- SatelliteNiveau 9
Je viens de tourner la dernière page de Ma Reine de Jean-Baptiste Andréa, dont c'est le premier roman, et que je place pour l'item 11: rois, reines, princes, princesses, etc... La reine en question est une jeune fille (une enfant? une adolescente, son âge n'est pas précisé dans le livre) que le narrateur, un adolescent "différent" surnomme ainsi dès leur première rencontre sur un plateau de Provence, alors que le jeune garçon s'est enfui de chez lui. Ils se reverront quelques fois, toujours dans le secret que Viviane (le vrai prénom de La Reine) exige d'être bien gardé. Il l'admire, elle le traite comme s'il était comme les autres. Puis elle ne vient plus à leurs rendez-vous. Un berger croise sa route, qui l'accueille, l'aide à la retrouver. C'est un récit sur l'émancipation, la liberté, assez touchant.
Pour l'item 8 (un livre sur les livres et la lecture), je me suis plongée dans Toute une moitié du monde d'Alice Zeniter. Il s'agit d'un ouvrage sur l'expérience de la lecture mais aussi de l'écriture. Constituée de 9 parties (comme 9 questionnements), la réflexion se porte par exemple sur la place des femmes dans la littérature, sur la notion de personnage, tout en faisant des ponts parfois avec d'autres formes d'art (le cinéma par exemple, puisque tout une partie porte sur le film Avatar). L'humour se mêle au sérieux et à une pensée exigeante, l'ensemble n'est jamais pesant et constitue un véritable plaidoyer pour la lecture. Cela m'a donné envie de lire L'Art de perdre mais je ne vois pas bien où je pourrais le placer...
Pour l'item 8 (un livre sur les livres et la lecture), je me suis plongée dans Toute une moitié du monde d'Alice Zeniter. Il s'agit d'un ouvrage sur l'expérience de la lecture mais aussi de l'écriture. Constituée de 9 parties (comme 9 questionnements), la réflexion se porte par exemple sur la place des femmes dans la littérature, sur la notion de personnage, tout en faisant des ponts parfois avec d'autres formes d'art (le cinéma par exemple, puisque tout une partie porte sur le film Avatar). L'humour se mêle au sérieux et à une pensée exigeante, l'ensemble n'est jamais pesant et constitue un véritable plaidoyer pour la lecture. Cela m'a donné envie de lire L'Art de perdre mais je ne vois pas bien où je pourrais le placer...
- cléoNiveau 9
Satellite a écrit:Je viens de tourner la dernière page de Ma Reine de Jean-Baptiste Andréa, dont c'est le premier roman, et que je place pour l'item 11: rois, reines, princes, princesses, etc... La reine en question est une jeune fille (une enfant? une adolescente, son âge n'est pas précisé dans le livre) que le narrateur, un adolescent "différent" surnomme ainsi dès leur première rencontre sur un plateau de Provence, alors que le jeune garçon s'est enfui de chez lui. Ils se reverront quelques fois, toujours dans le secret que Viviane (le vrai prénom de La Reine) exige d'être bien gardé. Il l'admire, elle le traite comme s'il était comme les autres. Puis elle ne vient plus à leurs rendez-vous. Un berger croise sa route, qui l'accueille, l'aide à la retrouver. C'est un récit sur l'émancipation, la liberté, assez touchant.
Pour l'item 8 (un livre sur les livres et la lecture), je me suis plongée dans Toute une moitié du monde d'Alice Zeniter. Il s'agit d'un ouvrage sur l'expérience de la lecture mais aussi de l'écriture. Constituée de 9 parties (comme 9 questionnements), la réflexion se porte par exemple sur la place des femmes dans la littérature, sur la notion de personnage, tout en faisant des ponts parfois avec d'autres formes d'art (le cinéma par exemple, puisque tout une partie porte sur le film Avatar). L'humour se mêle au sérieux et à une pensée exigeante, l'ensemble n'est jamais pesant et constitue un véritable plaidoyer pour la lecture. Cela m'a donné envie de lire L'Art de perdre mais je ne vois pas bien où je pourrais le placer...
Tu pourrais mettre L’art de perdre dans la catégorie « déplacement ». C’est vraiment un roman magnifique, je te le conseille.
- edelweis62Niveau 5
Bonsoir,
Pour le défi 33 "Le diable", j'ai lu Le maître et Marguerite de Mikhaïl Boulgakov. Un roman "sur Dieu et le Diable", burlesque et fantastique, qui entre parfaitement dans le thème. A la fois classique, et inclassable.
Un quatuor d'illusionnistes, déjantés et grinçants, sème la pagaille dans le Moscou bolchevique des années 30 avec à sa tête rien de moins que Satan. Tout est sens dessus dessous, la milice est dépassée et on perd la tête (parfois, littéralement). En parallèle, un écrivain, le "maître", auteur d'un roman sur Ponce Pilate, subit l'opprobre du milieu littéraire officiel, et son amante, Marguerite, passe un pacte avec le diable afin de le sauver.
Dans la traduction de Markowicz, dont je crois comprendre, ou en tout cas sentir, la spécificité. Une lecture importante, tant pour la folle créativité, l'ironie, l'impertinence, l'esprit de résistance et de liberté, que pour l'histoire mouvementée du roman et de sa publication. Heureusement que les notes éclairent certains aspects importants, et explicitent les sous-entendus et références au contexte d'écriture.
Pour le défi 33 "Le diable", j'ai lu Le maître et Marguerite de Mikhaïl Boulgakov. Un roman "sur Dieu et le Diable", burlesque et fantastique, qui entre parfaitement dans le thème. A la fois classique, et inclassable.
Un quatuor d'illusionnistes, déjantés et grinçants, sème la pagaille dans le Moscou bolchevique des années 30 avec à sa tête rien de moins que Satan. Tout est sens dessus dessous, la milice est dépassée et on perd la tête (parfois, littéralement). En parallèle, un écrivain, le "maître", auteur d'un roman sur Ponce Pilate, subit l'opprobre du milieu littéraire officiel, et son amante, Marguerite, passe un pacte avec le diable afin de le sauver.
Dans la traduction de Markowicz, dont je crois comprendre, ou en tout cas sentir, la spécificité. Une lecture importante, tant pour la folle créativité, l'ironie, l'impertinence, l'esprit de résistance et de liberté, que pour l'histoire mouvementée du roman et de sa publication. Heureusement que les notes éclairent certains aspects importants, et explicitent les sous-entendus et références au contexte d'écriture.
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"Il y a un autre monde, mais il est dans celui-ci." Paul Eluard
- StephieNiveau 5
15e livre, je suis contente de bien suivre le défi cette année
17. Un livre avec trois « a » dans le titre. Pardonne à la vie de Marjorie Levasseur : une jeune éditrice part à Chamonix rencontrer l'auteur d'un manuscrit qui n'a plus donné signe de vie depuis l'envoi de son texte. Sa maison d'édition la charge donc d'aller le débusquer et lui faire signer un contrat. Mais elle était loin d'imaginer l'accueil qu'on lui ferait. Roman feel-good sur la résilience et le pardon après un harcèlement. Un bon moment mais trop d'introspection à mon goût.
17. Un livre avec trois « a » dans le titre. Pardonne à la vie de Marjorie Levasseur : une jeune éditrice part à Chamonix rencontrer l'auteur d'un manuscrit qui n'a plus donné signe de vie depuis l'envoi de son texte. Sa maison d'édition la charge donc d'aller le débusquer et lui faire signer un contrat. Mais elle était loin d'imaginer l'accueil qu'on lui ferait. Roman feel-good sur la résilience et le pardon après un harcèlement. Un bon moment mais trop d'introspection à mon goût.
- lulucastagnetteEmpereur
Adren, ravie que le roman t'ait plu !
Je rejoins la team "gros pavés", je me suis attaquée à un bon gros morceau. Je me demande si je ne vais pas lire en parallèle d'autres choses pour avoir l'impression d'avancer !
J'ai emprunté deux titres à la bibli car au dernier café lecture auquel j'ai assisté, quelqu'un en avait fait la publicité, je ne sais pas encore s'ils rentreront dans le défi mais ma foi, on verra bien !
Je rejoins la team "gros pavés", je me suis attaquée à un bon gros morceau. Je me demande si je ne vais pas lire en parallèle d'autres choses pour avoir l'impression d'avancer !
J'ai emprunté deux titres à la bibli car au dernier café lecture auquel j'ai assisté, quelqu'un en avait fait la publicité, je ne sais pas encore s'ils rentreront dans le défi mais ma foi, on verra bien !
- DanskaProphète
Je prends aussi ma carte au club des gros pavés - d'autant que c'est le premier d'une série de six ! Je vais peut-être me contenter du premier et garder les autres pour après le défi, d'autant qu'il s'agit d'une relecture et non d'une découverte.
- SatelliteNiveau 9
edelweis62 a écrit:Bonsoir,
Pour le défi 33 "Le diable", j'ai lu Le maître et Marguerite de Mikhaïl Boulgakov. Un roman "sur Dieu et le Diable", burlesque et fantastique, qui entre parfaitement dans le thème. A la fois classique, et inclassable.
Un quatuor d'illusionnistes, déjantés et grinçants, sème la pagaille dans le Moscou bolchevique des années 30 avec à sa tête rien de moins que Satan. Tout est sens dessus dessous, la milice est dépassée et on perd la tête (parfois, littéralement). En parallèle, un écrivain, le "maître", auteur d'un roman sur Ponce Pilate, subit l'opprobre du milieu littéraire officiel, et son amante, Marguerite, passe un pacte avec le diable afin de le sauver.
Dans la traduction de Markowicz, dont je crois comprendre, ou en tout cas sentir, la spécificité. Une lecture importante, tant pour la folle créativité, l'ironie, l'impertinence, l'esprit de résistance et de liberté, que pour l'histoire mouvementée du roman et de sa publication. Heureusement que les notes éclairent certains aspects importants, et explicitent les sous-entendus et références au contexte d'écriture.
Merci pour cette suggestion!
Il se trouve que j'ai déjà coché cet item, mais à la réflexion je peux me livrer au jeu des chaises musicales et déplacer Passage à l'ennemie de L. Salvayre vers "Séduction" (pour lequel j'avais pensé à E. Wharton, ceci dit...).
Est-ce que "guerre civile" pour L'Art de perdre pourrait convenir( guerre d'Algérie)?
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Notre âme est transitive. Il lui faut un objet, qui l'affecte, comme son complément direct, aussitôt. [Francis Ponge]
- AdrenFidèle du forum
Je vous rejoins au club des gros pavés, j'ai emprunté Un livre de martyrs américains à la médiathèque.
- JennyMédiateur
Adren a écrit:Je vous rejoins au club des gros pavés, j'ai emprunté Un livre de martyrs américains à la médiathèque.
Quel chef d’œuvre !
- SatelliteNiveau 9
Jenny a écrit:Adren a écrit:Je vous rejoins au club des gros pavés, j'ai emprunté Un livre de martyrs américains à la médiathèque.
Quel chef d’œuvre !
Acheté ici suite aux avis émis sur ce fil et parfait pour l'item 3 "a" dans le titre! Je ne me suis pas encore lancée mais c'est prévu.
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Notre âme est transitive. Il lui faut un objet, qui l'affecte, comme son complément direct, aussitôt. [Francis Ponge]
- OudemiaBon génie
Si je l'ai lu c'était il y a très, très longtemps, et je n'en ai aucun souvenir, donc je ne chercherai pas autre chose !edelweis62 a écrit:Bonsoir,
Pour le défi 33 "Le diable", j'ai lu Le maître et Marguerite de Mikhaïl Boulgakov.
- ValorNiveau 9
Quelques rapides retours à propos de mes dernières lectures:
9. Un "book about books" (livre parlant de livres, de lecture, de lecteurs, de bibliothèques ou de librairies...).
J'ai lu Marcel Proust, Sur la lecture, un court texte sensible sur le rapport aux livres lié aux sensations et aux souvenirs d'enfance. Dans la deuxième partie du livre, quelques passages exposant une conception assez élitiste de la littérature m'ont moins plu. J'ai parcouru le texte de Proust tout en écoutant la sublime lecture qu'en fait André Dussollier.
24. So British !
J'ai lu Charlotte Brontë, Jane Eyre, énorme pavé qui m'avait toujours un peu effrayée. Finalement, la lecture est aisée et très plaisante. J'ai beaucoup aimé le caractère bien trempé de la jeune Jane, qui s'ouvre à l'amour tout en gardant son libre-arbitre et une certaine forme d'indépendance, la réflexion sur l'être et le paraître, la satire sociale... Les références littéraires et bibliques y sont nombreuses. Bref, je ne regrette pas de m'être lancée; j'ai le sentiment d'avoir lu un très grand roman.
35. Un livre dont l'un des personnages est un(e) prostitué(e).
J'ai lu Tsutomu Mizukami, Poupées de bambou, roman japonais tout en pudeur et sensibilité où la nature occupe une grande place. Il s'agit d'une relation atypique entre deux êtres en marge, une prostituée au grand coeur et un nain artiste qui utilise le bambou pour sculpter les plus belles poupées qui soient. A travers les figures féminines qu'il côtoie, réelles ou fabriquées de ses mains, c'est toujours l'image de la mère trop tôt disparue qu'il recherche. Ce récit poignant, à la fois pathétique et tragique, m'a beaucoup plu.
9. Un "book about books" (livre parlant de livres, de lecture, de lecteurs, de bibliothèques ou de librairies...).
J'ai lu Marcel Proust, Sur la lecture, un court texte sensible sur le rapport aux livres lié aux sensations et aux souvenirs d'enfance. Dans la deuxième partie du livre, quelques passages exposant une conception assez élitiste de la littérature m'ont moins plu. J'ai parcouru le texte de Proust tout en écoutant la sublime lecture qu'en fait André Dussollier.
24. So British !
J'ai lu Charlotte Brontë, Jane Eyre, énorme pavé qui m'avait toujours un peu effrayée. Finalement, la lecture est aisée et très plaisante. J'ai beaucoup aimé le caractère bien trempé de la jeune Jane, qui s'ouvre à l'amour tout en gardant son libre-arbitre et une certaine forme d'indépendance, la réflexion sur l'être et le paraître, la satire sociale... Les références littéraires et bibliques y sont nombreuses. Bref, je ne regrette pas de m'être lancée; j'ai le sentiment d'avoir lu un très grand roman.
35. Un livre dont l'un des personnages est un(e) prostitué(e).
J'ai lu Tsutomu Mizukami, Poupées de bambou, roman japonais tout en pudeur et sensibilité où la nature occupe une grande place. Il s'agit d'une relation atypique entre deux êtres en marge, une prostituée au grand coeur et un nain artiste qui utilise le bambou pour sculpter les plus belles poupées qui soient. A travers les figures féminines qu'il côtoie, réelles ou fabriquées de ses mains, c'est toujours l'image de la mère trop tôt disparue qu'il recherche. Ce récit poignant, à la fois pathétique et tragique, m'a beaucoup plu.
- CasparProphète
Jane Eyre est en effet un roman d'une grande richesse, du genre qu'on épuise jamais complètement.
20. Un livre dont le titre évoque un personnage décédé dans le livre - Le poids des secrets: Tsubame, Aki Shimazaki
Encore une pièce dans le puzzle de la première pentalogie de cette autrice.
Tsubame signifie hirondelle et c'est aussi le surnom d'un des personnages du roman, qui se passe à deux époques différentes (1923 et...quelques décennies plus tard) donc ce n'est pas un gros spoiler. Cette fois-ci il est question du tremblement de terre de 1923 et des massacres de Coréens qui l'ont suivi (un événement dont j'ignorais totalement l'existence) ainsi que du racisme dont sont victimes les Coréens ou personnes d'origine coréenne dans la société japonaise: l'autrice mêle encore une fois l'Histoire avec un grand H et l'intime.
EDIT: J'ai fait passer le volume précédent, Hamaguri, de la catégorie 39 à la 38 en prévision de la lecture du prochain volume qui pourra entrer dans la catégorie 39 si j'en crois la quatrième de couverture. (voir page précédente)
20. Un livre dont le titre évoque un personnage décédé dans le livre - Le poids des secrets: Tsubame, Aki Shimazaki
Encore une pièce dans le puzzle de la première pentalogie de cette autrice.
Tsubame signifie hirondelle et c'est aussi le surnom d'un des personnages du roman, qui se passe à deux époques différentes (1923 et...quelques décennies plus tard) donc ce n'est pas un gros spoiler. Cette fois-ci il est question du tremblement de terre de 1923 et des massacres de Coréens qui l'ont suivi (un événement dont j'ignorais totalement l'existence) ainsi que du racisme dont sont victimes les Coréens ou personnes d'origine coréenne dans la société japonaise: l'autrice mêle encore une fois l'Histoire avec un grand H et l'intime.
EDIT: J'ai fait passer le volume précédent, Hamaguri, de la catégorie 39 à la 38 en prévision de la lecture du prochain volume qui pourra entrer dans la catégorie 39 si j'en crois la quatrième de couverture. (voir page précédente)
- Reine MargotDemi-dieu
41. Livre écrit par un historien: Montaillou, village occitan, E Leroy-Ladurie
Leroy-Ladurie étant disparu il y a peu de temps, j'avais envie de découvrir son oeuvre. En effet on plonge vraiment dans le quotidien de ce village de haute-Ariège, grâce aux archives de l'Inquisition, qui a arrêté la plus grande partie des gens du village au début du XIVe siècle. Se lit comme un roman, le style est agréable et on s'y croit vraiment. L'ouvrage permet également se remettre en cause certains préjugés à l'égard de "rustres" du Moyen-âge: plus attachés à leurs enfants que l'on croit, moins superstitieux aussi. A recommander.
Leroy-Ladurie étant disparu il y a peu de temps, j'avais envie de découvrir son oeuvre. En effet on plonge vraiment dans le quotidien de ce village de haute-Ariège, grâce aux archives de l'Inquisition, qui a arrêté la plus grande partie des gens du village au début du XIVe siècle. Se lit comme un roman, le style est agréable et on s'y croit vraiment. L'ouvrage permet également se remettre en cause certains préjugés à l'égard de "rustres" du Moyen-âge: plus attachés à leurs enfants que l'on croit, moins superstitieux aussi. A recommander.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- LaugarithmeFidèle du forum
Bonjour les néos
Est ce que Richard POWERS est un auteur qui peut convenir pour le défi 2.: l'auteur a un prénom ou nom qui est aussi un nom commun ? Ou est ce que ce nom commun doit être en francais et au singulier ?
Est ce que Richard POWERS est un auteur qui peut convenir pour le défi 2.: l'auteur a un prénom ou nom qui est aussi un nom commun ? Ou est ce que ce nom commun doit être en francais et au singulier ?
- CasparProphète
Laugarithme a écrit:Bonjour les néos
Est ce que Richard POWERS est un auteur qui peut convenir pour le défi 2.: l'auteur a un prénom ou nom qui est ausdi un nom commun ? Ou est ce que ce nom commun doit être en francais et au singulier ?
Le pluriel convient à mon avis, et la langue étrangère aussi: nicole86 va lire Stefan Zweig (= branche en allemand) et je pense aussi choisir un nom étranger pour cette catégorie.
- LaugarithmeFidèle du forum
Merci pour ta réponse @Caspar.Caspar a écrit:Laugarithme a écrit:Bonjour les néos
Est ce que Richard POWERS est un auteur qui peut convenir pour le défi 2.: l'auteur a un prénom ou nom qui est ausdi un nom commun ? Ou est ce que ce nom commun doit être en francais et au singulier ?
Le pluriel convient à mon avis, et la langue étrangère aussi: nicole86 va lire Stefan Zweig (= branche en allemand) et je pense aussi choisir un nom étranger pour cette catégorie.
En plus j'apprends quelque chose sur le nom de Zweig, que j'aime beaucoup soit dit en passant
- CasparProphète
Laugarithme a écrit:Merci pour ta réponse @Caspar.Caspar a écrit:Laugarithme a écrit:Bonjour les néos
Est ce que Richard POWERS est un auteur qui peut convenir pour le défi 2.: l'auteur a un prénom ou nom qui est ausdi un nom commun ? Ou est ce que ce nom commun doit être en francais et au singulier ?
Le pluriel convient à mon avis, et la langue étrangère aussi: nicole86 va lire Stefan Zweig (= branche en allemand) et je pense aussi choisir un nom étranger pour cette catégorie.
En plus j'apprends quelque chose sur le nom de Zweig, que j'aime beaucoup soit dit en passant
Je ne savais pas non plus, mon allemand LV3 de prépa remonte à loin et n'a jamais été très avancé, mais Nicole a posé la question un peu plus haut, donc Reverso et mon petit dictionnaire allemand-français ont été mis à contribution.
- HocamSage
Je n'ai jamais eu le courage de participer aux défis lecture, mais j'admire votre détermination, votre créativité et vos discussions parfois très pointues sur les catégories, bravo à tous. Je lis pas mal de choses mais je n'aurai jamais la discipline nécessaire pour me plier aux contraintes.
Bonne lecture !
Bonne lecture !
- LaugarithmeFidèle du forum
@Hocam : Tu peux te lancer. Aucune obligation d'aller au bout . De plus, nous ne sommes pas tous des "pointures" en lecture ! J'ai beaucoup de mal à expliquer pourquoi j'ai aimé ou pas un livre.
Par exemple :
Ce que savait la nuit est un polar islandais écrit par Arnaldur Indridason ; roman que je place dans le défi 40 «Un roman noir».
Konrad, policier tourmenté, bien qu’à la retraite replonge dans une ancienne enquête (vieille de 30 ans et qui est restée irrésolue) lorsque le corps d’une personne disparue réapparait à la surface d’un glacier à cause du réchauffement climatique. En marge de cette enquête, Konrad se plonge dans son passé, passé douloureux. Comme souvent dans les polars islandais la description de la société islandaise et des paysages a beaucoup d’importance ; sans oublier les personnages décrits avec soin. L’auteur prend soin de les rendre attachants. Aucun manichéisme dans ce roman plein de surprises. Le style est reconnaissable entre tous, sans esbroufe. Noire est la nuit très présente, noire est l’ambiance et le poids des secrets, des non dits. Noir est le destin d’un des personnages soupçonné longtemps, trop longtemps.
(Ce livre peut convenir pour le défi 17 « trois a dans le titre »)
Je retrouverai avec plaisir Konrad dans un autre livre que l’auteur a écrit : « Les fantômes de Reykjavik »
Par exemple :
Ce que savait la nuit est un polar islandais écrit par Arnaldur Indridason ; roman que je place dans le défi 40 «Un roman noir».
Konrad, policier tourmenté, bien qu’à la retraite replonge dans une ancienne enquête (vieille de 30 ans et qui est restée irrésolue) lorsque le corps d’une personne disparue réapparait à la surface d’un glacier à cause du réchauffement climatique. En marge de cette enquête, Konrad se plonge dans son passé, passé douloureux. Comme souvent dans les polars islandais la description de la société islandaise et des paysages a beaucoup d’importance ; sans oublier les personnages décrits avec soin. L’auteur prend soin de les rendre attachants. Aucun manichéisme dans ce roman plein de surprises. Le style est reconnaissable entre tous, sans esbroufe. Noire est la nuit très présente, noire est l’ambiance et le poids des secrets, des non dits. Noir est le destin d’un des personnages soupçonné longtemps, trop longtemps.
(Ce livre peut convenir pour le défi 17 « trois a dans le titre »)
Je retrouverai avec plaisir Konrad dans un autre livre que l’auteur a écrit : « Les fantômes de Reykjavik »
- CasparProphète
Hocam a écrit:Je n'ai jamais eu le courage de participer aux défis lecture, mais j'admire votre détermination, votre créativité et vos discussions parfois très pointues sur les catégories, bravo à tous. Je lis pas mal de choses mais je n'aurai jamais la discipline nécessaire pour me plier aux contraintes.
Bonne lecture !
Ce fil est un groupe de parole pour personnalités obsessionnelles-compulsives.
- HocamSage
Oui, je suis un peu comme ça aussi.
J'ai souvent une « pile à lire » qui concurrence Babel (sans parler de la « pile à corriger », mais c'est une autre histoire). J'essaierai peut-être une fois !
J'ai souvent une « pile à lire » qui concurrence Babel (sans parler de la « pile à corriger », mais c'est une autre histoire). J'essaierai peut-être une fois !
- nicole 86Expert spécialisé
Hocam a écrit:Oui, je suis un peu comme ça aussi.
J'ai souvent une « pile à lire » qui concurrence Babel (sans parler de la « pile à corriger », mais c'est une autre histoire). J'essaierai peut-être une fois !
Je comprends qu'on n'ait pas envie de s'inscrire dans la démarche du défi mais je suis une incorrigible curieuse des livres que lisent les néos et je regrette que le fil "nos dernières lectures" ne soit pas régulièrement alimenté .
Si l'envie de rejoindre le "groupe de parole pour personnalités obsessionnelles-compulsives" il n'est pas trop tard.
- nicole 86Expert spécialisé
Défi 50. Trompeuses apparences : La maison au toit rouge de Kyoko Nakajima.
Un livre signalé par une néo (Cléopatra2 ?) pour le défi 2023 que j'avais gardé en mémoire. Taki, désormais une vieille dame, raconte son quotidien de bonne, autour des années 40, chez une famille tokyoïte composée du couple et du jeune fils de Madame. La vie semble lisse et paisible ... Une lecture sans prise de tête qui propose un aperçu de la vie avant et pendant la guerre ; sentiments et émotions sont évoqués avec beaucoup de discrétion jusqu'à l'épilogue.
Le titre contient 3 A et si on admet (?) qu'une maison est un objet ce roman pourrait valider le défi 49.
Un livre signalé par une néo (Cléopatra2 ?) pour le défi 2023 que j'avais gardé en mémoire. Taki, désormais une vieille dame, raconte son quotidien de bonne, autour des années 40, chez une famille tokyoïte composée du couple et du jeune fils de Madame. La vie semble lisse et paisible ... Une lecture sans prise de tête qui propose un aperçu de la vie avant et pendant la guerre ; sentiments et émotions sont évoqués avec beaucoup de discrétion jusqu'à l'épilogue.
Le titre contient 3 A et si on admet (?) qu'une maison est un objet ce roman pourrait valider le défi 49.
- CasparProphète
nicole 86 a écrit:Défi 50. Trompeuses apparences : La maison au toit rouge de Kyoko Nakajima.
Un livre signalé par une néo (Cléopatra2 ?) pour le défi 2023 que j'avais gardé en mémoire. Taki, désormais une vieille dame, raconte son quotidien de bonne, autour des années 40, chez une famille tokyoïte composée du couple et du jeune fils de Madame. La vie semble lisse et paisible ... Une lecture sans prise de tête qui propose un aperçu de la vie avant et pendant la guerre ; sentiments et émotions sont évoqués avec beaucoup de discrétion jusqu'à l'épilogue.
Le titre contient 3 A et si on admet (?) qu'une maison est un objet ce roman pourrait valider le défi 49.
Bien tenté mais non.
EDIT: Bon; Larousse n'est pas tout à fait d'accord avec moi, un peu ambigu en tout cas
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/objet/55366
mais étant à l'origine de cet item, je ne dirais pas qu'une maison est un objet.
- nicole 86Expert spécialisé
Caspar a écrit:nicole 86 a écrit:Défi 50. Trompeuses apparences : La maison au toit rouge de Kyoko Nakajima.
Un livre signalé par une néo (Cléopatra2 ?) pour le défi 2023 que j'avais gardé en mémoire. Taki, désormais une vieille dame, raconte son quotidien de bonne, autour des années 40, chez une famille tokyoïte composée du couple et du jeune fils de Madame. La vie semble lisse et paisible ... Une lecture sans prise de tête qui propose un aperçu de la vie avant et pendant la guerre ; sentiments et émotions sont évoqués avec beaucoup de discrétion jusqu'à l'épilogue.
Le titre contient 3 A et si on admet (?) qu'une maison est un objet ce roman pourrait valider le défi 49.
Bien tenté mais non.
Pas grave, les objets et moi, c'est une longue histoire ... de livres.
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