- mimiNiveau 9
Tu as raison@Prezbo@, mais je peux aussi t'affirmer que les maisons que les collègues petits trentenaires vers la fin des annees 80 ont achetées ici (gard ou hérault) n'ont vraiment rien à voir avec celles auxquelles un jeune prof peut prétendre.
- mimiNiveau 9
Tout de même, un jeune certifié des années 80 gagnait autre chose que le smic.
Mes vieux collègues actuels, ceux de mon âge, quoi, qui ont pu partir en province vite ( et ma province sudiste est chère) ont vécu honorablement.
Mes vieux collègues actuels, ceux de mon âge, quoi, qui ont pu partir en province vite ( et ma province sudiste est chère) ont vécu honorablement.
- EnaecoVénérable
Jenny a écrit:Moi, je ne me vois pas vivre ailleurs, mais une indemnité de résidence décente serait justifiée.
L'idée est évidemment très bonne et justifiée.
En revanche, une indemnité décente, ça serait combien ?
Les académies de la région parisienne représentent 20% des enseignants et j'imagine que si on reconnait une somme conséquente, les collègues de grandes métropoles seraient aussi légitime à réclamer une augmentation (même deux fois plus faible).
On va rapidement arriver à des sommes qui dépassent l'enveloppe prévue pour tout le reste. Encore une fois justifiée mais tout simplement irréaliste.
- JennyMédiateur
Vu l'écart des prix (qui ne concerne d'ailleurs pas que l'immobilier), 500 euros, ça me semblerait bien pour Paris intra muros.
Mes 75 euros actuels me permettent de louer un appartement 25 euros plus cher, c'est ridicule.
Il faut peut être aussi réfléchir aux zones, je percevais la même indemnité dans le fin fond du 78 qu'à Paris même.
Une augmentation, même importante, des indemnités de résidence dans les communes les plus chères (Paris, le 92, les grandes métropoles et quelques zones frontalières), coûte toujours moins cher qu'une augmentation générale. Les indemnités de résidence sont versées selon la commune, pas selon l'académie.
Irréaliste, je ne sais pas. Question de priorité sans doute.
L'autre solution serait de créer des logements de fonction en masse mais ça ne coûte sans doute pas moins cher.
Mes 75 euros actuels me permettent de louer un appartement 25 euros plus cher, c'est ridicule.
Il faut peut être aussi réfléchir aux zones, je percevais la même indemnité dans le fin fond du 78 qu'à Paris même.
Une augmentation, même importante, des indemnités de résidence dans les communes les plus chères (Paris, le 92, les grandes métropoles et quelques zones frontalières), coûte toujours moins cher qu'une augmentation générale. Les indemnités de résidence sont versées selon la commune, pas selon l'académie.
Irréaliste, je ne sais pas. Question de priorité sans doute.
L'autre solution serait de créer des logements de fonction en masse mais ça ne coûte sans doute pas moins cher.
- frecheGrand sage
OK, et pour les collègues en zone rurale où il n'y a pas de transport, on participe à leurs frais de déplacement ? Parce qu'on n'a pas de prise en charge du tout en dehors de l'IdF (et peut-être des grandes métropoles, je ne sais pas)
- beloteHabitué du forum
freche a écrit:OK, et pour les collègues en zone rurale où il n'y a pas de transport, on participe à leurs frais de déplacement ? Parce qu'on n'a pas de prise en charge du tout en dehors de l'IdF (et peut-être des grandes métropoles, je ne sais pas)
Pour les grandes métropoles, il y a 50% sur les abonnements de transport local ou sur la SNCF.
- JennyMédiateur
freche a écrit:OK, et pour les collègues en zone rurale où il n'y a pas de transport, on participe à leurs frais de déplacement ? Parce qu'on n'a pas de prise en charge du tout en dehors de l'IdF (et peut-être des grandes métropoles, je ne sais pas)
Il y a les frais réels.
La prise en charge est valable partout pour les transports en commun ou le vélo et le covoiturage. Ce n'est pas spécifique à l'IDF. Le covoiturage doit pouvoir se pratiquer en zone rurale.
- frecheGrand sage
Oui, mais il faut des transports en commun pour celà. Ce n'est pas le cas partout. Pour le vélo, pour être pris en charge (200 euros par an je crois), il faut que je vienne en moyenne 4 fois sur 5 à vélo, sur toute l'année (parfois je prends ma voiture, s'il y a de la neige, si je dois faire le plein de courses, si j'ai du matos encombrant à apporter au collège, c'est arrivé 5 fois depuis septembre, mais avec le froid de la semaine qui vient , pas sûr que je sorte mon biclou à 7h30 pour rentrer à 20h00 après les conseils).
- TrucOuBiduleHabitué du forum
Ouaip... Dans la police, on ne distingue pas les 3 départements de la petite couronne. Il y a Paris, puis le 92/93/94 et le reste.Jenny a écrit:Vu l'écart des prix (qui ne concerne d'ailleurs pas que l'immobilier), 500 euros, ça me semblerait bien pour Paris intra muros.
Mes 75 euros actuels me permettent de louer un appartement 25 euros plus cher, c'est ridicule.
Il faut peut être aussi réfléchir aux zones, je percevais la même indemnité dans le fin fond du 78 qu'à Paris même.
Une augmentation, même importante, des indemnités de résidence dans les communes les plus chères (Paris, le 92, les grandes métropoles et quelques zones frontalières), coûte toujours moins cher qu'une augmentation générale. Les indemnités de résidence sont versées selon la commune, pas selon l'académie.
Irréaliste, je ne sais pas. Question de priorité sans doute.
L'autre solution serait de créer des logements de fonction en masse mais ça ne coûte sans doute pas moins cher.
Perso, j'ai connu aussi habiter en grande couronne (77-zone RoissyCDG) et travailler, toujours dans le 93 (c'est d'ailleurs le cas de la plupart des habitants de ce type de communes).
Le transport y est alors le problème majeur (si pas de bagnole, au mieux un ou deux bus Veolia à 3 chiffres avec deux correspondances pour atteindre le RER B/D et encore) sans que le loyer ne soit vraiment plus abordable. C'est de plus en plus compliqué je trouve, et c'est lié à la concentration des emplois et aux politiques qui ne suivent pas.
La zone Roissy est un parfait exemple de la dépendance subie à la voiture pour la grande majorité des gens qui y travaillent. Et le Grand Paris n'y changera rien car ce n'est pas son objectif (c'est beaucoup plus important de pouvoir relier le Bourget à la Défense en 20 minutes par exemple).
Bref. C'est sûr qu'il n'y a pas de solution miracle mais ce combo logement/transport devient vraiment pénible pour une grande partie des habitants de la région.
Edit : les réactions précédentes vont un peu dans ce sens (comme le fait que des collègues qui n'ont pas le permis... bah y a un moment, c'est plus possible)
- JennyMédiateur
100 jours/an : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F36467/1_0?idFicheParent=F12163#1_0
Truc ou Bidule : Une indemnité de résidence conséquente pourrait aider à se rapprocher. Je fais aussi des trajets grande couronne/Paris quotidiennement et ce n'est pas franchement un choix. Pour l'indemnité de résidence, c'est la commune d'affectation qui compte.
Entre la grande couronne et Paris, il y a une différence importante de loyer quand même.
Truc ou Bidule : Une indemnité de résidence conséquente pourrait aider à se rapprocher. Je fais aussi des trajets grande couronne/Paris quotidiennement et ce n'est pas franchement un choix. Pour l'indemnité de résidence, c'est la commune d'affectation qui compte.
Entre la grande couronne et Paris, il y a une différence importante de loyer quand même.
- LefterisEsprit sacré
Age d'or, non mais peu de gens dans la FP roulaient sur l'or, et au sein de celle-ci, enseignant restait encore un métier relativement prisé, même un des plus fréquentés. Les concours faisaient d'ailleurs largement le plein. Depuis, l'écart s'est largement creusé avec les autres (même moi je l'ai vu), avec une accélération vertigineuse ces dix-onze dernières années.Clecle78 a écrit: Un certifié ne roulait déjà pas sur l'or à non plus et d'ailleurs mes parents avaient dû être garants pour mon appartement. Franchement je ne pense pas que l'âge d'or des enseignants ait vraiment existé ...Sauf pour les conjoints de professions libérales, évidemment.
Les administrations régaliennes (finances, intérieur) n'ont pas de logements de fonction mais des quotas réservés dans la parc immobilier . Ils ne peuvent pas se permettre de voir tout le monde partir, voire renoncer au concours comme c'était le cas pour les concours des postes. Mais là, on pouvait recruter beaucoup sur contrat, donc des gens du coin, et peu à peu privatiser. Il n'est pas exclu que l'idée de la contractualisation massive procède de ce même genre de calcul.Jenny a écrit:
Irréaliste, je ne sais pas. Question de priorité sans doute.
L'autre solution serait de créer des logements de fonction en masse mais ça ne coûte sans doute pas moins cher.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- frecheGrand sage
100 jours par an, je travaille 4 jours par semaine, je ne dois pas être très loin de 4 fois sur 5.
- TrucOuBiduleHabitué du forum
A se rapprocher du lieu d'affectation ? Le mien, perso, depuis les JO2024, les promoteurs immo s'en donnent à cœur joie et se croient je ne sais pas où au vu des prix proposés (et loyer et achat).Jenny a écrit:100 jours/an : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F36467/1_0?idFicheParent=F12163#1_0
Truc ou Bidule : Une indemnité de résidence conséquente pourrait aider à se rapprocher. Je fais aussi des trajets grande couronne/Paris quotidiennement et ce n'est pas franchement un choix. Pour l'indemnité de résidence, c'est la commune d'affectation qui compte.
Entre la grande couronne et Paris, il y a une différence importante de loyer quand même.
Paris je ne sais même pas à vrai dire, ne m'étant jamais sentie concernée, jamais pu payer un loyer à 4 chiffres (pas une question de non intérêt mais pas de thunes et pas de garant). Et à 40 passés, je refuse de vivre dans moins de 30 m2.
Sinon, la grande couronne, la zone Roissy en fait partie. Et les loyers euh, bah c'est plus que dans des communes limitrophes de Paris pauvres (et non gentrifiées évidemment) (si tu veux éviter la zone d'exposition au bruit et encore) et à ça, t'ajoutes la bagnole (+assurance+carburants t'as pas eu 40000 balles à mettre dans une électrique).
Non, vraiment, c'est compliqué de trouver un truc à peu près équitable. Trop de concentration d'emplois, la nécessité de faire cohabiter la bagnole sur laquelle on fait culpabiliser les usagers et les transports, qui en ce moment tournent particulièrement mal.
- JennyMédiateur
Oui, pour se rapprocher du lieu d'affectation.
J'habite une des communes les plus chères de la grande couronne (+15 % de loyer en un an en moyenne ), mais ça reste plus accessible que Paris et le 92 qui me rapprocheraient de mon lieu de travail. J'ai quand même un loyer à 4 chiffres pour 34 m2, mais plus près, c'était plus cher.
J'habite une des communes les plus chères de la grande couronne (+15 % de loyer en un an en moyenne ), mais ça reste plus accessible que Paris et le 92 qui me rapprocheraient de mon lieu de travail. J'ai quand même un loyer à 4 chiffres pour 34 m2, mais plus près, c'était plus cher.
- EnnaNiveau 10
On en revient tjs au même problème, notre nombre disproportionné par rapport aux autres.
- LaotziSage
Ce sont surtout des choix politiques.
Pour rappel, sur le deuxième semestre 2022 et janvier 2023, l'Etat a engagé quasiment 10 milliards d'euros de dépenses en aide très ponctuelles aux prix à la pompe (remise de carburant + chèque carburant de 100 euros versés en janvier prochain). Avec cette somme, on pourrait augmenter de 1000 euros par mois pendant un an tous les professeurs de France.
Pour rappel, sur le deuxième semestre 2022 et janvier 2023, l'Etat a engagé quasiment 10 milliards d'euros de dépenses en aide très ponctuelles aux prix à la pompe (remise de carburant + chèque carburant de 100 euros versés en janvier prochain). Avec cette somme, on pourrait augmenter de 1000 euros par mois pendant un an tous les professeurs de France.
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- JennyMédiateur
Laotzi a écrit:Ce sont surtout des choix politiques.
Pour rappel, sur le deuxième semestre 2022 et janvier 2023, l'Etat a engagé quasiment 10 milliards d'euros de dépenses en aide très ponctuelles aux prix à la pompe (remise de carburant + chèque carburant de 100 euros versés en janvier prochain). Avec cette somme, on pourrait augmenter de 1000 euros par mois pendant un an tous les professeurs de France.
- angelxxxÉrudit
Dont, rappelons le, la cours des comptes estime que plus de 50% de cette reviendra dans le caisses. (Impôts, TVA ...)
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"La lumière pense voyager plus vite que quoi que ce soit d'autre, mais c'est faux. Peu importe à quelle vitesse voyage la lumière, l'obscurité arrive toujours la première, et elle l'attend. Terry Pratchett."
- JennyMédiateur
On paye aussi des impôts et la TVA.
- angelxxxÉrudit
Oui, justement, c'est ce que je disais
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"La lumière pense voyager plus vite que quoi que ce soit d'autre, mais c'est faux. Peu importe à quelle vitesse voyage la lumière, l'obscurité arrive toujours la première, et elle l'attend. Terry Pratchett."
- JacqGuide spirituel
Laotzi a écrit:Ce sont surtout des choix politiques.
Pour rappel, sur le deuxième semestre 2022 et janvier 2023, l'Etat a engagé quasiment 10 milliards d'euros de dépenses en aide très ponctuelles aux prix à la pompe (remise de carburant + chèque carburant de 100 euros versés en janvier prochain). Avec cette somme, on pourrait augmenter de 1000 euros par mois pendant un an tous les professeurs de France.
5.9 milliards de déficit lié à l'apprentissage.
Cadeau aux patrons et aux boites privées de formation.
Salariés gratos, patrons rémunérés, prof non !
La somme allouée à une entreprise ayant 3.5 (entre trois et quatre) apprentis équivaut au salaire annuel brut d'un enseignant ayant vingt ans d'ancienneté. Le choix est fait.
Choix politique !
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Jacq a écrit:Laotzi a écrit:Ce sont surtout des choix politiques.
Pour rappel, sur le deuxième semestre 2022 et janvier 2023, l'Etat a engagé quasiment 10 milliards d'euros de dépenses en aide très ponctuelles aux prix à la pompe (remise de carburant + chèque carburant de 100 euros versés en janvier prochain). Avec cette somme, on pourrait augmenter de 1000 euros par mois pendant un an tous les professeurs de France.
5.9 milliards de déficit lié à l'apprentissage.
Cadeau aux patrons et aux boites privées de formation.
Salariés gratos, patrons rémunérés, prof non !
La somme allouée à une entreprise ayant 3.5 (entre trois et quatre) apprentis équivaut au salaire annuel brut d'un enseignant ayant vingt ans d'ancienneté. Le choix est fait.
Choix politique !
(Sur cette question, il y a eu une bonne émission il y a peu : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/open-source/open-source-chronique-du-samedi-26-novembre-2022-4534503 )
_________________
Si tu vales valeo.
- Lord StevenExpert
Clecle78 a écrit:N'idéalisez pas le métier dans les années 80/90. J'ai débuté dans des établissements très durs du Nord et du Pas de Calais et j'ai plusieurs fois pensé à démissionner. Il n'y avait pas plus de respect ni de niveau qu'aujourd'hui, et déjà beaucoup de violence. Aucun soutien de la hiérarchie non plus dans ces établissements où on buvait parfois un coup dès la récré (oui, oui, et pas de la grenadine) pour survivre à la journée qui s'annonçait. Mes chefs de l'époque étaient souvent toxiques et misogynes (même les femmes). Je ne revivrai pour rien au monde ces premières années. Ce n'était sans doute pas pareil partout car j'ai dans ma nouvelle région des élèves adorables et des collègues qui me parlent du passé avec des étoiles dans les yeux. On va dire que le ' c'était mieux avant " c'est selon ... Il y avait d'ailleurs eu un documentaire choc sur un établissement difficile au début des années 90 qui reflétait exactement ce que je vivais. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/La_Loi_du_coll%C3%A8ge
Vous rappelez-vous s'il s'agit du collège Degeter (pas sûr du tout de l'orthographe)? Nous regardions ce documentaire avec mes collègues de ce petit collège difficile de l'académie de Lille et nous nous sentions bien seuls. Car effectivement au siècle dernier les jeunes enseignants de ce type d'établissements devaient se débrouiller sans aucune aide que la solidarité mentale entre néo titulaires. C'était encore l'époque où le statut d'agrégé suscitait l'admiration.
Mais oui je me retrouve dans votre post.
_________________
If you play with a cat, you should mind his scratch
- JennyMédiateur
Élève dans les années 90 dans l’académie, il y avait en effet un climat de violence (que je n’ai jamais retrouvé avec cette intensité comme enseignante, même en REP).
- Fesseur ProGuide spirituel
Durant un an, Mariana Otero a filmé la vie du collège Garcia-Lorca implanté dans la cite des Francs-Moisins, à Saint-Denis.Lord Steven a écrit:
Vous rappelez-vous s'il s'agit du collège Degeter (pas sûr du tout de l'orthographe)? Nous regardions ce documentaire avec mes collègues de ce petit collège difficile de l'académie de Lille et nous nous sentions bien seuls. Car effectivement au siècle dernier les jeunes enseignants de ce type d'établissements devaient se débrouiller sans aucune aide que la solidarité mentale entre néo titulaires. C'était encore l'époque où le statut d'agrégé suscitait l'admiration.
Mais oui je me retrouve dans votre post.
@Allociné
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Pourvu que ça dure...
- Clecle78Bon génie
Non, on gagnait à peine plus au début et on montait très lentement les premiers échelons . Cela a été accéléré par Jospin pour les débutants mais je n'en ai pas bénéficié. Mais effectivement on vivait plus honorablement qu'aujourd'hui. L'écart avec le reste de la fonction publique n'était, en effet, pas si grand.mimi a écrit:Tout de même, un jeune certifié des années 80 gagnait autre chose que le smic.
Mes vieux collègues actuels, ceux de mon âge, quoi, qui ont pu partir en province vite ( et ma province sudiste est chère) ont vécu honorablement.
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