- Clecle78Bon génie
Archéologie ! J'adore Amelia et je vais sûrement en relire un.cavatine a écrit:J'ai débuté (et bien avancé) Félicratie, de H. Lenoir, pour le défi sur la couverture verte. Quand on rit dès la troisième page, c'est généralement un bon indicateur... Et ça n'a pas manqué, je me régale avec ce roman foutraque, très drôle, bien mené et abordant mine de rien certaines choses donnant matière à réflexion !
J'ai lu avant cela le tome 2 des aventures d'Amelia Peabody (La malédiction des pharaons), mais, je ne sais pas si je vais arriver à le caser dans un défi... Je pensais aux trois a présents dans le titre, mais, comme il y en a quatre dans ce titre, je ne sais pas si ça conviendrait...
- DanskaProphète
Cavatine a déjà complété ce défi avec le premier tome de la série...
- cavatineNiveau 9
Comme souligné par Danska, j'ai validé Archéologie avec le premier tome, Clecle78.
Je note pour le 17e tome J'irai peut-être jusque là, peut-être pas, mais ce qui est sûr, c'est que je vais continuer à lire les aventures d'Amelia et Radcliffe, c'est très distrayant et agréable à lire, entre deux lectures moins légères.
Je note pour le 17e tome J'irai peut-être jusque là, peut-être pas, mais ce qui est sûr, c'est que je vais continuer à lire les aventures d'Amelia et Radcliffe, c'est très distrayant et agréable à lire, entre deux lectures moins légères.
- Clecle78Bon génie
Elisabeth Peters était aussi historienne donc ça peut rentrer dans ce défi ou dans A la recherche de ...cavatine a écrit:Comme souligné par Danska, j'ai validé Archéologie avec le premier tome, Clecle78.
Je note pour le 17e tome J'irai peut-être jusque là, peut-être pas, mais ce qui est sûr, c'est que je vais continuer à lire les aventures d'Amelia et Radcliffe, c'est très distrayant et agréable à lire, entre deux lectures moins légères.
- cavatineNiveau 9
Ah, oui, pour "écrit par un historien" ! Merci Clecle78, grâce à toi, hop, un défi facilement coché .
- Reine MargotDemi-dieu
43. Auteur avec nom ou prénom composé: Cessez d'être gentil, soyez vrai! T D'Ansembourg
Un classique du développement personnel, qui a 20 ans cette année. Je l'ai eu en bibliographie dans une formation vendredi, lu dans le week-end. Il pose les bases de la communication non-violente. Le thème de la formation m'intéressait, je souhaite continuer dans cette voie et en apprendre plus sur la CNV. Un bon résumé des grands principes: nous avons tous des besoins fondamentaux (sécurité, reconnaissance, lien l'autre...), exprimés par des émotions de base (les 4 étant la colère, la tristesse, la peur et la joie). Lorsque nous n'exprimons pas nos besoins et qu'ils ne sont pas comblés (ce que notre éducation et la société nous ont appris à faire), nous devenons violents ou manipulateurs. L'idée est de sortir de ce cercle vicieux en apprenant à communiquer.
Un classique du développement personnel, qui a 20 ans cette année. Je l'ai eu en bibliographie dans une formation vendredi, lu dans le week-end. Il pose les bases de la communication non-violente. Le thème de la formation m'intéressait, je souhaite continuer dans cette voie et en apprendre plus sur la CNV. Un bon résumé des grands principes: nous avons tous des besoins fondamentaux (sécurité, reconnaissance, lien l'autre...), exprimés par des émotions de base (les 4 étant la colère, la tristesse, la peur et la joie). Lorsque nous n'exprimons pas nos besoins et qu'ils ne sont pas comblés (ce que notre éducation et la société nous ont appris à faire), nous devenons violents ou manipulateurs. L'idée est de sortir de ce cercle vicieux en apprenant à communiquer.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- OudemiaBon génie
Je n'aurais pas pensé à faire entrer un nom avec de/d' dans la catégorie nom composé !
Ni avec du : "du Plessis", non, "du Plessis-Robinson", oui.
Ni avec du : "du Plessis", non, "du Plessis-Robinson", oui.
- AphrodissiaMonarque
Je suis d'accord avec toi !Oudemia a écrit:Je n'aurais pas pensé à faire entrer un nom avec de/d' dans la catégorie nom composé !
Ni avec du : "du Plessis", non, "du Plessis-Robinson", oui.
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- Reine MargotDemi-dieu
Dans "ascension" alors?
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- glucheNiveau 10
Je viens de lire Suzuran sans pour autant la caser dans le défi car j'ai déjà coché l'item "couverture verte". Lecture agréable effectivement, sans être enthousiasmante. un des personnages, la soeur, ne m'a pas semblé tout à fait cohérent, mais il est vrai qu'on la voit surtout par le regard de la narratrice. Cela vaudrait manifestement le coup de lire le reste du cycle. En tout cas, les couvertures des romans de l'autrice sont toutes très belles.Caspar a écrit:1. Un livre dont la couverture est verte: Mitsuba (premier volume de la pentalogie Au cœur du Yamato, d'Aki Shimazaki)
Il faudra me faire confiance pour la couleur car je n'arrive plus à insérer d'image sur le forum, rien ne fonctionne. "Mistuba" signifiant trèfle, toutes les éditions de ce livre sont plus ou moins vertes.
Aki Shimazaki est une romancière néee au Japon en 1954 mais elle vit au Québec depuis 1991 et écrit en français (ces romans se passent principalement au Japon en revanche). Je l'ai découverte par hasard dans une librairie.
Je passe en majuscules pour vous dire que cette autrice est une MAGNIFIQUE DÉCOUVERTE. J'en suis à mon deuxième roman et j'ai envie de tout lire: plus de quinze romans, mais très courts (ce sont pourtant bien des romans et pas du tout de longues nouvelles), dont trois "pentalogies", séries de cinq romans où des thèmes et des personnages se retrouvent mais qu'on peut lire indépendamment les uns des autres.
Je ne veux pas trop en dire pour ne pas divulgâcher l'histoire mais ce roman semble anodin au premier abord (comme Suzuran, que j'ai lu en décembre): un style assez neutre et sans effets, des personnages et des situations ordinaires...mais en fait ils sont poignants et ils vous restent en tête après la lecture. Il s'agit d'une tragédie douce, sans éclats de voix, ou tout se passe sous la surface (très japonais donc) mais qui vous laisse au bord des larmes et le cœur serré. On y trouve aussi une description de la cruauté de la société et de la grande entreprise japonaises, mais de façon beaucoup plus subtile que chez Amélie Nothomb.
Bref, nous ne sommes qu'en janvier mais ce roman est déjà candidat pour mon Top 5 je pense, on verra si mon enthousiasme est retombé d'ici là.
Je reste dans la littérature japonaise avec La Maison où je suis mort autrefois de Keigo Higashimo publié chez Babel noir et qui convient donc pour la catégorie "roman noir". C'est l'histoire de Sayaka Kurahashi une jeune femme qui ne va pas bien et qui cherche dans son passé oublié - elle n'a pas de souvenir de sa petite enfance - la raison de son mal-être. L'histoire est racontée par son ex petit ami qui accepte de l'accompagner dans cette quête. L'atmosphère est effectivement bizarre, dérangeante et la vérité émerge peu à peu. Un roman que j'ai bien aimé pour son ambiance particulière, proche du fantastique parfois sans l'être réellement.
- nicole 86Expert spécialisé
Reine Margot a écrit:Dans "ascension" alors?
Pourquoi pas "déplacement", puisque ce livre vise à nous faire "bouger" dans nos relations aux autres ?
- CarabasVénérable
Je pense qu'il faut vraiment enchaîner les romans de chaque pentologie pour les apprécier pleinement. Individuellement, ils sont agréables à lire, mais chacun apporte un éclairage sur l'ensemble et redistribue les cartes. Je crois vraiment que quand on lit un roman ponctuellement on passe à côté de l'essentiel. En effet le style est neutre. Le français n'est pas la langue maternelle de l'autrice, je trouve déjà incroyable qu'elle écrive ainsi. J'adore cette autrice aussi, pour ma part.gluche a écrit:Je viens de lire Suzuran sans pour autant la caser dans le défi car j'ai déjà coché l'item "couverture verte". Lecture agréable effectivement, sans être enthousiasmante. un des personnages, la soeur, ne m'a pas semblé tout à fait cohérent, mais il est vrai qu'on la voit surtout par le regard de la narratrice. Cela vaudrait manifestement le coup de lire le reste du cycle. En tout cas, les couvertures des romans de l'autrice sont toutes très belles.Caspar a écrit:1. Un livre dont la couverture est verte: Mitsuba (premier volume de la pentalogie Au cœur du Yamato, d'Aki Shimazaki)
Il faudra me faire confiance pour la couleur car je n'arrive plus à insérer d'image sur le forum, rien ne fonctionne. "Mistuba" signifiant trèfle, toutes les éditions de ce livre sont plus ou moins vertes.
Aki Shimazaki est une romancière néee au Japon en 1954 mais elle vit au Québec depuis 1991 et écrit en français (ces romans se passent principalement au Japon en revanche). Je l'ai découverte par hasard dans une librairie.
Je passe en majuscules pour vous dire que cette autrice est une MAGNIFIQUE DÉCOUVERTE. J'en suis à mon deuxième roman et j'ai envie de tout lire: plus de quinze romans, mais très courts (ce sont pourtant bien des romans et pas du tout de longues nouvelles), dont trois "pentalogies", séries de cinq romans où des thèmes et des personnages se retrouvent mais qu'on peut lire indépendamment les uns des autres.
Je ne veux pas trop en dire pour ne pas divulgâcher l'histoire mais ce roman semble anodin au premier abord (comme Suzuran, que j'ai lu en décembre): un style assez neutre et sans effets, des personnages et des situations ordinaires...mais en fait ils sont poignants et ils vous restent en tête après la lecture. Il s'agit d'une tragédie douce, sans éclats de voix, ou tout se passe sous la surface (très japonais donc) mais qui vous laisse au bord des larmes et le cœur serré. On y trouve aussi une description de la cruauté de la société et de la grande entreprise japonaises, mais de façon beaucoup plus subtile que chez Amélie Nothomb.
Bref, nous ne sommes qu'en janvier mais ce roman est déjà candidat pour mon Top 5 je pense, on verra si mon enthousiasme est retombé d'ici là.
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- nicole 86Expert spécialisé
Carabas a écrit:Je pense qu'il faut vraiment enchaîner les romans de chaque pentologie pour les apprécier pleinement. Individuellement, ils sont agréables à lire, mais chacun apporte un éclairage sur l'ensemble et redistribue les cartes. Je crois vraiment que quand on lit un roman ponctuellement on passe à côté de l'essentiel. En effet le style est neutre. Le français n'est pas la langue maternelle de l'autrice, je trouve déjà incroyable qu'elle écrive ainsi. J'adore cette autrice aussi, pour ma part.gluche a écrit:Je viens de lire Suzuran sans pour autant la caser dans le défi car j'ai déjà coché l'item "couverture verte". Lecture agréable effectivement, sans être enthousiasmante. un des personnages, la soeur, ne m'a pas semblé tout à fait cohérent, mais il est vrai qu'on la voit surtout par le regard de la narratrice. Cela vaudrait manifestement le coup de lire le reste du cycle. En tout cas, les couvertures des romans de l'autrice sont toutes très belles.Caspar a écrit:1. Un livre dont la couverture est verte: Mitsuba (premier volume de la pentalogie Au cœur du Yamato, d'Aki Shimazaki)
Il faudra me faire confiance pour la couleur car je n'arrive plus à insérer d'image sur le forum, rien ne fonctionne. "Mistuba" signifiant trèfle, toutes les éditions de ce livre sont plus ou moins vertes.
Aki Shimazaki est une romancière néee au Japon en 1954 mais elle vit au Québec depuis 1991 et écrit en français (ces romans se passent principalement au Japon en revanche). Je l'ai découverte par hasard dans une librairie.
Je passe en majuscules pour vous dire que cette autrice est une MAGNIFIQUE DÉCOUVERTE. J'en suis à mon deuxième roman et j'ai envie de tout lire: plus de quinze romans, mais très courts (ce sont pourtant bien des romans et pas du tout de longues nouvelles), dont trois "pentalogies", séries de cinq romans où des thèmes et des personnages se retrouvent mais qu'on peut lire indépendamment les uns des autres.
Je ne veux pas trop en dire pour ne pas divulgâcher l'histoire mais ce roman semble anodin au premier abord (comme Suzuran, que j'ai lu en décembre): un style assez neutre et sans effets, des personnages et des situations ordinaires...mais en fait ils sont poignants et ils vous restent en tête après la lecture. Il s'agit d'une tragédie douce, sans éclats de voix, ou tout se passe sous la surface (très japonais donc) mais qui vous laisse au bord des larmes et le cœur serré. On y trouve aussi une description de la cruauté de la société et de la grande entreprise japonaises, mais de façon beaucoup plus subtile que chez Amélie Nothomb.
Bref, nous ne sommes qu'en janvier mais ce roman est déjà candidat pour mon Top 5 je pense, on verra si mon enthousiasme est retombé d'ici là.
Je suis absolument d'accord, les dialogues sont parfois repris et juste imperceptiblement modifiés d'où la nécessité d'enchaîner la lecture des volumes D'ailleurs
- Spoiler:
- Je râle parce que je n'ai pu réserver que 3 tomes alors que les deux autres sont supposés être en rayon.
- OudemiaBon génie
Monsieur, Alexandre Diego Gary - Je cherchais un livre de Romain Gary à la bibliothèque, quand j’ai vu ce livre signé par son fils (que je croyais mort). J’y ai jeté un coup d’œil, et ai vu qu’il s’agissait d’un long discours à un inconnu assis sur un banc. Parfait, donc, pour l’item 46, Ecoute.
Ça commençait assez bien, dans une langue fleurie, mais très vite cela devient quelconque : la rencontre du locuteur avec une fille qu’il installe chez lui, avec laquelle il passe son temps à faire l’amour ou à soutenir le PSG, c’est long et lassant. Les dernières pages rappellent le début et sont moins inintéressantes, mais ne sauvent rien. Et les dernières lignes ne sont pas étonnantes.
Heureusement ce n’est pas très long (moins de 150 pages au Mercure de France), mais vous pouvez vraiment ne pas tenter cette lecture !
Ça commençait assez bien, dans une langue fleurie, mais très vite cela devient quelconque : la rencontre du locuteur avec une fille qu’il installe chez lui, avec laquelle il passe son temps à faire l’amour ou à soutenir le PSG, c’est long et lassant. Les dernières pages rappellent le début et sont moins inintéressantes, mais ne sauvent rien. Et les dernières lignes ne sont pas étonnantes.
Heureusement ce n’est pas très long (moins de 150 pages au Mercure de France), mais vous pouvez vraiment ne pas tenter cette lecture !
- Reine MargotDemi-dieu
nicole 86 a écrit:Reine Margot a écrit:Dans "ascension" alors?
Pourquoi pas "déplacement", puisque ce livre vise à nous faire "bouger" dans nos relations aux autres ?
Pourquoi pas, je ne voyais pas encore quoi mettre dans cet item.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- CasparProphète
gluche a écrit:Je viens de lire Suzuran sans pour autant la caser dans le défi car j'ai déjà coché l'item "couverture verte". Lecture agréable effectivement, sans être enthousiasmante. un des personnages, la soeur, ne m'a pas semblé tout à fait cohérent, mais il est vrai qu'on la voit surtout par le regard de la narratrice. Cela vaudrait manifestement le coup de lire le reste du cycle. En tout cas, les couvertures des romans de l'autrice sont toutes très belles.Caspar a écrit:1. Un livre dont la couverture est verte: Mitsuba (premier volume de la pentalogie Au cœur du Yamato, d'Aki Shimazaki)
Il faudra me faire confiance pour la couleur car je n'arrive plus à insérer d'image sur le forum, rien ne fonctionne. "Mistuba" signifiant trèfle, toutes les éditions de ce livre sont plus ou moins vertes.
Aki Shimazaki est une romancière néee au Japon en 1954 mais elle vit au Québec depuis 1991 et écrit en français (ces romans se passent principalement au Japon en revanche). Je l'ai découverte par hasard dans une librairie.
Je passe en majuscules pour vous dire que cette autrice est une MAGNIFIQUE DÉCOUVERTE. J'en suis à mon deuxième roman et j'ai envie de tout lire: plus de quinze romans, mais très courts (ce sont pourtant bien des romans et pas du tout de longues nouvelles), dont trois "pentalogies", séries de cinq romans où des thèmes et des personnages se retrouvent mais qu'on peut lire indépendamment les uns des autres.
Je ne veux pas trop en dire pour ne pas divulgâcher l'histoire mais ce roman semble anodin au premier abord (comme Suzuran, que j'ai lu en décembre): un style assez neutre et sans effets, des personnages et des situations ordinaires...mais en fait ils sont poignants et ils vous restent en tête après la lecture. Il s'agit d'une tragédie douce, sans éclats de voix, ou tout se passe sous la surface (très japonais donc) mais qui vous laisse au bord des larmes et le cœur serré. On y trouve aussi une description de la cruauté de la société et de la grande entreprise japonaises, mais de façon beaucoup plus subtile que chez Amélie Nothomb.
Bref, nous ne sommes qu'en janvier mais ce roman est déjà candidat pour mon Top 5 je pense, on verra si mon enthousiasme est retombé d'ici là.
Je reste dans la littérature japonaise avec La Maison où je suis mort autrefois de Keigo Higashimo publié chez Babel noir et qui convient donc pour la catégorie "roman noir". C'est l'histoire de Sayaka Kurahashi une jeune femme qui ne va pas bien et qui cherche dans son passé oublié - elle n'a pas de souvenir de sa petite enfance - la raison de son mal-être. L'histoire est racontée par son ex petit ami qui accepte de l'accompagner dans cette quête. L'atmosphère est effectivement bizarre, dérangeante et la vérité émerge peu à peu. Un roman que j'ai bien aimé pour son ambiance particulière, proche du fantastique parfois sans l'être réellement.
Je l'ai lu aussi mais j'ai préféré Mitsuba. Ce qui me plaît je crois c'est le côté apparemment très banal des histoires et des personnages, le style très simple...et finalement ces romans restent dans la tête. J'ai aussi un fort tropisme japonais, donc je ne sais pas si j'apprécierais autant ces histoires si elles se passaient en France par exemple.
Je retiens le conseil de lire les pentalogies comme un tout, Babel a d'ailleurs édité de petits coffrets bien tentants.
- Clecle78Bon génie
Ouragans tropicaux Léonardo Padura, défi 3 un moyen de locomotion en couverture
Un roman qui a une "belle américaine" en couverture. Un bon polar qui met en scène un policier\libraire cubain qui reprend du service pour résoudre le meurtre d'un politique retraité et haï de tous les artistes de l'île. Cuba s'apprête à accueillir Obama, on est en 2016 et c'est la folie sur l'île que quittent néanmoins de nombreux cubains désespérés par la pauvreté qui y règne. Parallèlement on suit un jeune policier en 1909 qui accompagne l'ascension d'un jeune proxénète flamboyant vers la présidence de la jeune république.
Le roman est très intéressant et son héros, Mario Conde, vraiment attachant. Peut convenir pour le défi 3 avec 3 A dans le titre
Le dernier hyver Fabrice Papillon 7. Un livre féministe ou sur une femme (réelle) qui a marqué son temps.
Un polar type Da Vinci Code, qui nous fait traverser les siècles depuis l'assassinat d'Hypathie, la philosophe grecque d'Alexandrie, jusqu'à nos jours où des meurtres rituels épouvantables sont commis sur des jeunes filles. L'enjeu du roman est un manuscrit rédigé par la philosophe. On suit parallèlement les aventures de ce manuscrit qui passe demain en mains et de personnage célèbre en personnage célèbre et l'enquête contemporaine menée par un flic et une jeune stagiaire confrontés à des puissances qui les dépassent. Un efficace page turner qui peut convenir aussi au défi 13. A la recherche de...
8. Hors des sentiers battus.1000 femmes blanches Jim Fergus
Un roman passionnant qui raconte l'épopée de femmes américaines marginales (prostituées, internées, déclassées) qui acceptent de participer à un programme expérimental (totalement imaginaire pour le coup), consistant à échanger 1000 femmes blanches contre autant de chevaux cheyennes. ces femmes s'engagent à vivre deux ans parmi les indiens en vue de les amener à la civilisation. Une de ces femmes, May, internée de force pour avoir voulu aimer librement, documente cette aventure dans des carnets qui forment l'essentiel du roman. Evidemment, rien ne va se passer comme prévu et la rencontre bouleversera autant ces blanches que les indiens qui les épousent. C'est vraiment un chouette roman, avec des personnages hauts en couleur et une belle histoire qui connaitra d'ailleurs deux suites. Je vous conseille ! Peut aussi convenir pour le défi 9. Un "book about books" (livre parlant de livres, de lecture, de lecteurs, de bibliothèques ou de librairies...). 11. Rois, reines, empereurs et impératrices et autres chefs d'État. (elle épouse Little John le chef de la nation cheyenne) 35. Un livre dont l'un des personnages est un(e) prostitué(e).
Un roman qui a une "belle américaine" en couverture. Un bon polar qui met en scène un policier\libraire cubain qui reprend du service pour résoudre le meurtre d'un politique retraité et haï de tous les artistes de l'île. Cuba s'apprête à accueillir Obama, on est en 2016 et c'est la folie sur l'île que quittent néanmoins de nombreux cubains désespérés par la pauvreté qui y règne. Parallèlement on suit un jeune policier en 1909 qui accompagne l'ascension d'un jeune proxénète flamboyant vers la présidence de la jeune république.
Le roman est très intéressant et son héros, Mario Conde, vraiment attachant. Peut convenir pour le défi 3 avec 3 A dans le titre
Le dernier hyver Fabrice Papillon 7. Un livre féministe ou sur une femme (réelle) qui a marqué son temps.
Un polar type Da Vinci Code, qui nous fait traverser les siècles depuis l'assassinat d'Hypathie, la philosophe grecque d'Alexandrie, jusqu'à nos jours où des meurtres rituels épouvantables sont commis sur des jeunes filles. L'enjeu du roman est un manuscrit rédigé par la philosophe. On suit parallèlement les aventures de ce manuscrit qui passe demain en mains et de personnage célèbre en personnage célèbre et l'enquête contemporaine menée par un flic et une jeune stagiaire confrontés à des puissances qui les dépassent. Un efficace page turner qui peut convenir aussi au défi 13. A la recherche de...
8. Hors des sentiers battus.1000 femmes blanches Jim Fergus
Un roman passionnant qui raconte l'épopée de femmes américaines marginales (prostituées, internées, déclassées) qui acceptent de participer à un programme expérimental (totalement imaginaire pour le coup), consistant à échanger 1000 femmes blanches contre autant de chevaux cheyennes. ces femmes s'engagent à vivre deux ans parmi les indiens en vue de les amener à la civilisation. Une de ces femmes, May, internée de force pour avoir voulu aimer librement, documente cette aventure dans des carnets qui forment l'essentiel du roman. Evidemment, rien ne va se passer comme prévu et la rencontre bouleversera autant ces blanches que les indiens qui les épousent. C'est vraiment un chouette roman, avec des personnages hauts en couleur et une belle histoire qui connaitra d'ailleurs deux suites. Je vous conseille ! Peut aussi convenir pour le défi 9. Un "book about books" (livre parlant de livres, de lecture, de lecteurs, de bibliothèques ou de librairies...). 11. Rois, reines, empereurs et impératrices et autres chefs d'État. (elle épouse Little John le chef de la nation cheyenne) 35. Un livre dont l'un des personnages est un(e) prostitué(e).
- SatelliteNiveau 9
Ah merci Clecle pour l'idée: j'ai 1000 Femmes blanches dans ma bibli, et aucune idée pour "Hors des sentiers battus". Si en plus le livre est passionnant, je ne vois pas que demander de plus!
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Notre âme est transitive. Il lui faut un objet, qui l'affecte, comme son complément direct, aussitôt. [Francis Ponge]
- Cléopatra2Guide spirituel
+1Oudemia a écrit:Je n'aurais pas pensé à faire entrer un nom avec de/d' dans la catégorie nom composé !
Ni avec du : "du Plessis", non, "du Plessis-Robinson", oui.
Peux-tu le caser ailleurs?
- edelweis62Niveau 5
Clecle78 a écrit:Ouragans tropicaux Léonardo Padura, défi 3 un moyen de locomotion en couverture
Un roman qui a une "belle américaine" en couverture. Un bon polar qui met en scène un policier\libraire cubain qui reprend du service pour résoudre le meurtre d'un politique retraité et haï de tous les artistes de l'île. Cuba s'apprête à accueillir Obama, on est en 2016 et c'est la folie sur l'île que quittent néanmoins de nombreux cubains désespérés par la pauvreté qui y règne. Parallèlement on suit un jeune policier en 1909 qui accompagne l'ascension d'un jeune proxénète flamboyant vers la présidence de la jeune république.
Le roman est très intéressant et son héros, Mario Conde, vraiment attachant. Peut convenir pour le défi 3 avec 3 A dans le titre
Cela fait longtemps que je souhaite lire Padura, et d'autant plus après avoir lu ta présentation. Crois-tu que l'on s'approche là d'un... roman noir ?
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"Il y a un autre monde, mais il est dans celui-ci." Paul Eluard
- edelweis62Niveau 5
Hehe, en voilà une bonne nouvelle Merci pour ta réponse.
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"Il y a un autre monde, mais il est dans celui-ci." Paul Eluard
- Cléopatra2Guide spirituel
Que met-on dans négritude? Je lis un roman sur la communauté nigériane londonienne, et la question de l'identité noire est au coeur du récit. Ca fonctionne?
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
je poursuis ma lecture de livres empruntés à la médiathèque depuis décembre mais qui peuvent parfois entrer dans le défi. C'est le cas pour l'item 9 "un book about books" avec Le chat du bibliothécaire Succès mortel de Miranda James (pseudonyme d'un homme en réalité). Ce livre était très demandé mais je trouve finalement sa lecture assez décevante. Je le classe dans la catégorie roman pour trajet en train. On peut le lire sans être très concentré sur l'intrigue et sans fournir de gros efforts. L'intrigue, rapidement. Un auteur à succès de romans policiers et thriller revient dans sa ville natale pour, entre autres, faire don de ses archives à l'université locale. Sur place, on se rend compte que tous ceux qui l'ont connu trente ans plus tôt le détestent pour différentes raisons, et très vite, on le retrouve mort dans sa chambre d'hôtel. L'intérêt du récit, et de la série je suppose puisque c'est un tome 1 se trouve dans le personnage du chat du bibliothécaire, un maine coon dont les câlins et ronrons savent apaiser et réconforter les humains. Le bibliothécaire quant à lui est un peu pénible et accumule les gaffes en voulant mener l'enquête à la place de la police locale.
je poursuis ma lecture de livres empruntés à la médiathèque depuis décembre mais qui peuvent parfois entrer dans le défi. C'est le cas pour l'item 9 "un book about books" avec Le chat du bibliothécaire Succès mortel de Miranda James (pseudonyme d'un homme en réalité). Ce livre était très demandé mais je trouve finalement sa lecture assez décevante. Je le classe dans la catégorie roman pour trajet en train. On peut le lire sans être très concentré sur l'intrigue et sans fournir de gros efforts. L'intrigue, rapidement. Un auteur à succès de romans policiers et thriller revient dans sa ville natale pour, entre autres, faire don de ses archives à l'université locale. Sur place, on se rend compte que tous ceux qui l'ont connu trente ans plus tôt le détestent pour différentes raisons, et très vite, on le retrouve mort dans sa chambre d'hôtel. L'intérêt du récit, et de la série je suppose puisque c'est un tome 1 se trouve dans le personnage du chat du bibliothécaire, un maine coon dont les câlins et ronrons savent apaiser et réconforter les humains. Le bibliothécaire quant à lui est un peu pénible et accumule les gaffes en voulant mener l'enquête à la place de la police locale.
- SatelliteNiveau 9
Cléopatra2 a écrit:Que met-on dans négritude? Je lis un roman sur la communauté nigériane londonienne, et la question de l'identité noire est au coeur du récit. Ca fonctionne?
Pour moi on est pile dans la notion de "négritude": la question de l'identité noire.
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Notre âme est transitive. Il lui faut un objet, qui l'affecte, comme son complément direct, aussitôt. [Francis Ponge]
- EloahExpert spécialisé
(désolée mon post s'affichait deux fois)
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