur celle de mon corps, ou au moins sur celle des inspecteurs des finances;
3) que les IEN donnent raison par défaut aux PE face aux jérémiades futiles et/ou malveillantes des familles (cf. le fil sur les cabales Whatsapp);
4) le rétablissement de la catégorie active pour la retraite (ce qui ne coûtera quasiment rien pendant 17 ans).
_________________
"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- NLM76Grand Maître
Cela dépend de la perspective. En fait, sur la longue durée, on oscille entre 6,3 et 7,7% du PIB, avec un sommet entre 1994 et 1997, une chute jusqu'en 2008, et une certaine stabilité depuis 15 ans. Voir l'original:Iwiwon46 a écrit:Un article intéressant sur l'évolution de l'investissement en part de PIB de la dépense pour l'éducation. Et si tu regardes le détail en le correlant à la démographie et en analysant aussi les dispositifs qui font maintenant partie du budget de l'éducation et qui se sont ajoutés ( paiement et gestion des AESH, prise en charge du handicap), tu verras que ça a quand-même bien diminué.
https://www.cafepedagogique.net/2022/11/30/la-depense-d-education-reste-plus-faible-que-pour-la-generation-precedente/
- https://www.education.gouv.fr/media/157170/download
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- HalybelÉrudit
J'ai vu passer une autorisation pour demander à enseigner les maths aux groupes de niveau par exemple adressée à des profs de Techno pour compléter leur service.
(académie de Bordeaux notamment).
L'IFRAP se frotte les mains.
(académie de Bordeaux notamment).
L'IFRAP se frotte les mains.
_________________
Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- joebar69Fidèle du forum
Halybel a écrit:J'ai vu passer une autorisation pour demander à enseigner les maths aux groupes de niveau par exemple adressée à des profs de Techno pour compléter leur service.
(académie de Bordeaux notamment).
L'IFRAP se frotte les mains.
Et allez !
Et j'imagine qu'on leur donnera le groupe de niveau top++ !!
Un bel exemple de piétinement de nos expertises respectives.
- EnaecoVénérable
Ça fait plus de 10 ans qu'on offre la possibilité aux enseignants de sciences de basculer sur la L1300 moyennant une petite année en tant que stagiaire.
- joebar69Fidèle du forum
@Enaeco : Ah, mais je connais bien ces dispositifs pour l'avoir vu me le proposer au moment où ma discipline première enseignée était amenée à disparaître (et a disparu depuis). On voit ce que cela donne. J'ai connaissance d'un ex-collègue prof de STI, qui a basculé vers 2012 en Techno, qui se retrouve depuis l'an dernier à cheval sur 2 étabs et à qui on va proposer de faire désormais des maths, en plus de sa discipline de reconversion, le tout sur 2 étabs ! Il va avoir 60 ans l'année prochaine.
Bon, on peut en penser ce que l'on veut, mais le sentiment d'être marché dessus et de n'être qu'un fusible, peut faire naître, chez certain.e.s de nos collègues, l'envie de ne plus investir le moindre effort dans ce bouzin qu'est devenu l'EN (et je les comprends).
Bon, on peut en penser ce que l'on veut, mais le sentiment d'être marché dessus et de n'être qu'un fusible, peut faire naître, chez certain.e.s de nos collègues, l'envie de ne plus investir le moindre effort dans ce bouzin qu'est devenu l'EN (et je les comprends).
- chmarmottineGuide spirituel
joebar69 a écrit:@Enaeco : Ah, mais je connais bien ces dispositifs pour l'avoir vu me le proposer au moment où ma discipline première enseignée était amenée à disparaître (et a disparu depuis). On voit ce que cela donne. J'ai connaissance d'un ex-collègue prof de STI, qui a basculé vers 2012 en Techno, qui se retrouve depuis l'an dernier à cheval sur 2 étabs et à qui on va proposer de faire désormais des maths, en plus de sa discipline de reconversion, le tout sur 2 étabs ! Il va avoir 60 ans l'année prochaine.
Bon, on peut en penser ce que l'on veut, mais le sentiment d'être marché dessus et de n'être qu'un fusible, peut faire naître, chez certain.e.s de nos collègues, l'envie de ne plus investir le moindre effort dans ce bouzin qu'est devenu l'EN (et je les comprends).
Très clairement ...
Arrivée à la cinquantaine, on m'a fait enseigner SNT et enseignement scientifique pour au final me faire partir en CS puis supprimer mon poste ... et maintenant qu'on pourrait créer des postes qui me permettraient de revenir dans ma ville, j'ai un peu de mal avec cette idée que des collègues d'une autre discipline feront ces heures de maths pendant que je me fatiguerai à aller dans un bahut que je n'ai pas demandé ...
Autant dire que j'ai très envie de me donner le droit de faire des cours de m...
- joebar69Fidèle du forum
chmarmottine a écrit:
Très clairement ...
Arrivée à la cinquantaine, on m'a fait enseigner SNT et enseignement scientifique pour au final me faire partir en CS puis supprimer mon poste ... et maintenant qu'on pourrait créer des postes qui me permettraient de revenir dans ma ville, j'ai un peu de mal avec cette idée que des collègues d'une autre discipline feront ces heures de maths pendant que je me fatiguerai à aller dans un bahut que je n'ai pas demandé ...
Autant dire que j'ai très envie de me donner le droit de faire des cours de m...
La bienveillance envers ses personnels à la sauce EN, en sorte.
Pour la partie graissée, sans forcément mal réaliser ses missions, on peut se contenter de ne faire que ses cours (on peut alors fortement s'aider du livre, si on veut réduire la voilure), ses évals (en les réduisant à 1 ou 2 /trimestre, si on veut réduire la voilure) et ses participations aux C.C. (faire acte de présence, si on veut réduire la voilure).
Pour tout le reste, c'est du "sacerdoce". Personnellement, je ne suis pas entré dans les ordres. Je réalise une mission de service public, du mieux que je peux (possibilité que l'on adaptera à sa capacité, son envie de faire) avec les moyens que l'on me donne. Point.
- GTDNiveau 1
chmarmottine a écrit:joebar69 a écrit:@Enaeco : Ah, mais je connais bien ces dispositifs pour l'avoir vu me le proposer au moment où ma discipline première enseignée était amenée à disparaître (et a disparu depuis). On voit ce que cela donne. J'ai connaissance d'un ex-collègue prof de STI, qui a basculé vers 2012 en Techno, qui se retrouve depuis l'an dernier à cheval sur 2 étabs et à qui on va proposer de faire désormais des maths, en plus de sa discipline de reconversion, le tout sur 2 étabs ! Il va avoir 60 ans l'année prochaine.
Bon, on peut en penser ce que l'on veut, mais le sentiment d'être marché dessus et de n'être qu'un fusible, peut faire naître, chez certain.e.s de nos collègues, l'envie de ne plus investir le moindre effort dans ce bouzin qu'est devenu l'EN (et je les comprends).
Très clairement ...
Arrivée à la cinquantaine, on m'a fait enseigner SNT et enseignement scientifique pour au final me faire partir en CS puis supprimer mon poste ... et maintenant qu'on pourrait créer des postes qui me permettraient de revenir dans ma ville, j'ai un peu de mal avec cette idée que des collègues d'une autre discipline feront ces heures de maths pendant que je me fatiguerai à aller dans un bahut que je n'ai pas demandé ...
Autant dire que j'ai très envie de me donner le droit de faire des cours de m...
+1 c'est insupportable d'imaginer que d'autres collègues (d'une autre discipline ou non) viennent faire des heures de maths là où nous ne pourrions pas les effectuer nous même à cause de contraintes d'alignement et que nous devrions pour cette raison en effectuer autant en CS ailleurs...
- joebar69Fidèle du forum
GTD a écrit:
+1 c'est insupportable d'imaginer que d'autres collègues (d'une autre discipline ou non) viennent faire des heures de maths là où nous ne pourrions pas les effectuer nous même à cause de contraintes d'alignement et que nous devrions pour cette raison en effectuer autant en CS ailleurs...
Attention à ne pas se tromper de cible, svp. Les responsables ne sont pas les autres collègues (d'autres disciplines), mais bien l'Institution qui dénigre, par ce procédé, nos expertises dans chacune de nos disciplines.
- GTDNiveau 1
Je ne dis pas ça, puisque ce sera certainement des échanges réciproques.
Si je précise : Ce qui est insupportable pour moi c'est que l'institution envisage cela.
Si je précise : Ce qui est insupportable pour moi c'est que l'institution envisage cela.
- MyrrhaNiveau 9
Oui, un prof de maths du collège A en complément de service dans le collège B, et un prof de maths du collège B en complément de service dans le collège A, alors que chacun pourrait faire 18h ou 20h dans son propre collège, sans les EDT en barrette...
- meevadeborahNiveau 8
Myrrha a écrit:Oui, un prof de maths du collège A en complément de service dans le collège B, et un prof de maths du collège B en complément de service dans le collège A, alors que chacun pourrait faire 18h ou 20h dans son propre collège, sans les EDT en barrette...
Ici, je suis dans l'orne, ils sont revenus la dessus : on pourrait scinder en 2 les alignements et donc les compléments de service qui étaient prévus (un en maths, un en français), compléments de service dans les 2 sens donc, ne sont plus à l'ordre du jour.
- Flo44Érudit
meevadeborah a écrit:Myrrha a écrit:Oui, un prof de maths du collège A en complément de service dans le collège B, et un prof de maths du collège B en complément de service dans le collège A, alors que chacun pourrait faire 18h ou 20h dans son propre collège, sans les EDT en barrette...
Ici, je suis dans l'orne, ils sont revenus la dessus : on pourrait scinder en 2 les alignements et donc les compléments de service qui étaient prévus (un en maths, un en français), compléments de service dans les 2 sens donc, ne sont plus à l'ordre du jour.
Comment ça, scinder en deux? Tu veux dire par exemple aligner d'un côté 2 classes, de l'autre 3 classes?
Ça pose toujours problème pour les petits établissements à 3 classes sur un niveau...
- chmarmottineGuide spirituel
Flo44 a écrit:meevadeborah a écrit:Myrrha a écrit:Oui, un prof de maths du collège A en complément de service dans le collège B, et un prof de maths du collège B en complément de service dans le collège A, alors que chacun pourrait faire 18h ou 20h dans son propre collège, sans les EDT en barrette...
Ici, je suis dans l'orne, ils sont revenus la dessus : on pourrait scinder en 2 les alignements et donc les compléments de service qui étaient prévus (un en maths, un en français), compléments de service dans les 2 sens donc, ne sont plus à l'ordre du jour.
Comment ça, scinder en deux? Tu veux dire par exemple aligner d'un côté 2 classes, de l'autre 3 classes?
Ça pose toujours problème pour les petits établissements à 3 classes sur un niveau...
Pas si n'importe quelle autre discipline est autorisée à enseigner les maths ...
- TrucOuBiduleHabitué du forum
Vos collègues de "SVT, SPC et techno" sont soumis depuis longtemps à ce genre de bricolage, bidouillage, sans que ça ne gêne grand-monde ("c'était" le cas au moins en 6è collège 2016 avant que les profs de techno ne soyons même plus compétents pour "enseigner les sciences et techno" et sans doute un peu lycée Blanquer (je connais bien moins, peur de dire nimp) avec "l'enseignement scientifique") .GTD a écrit:chmarmottine a écrit:joebar69 a écrit:@Enaeco : Ah, mais je connais bien ces dispositifs pour l'avoir vu me le proposer au moment où ma discipline première enseignée était amenée à disparaître (et a disparu depuis). On voit ce que cela donne. J'ai connaissance d'un ex-collègue prof de STI, qui a basculé vers 2012 en Techno, qui se retrouve depuis l'an dernier à cheval sur 2 étabs et à qui on va proposer de faire désormais des maths, en plus de sa discipline de reconversion, le tout sur 2 étabs ! Il va avoir 60 ans l'année prochaine.
Bon, on peut en penser ce que l'on veut, mais le sentiment d'être marché dessus et de n'être qu'un fusible, peut faire naître, chez certain.e.s de nos collègues, l'envie de ne plus investir le moindre effort dans ce bouzin qu'est devenu l'EN (et je les comprends).
Très clairement ...
Arrivée à la cinquantaine, on m'a fait enseigner SNT et enseignement scientifique pour au final me faire partir en CS puis supprimer mon poste ... et maintenant qu'on pourrait créer des postes qui me permettraient de revenir dans ma ville, j'ai un peu de mal avec cette idée que des collègues d'une autre discipline feront ces heures de maths pendant que je me fatiguerai à aller dans un bahut que je n'ai pas demandé ...
Autant dire que j'ai très envie de me donner le droit de faire des cours de m...
+1 c'est insupportable d'imaginer que d'autres collègues (d'une autre discipline ou non) viennent faire des heures de maths là où nous ne pourrions pas les effectuer nous même à cause de contraintes d'alignement et que nous devrions pour cette raison en effectuer autant en CS ailleurs...
Or, "dans une approche STEM" , pourquoi les enseignants en maths seraient exemptés de participation à ce m***er total de n'importe qui enseigne n'importe quoi mais en fait non, des fois, "y en a des trop nuls pour le faire" ?
Merci.joebar69 a écrit:GTD a écrit:
+1 c'est insupportable d'imaginer que d'autres collègues (d'une autre discipline ou non) viennent faire des heures de maths là où nous ne pourrions pas les effectuer nous même à cause de contraintes d'alignement et que nous devrions pour cette raison en effectuer autant en CS ailleurs...
Attention à ne pas se tromper de cible, svp. Les responsables ne sont pas les autres collègues (d'autres disciplines), mais bien l'Institution qui dénigre, par ce procédé, nos expertises dans chacune de nos disciplines.
- meevadeborahNiveau 8
chmarmottine a écrit:Flo44 a écrit:meevadeborah a écrit:Myrrha a écrit:Oui, un prof de maths du collège A en complément de service dans le collège B, et un prof de maths du collège B en complément de service dans le collège A, alors que chacun pourrait faire 18h ou 20h dans son propre collège, sans les EDT en barrette...
Ici, je suis dans l'orne, ils sont revenus la dessus : on pourrait scinder en 2 les alignements et donc les compléments de service qui étaient prévus (un en maths, un en français), compléments de service dans les 2 sens donc, ne sont plus à l'ordre du jour.
Comment ça, scinder en deux? Tu veux dire par exemple aligner d'un côté 2 classes, de l'autre 3 classes?
Ça pose toujours problème pour les petits établissements à 3 classes sur un niveau...
Pas si n'importe quelle autre discipline est autorisée à enseigner les maths ...
Nous avons 3 classes. Nous n'avons pas vu les détails "techniques" mais ils ne prévoient plus d'envoyer ailleurs ni les collègue de maths ni le collègue de français.
Or nous sommes 3 en maths et 4 en français pour 4 groupes en maths et 5 groupes en français.
J'imagine qu'on alignera les 3 classes, puis on fera 2 groupes maths, les 2 autres groupes seront en français, puis inversement.
Pour que ça fonctionne, il faut qu'il y ait sur les 2 groupes maths de la 1ère heure un groupe faible et un moyen-fort. De même pour la "2ème heure", un groupe faible et un groupe moyen-fort. Comme ça, il peut y avoir des changements en cours d'année.
Et puis comme ça, ça permet de faire quand même des groupes différents en maths et en français (pour nous la difficulté supplémentaires c'est qu'il doit y avoir un groupe de français en plus par rapport au maths, j'imagine que ça fera des effectifs très déséquilibrés et si ça se trouve, il y aura un groupe de moyen-fort plus nombreux qu'un groupe faible).
Bref, je ne suis pas sûre que les chefs ou que le dasen se posent la question de la faisabilité de la chose. Je souligne juste que ce qui était impossible pour nous il y a deux semaines est devenu possible maintenant.
Et que le "nous sommes bien obligés d'envoyer les collègues ailleurs et de faire venir quelqu'un" n'est plus obligé (pour le moment).
- KeaFidèle du forum
@Julien1 Sais-tu où cela bloque (au MEN, au Rectorat, au niveau de l’Enseignement catholique... ?) et pour quelle raison ?Julien1 a écrit:Kea a écrit:Idem dans la mienne, au point que les échéances du mouvement de l’emploi pourraient être modifiées...lucB a écrit:Dans la mienne non plus, c'est bien lourd...EdithW a écrit:Sur mon académie, toujours pas de DGH dans le privé. La réunion sur "les moyens" est repoussée de semaine en semaine. Super pratique. Les mutations, les projections d'EDT/organisation, tout est au point mort.
Je bosse dans une division de l'organisation scolaire en rectorat et je vous confirme que nous n'avons pas encore eu l'info. Cela risque effectivement de perturber le calendrier du mouvement. Nous sommes bloqués à notre niveau en attente de la DHG, cela grippe tout le reste de la chaîne.
- Vautrin84Niveau 10
Nous avons une limite basse en 5e l'année prochaine : 126 élèves, donc 5 classes. Avec la réforme et le groupe des faibles à 15, nous aurons en français/maths des groupes bien plus importants dans les 4 groupes moyens/forts que dans les classes entières. À vomir !
_________________
15e année dans l'EN !
- Spoiler:
- - 2023/2024 (T12) : 1 6e + 2 3e + section Histoire des Arts 6e/5e/4e/3e [+ 1 stagiaire]
- 2022/2023 (T11) : 1 groupe de 6e + 2 3e (PP) + section Histoire des Arts 6e/5e/4e/3e [+ 1 stagiaire]
- 2021/2022 (T10) : 1 4e (PP) + 2 3e + section Histoire des Arts 6e/5e/4e [+ 2 étudiants stagiaires]
- 2020/2021 (T9) : 1 5e + 2 3e (PP) + section Histoire des Arts 6e & 5e [+ 1 stagiaire]
- 2019/2020 (T8) : 2 groupes de 6e (PP) + 2 4e + section Histoire des Arts 6e [+ 1 stagiaire]
- 2018/2019 (T7) : 2 groupes de 6e + 2 3e (PP) + UPE2A
- 2017/2018 (T6) : 1 5e + 2 4e + 1 3e (PP)
- 2016/2017 (T5) : 2 5e + 2 3e (PP) [+ 1 EAP]
- 2015/2016 (T4) : 1 6e + 1 4e + 2 3e (PP) [+ 1 EAP]
- 2014/2015 (T3) : 1 6e + 1 5e + 2 3e (PP) [+ 1 EAP]
- 2013/2014 (T2) : 1 6e (PP) + 2 4e + 1 3e
- 2012/2013 (T1) : 2 5e + 2 3e
- 2011/2012 (stagiaire) : 2 5e + 2 4e
- 2009/2011 (AP Lettres) : 2de + 1re ES/L/S + Tle L
- SisypheHabitué du forum
Ça fait 28 élèves par groupe de moyens/forts. Vos classes sont à moins de 28. C'est bien. Pour moi, il ne faudrait pas dépasser 25. Dans le collège de mon aîné hier c'était collège mort. Les parents d'élèves ont bloqué le collège. Les classes sont à 31. Donc avec un groupe de faible à 15, les autres groupes sont à 28. Le rectorat dit aux collègues : "Vous voyez bien que c'est mieux pour tous les élèves !"
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