- Clecle78Bon génie
Je ne vois pas le rapport entre mon message et HenrietteLembo a écrit:Clecle78 a écrit:Quand je vois les collègues se charger toujours plus la barque et pour certains culpabiliser ceux qui voudraient juste avoir un peu de vie personnelle on est mal barrés. On dirait que la valeur professionnelle se mesure au nombre de devoirs communs usines à gaz et de temps passé à concevoir des cours modèles sur ordinateur. Très peu de mes collègues ne sait ce qu'est le pacte. Oh ! On verra bien ... Et on passe pour la râleuse de service jamais contente et vestige d'un passé syndical révolu. Et ça va signer des deux mains pour un certain nombre. Pas trop en français au lycée j'imagine où l'épuisement des équipes est une réalité, mais, voilà, la révolte n'est pas au rendez vous. Les syndicats sont en vacances ce qui peut se comprendre au vu de la période éprouvante des retraites. Les syndicats, c'est nous aussi, et nous sommes collectivement peu combatifs, il faut l'admettre.
Quand je lis Henriette, j’ai plus l’impression que ce sont qui ne veulent pas du Pacte qui culpabilisent ceux qui souhaiteraient adhérer au Pacte…
- MoyenCrocoNiveau 10
Mikko a écrit:Je trouve assez mal venue la réaction des perdirs qui s'offusquent de ce que l'on ose pointer comme étrange une prime qui rémunère un travail :
- qu'ils sont censés déjà faire, si j'en crois les zélés que j'ai eus,
- et pour lequel il n'y a aucune condition de résultat.
Je quote Mikko mais c'est uniquement la partie graissée qui m'intéresse :
Combien de missions de professeurs donnant lieu à rémunérations sont avec obligation de résultats ?
- TanNiveau 2
Ben moi j'étais d'accord avec les propositions d'Henriette et peut-être que ce pacte pouvait justement constituer enfin l'élément déclencheur pour se fédérer autour d'une telle action inaction ...
- BaldredSage
Tiens ça aussi ça devrait être fédérateur :
https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/04/27/salaire-des-enseignants-pour-70-des-professeurs-les-hausses-de-2023-seront-inferieures-aux-pertes-de-pouvoir-d-achat-sur-un-an_6171192_3224.html#xtor=AL-32280270-[default]-[android]
Tout est dans le titre, l'augmentation indiciaire ne devrait pas être négociable.
https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/04/27/salaire-des-enseignants-pour-70-des-professeurs-les-hausses-de-2023-seront-inferieures-aux-pertes-de-pouvoir-d-achat-sur-un-an_6171192_3224.html#xtor=AL-32280270-[default]-[android]
Tout est dans le titre, l'augmentation indiciaire ne devrait pas être négociable.
- MaroussiaHabitué du forum
Je trouve effrayant que même le refus collectif de ce pacte infâme ne parvienne pas à fédérer les collègues .
Personne ne perdra de son salaire ni de jours de grève. Refuser le pacte et le faire échouer c'est un moyen de lutte à moyens constants pour les collègues.
Mais si certains se positionnent dès maintenant pour une deux ou trois missions, le gouvernement a déjà gagné.
Personne ne perdra de son salaire ni de jours de grève. Refuser le pacte et le faire échouer c'est un moyen de lutte à moyens constants pour les collègues.
Mais si certains se positionnent dès maintenant pour une deux ou trois missions, le gouvernement a déjà gagné.
- Clecle78Bon génie
Malheureusement je pense que c'est mort pour le reçus collectif. Je n'y crois pas.
- mgb35Érudit
Malheureusement si. Certains collègues de collège font du devoir fait par exemple. A voir s'il sera forcément conditionner au pacte.Maroussia a écrit:Je trouve effrayant que même le refus collectif de ce pacte infâme ne parvienne pas à fédérer les collègues .
Personne ne perdra de son salaire ni de jours de grève. Refuser le pacte et le faire échouer c'est un moyen de lutte à moyens constants pour les collègues.
Mais si certains se positionnent dès maintenant pour une deux ou trois missions, le gouvernement a déjà gagné.
Et puis, il ne faut pas oublier les établissements nombreux qui sont en concurrence avec le privé sous contrat. Ils se diront peut être que ne pas faire les remplacements courts peut les désavantager dans cette concurrence. Leur poste est alors en danger.
- LockoNiveau 2
Je ne serai pas étonnée si le Pacte obtient un certain succès auprès des PE d'élémentaire de ma commune. En effet, ils sont déjà nombreux dans les différentes écoles à participer à 16h30 à "l'aide aux devoirs" rémunérée par la commune. Si le Pacte propose une rémunération supérieure ils seront forcément partants.Maroussia a écrit:Je trouve effrayant que même le refus collectif de ce pacte infâme ne parvienne pas à fédérer les collègues .
Personne ne perdra de son salaire ni de jours de grève. Refuser le pacte et le faire échouer c'est un moyen de lutte à moyens constants pour les collègues.
Mais si certains se positionnent dès maintenant pour une deux ou trois missions, le gouvernement a déjà gagné.
Quand à la fédération autour d'un refus collectif du Pacte je n'y crois absolument pas au niveau des PE.
- EnaecoVénérable
Maroussia a écrit:Je trouve effrayant que même le refus collectif de ce pacte infâme ne parvienne pas à fédérer les collègues .
Personne ne perdra de son salaire ni de jours de grève. Refuser le pacte et le faire échouer c'est un moyen de lutte à moyens constants pour les collègues.
Mais si certains se positionnent dès maintenant pour une deux ou trois missions, le gouvernement a déjà gagné.
Ca me semble plus compliqué que ça :
- le pacte ne sera pas infâme pour tout le monde
- refuser de manière isolée le pacte, quand on a besoin d'argent, c'est une lutte qui ne coute pas mais qui ne rapporte pas
- certains collègues remplissent déjà l'équivalent du pacte. Certains deviendront davantage rémunérés dans le cadre du pacte
On en revient au message posté hier, je crois, par henriette.
Il est relativement facile d'agir mais ça n'a d'effet que si la lutte est collective. Actuellement, compter la dessus, ce n'est plus de l'optimisme mais de l'irréalisme.
- LadyOlennaModérateur
J'ai déjà quelques collègues qui sont venus me dire qu'ils signeraient le pacte car ils avaient besoin de cet argent. Je précise que nous n'avons encore rien demandé à l'équipe. Je pense effectivement que pour le refus collectif, comme le dit Clecle, c'est mort.
Par ailleurs il y avait quelques PE ce matin en salle des professeurs à titre syndical, j'ai un peu échangé avec eux, et ils me confirment qu'environ un tiers des PE seraient prêts à signer.
Par ailleurs il y avait quelques PE ce matin en salle des professeurs à titre syndical, j'ai un peu échangé avec eux, et ils me confirment qu'environ un tiers des PE seraient prêts à signer.
- CochonouNiveau 9
On pourrait aussi imaginer un refus collectif de la part des personnels de direction, qui refuseraient de mettre en place ce dispositif ne correspondant pas à la revalorisation que tous les enseignants méritent.
- zigmag17Guide spirituel
Maroussia a écrit:Je trouve effrayant que même le refus collectif de ce pacte infâme ne parvienne pas à fédérer les collègues .
Personne ne perdra de son salaire ni de jours de grève. Refuser le pacte et le faire échouer c'est un moyen de lutte à moyens constants pour les collègues.
Mais si certains se positionnent dès maintenant pour une deux ou trois missions, le gouvernement a déjà gagné.
Le refus collectif je n'y crois plus depuis longtemps. Certains devancent même l'appel quand il s'agit de tester des réformes ( voir en ce qui concerne le LP le passage au Bac pro 3 ans qui a signé la mort du diplôme; je me rappelle l'enthousiasme de certains collègues à cette occasion, quand notre lycée avait été pressenti pour servir de terrain expérimental, ce qu'il est devenu d'ailleurs, enthousiasme assorti par ces personnes bien intentionnées de "Pourquoi pas?", "Il ne faut pas toujours voir le mal partout ", "Vous ne savez pas vous adapter ", "Ca ne coûte rien d'essayer", "Les élèves y trouveront leur compte" et j'en passe. Alors que tout le monde aurait du être vent debout face à cette réforme).
Pour le pacte, il est évident que certains vont s'y engouffrer pour des tonnes de raisons individuelles entendables, mais collectivement mortifères.
- LadyOlennaModérateur
@Cochonou : Ce serait souhaitable. J'y crois peu. Je me souviens de ma cuisante solitude il y a deux ans en réunion syndicale, lorsque j'ai suggéré de refuser la coordination des PIAL... voilà, on râle mais on fait quand même. Un peu comme les professeurs finalement. C'est désespérant.
- zigmag17Guide spirituel
Cochonou a écrit:On pourrait aussi imaginer un refus collectif de la part des personnels de direction, qui refuseraient de mettre en place ce dispositif ne correspondant pas à la revalorisation que tous les enseignants méritent.
Absolument.
- RovoiNiveau 3
Le gouvernement sait très bien que compte tenu de la paupérisation voulue de la profession il joue sur du velours.
La question à se poser est de savoir si ce pacte-usine à gaz améliorera significativement le niveau moyen des élèves en sortie du primaire et du collège.
La question à se poser est de savoir si ce pacte-usine à gaz améliorera significativement le niveau moyen des élèves en sortie du primaire et du collège.
- MaroussiaHabitué du forum
Rovoi a écrit:Le gouvernement sait très bien que compte tenu de la paupérisation voulue de la profession il joue sur du velours.
La question à se poser est de savoir si ce pacte-usine à gaz améliorera significativement le niveau moyen des élèves en sortie du primaire et du collège.
Ca, je m'en contrefiche, le pacte est présenté comme une mesure d'amélioration des salaires des enseignants, pas comme une mesure destinée à améliorer le niveau des élèves.
- zigmag17Guide spirituel
Rovoi a écrit:Le gouvernement sait très bien que compte tenu de la paupérisation voulue de la profession il joue sur du velours.
La question à se poser est de savoir si ce pacte-usine à gaz améliorera significativement le niveau moyen des élèves en sortie du primaire et du collège.
Pour ces deux niveaux je ne sais pas. Pour le LP on le sait déjà : c'est non.
Tout cela est voulu. Donc la question maintenant est comment survivre en milieu hostile, pour la question du niveau, tous les enfants des décideurs resteront dans des établissements hors de prix où il ne sera pas question de pacte mais où on bossera dans de bonnes conditions avec un enseignement de qualité, tandis que dans les établissements scolaires lambda oû officie la piétaille, les profs rameront entre diverses missions faustiennes et des programmes indigents et les élèves n'auront pas les connaissances suffisantes pour espérer plus tard autre chose que des tâches d'exécutants.
Un peu comme ce monde californien dans lequel les concepteurs de tablettes et autres technologies dites "facilitatrices d'apprentissage" les interdisent à leurs propres enfants et les inscrivent dans des écoles où on utilise la craie sur un tableau noir.
Le pacte n'a aucun sens d'un point de vue pédagogique.
- CochonouNiveau 9
Maroussia a écrit:Rovoi a écrit:Le gouvernement sait très bien que compte tenu de la paupérisation voulue de la profession il joue sur du velours.
La question à se poser est de savoir si ce pacte-usine à gaz améliorera significativement le niveau moyen des élèves en sortie du primaire et du collège.
Ca, je m'en contrefiche, le pacte est présenté comme une mesure d'amélioration des salaires des enseignants, pas comme une mesure destinée à améliorer le niveau des élèves.
Je suis entièrement d'accord avec Maroussia. La question n'est pas de savoir si le pacte améliorera le niveau moyen des élèves, mais s'il sera bénéfique pour les enseignants. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi tant de collègues ont autant de mal à penser à eux / à nous.
- celitianSage
+1Rovoi a écrit:Le gouvernement sait très bien que compte tenu de la paupérisation voulue de la profession il joue sur du velours.
La question à se poser est de savoir si ce pacte-usine à gaz améliorera significativement le niveau moyen des élèves en sortie du primaire et du collège.
Ici, beaucoup de collègues ne peuvent pas avoir d'HSA donc le pacte risque d'être très demandé, et ce sera encore pire si les IMP sont mises dedans.
Je me dis que notre proviseur sera plutôt obligé d'effectuer des choix entre les volontaires si le nombre est fixé par le rectorat.
- UntitledNiveau 8
Cochonou a écrit:Je suis entièrement d'accord avec Maroussia. La question n'est pas de savoir si le pacte améliorera le niveau moyen des élèves, mais s'il sera bénéfique pour les enseignants. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi tant de collègues ont autant de mal à penser à eux / à nous.
Je pense que c'est intimement lié à la manière dont notre métier est considéré... Pour la grande majorité des gens, prof, ce n'est pas seulement un métier, mais une "vocation". Certains d'entre nous utilisent également ce vocabulaire de leur plein gré. Il s'agirait de prendre conscience du problème posé par cette philosophie... Tant que la société nous considérera comme d'émouvants philanthropes, elle considérera que nous sommes corvéables à souhait. Or, ce que nous voulons, c'est que nos compétences professionnelles, dont certaines sont extrêmement techniques, soient reconnues et rémunérées à leur juste valeur.
_________________
« Los pájaros nacidos en jaula creen que volar es una enfermedad. »
- EnaecoVénérable
Maroussia a écrit:Rovoi a écrit:Le gouvernement sait très bien que compte tenu de la paupérisation voulue de la profession il joue sur du velours.
La question à se poser est de savoir si ce pacte-usine à gaz améliorera significativement le niveau moyen des élèves en sortie du primaire et du collège.
Ca, je m'en contrefiche, le pacte est présenté comme une mesure d'amélioration des salaires des enseignants, pas comme une mesure destinée à améliorer le niveau des élèves.
Pas uniquement.
Avant d'introduire le pacte, l'idée de départ c'est "trop d'heures perdues pour les élèves, les profs absents seront remplacés".
La mesure d'amélioration des enseignants n'est que le corollaire. Il fait d'une pierre deux coups.
je comprends qu'on puisse s'en contreficher et qu'on juge le volet salarial, mais il n'est pas exact de dire que le pacte n'est pas présenté comme une mesure liée aux élèves.
- IphigénieProphète
Je vois plutôt la question comme le fait de s'interroger sur la folie systémique de l’EN qui n’a comme idée permanente et obsession aiguë que de multiplier les contraintes absurdes et inutiles pour les enseignants : c’est dans ce cadre inutile, pénible, absurde, et constant que les augmenter sans contrepartie semble, pathologiquement, une impossibilité,
- joebar69Fidèle du forum
Le pacte (du moins pour la priorité du gvt) est plutôt présenté comme une mesure liée aux parents (pas aux élèves - ça se saurait depuis le temps).
- Lisak40Expert spécialisé
Je ne suis pas une philantrope, je n'ai pas fait de voeu de piété ou d'abstinence ou je ne sais quoi en entrant dans l'EN. Pour moi, professeur c'est un métier, au départ très beau, sauf que je ne suis plus professeur mais baby-sitter voire gardienne de zoo (certes très bien payée pour ça), mais on me demande toujours et encore d'en faire plus. Je dis stop : pacte ou pas je me barre dès que possible. Si vraiment un jour, on me paie vraiment mieux, on explique à la société aux parents, aux enfants, aux décideurs, aux "artistes" (vous savez ceux ki sont tro des rebelles eux, qui sont pluzimportan ke lécole !") en quoi l'école c'est quand même un truc indispensable dans la vie et qu'on devrait tous être ravis d'avoir une école gratuite, ouverte à tous et avec des professeurs qualifiés, dévoués et réellement soucieux de bien faire leur travail (c'est mon cas et celui de plein de collègues, oui les mêmes qui veulent partir), je reconsidererai ma position, mais comme cela n'est pas pres d'arriver, tant pis. Notre perte à tous (pas parce que moi je me barre, on s'en fiche, je ne suis qu'un petit prof parmi les autres), mais clairement un pays qui dénigre autant l'éducation et l'école va très mal et se prépare un très sombre avenir...
- KeaFidèle du forum
Mais... Il n’y a pas besoin de pacte pour ça. Le dispositif de RCD existe depuis près de 20 ans, les établissements qui se sentent en concurrence sur ce point ont bien eu le temps de "s’en saisir", comme on dit (ou de se faire ratatiner par la concurrence si l’enjeu est si fort)...mgb35 a écrit:Malheureusement si. Certains collègues de collège font du devoir fait par exemple. A voir s'il sera forcément conditionner au pacte.Maroussia a écrit:Je trouve effrayant que même le refus collectif de ce pacte infâme ne parvienne pas à fédérer les collègues .
Personne ne perdra de son salaire ni de jours de grève. Refuser le pacte et le faire échouer c'est un moyen de lutte à moyens constants pour les collègues.
Mais si certains se positionnent dès maintenant pour une deux ou trois missions, le gouvernement a déjà gagné.
Et puis, il ne faut pas oublier les établissements nombreux qui sont en concurrence avec le privé sous contrat. Ils se diront peut être que ne pas faire les remplacements courts peut les désavantager dans cette concurrence. Leur poste est alors en danger.
Ce qu’apporte le pacte, c’est surtout la contrainte, pour que les remplacements soient assurés (concurrence ou pas, intérêt pédagogique ou pas...).
- Anne_68Niveau 10
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/entendez-vous-l-eco/les-enseignants-sont-ils-faineants-4517064
Hausse des salaires des profs : une réponse à la crise des vocations ?
Emmanuel Macron a annoncé la semaine dernière vouloir "mieux reconnaître et mieux payer les professeurs". Au-delà des salaires, le montant et l’orientation des investissements dans l’éducation est devenue un enjeu crucial face au malaise des enseignants et à un système scolaire inégalitaire
Avec
Elise Huillery économiste et professeure en économie du développement à l’université Paris-Dauphine
Eric Charbonnier Economiste, expert en éducation à l'OCDE
Sophie Venetitay professeure de SES, secrétaire générale du SNES-FSU
Émission intéressante, notamment Mme Venetitay qui expose des réalités à contre-courant de la communication gouvernementale . Communication qui transpire encore dans le choix du lien 🤮.
Hausse des salaires des profs : une réponse à la crise des vocations ?
Emmanuel Macron a annoncé la semaine dernière vouloir "mieux reconnaître et mieux payer les professeurs". Au-delà des salaires, le montant et l’orientation des investissements dans l’éducation est devenue un enjeu crucial face au malaise des enseignants et à un système scolaire inégalitaire
Avec
Elise Huillery économiste et professeure en économie du développement à l’université Paris-Dauphine
Eric Charbonnier Economiste, expert en éducation à l'OCDE
Sophie Venetitay professeure de SES, secrétaire générale du SNES-FSU
Émission intéressante, notamment Mme Venetitay qui expose des réalités à contre-courant de la communication gouvernementale . Communication qui transpire encore dans le choix du lien 🤮.
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