- BalthazaardVénérable
zigmag17 a écrit:M le Maudit a écrit:"classe sympathique et dynamique" dans un bulletin, alors que je croyais naïvement que ça voulait dire que les élèves étaient agréables et participaient activement...
Ben pour moi ça veut dire ça !!! Je ne sais pas ce que cette expression signifie ds ce livre....
Ca dépend. Si c'est dans le sens du "Untel devrait se concentrer davantage" inscrit sur un bulletin qui en vérité signifie "Untel fout le b....l en classe ", en effet c'est une appréciation qui ne sert qu'à édulcorer la réalité et cela pourrait signifier "Classe impossible à canaliser".
Si c'est à comprendre au sens premier, pas de problème ( il existe vraiment des classes sympa et dynamiques) .
Mais je n'ai pas lu l'ouvrage et hors contexte difficile de trancher.
Je ne commente pas le livre que je ne lirai pas mais je crois que cette modération dans les commentaires est une constante de notre époque. Vos savez très bien que, déjà pour notre avancement, si nous n'avons pas que des "excellents" c'est quasi râpé...qu'un prof totalement incompétent (hélas cela arrive) aura comme appréciations "à consolider" que dans notre ex notation administrative le B au lieu du TB traduisait un problème quelque part...
Pour ma part au début de l'année je fais un petit cours refroidissant aux terminales sur l'art de lire les appréciations sur parcoursup ou les bulletins, j'avoue que je pousse un peu le bouchon mais ça fait son effet...
"Bon élève qui n'a pas encore utilisé la totalité de son potentiel" qu'est ce que ça veut dire?
(eux) "qu'il est bon et qu'il va sûrement réussir"
(moi)...ça veut dire "ne fous rien depuis le début de l'année"
(eux) "Monsieur vous croyez?"
(moi) "oui"
J'exagère un peu comme je l'ai dit mais nous savons très bien que dans les formations exigeantes, un simple bémol quel qu’il soit équivaut à une porte fermée et qu'à une époque procédurière en diable toutes les précautions sont de mise...
Exemple plus rigolo....un vin classé à moins de 80/100 au guide Parker est très très moyen pour lui...
Notre époque est toute en nuances...
- IrulanHabitué du forum
C'est vrai que j'ai lu le livre par curiosité, attendant mieux d'une professeure de lettres agrégée et docteure, croyant y retrouver un condensé de ce qui est dénoncé sur Néo. Elle y va progressivement, mais toujours avec le même style délibérément oral : son livre est très bien fichu, pas du tout écrit avec les pieds. D'un côté j'ai été à la fois désolée et soulagée de ne pas être la seule à subir ce qu'elle raconte (dans la salle des profs, peu montent au créneau contre ce qu'Eve Vaguerlant dénonce - je parle de nos conditions de travail, pas des délires extrémistes bien sûr), de l'autre j'ai été estomaquée par le discours dont je viens de citer des passages.
_________________
Ad augusta per angusta.
- PrezboGrand Maître
Balthazaard a écrit:
J'exagère un peu comme je l'ai dit mais nous savons très bien que dans les formations exigeantes, un simple bémol quel qu’il soit équivaut à une porte fermée et qu'à une époque procédurière en diable toutes les précaution sont de mises...
Exemple plus rigolo....un vin classé à moins de 80/100 au guide Parker est très très moyen pour lui...
Notre époque est toute en nuances...
Chez les vendeurs de disques vinyles d'occasion, un disque en "bon état" n'est pas vraiment de ce que vous appelleriez en bon état.
Ne parlons pas des agences immobilières avec leur "gros œuvre en parfait état" et autres "à rafraîchir".
- JacqGuide spirituel
Irulan a écrit:[...] Quant aux surveillants, elle explique bien qu'ils n'ont plus qu'un rôle administratif et qu'il faut désormais faire l'appel dans les cinq minutes dans certains collèges (dont le mien, on reçoit une notification sur Pronote, ou alors l'AED vient directement vous voir, alors que vous venez d'installer les élèves, il n'y a pas le feu au lac surtout quand 20 minutes de retard sont tolérés). [...]
J'adore lorsque les surveillants m'adresse un message via pronote pour me signaler qu'il faut que je fasse l'appel. Je m'en rends compte en général bien après que j'ai fait l'appel en question (en minutes, ou en jours, ou jamais) !
- BalthazaardVénérable
OU c'est vrai j'oubliais le "bon état"!!!! "état moyen" = épave
Le pire je crois ce sont les pierres précieuses....le truc pourri invendable sauf au gogo est déjà qualifié de "remarquable"
Le pire je crois ce sont les pierres précieuses....le truc pourri invendable sauf au gogo est déjà qualifié de "remarquable"
- Isis39Enchanteur
Irulan a écrit:Non, en SVT. J’ai converti mon epub en pdf, c’est plus pratique pour faire une recherche et citer le texte. Je ne vais d’ailleurs pas tout citer, car je ne pense pas que cela soit permis. Je vais résumer ses propos et citer un long passage.
L’idée générale de l’auteure est que, le système scolaire, à travers ses programmes, manuels et interventions associatives, agit comme un « moule idéologique » plutôt que d’instruire. Elle explique notamment que le thème des migrants est trop présent dans divers manuels scolaires et en cours, souvent introduit dans les manuels de français en classe de 4e, sous le prétexte de la séquence sur « la société et les médias ». De plus, les cours de géographie traitent des « mobilités humaines transnationales » et les cours de langues étrangères (espagnol, anglais, allemand) abordent également les migrations. Elle témoigne d'une fois où un tableau en anglais non effacé affichait la question « Why are people rejecting migrants ? », suivi de réponses telles que « prejudice », « fear », « hatred », etc. Selon elle, ce type d'enseignement peut potentiellement mettre mal à l’aise les élèves dont les parents votent Le Pen, en les stigmatisant. Je cite : « Le gamin dont les parents votent Le Pen (= un bon 20 % de l’électorat quand même) a dû se sentir très à l’aise durant cette séance… Tes parents sont des cons mon enfant… »
Voici le passage, in extenso pour ne pas risquer de déformer les propos de l’auteure, sur Le Livre scolaire (c’est en SVT) :Eve Vaguerlant a écrit:« On a donc vu la notion apparaître dans certains manuels (le ministère va dire que ce n’est pas dans les programmes et qu’il n’a pas la maîtrise de ce que font les éditeurs, mais la réalité est qu’il laisse faire et surtout qu’il achète ensuite les manuels en question au lieu de faire pression…), où l’idée systématiquement répandue est que le fait d’être garçon ou fille n’est pas une réalité biologique mais une construction sociale. Ici, c’est la SVT qui sert de principal véhicule à la propagande LGBT. Point important que l’inscription dans cette discipline : on prétend par là donner une caution scientifique à ce qui devrait au mieux être présenté comme une révolution morale, philosophique, anthropologique. Prenons le manuel « Le livre scolaire » de SVT pour les secondes. Il est disponible en ligne et assez représentatif du zèle dont les éditeurs font preuve dans ce domaine. Dans les chapitres « Cerveau, plaisir et sexualité », on trouve une partie intitulée « Identité sexuelle et orientation sexuelle ». Ensuite, ça se corse car le manuel propose une étude de document sur la « construction de l’identité sexuelle » ; l’« identité » est donc toujours en « construction », ce qui est assez contradictoire dans les termes mais passons… Voici la définition donnée par le manuel : « L’identité sexuelle est le fait de se sentir homme ou femme, et de se reconnaître et d’être reconnu comme tel dans la société. Elle est le résultat d’une construction dans laquelle interviennent des facteurs biologiques (sexe génétique et phénotypique), psychologiques et sociaux. La construction de cette identité est personnelle et peut évoluer au cours de la vie. »
Laissez donc tomber l’idée qu’il y a des garçons et des filles. C’est simpliste, c’est pour les idiots. Les trois documents sont les suivants : un extrait BD de Riad Sattouf sur les stéréotypes féminins/masculins, l’affiche du film « Tomboy » avec le pitch suivant : « Ce film met en scène une fille de 10 ans vivant sa vraie identité sexuelle de garçon dans son nouveau quartier », et cela se termine en beauté avec le « témoignage de Léna, transgenre », extrait du documentaire Devenir il ou elle de Lorène Debaisieux. Vous remarquerez qu’ils n’y vont pas de main morte… L’école, qui ne transmet plus le moindre sou de culture et échoue à faire en sorte que notre jeunesse écrive ne serait-ce que correctement, considère visiblement comme une de ses missions premières de leur fourrer dans le crâne que le sexe qui leur a été brutalement « assigné » à la naissance par le corps médical – dont les principes fleurent les relents du patriarcat le plus rance – n’est pas définitif et peut évoluer… Les ministres de l’éducation – notamment celui qui devait rétablir l’« Autorité du Maître » – ont désormais pour priorité de pondre des circulaires sur l’intégration des « transgenres » à l’école 36 – terme qui entérine d’ailleurs la fameuse « théorie-qui-n’existe-pas », puisqu’avant on parlait de « transsexuel »… »
Merci pour la citation. Elle a vraiment un message d'extrême droite.
- ElyasEsprit sacré
Irulan a écrit:Non, en SVT. J’ai converti mon epub en pdf, c’est plus pratique pour faire une recherche et citer le texte. Je ne vais d’ailleurs pas tout citer, car je ne pense pas que cela soit permis. Je vais résumer ses propos et citer un long passage.
L’idée générale de l’auteure est que, le système scolaire, à travers ses programmes, manuels et interventions associatives, agit comme un « moule idéologique » plutôt que d’instruire. Elle explique notamment que le thème des migrants est trop présent dans divers manuels scolaires et en cours, souvent introduit dans les manuels de français en classe de 4e, sous le prétexte de la séquence sur « la société et les médias ». De plus, les cours de géographie traitent des « mobilités humaines transnationales » et les cours de langues étrangères (espagnol, anglais, allemand) abordent également les migrations. Elle témoigne d'une fois où un tableau en anglais non effacé affichait la question « Why are people rejecting migrants ? », suivi de réponses telles que « prejudice », « fear », « hatred », etc. Selon elle, ce type d'enseignement peut potentiellement mettre mal à l’aise les élèves dont les parents votent Le Pen, en les stigmatisant. Je cite : « Le gamin dont les parents votent Le Pen (= un bon 20 % de l’électorat quand même) a dû se sentir très à l’aise durant cette séance… Tes parents sont des cons mon enfant… »
Voici le passage, in extenso pour ne pas risquer de déformer les propos de l’auteure, sur Le Livre scolaire (c’est en SVT) :Eve Vaguerlant a écrit:« On a donc vu la notion apparaître dans certains manuels (le ministère va dire que ce n’est pas dans les programmes et qu’il n’a pas la maîtrise de ce que font les éditeurs, mais la réalité est qu’il laisse faire et surtout qu’il achète ensuite les manuels en question au lieu de faire pression…), où l’idée systématiquement répandue est que le fait d’être garçon ou fille n’est pas une réalité biologique mais une construction sociale. Ici, c’est la SVT qui sert de principal véhicule à la propagande LGBT. Point important que l’inscription dans cette discipline : on prétend par là donner une caution scientifique à ce qui devrait au mieux être présenté comme une révolution morale, philosophique, anthropologique. Prenons le manuel « Le livre scolaire » de SVT pour les secondes. Il est disponible en ligne et assez représentatif du zèle dont les éditeurs font preuve dans ce domaine. Dans les chapitres « Cerveau, plaisir et sexualité », on trouve une partie intitulée « Identité sexuelle et orientation sexuelle ». Ensuite, ça se corse car le manuel propose une étude de document sur la « construction de l’identité sexuelle » ; l’« identité » est donc toujours en « construction », ce qui est assez contradictoire dans les termes mais passons… Voici la définition donnée par le manuel : « L’identité sexuelle est le fait de se sentir homme ou femme, et de se reconnaître et d’être reconnu comme tel dans la société. Elle est le résultat d’une construction dans laquelle interviennent des facteurs biologiques (sexe génétique et phénotypique), psychologiques et sociaux. La construction de cette identité est personnelle et peut évoluer au cours de la vie. »
Laissez donc tomber l’idée qu’il y a des garçons et des filles. C’est simpliste, c’est pour les idiots. Les trois documents sont les suivants : un extrait BD de Riad Sattouf sur les stéréotypes féminins/masculins, l’affiche du film « Tomboy » avec le pitch suivant : « Ce film met en scène une fille de 10 ans vivant sa vraie identité sexuelle de garçon dans son nouveau quartier », et cela se termine en beauté avec le « témoignage de Léna, transgenre », extrait du documentaire Devenir il ou elle de Lorène Debaisieux. Vous remarquerez qu’ils n’y vont pas de main morte… L’école, qui ne transmet plus le moindre sou de culture et échoue à faire en sorte que notre jeunesse écrive ne serait-ce que correctement, considère visiblement comme une de ses missions premières de leur fourrer dans le crâne que le sexe qui leur a été brutalement « assigné » à la naissance par le corps médical – dont les principes fleurent les relents du patriarcat le plus rance – n’est pas définitif et peut évoluer… Les ministres de l’éducation – notamment celui qui devait rétablir l’« Autorité du Maître » – ont désormais pour priorité de pondre des circulaires sur l’intégration des « transgenres » à l’école 36 – terme qui entérine d’ailleurs la fameuse « théorie-qui-n’existe-pas », puisqu’avant on parlait de « transsexuel »… »
Elle n'y va de main morte avec les clichés. Evidemment, elle, elle n'est pas pareille. C'est une héroïne
- Isis39Enchanteur
Et la sortie "L'école qui ne transmet plus le moindre sou de culture" c'est sympa pour l'ensemble des collègues ! Je ne fais pourtant pas du macramé !
- JacqGuide spirituel
Balthazaard a écrit:[...]
"Bon élève qui n'a pas encore utilisé la totalité de son potentiel" qu'est ce que ça veut dire?
(eux) "qu'il est bon et qu'il va sûrement réussir"
(moi)...ça veut dire "ne fous rien depuis le début de l'année"
(eux) Monsieur vous croyez?
(moi) "oui"
J'exagère un peu comme je l'ai dit mais nous savons très bien que dans les formations exigeantes, un simple bémol quel qu’il soit équivaut à une porte fermée et qu'à une époque procédurière en diable toutes les précautions sont de mises...
Exemple plus rigolo....un vin classé à moins de 80/100 au guide Parker est très très moyen pour lui...
Notre époque est toute en nuances...
J'avais déjà cité un type d'appréciation : "attitude perfectible".... Ca m'énerve !
Pour l'orientation, il faut faire attention. J'avais un jour mis une appréciation indiquant que le résultat était faible mais en raison des absences, pas du travail (en gros). Mon objectif était d'expliquer pourquoi le résultat était faible pour une élève sérieuse, souvent absente pour des raisons très personnelles. Le PP m'avait très gentiment demandé si je pouvais formuler autrement qu'en mentionnant les absences qui, en plus, était moins nombreuses en terminale. Nous avions retourné un peu l'appréciation pour ne pas la planter.
Je pense que par contre, en LP, les parents sont moins pénibles concernant les appréciations que pas mal de parents du général, public ou privé d'ailleurs (avec le pire : je paye, mon chérubin doit avoir son orientation !).
Par contre je n'hésite pas quand il faut planter un élève parce qu'il le mérite. Je suis mes élèves durant trois ans à chaque fois, ils sont prévenus dès la seconde : "le second bulletin de première compte pour l'orientation." En première, dernier avertissement. Deuxième semestre : aucune chance. L'année dernière j'ai été tellement dur (mais réaliste) avec un élève dans mes trois appréciations (histoire-géo, lettres, appréciation du PP) du second semestre de première que je pensais être retoqué par le Pro Adj en conseil. Mais non. Et à la remise du bulletin je lui ai simplement dis : "tu le savais, maintenant tu fais une croix sur les BTS sauf si tu trouves une alternance". Il a bien compris que c'était fini. Finalement il a loupé le bac, ce qui simplifie la chose.
Mais en même temps, pour cette même classe mais en terminale cette année, quand je vois les élèves que ce sont arrachés les BTS privés (sous contrat ou non) : je ne vois pas bien la sélection. Mais ils font du remplissage par peur de la concurrence de l'apprentissage.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Isis39 a écrit:Prezbo a écrit:Isis39 a écrit:C'est extrêmement pénible ces collègues qui râlent tout le temps mais ne mettent rien dans les appréciations. J'ai de la chance, la majeure partie de mes collègues sont assez cohérents là-dessus. Et on en tient compte au conseil, même si ce n'est que dans un ou deux appréciations.
Certes. Je me suis souvent agacé aussi. La question est : cela mérite-t-il d'en faire un livre ? Cela est-il la preuve de la décadence de l’Éducation Nationale sous les asseaux de Wokisme et de la propagande LGBT(ad lib) ?
Totalement d'accord. J'attends encore qu'on me démontre ces histoire de wokisme et propagande LGBT à l'école. De vrais fantasmes.
C'est la bonne vieille propagande de l'école sans dieu qui inculque l'athéisme aux enfants — mais remise au goût du jour.
_________________
Si tu vales valeo.
- JacqGuide spirituel
Isis39 a écrit:Et la sortie "L'école qui ne transmet plus le moindre sou de culture" c'est sympa pour l'ensemble des collègues ! Je ne fais pourtant pas du macramé !
M'enfin (j'adore citer Gaston L) ? Tu devrais, comme elle, expliquer à tes élèves à quel point le statut de la femme au moyen-âge n'était pas discriminant comme l'imaginent les sectaires wokistes, la preuve : la littérature courtoise montrant le dévouement du chevalier envers sa dame (si si, elle le fait, voir interview que j'ai citée plus haut). Là tu pourrais leur apporter un peu de culture !
- IphigénieProphète
C’est ce qui tue l’En, cette chape idéologique : toutes ces intentions malignes sous entendues dernière chaque propos fait que quoi qu’on dise même objectivement, on est forcément récupéré ou attaqué d’un côté ou d’un autre: l’école touche de fait à tous les sujets sensibles de la société et il sont tous « minés »: par exemple dire que la transmission culturelle ne marche plus guère est un constat général qui a des causes multiples quels que soient les efforts de chacun et les réussites ponctuelles de chacun: mais du coup on ne peut ni interroger le problème ni y chercher de solutions éventuelles parce que ce serait marqué idéologiquement . Je n’ai pas lu ce bouquin, ce que vous en dites ne donne guere l’envie de le lire et il en est ainsi de la tonne de livres sur l’école qui ont dit chacun probablement des vérités partiellesmais inaudibles parce que pliées à une vision générale idéologique ou parce que de l’autre côté chacun ne veut voir que ce qui s’accorde avec sa vision . Bref:
Tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire . »
Tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire . »
- beaverforeverNeoprof expérimenté
Moui alors je doute que le statut des "pucelles" dans la littérature chevaleresque (en gros du butin de guerre) ne convienne à qui que ce soit aujourd'hui.Jacq a écrit:Isis39 a écrit:Et la sortie "L'école qui ne transmet plus le moindre sou de culture" c'est sympa pour l'ensemble des collègues ! Je ne fais pourtant pas du macramé !
M'enfin (j'adore citer Gaston L) ? Tu devrais, comme elle, expliquer à tes élèves à quel point le statut de la femme au moyen-âge n'était pas discriminant comme l'imagine les sectaires wokistes, la preuve : la littérature courtoise montrant le dévouement du chevalier envers sa dame (si si, elle le fait, voir interview que j'ai citée plus haut). Là tu pourrais leur apporter un peu de culture !
- IphigénieProphète
Les croisades non plus .beaverforever a écrit:Moui alors je doute que le statut des "pucelles" dans la littérature chevaleresque (en gros du butin de guerre) ne convienne à qui que ce soit aujourd'hui.Jacq a écrit:Isis39 a écrit:Et la sortie "L'école qui ne transmet plus le moindre sou de culture" c'est sympa pour l'ensemble des collègues ! Je ne fais pourtant pas du macramé !
M'enfin (j'adore citer Gaston L) ? Tu devrais, comme elle, expliquer à tes élèves à quel point le statut de la femme au moyen-âge n'était pas discriminant comme l'imagine les sectaires wokistes, la preuve : la littérature courtoise montrant le dévouement du chevalier envers sa dame (si si, elle le fait, voir interview que j'ai citée plus haut). Là tu pourrais leur apporter un peu de culture !
Quoique : en fait le monde n’évolue pas il change de lubies.
C’était la pensée réac du jour .
- BalthazaardVénérable
Jacq a écrit:Balthazaard a écrit:[...]
"Bon élève qui n'a pas encore utilisé la totalité de son potentiel" qu'est ce que ça veut dire?
(eux) "qu'il est bon et qu'il va sûrement réussir"
(moi)...ça veut dire "ne fous rien depuis le début de l'année"
(eux) Monsieur vous croyez?
(moi) "oui"
J'exagère un peu comme je l'ai dit mais nous savons très bien que dans les formations exigeantes, un simple bémol quel qu’il soit équivaut à une porte fermée et qu'à une époque procédurière en diable toutes les précautions sont de mises...
Exemple plus rigolo....un vin classé à moins de 80/100 au guide Parker est très très moyen pour lui...
Notre époque est toute en nuances...
J'avais déjà cité un type d'appréciation : "attitude perfectible".... Ca m'énerve !
Pour l'orientation, il faut faire attention. J'avais un jour mis une appréciation indiquant que le résultat était faible mais en raison des absences, pas du travail (en gros). Mon objectif était d'expliquer pourquoi le résultat était faible pour une élève sérieuse, souvent absente pour des raisons très personnelles. Le PP m'avait très gentiment demandé si je pouvais formuler autrement qu'en mentionnant les absences qui, en plus, était moins nombreuses en terminale. Nous avions retourné un peu l'appréciation pour ne pas la planter.
Je pense que par contre, en LP, les parents sont moins pénibles concernant les appréciations que pas mal de parents du général, public ou privé d'ailleurs (avec le pire : je paye, mon chérubin doit avoir son orientation !).
Par contre je n'hésite pas quand il faut planter un élève parce qu'il le mérite. Je suis mes élèves durant trois ans à chaque fois, ils sont prévenus dès la seconde : "le second bulletin de première compte pour l'orientation." En première, dernier avertissement. Deuxième semestre : aucune chance. L'année dernière j'ai été tellement dur (mais réaliste) avec un élève dans mes trois appréciations (histoire-géo, lettres, appréciation du PP) du second semestre de première que je pensais être retoqué par le Pro Adj en conseil. Mais non. Et à la remise du bulletin je lui ai simplement dis : "tu le savais, maintenant tu fais une croix sur les BTS sauf si tu trouves une alternance". Il a bien compris que c'était fini. Finalement il a loupé le bac, ce qui simplifie la chose.
Mais en même temps, pour cette même classe mais en terminale cette année, quand je vois les élèves que ce sont arrachés les BTS privés (sous contrat ou non) : je ne vois pas bien la sélection. Mais ils font du remplissage par peur de la concurrence de l'apprentissage.
Je participais régulièrement au sélections des dossiers pour les BTS et comme beaucoup d'autres j'étais énervé par certaines synthèses optimistes que démentait le comportement ou les résultats à la lecture plus fine des bulletins.
Depuis quelque temps il existe une possibilité de signaler les appréciations incohérentes, bien sûr c'est du vent, ne serait-ce que pour la difficulté de prouver quoi que ce soit, mais c'est bien signe que le problème existe.
Concernant parcoursup et les prépas, par exemple, un simple avis "excellent" n'est pas suffisant en soi, il faut insister sur la justification de ce caractère excellent, de la motivation...etc (de la bouche d'un prof que j'avais contacté au sujet d'un élève que je voulais soutenir), bon, elle a eu 20 en maths, et mention TB avec félicitations du jury, j'espère que ça a suffi...
Mais ce n'est pas de la rigolade, le TB est insuffisant et le "excellent" médiocre (au sens réel du mot), toute réserve éliminatoire.
- BalthazaardVénérable
Iphigénie a écrit:C’est ce qui tue l’En, cette chape idéologique : toutes ces intentions malignes sous entendues dernière chaque propos fait que quoi qu’on dise même objectivement, on est forcément récupéré ou attaqué d’un côté ou d’un autre: l’école touche de fait à tous les sujets sensibles de la société et il sont tous « minés »: par exemple dire que la transmission culturelle ne marche plus guère est un constat général qui a des causes multiples quels que soient les efforts de chacun et les réussites ponctuelles de chacun: mais du coup on ne peut ni interroger le problème ni y chercher de solutions éventuelles parce que ce serait marqué idéologiquement . Je n’ai pas lu ce bouquin, ce que vous en dites ne donne guère l’envie de le lire et il en est ainsi de la tonne de livres sur l’école qui ont dit chacun probablement des vérités partielles mais inaudibles parce que pliées à une vision générale idéologique ou parce que de l’autre côté chacun ne veut voir que ce qui s’accorde avec sa vision . Bref:
Tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire . »
Je ne suis pas sûr à 100% de comprendre ton message mais je crois que je suis d'accord sur le fond. Je ne crois pas à la possibilité de faire un constat qui même ici obtienne l'assentiment général, car il sera toujours passé au crible d'une vision partisane, politique ou non.
- CochonouNiveau 9
Vieux_Mongol a écrit:Voici une petite citation de l'avant-propos qui me paraît assez éclairante.
"Depuis trop longtemps, l’instruction des élèves a été prise en otage par une gauche, voire une extrême-gauche, pourtant minoritaire désormais dans le pays. C’est elle qui fait tous les choix pour l’avenir de nos enfants en dépit de ce que pense la majorité. Chacun doit cependant assumer sa part de responsabilité pour l’avoir laissé faire et pour s’être soumis à son rejet des épouvantails « réactionnaires » ou « fascistes ». Au sein du corps enseignant, l’absence de pluralisme – du moins en apparence car d’autres voix existent, mais elles ne s’expriment pas – est aussi le symptôme d’un système malade."
Je trouve que la lecture de ce fil tend à donner raison à l'auteur sur ce point.
- DeliaEsprit éclairé
Isis39 a écrit:Et la sortie "L'école qui ne transmet plus le moindre sou de culture" c'est sympa pour l'ensemble des collègues ! Je ne fais pourtant pas du macramé !
Sortie rigolote de la part de quelqu'un qui n'a pas fait de grec !
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Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- User20159Esprit éclairé
Cochonou a écrit:Je trouve que la lecture de ce fil tend à donner raison à l'auteur sur ce point.
Tous les profs, enfin au moins 90%, ne sont qu'un ramassis de gauchistes, woke.
On peut être de droite et intelligent, (il y a aussi des poissons volants....etc....) de gauche et imbécile, et toutes paroisses confondues, considérer, qu'EV écrit des bêtises.
C'est bon ? Il y est, le pluralisme, dans le fil ?
- Reine MargotDemi-dieu
epekeina.tes.ousias a écrit:Isis39 a écrit:Prezbo a écrit:Isis39 a écrit:C'est extrêmement pénible ces collègues qui râlent tout le temps mais ne mettent rien dans les appréciations. J'ai de la chance, la majeure partie de mes collègues sont assez cohérents là-dessus. Et on en tient compte au conseil, même si ce n'est que dans un ou deux appréciations.
Certes. Je me suis souvent agacé aussi. La question est : cela mérite-t-il d'en faire un livre ? Cela est-il la preuve de la décadence de l’Éducation Nationale sous les asseaux de Wokisme et de la propagande LGBT(ad lib) ?
Totalement d'accord. J'attends encore qu'on me démontre ces histoire de wokisme et propagande LGBT à l'école. De vrais fantasmes.
C'est la bonne vieille propagande de l'école sans dieu qui inculque l'athéisme aux enfants — mais remise au goût du jour.
Elle fait référence aux cours de SVT concernant le sexe et le genre, car selon elle la construction sociale n'existe pas, seul le biologique (voulu par Dieu?) compte.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- IphigénieProphète
Je pense alors que tu as très bien compris ce que je voulais dire, peut-être pas assez clairement!Balthazaard a écrit:Iphigénie a écrit:C’est ce qui tue l’En, cette chape idéologique : toutes ces intentions malignes sous entendues dernière chaque propos fait que quoi qu’on dise même objectivement, on est forcément récupéré ou attaqué d’un côté ou d’un autre: l’école touche de fait à tous les sujets sensibles de la société et il sont tous « minés »: par exemple dire que la transmission culturelle ne marche plus guère est un constat général qui a des causes multiples quels que soient les efforts de chacun et les réussites ponctuelles de chacun: mais du coup on ne peut ni interroger le problème ni y chercher de solutions éventuelles parce que ce serait marqué idéologiquement . Je n’ai pas lu ce bouquin, ce que vous en dites ne donne guère l’envie de le lire et il en est ainsi de la tonne de livres sur l’école qui ont dit chacun probablement des vérités partielles mais inaudibles parce que pliées à une vision générale idéologique ou parce que de l’autre côté chacun ne veut voir que ce qui s’accorde avec sa vision . Bref:
Tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire . »
Je ne suis pas sûr à 100% de comprendre ton message mais je crois que je suis d'accord sur le fond. Je ne crois pas à la possibilité de faire un constat qui même ici obtienne l'assentiment général, car il sera toujours passé au crible d'une vision partisane, politique ou non.
- BaldredSage
@cochonou cet argument des " voix étouffées" et des voix alternatives qui ne trouvent pas à s'exprimer est un lieu commun du discours complotiste.Cochonou a écrit:Vieux_Mongol a écrit:Voici une petite citation de l'avant-propos qui me paraît assez éclairante.
"Depuis trop longtemps, l’instruction des élèves a été prise en otage par une gauche, voire une extrême-gauche, pourtant minoritaire désormais dans le pays. C’est elle qui fait tous les choix pour l’avenir de nos enfants en dépit de ce que pense la majorité. Chacun doit cependant assumer sa part de responsabilité pour l’avoir laissé faire et pour s’être soumis à son rejet des épouvantails « réactionnaires » ou « fascistes ». Au sein du corps enseignant, l’absence de pluralisme – du moins en apparence car d’autres voix existent, mais elles ne s’expriment pas – est aussi le symptôme d’un système malade."
Je trouve que la lecture de ce fil tend à donner raison à l'auteur sur ce point.
Qu'exprimeraient-t-elles ces voix qui n'est pas déjà en boucle dans la bruyante et très bien relayée fachosphere ? Que veux tu nous dire discret ou bâillonné @cochonou ?
- IphigénieProphète
C’est le complot des complotistes, en somme : on n’en sortira pas .Baldred a écrit:@cochonou cet argument des " voix étouffées" et des voix alternatives qui ne trouvent pas à s'exprimer est un lieu commun du discours complotiste.Cochonou a écrit:Vieux_Mongol a écrit:Voici une petite citation de l'avant-propos qui me paraît assez éclairante.
"Depuis trop longtemps, l’instruction des élèves a été prise en otage par une gauche, voire une extrême-gauche, pourtant minoritaire désormais dans le pays. C’est elle qui fait tous les choix pour l’avenir de nos enfants en dépit de ce que pense la majorité. Chacun doit cependant assumer sa part de responsabilité pour l’avoir laissé faire et pour s’être soumis à son rejet des épouvantails « réactionnaires » ou « fascistes ». Au sein du corps enseignant, l’absence de pluralisme – du moins en apparence car d’autres voix existent, mais elles ne s’expriment pas – est aussi le symptôme d’un système malade."
Je trouve que la lecture de ce fil tend à donner raison à l'auteur sur ce point.
Qu'exprimeraient-t-elles ces voix qui n'est pas déjà en boucle dans la bruyante et très bien relayée fachosphere ? Que veux tu nous dire discret ou bâillonné @cochonou ?
- InvitéInvité
Baldred a écrit:@cochonou cet argument des " voix étouffées" et des voix alternatives qui ne trouvent pas à s'exprimer est un lieu commun du discours complotiste.Cochonou a écrit:Vieux_Mongol a écrit:Voici une petite citation de l'avant-propos qui me paraît assez éclairante.
"Depuis trop longtemps, l’instruction des élèves a été prise en otage par une gauche, voire une extrême-gauche, pourtant minoritaire désormais dans le pays. C’est elle qui fait tous les choix pour l’avenir de nos enfants en dépit de ce que pense la majorité. Chacun doit cependant assumer sa part de responsabilité pour l’avoir laissé faire et pour s’être soumis à son rejet des épouvantails « réactionnaires » ou « fascistes ». Au sein du corps enseignant, l’absence de pluralisme – du moins en apparence car d’autres voix existent, mais elles ne s’expriment pas – est aussi le symptôme d’un système malade."
Je trouve que la lecture de ce fil tend à donner raison à l'auteur sur ce point.
Qu'exprimeraient-t-elles ces voix qui n'est pas déjà en boucle dans la bruyante et très bien relayée fachosphere ? Que veux tu nous dire discret ou bâillonné @cochonou ?
Peut-être que ce qu'il veut dire, c'est que c'est pénible d'être traité de fasciste et de complotiste dès qu'un discours ne convient pas à la gauche ?
- JacqGuide spirituel
maldoror1 a écrit:Baldred a écrit:@cochonou cet argument des " voix étouffées" et des voix alternatives qui ne trouvent pas à s'exprimer est un lieu commun du discours complotiste.Cochonou a écrit:Vieux_Mongol a écrit:Voici une petite citation de l'avant-propos qui me paraît assez éclairante.
"Depuis trop longtemps, l’instruction des élèves a été prise en otage par une gauche, voire une extrême-gauche, pourtant minoritaire désormais dans le pays. C’est elle qui fait tous les choix pour l’avenir de nos enfants en dépit de ce que pense la majorité. Chacun doit cependant assumer sa part de responsabilité pour l’avoir laissé faire et pour s’être soumis à son rejet des épouvantails « réactionnaires » ou « fascistes ». Au sein du corps enseignant, l’absence de pluralisme – du moins en apparence car d’autres voix existent, mais elles ne s’expriment pas – est aussi le symptôme d’un système malade."
Je trouve que la lecture de ce fil tend à donner raison à l'auteur sur ce point.
Qu'exprimeraient-t-elles ces voix qui n'est pas déjà en boucle dans la bruyante et très bien relayée fachosphere ? Que veux tu nous dire discret ou bâillonné @cochonou ?
Peut-être que ce qu'il veut dire, c'est que c'est pénible d'être traité de fasciste et de complotiste dès qu'un discours ne convient pas à la gauche ?
Tout autant parfois que d'être traité par la droite d'extrêmo-gauchiste ou de khmer-vert par l'autre camp, comme si chacun ne pouvait que caricaturer l'autre qui reprend une partie des idée d'un camp ou d'un autre tout en partageant une majeur partie de nos inquiétudes et critiques, partie qui reste commune.
En fait, à l'exception de quelques aveugles, nous faisons majoritairement le même constat d'un échec (les réussites demeurent, évidemment) et souvent nous identifions les mêmes causes qui ne tiennent pas vraiment à une opinion politique, de droite ou de gauche mais plutôt non pas aux enseignants ou aux syndicats mais à la ligne des bureaucrates du MEM et de ceux qui soufflent à leurs oreilles (pas les syndicats, non, les bien placés, bien planqués, inamovibles et qui cherchent à le rester). Par contre notre collègue (l'auteur), si elle soulève des anecdotes significatives, que nous connaissons tous, dérive rapidement vers un ennemi qui ne l'est pas, ou des ennemis (par exemple son délire sur les LGBT qui assaillent l'EN qui ne s'occuperait plus que de cela - c'est oublier que même si j'ai un manuel qui traite de tel film sur l'orientation sexuelle, je ne suis pas obligé de l'utiliser et que preuve en est, nous sommes un peu capables de raison... un peu...).
Je vais aller sur le terrain de l'histoire. Mais notre travail est d'être enseignant et de n'aller ni vers le camp ridicule de la repentance perpétuelle (que dénonce l'auteur de l'ouvrage, et qui peut être dénoncé par tout historien sans tomber dans l'excès) ni dans le camp tout aussi ridicule du roman national que vend à perte le camp de la droite et de la droite ++.
Au sujet de l'histoire, pauvres élèves avec souvent peu de culture, face à cette histoire fragmentée et explosée dans les programmes et explosée en horaire hebdomadaire !
- BaldredSage
maldoror1 a écrit:Baldred a écrit:@cochonou cet argument des " voix étouffées" et des voix alternatives qui ne trouvent pas à s'exprimer est un lieu commun du discours complotiste.Cochonou a écrit:Vieux_Mongol a écrit:Voici une petite citation de l'avant-propos qui me paraît assez éclairante.
"Depuis trop longtemps, l’instruction des élèves a été prise en otage par une gauche, voire une extrême-gauche, pourtant minoritaire désormais dans le pays. C’est elle qui fait tous les choix pour l’avenir de nos enfants en dépit de ce que pense la majorité. Chacun doit cependant assumer sa part de responsabilité pour l’avoir laissé faire et pour s’être soumis à son rejet des épouvantails « réactionnaires » ou « fascistes ». Au sein du corps enseignant, l’absence de pluralisme – du moins en apparence car d’autres voix existent, mais elles ne s’expriment pas – est aussi le symptôme d’un système malade."
Je trouve que la lecture de ce fil tend à donner raison à l'auteur sur ce point.
Qu'exprimeraient-t-elles ces voix qui n'est pas déjà en boucle dans la bruyante et très bien relayée fachosphere ? Que veux tu nous dire discret ou bâillonné @cochonou ?
Peut-être que ce qu'il veut dire, c'est que c'est pénible d'être traité de fasciste et de complotiste dès qu'un discours ne convient pas à la gauche ?
De qui parles tu ? De EV ? Pour qui parles tu en répondant pour @cochonou? Donne moi un exemple ?
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