Re: G.Attal : dernières annonces

En 3è, stage chez un primeur. Préparation de l'oral de stage. Entrainement. L'élève ne connait aucun fruit et légume. Il a fallu que je les lui apprenne !!! Et à la fin, il confondait encore les carottes et les courgettes par exemple !!! Que dire ????

Il faut impérativement introduire un chapitre sur “La vie des légumes” dans les programmes scolaires (à partir de la maternelle) en mobilisant les parents, les actions écologique, la FNSEA, les associations et les élèves et créer partout des référents-légumes (et faire une enquête flash). Et surtout, surtout, mieux former les profs sur les légumes, car cette carence vient de loin et n'est pas un hasard : il y a là un véritable sujet de santé publique. Donc, il faut imposer aux profs des formations à distance quotidiennes (vers 19h/20h) sur les différents légumes et leur utilisation culinaire, et tous les jours environ une heure (entre 7h et 8h) de pratique de l'épluchure en lien avec la cantine dans un dispositif de solidarité et de concertation, de façon à joindre la théorie à la pratique. Razz

epekeina.tes.ousias a écrit:Il faut impérativement introduire un chapitre sur “La vie des légumes” dans les programmes scolaires (à partir de la maternelle) en mobilisant les parents, les actions écologique, la FNSEA, les associations et les élèves et créer partout des référents-légumes (et faire une enquête flash). Et surtout, surtout, mieux former les profs sur les légumes, car cette carence vient de loin et n'est pas un hasard : il y a là un véritable sujet de santé publique. Donc, il faut imposer aux profs des formations à distance quotidiennes (vers 19h/20h) sur les différents légumes et leur utilisation culinaire, et tous les jours environ une heure (entre 7h et 8h) de pratique de l'épluchure en lien avec la cantine dans un dispositif de solidarité et de concertation, de façon à joindre la théorie à la pratique.

Pas très Attal ça.
Je propose plutôt le SNU (Service Nutritionnel Uberisé)

roxanne a écrit:A l'inverse, je trouve absolument anormal qu'on empêche un élève de redoubler sa Première. J'avais un élève l'année dernière qui a planté son année pour différentes raisons. Mais, il avait de bonnes bases. Pas eu moyen de lui permettre de refaire son année du moins en public. Ses parents ( des cousins) ont fini par lui trouver une place dans un lycée privé où il réussit son redoublement. Le droit à l'erreur ou au faux pas n'existe pas.

Totalement d'accord. Il y a deux ans, j'avais, en 3e, un élève au niveau assez juste (un petit 9.5 de moyenne à l'année). Nous avions discuté d'un passage en seconde professionnelle, l'élève n'était pas d'accord car motivé par aucune voie. Le mettre en LP aurait donc été une mauvaise chose. La mère de cet élève a demandé à ce qu'il redouble sa 3e car elle craignait un échec s'il passait directement en seconde GT, l'élève était d'accord. Cela a été refusé par la direction, cet élève est passé en seconde GT. Son année au lycée s'est mal passée, de façon malheureusement peu étonnante.

A titre personnel, je voudrais juste que la question de l'orientation soit plus claire : soit ce sont les enseignants qui décident (mais dans ce cas, la famille peut obtenir le redoublement si elle est en désaccord afin d'obtenir une autre orientation la deuxième année), soit ce sont les familles qui décident (et on arrête de nous mettre la pression dans les conseils de classe du 3e trimestre pour qu'on accepte des passages en seconde GT à 8 de moyenne).

Entièrement d'accord avec toi, Malaga.

Malaga a écrit:

roxanne a écrit:A l'inverse, je trouve absolument anormal qu'on empêche un élève de redoubler sa Première. J'avais un élève l'année dernière qui a planté son année pour différentes raisons. Mais, il avait de bonnes bases. Pas eu moyen de lui permettre de refaire son année du moins en public. Ses parents ( des cousins) ont fini par lui trouver une place dans un lycée privé où il réussit son redoublement. Le droit à l'erreur ou au faux pas n'existe pas.

Totalement d'accord. Il y a deux ans, j'avais, en 3e, un élève au niveau assez juste (un petit 9.5 de moyenne à l'année). Nous avions discuté d'un passage en seconde professionnelle, l'élève n'était pas d'accord car motivé par aucune voie. Le mettre en LP aurait donc été une mauvaise chose. La mère de cet élève a demandé à ce qu'il redouble sa 3e car elle craignait un échec s'il passait directement en seconde GT, l'élève était d'accord. Cela a été refusé par la direction, cet élève est passé en seconde GT. Son année au lycée s'est mal passée, de façon malheureusement peu étonnante.

A titre personnel, je voudrais juste que la question de l'orientation soit plus claire : soit ce sont les enseignants qui décident (mais dans ce cas, la famille peut obtenir le redoublement si elle est en désaccord afin d'obtenir une autre orientation la deuxième année), soit ce sont les familles qui décident (et on arrête de nous mettre la pression dans les conseils de classe du 3e trimestre pour qu'on accepte des passages en seconde GT à 8 de moyenne).

Je souscris à 100%, sauf au sujet du redoublement : redoubler sa 3eme ne doit pas garantir l’orientation voulue si le niveau n’y est pas. Donner une 2eme chance oui.

Et pour répondre à l'objection de certains, il faut aussi développer davantage les passerelles. Je regrette par exemple que les 1e d'adaptation n'existent plus : on y accueillait des élèves venant de BEP qui rejoignaient une 1e technologique et beaucoup ont ensuite très bien réussi.
En France, on fait globalement l'inverse : on cloisonne avec peu de passerelles avant le bac et une orientation largement décidée par les familles et l'institution (en dehors des professeurs).

Laotzi a écrit:Et pour répondre à l'objection de certains, il faut aussi développer davantage les passerelles. Je regrette par exemple que les 1e d'adaptation n'existent plus : on y accueillait des élèves venant de BEP qui rejoignaient une 1e technologique et beaucoup ont ensuite très bien réussi.
En France, on fait globalement l'inverse : on cloisonne avec peu de passerelles avant le bac et une orientation largement décidée par les familles et l'institution (en dehors des professeurs).

D’accord aussi, tout comme certaines classes en collège qui se faisaient en 2ans.

Ajonc35 a écrit:Lisak, quand j'ai quitté le " boulot", j'avais le même profil que toi en moins pire, tout dépendait de la filière.
Il y a 20 ans , les élèves de BEP avaient presque tous 1 an de " retard" voire 2. Des difficultés certes mais pour beaucoup l'envie de bien faire et de construire un avenir. Combien de parents ne nous ont pas remercié car leurs enfants réussissaient, étaient bien dans leur peau, etc.
Rare était le fond du panier. Et évidemment ils avaient plutôt 20 ans à la fin de leur bac pro et donc bien plus de maturité.
Nombre de mes CAP d'alors valaient mieux qu'un élève moyen de bac pro 2021.
Aujourd'hui ça s'inverse. Sans qu'ils soient illettrés, ils ne savent pas lire, écrire, faire une phrase correcte, etc et toute la chaîne des disciplines est affectée, y compris les matières pro.
Les parents qui ont eu un CAP à la fin du XXeme siecle, croient que le niveau est le même et quand leur fiston a un bac pro, c'est le graal. Or il en sait moins que papa au même âge.
Il y a peu, mes élèves en sante/ services devaient passer le concours d'entrée à l'école d'infirmiers et ne s'inscrivaient que 2 ou 3 par an, pour que 2 soient admissibles et 1 admis, et ils étaient bien meilleurs. Aujourd'hui, sans concours, ils entrent presque tous, ce qui explique aussi le nombre d'abandons très rapidement. Et on se trompe en disant que c'est trop dur. Les élèves n'ont pas le niveau et ne savent pas ce que signifie : travailler ses cours.
Et on nous parle de lycée d'excellence. Que ceux qui en parlent, y inscrivent leurs gamins, leurs nerveux, leus voisins et on en discute.

Pour ce que j'ai graissé on peut en débattre : clairement une connaissance de ma mère qui ne peut pas prendre le bus car elle ne saurait pas lire le nom des arrêts assez rapidement, ne peut pas faire de chèque et doit se faire aider par ses enfants pour le moindre papier (relevés de compte bancaires, contrats divers, démarches administratives) est illettrée. En général mes élèves n'en sont heureusement pas là. Mais clairement l'année dernière et cette année, j'ai des élèves qui sont très proches de cet état : je n'ai pas de vrai écrit à te soumettre parce que je n'en ai pas gardé de traces mais oui pour certains cas extrêmes, même la lecture à voix haute qui aide souvent est ici inutile car l'élève est incapable de faire une phrase compréhensible (car lui même ne comprend rien et ne fait pas le lien entre ce qu'il dit / pense et ce qu'il écrit) et c'est pareil en maths (faut les voir être persuadés que 7+5 = 35 ou 2 ou pire 43 -c'est à dire que ça n'a même plus de rapport avec l'énoncé initial-). Et oui cela impacte fortement leurs possibilités d'acquisition des compétences professionnelles, donc pour le reste, tout le reste, je suis d'accord avec toi.

Lisak40 a écrit:

Ajonc35 a écrit:Lisak, quand j'ai quitté le " boulot", j'avais le même profil que toi en moins pire, tout dépendait de la filière.
Il y a 20 ans , les élèves de BEP avaient presque tous 1 an de " retard" voire 2. Des difficultés certes mais pour beaucoup l'envie de bien faire et de construire un avenir. Combien de parents ne nous ont pas remercié car leurs enfants réussissaient, étaient bien dans leur peau, etc.
Rare était le fond du panier. Et évidemment ils avaient plutôt 20 ans à la fin de leur bac pro et donc bien plus de maturité.
Nombre de mes CAP d'alors valaient mieux qu'un élève moyen de bac pro 2021.
Aujourd'hui ça s'inverse. Sans qu'ils soient illettrés, ils ne savent pas lire, écrire, faire une phrase correcte, etc et toute la chaîne des disciplines est affectée, y compris les matières pro.
Les parents qui ont eu un CAP à la fin du XXeme siecle, croient que le niveau est le même et quand leur fiston a un bac pro, c'est le graal. Or il en sait moins que papa au même âge.
Il y a peu, mes élèves en sante/ services devaient passer le concours d'entrée à l'école d'infirmiers et ne s'inscrivaient que 2 ou 3 par an, pour que 2 soient admissibles et 1 admis, et ils étaient bien meilleurs. Aujourd'hui, sans concours, ils entrent presque tous, ce qui explique aussi le nombre d'abandons très rapidement. Et on se trompe en disant que c'est trop dur. Les élèves n'ont pas le niveau et ne savent pas ce que signifie : travailler ses cours.
Et on nous parle de lycée d'excellence. Que ceux qui en parlent, y inscrivent leurs gamins, leurs nerveux, leus voisins et on en discute.

Pour ce que j'ai graissé on peut en débattre : clairement une connaissance de ma mère qui ne peut pas prendre le bus car elle ne saurait pas lire le nom des arrêts assez rapidement, ne peut pas faire de chèque et doit se faire aider par ses enfants pour le moindre papier (relevés de compte bancaires, contrats divers, démarches administratives) est illettrée. En général mes élèves n'en sont heureusement pas là. Mais clairement l'année dernière et cette année, j'ai des élèves qui sont très proches de cet état : je n'ai pas de vrai écrit à te soumettre parce que je n'en ai pas gardé de traces mais oui pour certains cas extrêmes, même la lecture à voix haute qui aide souvent est ici inutile car l'élève est incapable de faire une phrase compréhensible (car lui même ne comprend rien et ne fait pas le lien entre ce qu'il dit / pense et ce qu'il écrit) et c'est pareil en maths (faut les voir être persuadés que 7+5 = 35 ou 2 ou pire 43 -c'est à dire que ça n'a même plus de rapport avec l'énoncé initial-). Et oui cela impacte fortement leurs possibilités d'acquisition des compétences professionnelles, donc pour le reste, tout le reste, je suis d'accord avec toi.

Non, non, nous sommes d'accord sur tout.
Une collègue- ex- me racontait récemment qu'elle a dû aider une élève dans un devoir ( surveillance devoir de maths- echange entre collègues ) en attendant l'aesh ( qui ne peut se dedoubler), et l'élève ne savait pas combien de mois dans l'année donc exercice de maths impossible.
Une autre , enseignante de français, me dit aussi qu'elle ne fait plus lire. Trop de difficultés pour les élèves, bac pro, et trop de perte de temps, pour elle.

Notre ministre a encore trouvé la solution à tous les problèmes de société :
https://www.letudiant.fr/college/lenseignement-moral-et-civique-emc-sera-renforce-a-la-rentree-2024.html

Je n'ai pas lu de prétention à "résoudre tous les problèmes de société" dans l'annonce de cette mesure

Prosper de Barante a écrit:Notre ministre a encore trouvé la solution à tous les problèmes de société :
https://www.letudiant.fr/college/lenseignement-moral-et-civique-emc-sera-renforce-a-la-rentree-2024.html

Enaeco a écrit:Je n'ai pas lu de prétention à "résoudre tous les problèmes de société" dans l'annonce de cette mesure

C'est parce qu'ils ont oublié le SNU !

Méfiez-vous, en CAP nous n'avons plus que 1h30 de lettres et d'histoire-géo mais 1/2h d'EMC ! L'EMC semble effectivement résoudre tous les problèmes, on le constate tous les jours.

Prosper de Barante a écrit:Notre ministre a encore trouvé la solution à tous les problèmes de société :
https://www.letudiant.fr/college/lenseignement-moral-et-civique-emc-sera-renforce-a-la-rentree-2024.html

Le nouveau programme d’enseignement moral et civique (EMC) va mettre l’accent sur les valeurs fondamentales de la République, du développement durable et de l’éducation aux médias.
Notre ministre est-il au courant que c'est déjà au programme et qu'on le fait depuis des années ?

Fesseur Pro a écrit:

Prosper de Barante a écrit:Notre ministre a encore trouvé la solution à tous les problèmes de société :
https://www.letudiant.fr/college/lenseignement-moral-et-civique-emc-sera-renforce-a-la-rentree-2024.html

Le nouveau programme d’enseignement moral et civique (EMC) va mettre l’accent sur les valeurs fondamentales de la République, du développement durable et de l’éducation aux médias.
Notre ministre est-il au courant que c'est déjà au programme et qu'on le fait depuis des années ?

Oui, mais avant, l'EMC mettait l’accent sur les valeurs fondamentales de la République, du développement durable et de l’éducation aux médias, mais ce n'était pas du bon EMC. G.Attal : dernières annonces - Page 17 2950807625

G.Attal : dernières annonces - Page 17 2950807625

Alors que maintenant, l'EMC va mettre l’accent sur les valeurs fondamentales de la République, du développement durable et de l’éducation aux médias, et ce sera du bon EMC. professeur

S’ils réécrivent les programmes, au moins qu’ils les rendent compréhensibles et pas encyclopédiques.

l'Etudiant a écrit:"Aujourd’hui, en moyenne, c’est une demi-heure [d'EMC] par semaine. Ce sera une heure par semaine à partir de la rentrée 2024", précise le ministre.

Cette augmentation ne concerne que le collège (les classes de 5e, 4e et 3e) et permettra d’approfondir les thématiques abordées en cours.

Va-t-on déroger aux 26h par semaine, ou supprimer quelque chose dans le programme d'histoire et géographie, ou bien se contenter de "charger la mule" pour faire de la com' ?

fanette a écrit:

l'Etudiant a écrit:"Aujourd’hui, en moyenne, c’est une demi-heure [d'EMC] par semaine. Ce sera une heure par semaine à partir de la rentrée 2024", précise le ministre.

Cette augmentation ne concerne que le collège (les classes de 5e, 4e et 3e) et permettra d’approfondir les thématiques abordées en cours.

Va-t-on déroger aux 26h par semaine, ou supprimer quelque chose dans le programme d'histoire et géographie, ou bien se contenter de "charger la mule" pour faire de la com' ?

Bah non. En cycle 4, il reste des heures de techno. Ça ferait 1h30 par semaine de récupérées.

J'ai failli répondre la même chose .... vil-bah

fanette a écrit:

l'Etudiant a écrit:"Aujourd’hui, en moyenne, c’est une demi-heure [d'EMC] par semaine. Ce sera une heure par semaine à partir de la rentrée 2024", précise le ministre.

Cette augmentation ne concerne que le collège (les classes de 5e, 4e et 3e) et permettra d’approfondir les thématiques abordées en cours.

Va-t-on déroger aux 26h par semaine, ou supprimer quelque chose dans le programme d'histoire et géographie, ou bien se contenter de "charger la mule" pour faire de la com' ?

Je dirais, malheureusement, la réponse C.

J'envisagerais bien : réponses A, B et C (et D, et E, et…)… Rolling Eyes

Apparemment l'ouverture des établissements scolaires fin août a aussi été annoncée. Je propose que l'EMC soit faite de façon massée à ce moment-là : en une dizaine de jours on doit pouvoir faire le compte pour l'année. Il faudrait trouver un petit nom à ça. Tiens, SNU, ça sonne pas mal.

Tout va mal ? Détruisons le peu qui reste.

En 2013 François Hollande a appris qu'il y avait plus d'un seul couplet à la Marseillaise. Il n'a pas eu assez de cours d'EMC lors de son cursus scolaire !

Je pense que l'heure dl'EMC est essentielle pour chanter le premier couplet de la Marseillaise lors d'un match de foot, pour être un supporter citoyen de l'OM ou du PSG et se casser la gueule mutuellement lors de chaque rencontre. Par contre connaître la Révolution française, l'armée du Rhin, la troisième république, halloween et la fête à neuneu,... tout cela ne sert à rien.

L'EMC m'a toujours rassuré car, quelque soit son appellation (ECJS/EMC/EDVSC - c'est la prochaine étape : Education Des Veaux Sans Culture), cela a toujours été une source d’apaisement social et nous en mesurons tous les ans l'importance en constatant la baisse du nombre de voitures brûlées lors des vacances de Noël.

Les valeurs républicaines il faudrait déjà les inculquer à nos dirigeants et, là, il y a du travail de formation continue tout au long de la vie.

Comme on nous a expliqué hier que la majorité des émeutiers étaient déscolarisés, je suppose que l’EMC va consister à aller chanter la Marseillaise les joues peinturlurées de bleu blanc rouge sous leurs fenêtres pour leur donner envie de rejoindre notre belle école républicaine. Peut-être même qu'on pourra offrir un maillot du PSG à ceux qui signeront.

lene75 a écrit:Apparemment l'ouverture des établissements scolaires fin août a aussi été annoncée. Je propose que l'EMC soit faite de façon massée à ce moment-là : en une dizaine de jours on doit pouvoir faire le compte pour l'année. Il faudrait trouver un petit nom à ça. Tiens, SNU, ça sonne pas mal.

Tout va mal ? Détruisons le peu qui reste.

En collège ça ne marche pas.

Isis39 a écrit:

lene75 a écrit:Apparemment l'ouverture des établissements scolaires fin août a aussi été annoncée. Je propose que l'EMC soit faite de façon massée à ce moment-là : en une dizaine de jours on doit pouvoir faire le compte pour l'année. Il faudrait trouver un petit nom à ça. Tiens, SNU, ça sonne pas mal.

Tout va mal ? Détruisons le peu qui reste.

En collège ça ne marche pas.

Pourquoi pas ? Au contraire, plus on commence jeune mieux c'est. Collège c'est petit joueur : c'est dès la maternelle qu'il faut éteindre toute velléité d'esprit critique pour sauver la République.