Amélie Oudéa-Castéra, notre nouvelle ministre

DesolationRow a écrit:Alors voilà : elle, c’est pas une oratrice

Et pourtant on sent quand même qu'il y a eu media training (mais pas très réussi).

Paddy a écrit:Pour ceux que ça intéresse ou qui auraient des tendances masochistes, la visio d'hier est sur youtube.

https://youtu.be/cIiFLSDNUjs

Si certain(e)s parmi vous reconnaissent les deux personnages aux extrêmes, je suis preneur.

Je m'auto-cite pour réitérer ma demande : qui sont les personnes qui encadrent la ministre (je ne connais que E. Geffray) ?

valle a écrit:

lene75 a écrit:Ce que je vois, c'est que cette polémique fait écran de fumée. Pendant qu'on parle de ça on ne parle pas de l'essentiel. La grève de demain est devenue illisible. Elle est devenue grève contre AOC qui aurait blessé les profs. Mais je m’en moque, de la vie privée d’AOC, qui n'est de toute façon pas notre ministre, Attal ayant annoncé depuis le début que le ministre, c'était lui. Il me semble qu’il y a bien plus important à discuter, et que tout ça est passé au second plan au profit d’une Paris Matchisation de la politique. J'en viens d'ailleurs à me demander si ça n'est pas voulu : grâce à cette polémique, envolées, les promesses d’Attal. On est déjà passé à autre chose. Ça l'arrange bien, en fin de compte. Les agriculteurs auront de vraies avancées sur le fond. Nous rien du tout, comme d'habitude. On se contentera des excuses de la ministre.

Ah, oui, sur ça, je suis d'accord : la ministre finira par se faire virer et le gouvernement nous vendra ça comme une concession aux enseignants, comme une victoire du terrain sur les bureaux.

Je n'en suis pas totalement certain. Il reste tout de même possible que beaucoup de nos collègues ne soient pas dupes et que cela ne soit pour eux une occasion d'y opposer un certain nombre de… faits… Mais quant à obtenir quelque chose ou rien : cela n'a plus probablement rien à voir avec la circonstance — et beaucoup plus avec un rapport de force dans lequel on joue perdant quasiment à l'avance.

lene75 a écrit:Tout ça n'a pas vraiment de sens. Je ne vois pas comment on peut en vouloir à quelqu'un pour ses origines sociales et ceux qui valorisent les origines sociales pauvres sont hypocrites, parce que personne ne veut de ça pour ses enfants, pas même et surtout pas ceux qui le sont, qui ne rêvent que d'une chose : l'élévation sociale. S'ils réussissent, leurs petits-enfants pourront donc être considérés comme des vilains méchants privilégiés à abattre.

La seule chose qu'on puisse reprocher, ce sont des choix personnels, et éventuellement les moyens utilisés pour parvenir à ce statut.

On ne peut pas reprocher à AOC d'avoir les parents qu'elle a, ni a ses parents d'avoir voulu le meilleur pour elle, ni à elle d'avoir voulu ce qu'elle considère comme le meilleur pour ses enfants. La seule chose qu'on peut lui reprocher, ce sont ses actes, par exemple d'avoir menti sur les absences, et, d'autre part, comme ces problèmes d'absences non remplacées sont réels, mais aussi bien dans le privé que dans le public, je crois, de reprocher à l'école publique ce dont son gouvernement est responsable (et les précédents aussi) : les problèmes de recrutement et la volonté de tarir le vivier de remplaçants même quand il n'y avait pas de problème de recrutement, sans avoir de solution viable à proposer.

Sur le fond, je suis d'accord que ce qu'on peut reprocher à Oudéa-Castera sont des faits (et sur le sujet, c'est déjà suffisamment indéfendable), plus que son origine ou son habitus, et je me méfie du populisme de ceux qui ironisent excessivement sur son accent ou sa gestuelle. Au demeurant, il y a de grands bourgeois qui sont aussi devenus des hommes d'Etat, des hommes de gauche ou des révolutionnaires marxistes (avec peut-être un besoin de compensation dans ce dernier cas). Mais la politique, c'est aussi convaincre, être capable d'être au niveau de son interlocuteur (ce qui suppose d'avoir conscience a priori de ce niveau relatif, et du fait que lui en est probablement conscient) et parler une langue qu'il comprend. Quand Oudéa-Castéra parle de la synergie des convergences ou du périmètre éducation nationale, elle donne l'impression d'utiliser un parlé creux qu'elle emploierait sur n'importe quel dossier, avec une méconnaissance complète des codes de ce ministère et de l'état d'exaspération des agents. Quand elle invoque de façon répétée son expérience de "maman", au mieux elle utilise une ficelle démagogique au demeurant commune justement chez les élites (insister sur son quotidien pour donner l'impression qu’elle fait partie du peuple), au pire elle a un sérieux problème de positionnement (ce qu'a fait justement remarqué Sophie Vénétitay du SNES en lui répondant qu'elle n'était pas là pour parler à la maman, mais à la ministre).

Et surtout, quand elle lance que tout ce qu'elle a hérité de ses parents, c'est l'amour du travail bien fait, elle donne l'impression d'avoir intégré le discours plein de bonne conscience de la bourgeoise qui s'imagine vraiment être dans sa position grâce à son travail (il paraît que ça s'apprend à Stanislas, je le tiens de Baldred). Ce genre de déclaration est politiquement incendiaire.

Je connais plein de fils d'ouvriers ou de paysans qui aidaient leurs parents à bricoler à la maison, qui ont hérité de leurs parents l'amour du travail bien fait, et qui ne sont ni stupides ni paresseux. Simplement, leurs chances d'intégrer l'ENA n'étaient pas les mêmes.

Ganbatte a écrit:Si vous souhaitez vous aussi partager la consternation qui nous a saisis hier :

Je ne suis pas sûr que nous devions te remercier.

Ce qui paraît incroyable à ce niveau d'études et de responsabilité, c'est son manque d'intelligence. Elle illustre à merveille le principe de Peter.

Clecle78 a écrit:Un compte rendu saignant de la visio d'hier
https://www.cafepedagogique.net/2024/01/31/rencontre-avec-les-chefs-detablissements-une-ministre-pas-vraiment-a-laise/

Je note tout de même ce verbatim de la ministre, qu'il faut arriver à prononcer sans trembler :

« Tous les élèves auront à faire le programme et tout le programme. Dorénavant, on leur laisse tout le temps nécessaire pour y arriver »

Donc, les élèves faibles auront le même programme que les autres, le même volume horaire aussi, mais plus de temps pour faire ce programme.

(Parents de futur collégiens, faites tout pour que votre gamin évite le groupe des élèves faibles, quel que soit le nom qu'on lui donnera. N'écoutez pas le ministre et les enseignants qui vous diront qu'il y fera la même chose que les autres.)

Prezbo a écrit:

Clecle78 a écrit:Un compte rendu saignant de la visio d'hier
https://www.cafepedagogique.net/2024/01/31/rencontre-avec-les-chefs-detablissements-une-ministre-pas-vraiment-a-laise/

Je note tout de même ce verbatim de la ministre, qu'il faut arriver à prononcer sans trembler :

« Tous les élèves auront à faire le programme et tout le programme. Dorénavant, on leur laisse tout le temps nécessaire pour y arriver »

Donc, les élèves faibles auront le même programme que les autres, le même volume horaire aussi, mais plus de temps pour faire ce programme.

(Parents de futur collégiens, faites tout pour que votre gamin évite le groupe des élèves faibles, quel que soit le nom qu'on lui donnera. N'écoutez pas le ministre et les enseignants qui vous diront qu'il y fera la même chose que les autres.)

On est d'accord, les groupes faibles auront très exactement le même volume horaire que les autres ? J'ai bien compris qu'à elle seule notre ministre renvoyait Gandalf et Merlin réunis au rang d'amuseurs de foire, mais même ainsi, par quel miracle elle parvient à la conclusion que les élèves les plus faibles auront tout le temps nécessaire pour faire exactement la même chose que les autres ?

Danska a écrit:

Prezbo a écrit:

Clecle78 a écrit:Un compte rendu saignant de la visio d'hier
https://www.cafepedagogique.net/2024/01/31/rencontre-avec-les-chefs-detablissements-une-ministre-pas-vraiment-a-laise/

Je note tout de même ce verbatim de la ministre, qu'il faut arriver à prononcer sans trembler :

« Tous les élèves auront à faire le programme et tout le programme. Dorénavant, on leur laisse tout le temps nécessaire pour y arriver »

Donc, les élèves faibles auront le même programme que les autres, le même volume horaire aussi, mais plus de temps pour faire ce programme.

(Parents de futur collégiens, faites tout pour que votre gamin évite le groupe des élèves faibles, quel que soit le nom qu'on lui donnera. N'écoutez pas le ministre et les enseignants qui vous diront qu'il y fera la même chose que les autres.)

On est d'accord, les groupes faibles auront très exactement le même volume horaire que les autres ? J'ai bien compris qu'à elle seule notre ministre renvoyait Gandalf et Merlin réunis au rang d'amuseurs de foire, mais même ainsi, par quel miracle elle parvient à la conclusion que les élèves les plus faibles auront tout le temps nécessaire pour faire exactement la même chose que les autres ?

Ils feront la même chose dans le même temps, mais plus lentement pour avoir plus de temps. A vous de faire preuve d'imagination pour vous emparer de la réforme.

Aucun souci. Quelqu'un a un magicien à vendre, un vrai, qui soit au niveau de la ministre ?

Ne nous leurrons pas, AOC n'est pour rien dans les réformes, puisqu'elle n'y comprend rien.
Donc il faut revenir à Attal-Macron.
Ce qui est amusant c'est de voir à quel point, dans les médias, Attal c'est l'ordonnance, le carré, le sérieux et de voir, sorti du communicant médiatique et des annonces tonitruantes, l'hallali pour les médias.
Et derrière, il y a le foutoir le plus complet et à la fin le "démerdez-vous" (concertation, autonomie, travail coopératif).

« C’est grâce à votre attention, à votre volonté que nous ferons bouger les choses. La proposition, elle est la vôtre. Ce ne n’est pas la rue de grenelle qui fixe le nombre de groupes et leur taille ».

Sa gestuelle et sa posture me font peine à voir.

C'est moins un manque d'intelligence, à proprement parler, qu'un manque total d'expérience : elle vient d'un monde totalement différent, parle une autre langue et a des manières de faire et de réagir qui sont totalement à contresens par rapport à tout ce qui touche l'éducation nationale. Elle est un peu comme un voyageur d'il y a 3 ou 4 siècles qui, débarquant dans une contrée inconnue de lui et qui, dénué d'expérience en matière de voyage et de rencontres de peuples lointains, déclencherait une bordée d'hostilité en quelques instants sans voir pourquoi…

Vidéo instructive et déprimante.
J'adore la répétition du terme "feuille de route" et sa lecture scrupuleuse d'icelle. Elle ne comprend rien à ce qu'elle fait et à ce qu'elle lit, mais elle va bien suivre les ordres qu'on lui donne.
J'adore la distinction professeurs et chefs d'établissement "cadres" de l'éducation nationale. Au moins, c'est clair, les IPR vont venir vous expliquer comment faire cours et vous imposer des progressions communes, que vous n'aurez plus qu'à suivre en bons petits exécutants. Puis les progressions communes, c'est bien, une fois que vous les aurez construites sur votre temps personnel et qu'on vous aura essorés, que vous quitterez l'enseignement , écoeurés et épuisés, on aura une ressource dans l'établissement pour que n'importe qui vienne faire cours. Après tout, suffit de lire une feuille de route, comme notre ministre.
J'adore aussi le "adaptez-vous à votre établissement" pour le nombre de groupes et la taille des groupes, avec les 15 pour les élèves faibles qui n'est qu'une "cible". Traduit ça donne: adaptez-vous aux moyens qu'on vous donne, et surtout, à ceux qu'on ne vous donnera pas, en tout cas, vous n'aurez pas de textes pour venir râler et dire que ce n'est pas normal que vos faibles se retrouvent à 22 faute de moyens et vos bons à 31, ce n'est qu'une cible, mais rien de contraignant pour eux. (Je le sais, puisque c'est ce qu'on nous à répondu quand nos 6èmes étaient à 30 et plus...28 maximum en 6ème, c'est une cible non contraignante pour le rectorat, pas un seuil).
J'adore enfin sa voix de professeur de maternelle sous Prozac qui parle tout doucement à ses ouailles, pour leur annoncer avec candeur une charge de travail démentielle et vaine sans aucune compensation ( et on prépare des groupes pour la rentrée, qu'on change un mois après, puis deux mois après, puis trois mois après, puis encore trois mois après et à chaque changement de groupe on se concerte, on reçoit la famille, on explique...vis ma vie de Shadock de l'éducation nationale)

stilt a écrit:Sa gestuelle et sa posture me font peine à voir.

Pas à moi. Elle est libre de démissionner, au lieu de quoi en restant à sa place elle relaie et cautionne la politique de son gouvernement, elle ne mérite aucune pitié.

Je suis en train de regarder en vitesse x2 la vidéo.

Question: pourquoi avoir fait une visio pour simplement lire un document ? Autant l'envoyer aux perdir.

epekeina.tes.ousias a écrit:C'est moins un manque d'intelligence, à proprement parler, qu'un manque total d'expérience

Je n'en suis pas sûr. Elle semble avoir déconnecté les mots de leur sens à un point tel qu'il devient vraiment difficile de raisonner.

epekeina.tes.ousias a écrit:C'est moins un manque d'intelligence, à proprement parler, qu'un manque total d'expérience : elle vient d'un monde totalement différent, parle une autre langue et a des manières de faire et de réagir qui sont totalement à contresens par rapport à tout ce qui touche l'éducation nationale. Elle est un peu comme un voyageur d'il y a 3 ou 4 siècles qui, débarquant dans une contrée inconnue de lui et qui, dénué d'expérience en matière de voyage et de rencontres de peuples lointains, déclencherait une bordée d'hostilité en quelques instants sans voir pourquoi…

Comment peut-on être ministre de l'Education nationale en somme...

J'avais une fausse image de l'ENA : une école où on apprend à parler efficacement à tout le monde (par exemple les préfets qui doivent être à l'aise avec le proviseur, l'évêque, le colonel de gendarmerie - on croirait un problème de plan de table pour la Baronne Staffe    : vous avez un général en retraite, un cardinal et une duchesse titulaire de la Croix de Guerre, qui mettez vous à côté de la femme du sous-préfet ? - mais aussi les agents de la DIR, les agriculteurs, les pompiers, les ouvriers d'une usine qui ferme...). Ou alors elle a séché les cours. Et c'est pas un bon exemple pour nos élèves...

J'ai rapidement regardé son discours en zappant pas mal. En revanche j'ai bien écouté les interventions des PERDIRS ensuite, auxquels elle ne répond pas d'ailleurs pas du tout.
Peut-on espérer une forme de "désobéissance" des PERDIR, qui ont tout de même l'air sacrément remontés (l'un parle de menaces de sanctions reçues s'il ne mettait pas en place suffisamment de RCD) ?

Je retiens qu'elle a dit, vers 1h01 d'intervention : « C'est à vous de nous proposer le meilleur schéma compte tenu du profil de vos élèves en 6e-5e, et nous ferons en sorte que vous ayez les moyens pour répondre à tous ces besoins ». Bon, eh bien voilà, c'est réglé, il suffit donc d'écrire au Père Noël pour qu'il nous dépose une belle DHG toute neuve et bien remplie avant la fin de l'année scolaire.

Prezbo a écrit:

Danska a écrit:

Prezbo a écrit:

Clecle78 a écrit:Un compte rendu saignant de la visio d'hier
https://www.cafepedagogique.net/2024/01/31/rencontre-avec-les-chefs-detablissements-une-ministre-pas-vraiment-a-laise/

Je note tout de même ce verbatim de la ministre, qu'il faut arriver à prononcer sans trembler :

« Tous les élèves auront à faire le programme et tout le programme. Dorénavant, on leur laisse tout le temps nécessaire pour y arriver »

Donc, les élèves faibles auront le même programme que les autres, le même volume horaire aussi, mais plus de temps pour faire ce programme.

(Parents de futur collégiens, faites tout pour que votre gamin évite le groupe des élèves faibles, quel que soit le nom qu'on lui donnera. N'écoutez pas le ministre et les enseignants qui vous diront qu'il y fera la même chose que les autres.)

On est d'accord, les groupes faibles auront très exactement le même volume horaire que les autres ? J'ai bien compris qu'à elle seule notre ministre renvoyait Gandalf et Merlin réunis au rang d'amuseurs de foire, mais même ainsi, par quel miracle elle parvient à la conclusion que les élèves les plus faibles auront tout le temps nécessaire pour faire exactement la même chose que les autres ?

Ils feront la même chose dans le même temps, mais plus lentement pour avoir plus de temps. A vous de faire preuve d'imagination pour vous emparer de la réforme.

Je ne cesse de relire cette phrase pour me sortir un peu de déprime

Paddy a écrit:

Paddy a écrit:Pour ceux que ça intéresse ou qui auraient des tendances masochistes, la visio d'hier est sur youtube.

https://youtu.be/cIiFLSDNUjs

Si certain(e)s parmi vous reconnaissent les deux personnages aux extrêmes, je suis preneur.

Je m'auto-cite pour réitérer ma demande : qui sont les personnes qui encadrent la ministre (je ne connais que E. Geffray) ?

Tout à droite, la femme est Morgane Weill, sa directrice de cabinet, qui vient de Carrefour comme elle.
Tout à gauche, je ne sais pas. Visiblement pas dans le cabinet de la ministre. Pas trouvé parmi les cadres de la DGESCO non plus.

Hocam a écrit:Je retiens qu'elle a dit, vers 1h01 d'intervention : « C'est à vous de nous proposer le meilleur schéma compte tenu du profil de vos élèves en 6e-5e, et nous ferons en sorte que vous ayez les moyens pour répondre à tous ces besoins ». Bon, eh bien voilà, c'est réglé, il suffit donc d'écrire au Père Noël pour qu'il nous dépose une belle DHG toute neuve et bien remplie avant la fin de l'année scolaire.

Ah moi je retiens ce qu'elle a dit après en disant que "les académies ont abondé en prenant en compte les profils (IPS, taux de pauvreté, évaluations nationales)".

Les "réponses aux questions" devraient être gérées par E. Geffray étant donné qu'elle le regarde pour qu'il lui dise si elle a affirmé des bêtises.

Laotzi a écrit:

Paddy a écrit:

Paddy a écrit:Pour ceux que ça intéresse ou qui auraient des tendances masochistes, la visio d'hier est sur youtube.

https://youtu.be/cIiFLSDNUjs

Si certain(e)s parmi vous reconnaissent les deux personnages aux extrêmes, je suis preneur.

Je m'auto-cite pour réitérer ma demande : qui sont les personnes qui encadrent la ministre (je ne connais que E. Geffray) ?

Tout à droite, la femme est Morgane Weill, sa directrice de cabinet, qui vient de Carrefour comme elle.
Tout à gauche, je ne sais pas. Visiblement pas dans le cabinet de la ministre. Pas trouvé parmi les cadres de la DGESCO non plus.

Merci. Eh ben, ça nous fait un sacré attelage...

Mais elle est fière de sa performance ?
Je crois qu’il va falloir faire de l’analyse de pratiques et adopter une posture réflexive.

En tout cas, Pacte ou pas, AOC démontre que le remplacement de "Paquets d'heures" à l'aveugle n'est pas bon.

N'importe qui ne remplace pas n'importe comment pour faire n'importe quoi.