- DanskaProphète
Rien que la vie pour moi aussi. Le titre me plaisait, la 4e de couverture aussi... mais pas ce qu'il y a entre les deux, hélas !
- lagoulueNiveau 8
31e lecture : item 7 : un livre qui a au moins trois personnages principaux : La Fille du bourreau et le moine noir, de Oliver Pötzsch
Me revoilà avec le 2e tome de La Fille du bourreau (pour le moment il y en a 3 – le 3e s'intitulant La Fille du bourreau et le roi des mendiants) et je dois avouer que je m'installe confortablement dans cette petite série, parce que j'aime le personnage du bourreau de Schongau, sa rudesse, son franc-parler, sa façon de gérer le rejet dont lui et sa famille sont l'objet, et le fait que, finalement, il se trouve être beaucoup plus humain que les habitants de sa ville ! [Voici ce qu'en dit un autre personnage : « Un homme étrange, ce bourreau. Fort, l'esprit clair comme du cristal, mais beaucoup trop sentimental pour sa profession. Et décidément bien trop curieux. » et ce qu'en dit l'auteur : « buté, grognon et taciturne »]
J'apprécie également les deux autres personnages qui font l'alternance du récit (sa fille donc et un jeune médecin, Simon ; ces deux-là étant épris mais ne pouvant se marier – on n'épouse pas la fille du bourreau à moins d'être soi-même fils de bourreau).
L'époque est intéressante (et j'ai été trop « fière » de comprendre les petites allusions à la guerre de 30 ans - qui reste un événement que je trouve très complexe mais sur lequel j'avais lu quelques éclaircissements il y a quelques années, et fort heureusement j'avais pris quelques notes que je suis allée revoir!).
J'aime également les lieux : forêt, villages, montagnes, neige, … D'autant plus qu'on sort beaucoup plus de Schongau dans cet opus : on va dans les environs (au Monastère de Prémontrés à Steingaden) et plus loin, jusqu'à la célèbre Augsbourg. Et, à la fin, se trouve bien un des éléments qui m'avait fait acheter le livre après la lecture du tome 1 : un « guide touristique à travers le Pfaffenwinkel ». Alors évidemment, peut-être, sûrement, n'irai-je jamais là-bas, mais il me plaît de croire que si, un jour... (pour y voir « un paysage aussi coloré qu'un savoureux tableau baroque bavarois, avec des monastères, des chapelles, des lacs, de douces collines et la chaînes des sommets des Alpes »).
Pour l'intrigue en elle-même : cela commence avec la mort par empoisonnement du curé d'une petite église proche de Schongau. C'est Simon qui est appelé en premier sur les lieux ; il constate vite que la mort est suspecte et fait venir le bourreau. Tous deux découvrent alors, dans la crypte qui se trouve juste sous le corps du curé, la tombe cachée d'un templier qui va les entraîner dans un jeu de piste...
Alors une fois de plus, il y a le problème inhérent à ces séries d'aujourd'hui : les « redites », l'auteur rappelant beaucoup trop régulièrement à mon goût ce qui a déjà été vu dans le 1er livre, pour que ceux qui ne l'auraient pas lu s'y retrouvent... (Ce procédé est quand même bien lourd ! Il vaudrait mieux faire un rappel avant la nouvelle histoire, l'écriture gagnerait en qualité...). Et, honnêtement, ce n'est pas de la grande écriture (beaucoup de « facilités » dans les tournures, de phrases toutes faites qui ressortent à intervalles réguliers). C'est un poil trop rocambolesque parfois...
Mais bon, tant pis pour le style, l'attachement aux lieux et aux personnages fait que je lirai le 3e dans quelque temps.
Ce livre convient également, comme son titre l'indique, pour l'item 33 (œuvre mettant en scène un moine) ou encore pour le 9 (Dieu(x)).
Me revoilà avec le 2e tome de La Fille du bourreau (pour le moment il y en a 3 – le 3e s'intitulant La Fille du bourreau et le roi des mendiants) et je dois avouer que je m'installe confortablement dans cette petite série, parce que j'aime le personnage du bourreau de Schongau, sa rudesse, son franc-parler, sa façon de gérer le rejet dont lui et sa famille sont l'objet, et le fait que, finalement, il se trouve être beaucoup plus humain que les habitants de sa ville ! [Voici ce qu'en dit un autre personnage : « Un homme étrange, ce bourreau. Fort, l'esprit clair comme du cristal, mais beaucoup trop sentimental pour sa profession. Et décidément bien trop curieux. » et ce qu'en dit l'auteur : « buté, grognon et taciturne »]
J'apprécie également les deux autres personnages qui font l'alternance du récit (sa fille donc et un jeune médecin, Simon ; ces deux-là étant épris mais ne pouvant se marier – on n'épouse pas la fille du bourreau à moins d'être soi-même fils de bourreau).
L'époque est intéressante (et j'ai été trop « fière » de comprendre les petites allusions à la guerre de 30 ans - qui reste un événement que je trouve très complexe mais sur lequel j'avais lu quelques éclaircissements il y a quelques années, et fort heureusement j'avais pris quelques notes que je suis allée revoir!).
J'aime également les lieux : forêt, villages, montagnes, neige, … D'autant plus qu'on sort beaucoup plus de Schongau dans cet opus : on va dans les environs (au Monastère de Prémontrés à Steingaden) et plus loin, jusqu'à la célèbre Augsbourg. Et, à la fin, se trouve bien un des éléments qui m'avait fait acheter le livre après la lecture du tome 1 : un « guide touristique à travers le Pfaffenwinkel ». Alors évidemment, peut-être, sûrement, n'irai-je jamais là-bas, mais il me plaît de croire que si, un jour... (pour y voir « un paysage aussi coloré qu'un savoureux tableau baroque bavarois, avec des monastères, des chapelles, des lacs, de douces collines et la chaînes des sommets des Alpes »).
Pour l'intrigue en elle-même : cela commence avec la mort par empoisonnement du curé d'une petite église proche de Schongau. C'est Simon qui est appelé en premier sur les lieux ; il constate vite que la mort est suspecte et fait venir le bourreau. Tous deux découvrent alors, dans la crypte qui se trouve juste sous le corps du curé, la tombe cachée d'un templier qui va les entraîner dans un jeu de piste...
Alors une fois de plus, il y a le problème inhérent à ces séries d'aujourd'hui : les « redites », l'auteur rappelant beaucoup trop régulièrement à mon goût ce qui a déjà été vu dans le 1er livre, pour que ceux qui ne l'auraient pas lu s'y retrouvent... (Ce procédé est quand même bien lourd ! Il vaudrait mieux faire un rappel avant la nouvelle histoire, l'écriture gagnerait en qualité...). Et, honnêtement, ce n'est pas de la grande écriture (beaucoup de « facilités » dans les tournures, de phrases toutes faites qui ressortent à intervalles réguliers). C'est un poil trop rocambolesque parfois...
Mais bon, tant pis pour le style, l'attachement aux lieux et aux personnages fait que je lirai le 3e dans quelque temps.
Ce livre convient également, comme son titre l'indique, pour l'item 33 (œuvre mettant en scène un moine) ou encore pour le 9 (Dieu(x)).
- Cléopatra2Guide spirituel
J'ai donc fini Rien que la vie d'Alice Munro pour femme ayant eu le prix Nobel de littérature avant Annie Ernaux. Je ne sais trop qu'en penser. J'ai beaucoup aimé les 3 dernières nouvelles (les 4 dernières du recueil sont largement autobiographiques) et d'autres m'ont touchée, mais je n'ai jamais compris les fins. J'aime lire pour l'intrigue, l'histoire, et là, on ne peut pas vraiment parler de fins ouvertes, on peut plutôt dire qu'elle arrête le récit comme ça. En lisant en traduction on perd le style aussi, probablement. Bref, pour moi ça ne sera pas une rencontre marquante. J'hésitais à prendre un roman à la médiathèque, je suis soulagée d'avoir pris un recueil de nouvelles, je crains l'arnaque sur la fin du roman!!!!!!
- CasparProphète
Cléopatra2 a écrit:J'ai donc fini Rien que la vie d'Alice Munro pour femme ayant eu le prix Nobel de littérature avant Annie Ernaux. Je ne sais trop qu'en penser. J'ai beaucoup aimé les 3 dernières nouvelles (les 4 dernières du recueil sont largement autobiographiques) et d'autres m'ont touchée, mais je n'ai jamais compris les fins. J'aime lire pour l'intrigue, l'histoire, et là, on ne peut pas vraiment parler de fins ouvertes, on peut plutôt dire qu'elle arrête le récit comme ça. En lisant en traduction on perd le style aussi, probablement. Bref, pour moi ça ne sera pas une rencontre marquante. J'hésitais à prendre un roman à la médiathèque, je suis soulagée d'avoir pris un recueil de nouvelles, je crains l'arnaque sur la fin du roman!!!!!!
Elle n'a jamais écrit de roman donc tu serais rentrée bredouille.
J'édite mon message pour vous faire part de ma dernière lecture.
2. Un titre dont le titre contient un adjectif de nationalité: The Dutch House, Ann Patchett (en français: La maison des Hollandais)
Le titre en anglais me permet de faire entrer ce titre dans l'item n°2, mais je le caserai peut-être dans "saga familiale" en fonction de mes prochaines lectures. Babel est l'édition de poche en français, c'est à dire Actes Sud, donc pourrait convenir pour cet item aussi.
J'ai tout simplement adoré et dévoré ce roman en deux jours, je n'arrivais plus à m'arrêter de lire mais j'ai du mal à expliquer pourquoi. Bien que parfaitement réaliste, il y règne également une atmosphère de conte (il y a une référence à Hansel et Gretel) et un personnage de marâtre/sorcière dont on ne comprend pas bien les intentions maléfiques, ce qui la rend d'autant plus effrayante.
L'histoire se passe à Philadelphie des années 40 aux années 70 ou 80. Les deux personnages principaux sont Danny, le narrateur, et sa sœur Maeve, unis par des liens indéfectibles. Le troisième personnage principal étant la "maison des Hollandais" du titre, fil conducteur de toute l'histoire. Je ne veux pas trop en dire pour ne pas divulgâcher et gâcher mon propre plaisir en analysant mais j'ai été emporté par cette histoire qui coule comme de l'eau et ces personnages pleins de défauts mais attachants.
L'autrice, Ann Patchett, est très connue dans les pays anglophones, moins en France. Elle est propriétaire d'une librairie à Nashville et on peut la trouver sur YouTube où elle parle de ses livres préférés.
La couverture est un portrait de Maeve, commandé spécialement par Ann Patchett à un des ses amis avec pour instructions "peintre écossais des années 40 mais dans le style de 1910" et elle exige que le portrait soit présent sur toutes les éditions de son livre dans le mon entier. Elle refuse que la maison soit représentée sur la couverture pour que chacun puisse l'imaginer sans être influencé par une image.
Ce roman sera assurément dans mon Top 5 et s'il n'y avait pas le défi, je me précipiterais sur les autres romans de Patchett mais ils devront attendre un peu.
Chaleureusement recommandé.
34/50
- Cléopatra2Guide spirituel
Ah, j'avais l'impression qu'il y en avait un à la médiathèque, mais j'ai dû être trompée par la 4e de couverture.
- CasparProphète
Cléopatra2 a écrit:Ah, j'avais l'impression qu'il y en avait un à la médiathèque, mais j'ai dû être trompée par la 4e de couverture.
Non, je ne pense pas. Alice Munro a toujours dit qu'elle avait essayé d'acrire un roman, mais n'y arrivant pas, s'atait contenté de nouvelles.
Le film d'Almodovar, Julieta, peu connu mais pourtant excellent, est inspiré de plusieurs nouvelles de Munro.
- Cléopatra2Guide spirituel
Je veux dire que la 4e de couverture m'avait évoqué un roman alors que ça n'en était pas un. Il me semble que c'étaitDu côté de Castle Rock.
- CasparProphète
Cléopatra2 a écrit:Je veux dire que la 4e de couverture m'avait évoqué un roman alors que ça n'en était pas un. Il me semble que c'étaitDu côté de Castle Rock.
Oui, j'avais bien compris. Alice Munro est n'est sans doute pas un cas unique mais rare de nouvelliste n'ayant jamais publié de roman.
- JennyMédiateur
La maison des Hollandais, c’est vraiment très bien et ça se dévore !
- Cléopatra2Guide spirituel
Il est à la médiathèque, mais avec le titre français, est-ce que ça peut marcher pour le défi?
- CasparProphète
Cléopatra2 a écrit:Il est à la médiathèque, mais avec le titre français, est-ce que ça peut marcher pour le défi?
Il y a bien un adjectif sans le titre original...(sinon ça marche pour Actes Sud et saga familiale). Je compte bien tricher un peu pour un recueil de Somerset Maugham dont le titre français contient un adjectif de nationalité mais pas le titre original (or je vais lire ce recueil en anglais, et dans ce cas je mettrais La maison des Hollandais dans "saga familiale"). À mon avis, fais-toi plaisir en lisant ce roman, le critère est quand même respecté.
- lagoulueNiveau 8
Je commence de mon côté à devoir envisager des ré -affectations d'items ! Et un livre qui va être touché est celui que j'avais validé pour l'adjectif de nationalité. La Maison des Hollandais me plairait beaucoup, ça fait plusieurs fois que j'en lis de bonnes remarques (et, en conséquence, je me l'étais déjà procuré). Sinon effectivement je pourrai le mettre dans Acte Sud. Mais bon, vais-je le lire tout de suite ! Je laisse beaucoup faire le hasard, et cela bouleverse souvent toutes mes prévisions ! (J'ai Le Faucon maltais éventuellement pour remplacer mon adjectif de nationalité.)
- Cléopatra2Guide spirituel
J'ai déjà prévu un livre pour Actes Sud et j'ai rempli Saga Familiale... Donc merci Caspar pour suggestion. Je vais essayer de l'emprunter pour adjectif de nationalité pour lequel je n'avais aucune idée.
- *Ombre*Grand sage
Moi aussi, je commence à devenir prudente avec les items, n'en ayant plus que 10 à valider. Je verrai donc où je place ma dernière lecture, Congo, de Vuillard, qui conviendrait pour Deux O dans le titre ou Chez Babel. Vuillard retrace le parcours des grands acteurs de la conférence de Berlin au cours de laquelle, à la fin du XIXe siècle, les grandes puissances européennes, penchées sur une carte, se partagèrent l'Afrique, et celui des mercenaires qui prirent possession de l'intérieur des terres au nom du roi Léopold. C'est noir, acerbe, mais magnifiquement écrit. J'ai beaucoup aimé, et cela me donne envie de lire d'autres Vuillard, dont j'avais beaucoup entendu parler, jusqu'à son dernier Goncourt, mais que je viens seulement de découvrir.
- lagoulueNiveau 8
J'avais lu L'Ordre du jour que j'avais beaucoup aimé. Je note Congo, et veux lire 14 juillet !
- CasparProphète
Je me garde quelques items sous le coude au cas où (hello livre que vous avez depuis plus de six mois) et je redistribue aussi en fonction des lectures et des envies.
Pour l'adjectif de nationalité j'ai trouvé Le sortilège malais de Somerset Maugham, ça me dirait bien de relire cet auteur. Sinon j'ai sur mes étagères Les années hongroises de Sandor Marai qui est un journal intime.
En anglais il y a Burmese days d'Orwell dont je garde un très bon souvenir (je ne me rappelle plus le titre français) ou bien sûr Le patient anglais mais j'ai vu "écriture poétique" dans certaines critiques et c'est le genre de chose qui me fait fuir. La maîtresse du lieutenant français de John Fowles: je l'ai déjà lu deux fois mais j'aimerais bien le relire un jour.
Pour l'adjectif de nationalité j'ai trouvé Le sortilège malais de Somerset Maugham, ça me dirait bien de relire cet auteur. Sinon j'ai sur mes étagères Les années hongroises de Sandor Marai qui est un journal intime.
En anglais il y a Burmese days d'Orwell dont je garde un très bon souvenir (je ne me rappelle plus le titre français) ou bien sûr Le patient anglais mais j'ai vu "écriture poétique" dans certaines critiques et c'est le genre de chose qui me fait fuir. La maîtresse du lieutenant français de John Fowles: je l'ai déjà lu deux fois mais j'aimerais bien le relire un jour.
- DanskaProphète
Le patient anglais, pour l'avoir lu pour ce défi, je ne conseille pas particulièrement. Ça faisait un bail que je voulais le lire, mais malgré de très beaux passages je l'ai trouvé extrêmement déconcertant et difficile à suivre.
- CasparProphète
Alors pas pour moi, je suis devenu très paresseux avec l'âge et je veux des romans faciles à suivre. Je mourrai sans avoir lu Ulysse ou L'homme sans qualités mais l'Univers me pardonnera j'espère.Danska a écrit:Le patient anglais, pour l'avoir lu pour ce défi, je ne conseille pas particulièrement. Ça faisait un bail que je voulais le lire, mais malgré de très beaux passages je l'ai trouvé extrêmement déconcertant et difficile à suivre.
- EloahExpert spécialisé
Moi non plus je n'ai pas encore de livre pour "adjectif de nationalité" ... j'ai noté vos suggestions, j'avoue que pas grand chose me tente pour le moment !
Pour le défi 40 "un adjectif dépréciatif dans le titre", j'ai lu Nuit noire Etoiles mortes qui est un recueil de nouvelles de Stephen King que j'ai beaucoup aimé. Trois des nouvelles (sur 5) sont longues (100 à 200 pages) et ce sont ces trois là que j'ai préférées même si parfois la lecture en a été difficile tant les faits sont horribles. J'ai cependant aimé car Stephen King explore les causes qui peuvent conduire un être humain à commettre des actes atroces et cette plongée dans les tréfonds de l'âme humaine est saisissante. Je suis toujours épatée par la capacité de cet écrivain à saisir avec autant de justesse des émotions aussi extrêmes.
Pour le défi 40 "un adjectif dépréciatif dans le titre", j'ai lu Nuit noire Etoiles mortes qui est un recueil de nouvelles de Stephen King que j'ai beaucoup aimé. Trois des nouvelles (sur 5) sont longues (100 à 200 pages) et ce sont ces trois là que j'ai préférées même si parfois la lecture en a été difficile tant les faits sont horribles. J'ai cependant aimé car Stephen King explore les causes qui peuvent conduire un être humain à commettre des actes atroces et cette plongée dans les tréfonds de l'âme humaine est saisissante. Je suis toujours épatée par la capacité de cet écrivain à saisir avec autant de justesse des émotions aussi extrêmes.
- JennyMédiateur
Antisémite, ça fonctionne pour l’adjectif dépréciatif ?
- EloahExpert spécialisé
Jenny a écrit:Antisémite, ça fonctionne pour l’adjectif dépréciatif ?
Je dirais que oui ... J'ai hésité aussi avec le titre dont je parle juste au-dessus et finalement je me suis dit que le contexte du livre implique en effet un sens dépréciatif mais ce n'est pas évident !
- TrinacriaNiveau 4
Bonjour,
Est-ce qu'on peut considérer que De beaux lendemains de Russel BANKS rentre dans l'item 21. Un livre dont le titre contient un mot ou une expression qui renvoie au calendrier ? Je peine à compléter le défi : aucune de mes lectures de ces dernières semaines ne correspond aux items (ou alors à des items déjà validés).
Est-ce qu'on peut considérer que De beaux lendemains de Russel BANKS rentre dans l'item 21. Un livre dont le titre contient un mot ou une expression qui renvoie au calendrier ? Je peine à compléter le défi : aucune de mes lectures de ces dernières semaines ne correspond aux items (ou alors à des items déjà validés).
- JennyMédiateur
Eloah a écrit:Jenny a écrit:Antisémite, ça fonctionne pour l’adjectif dépréciatif ?
Je dirais que oui ... J'ai hésité aussi avec le titre dont je parle juste au-dessus et finalement je me suis dit que le contexte du livre implique en effet un sens dépréciatif mais ce n'est pas évident !
Merci.
- miss sophieExpert spécialisé
Pour le défi 25 (une saga familiale), j'ai lu Cent ans de solitude de Gabriel Garcia Marquez (1967). J’ai profité de cet item du défi pour tâcher de combler mes lacunes en littérature hispanique. De Garcia Marquez, j’avais beaucoup aimé Chronique d’une mort annoncée ; mais ce roman-ci est très différent et je n’y ai pas accroché du tout. Je ne peux pas pour autant dire que je me sois ennuyée, car il se passe quelque chose à chaque page, c’est un foisonnement qui ne s’arrête jamais, mais précisément ce flux continu est difficile à suivre et un peu épuisant, en fin de compte, tout comme la concentration nécessaire pour ne pas confondre les personnages qui au sein de cette famille portent le même nom (pas moins de cinq José Arcadio dans cette histoire) tout en étant parfois contemporains les uns des autres, tendance accentuée par le fait que les morts ne disparaissent jamais vraiment, certains personnages continuant à les voir et même à avoir des conversations avec eux. C’est l’une des manifestations du courant du « réalisme magique » auquel appartient cette œuvre dans laquelle il se passe toutes sortes de choses extraordinaires mais où réel et surnaturel sont rapportés sur un même plan.
Rentre dans les défis 15 (chez Actes sud) et 42 (deux O dans le titre) : Silo - Origines de Hugh Howey (2013). Ce prequel de Silo alterne des chapitres se situant à différentes époques (dont celle du premier tome) pour retracer ce qui a conduit à la construction des silos et la façon dont au cours des siècles le « programme » sera confronté à des accrocs. La deuxième moitié traîne un peu en longueur, revenant selon moi trop en détails sur le passé d’un personnage du premier tome, mais l’ensemble est intéressant et assez effrayant dans le poids qu’il donne à des décisions individuelles échappant en fait à tout contrôle.
Ce qui m'amène à 44/50...
Rentre dans les défis 15 (chez Actes sud) et 42 (deux O dans le titre) : Silo - Origines de Hugh Howey (2013). Ce prequel de Silo alterne des chapitres se situant à différentes époques (dont celle du premier tome) pour retracer ce qui a conduit à la construction des silos et la façon dont au cours des siècles le « programme » sera confronté à des accrocs. La deuxième moitié traîne un peu en longueur, revenant selon moi trop en détails sur le passé d’un personnage du premier tome, mais l’ensemble est intéressant et assez effrayant dans le poids qu’il donne à des décisions individuelles échappant en fait à tout contrôle.
Ce qui m'amène à 44/50...
- lagoulueNiveau 8
Trinacria a écrit:Bonjour,
Est-ce qu'on peut considérer que De beaux lendemains de Russel BANKS rentre dans l'item 21. Un livre dont le titre contient un mot ou une expression qui renvoie au calendrier ? Je peine à compléter le défi : aucune de mes lectures de ces dernières semaines ne correspond aux items (ou alors à des items déjà validés).
Moi je dirais oui !
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