- EnaecoVénérable
celitian a écrit:+1 et autre raison essentielle, il faut bien que les heures soient effectuées, il n'y a plus personne, ni titulaire, ni contractuel dans certaines matières.issoire a écrit:Je me suis trompée alors mais de toute façon les heures sup si on étaient mieux payé(e) cela ne devrait pas exister, je constate que malheureusement peu refusent d’en faire et dans « ma » discipline tout le monde en veut, la seule chose qui arrête c’est l’âge on en peut plus a un moment donné.
Je pense que c'est prendre le problème à l'envers.
En tout cas, le sentimentalisme envers les élèves qui n'auraient pas cours et cette idée que "il faut bien que les heures soient effectuées" ancrées chez les profs conduit au final à renforcer le modèle.
On cherche à augmenter le volume d'HS (économique et manque de postes), les enseignants les prennent, on augmente le minimum et personne ne dit rien vu que c'est la norme. Maintenant on est au stade où il faudrait que ce temps augmenté soit statutaire.
Tout est dans le rapport de la Cour des Comptes (y compris les joyeusetés qui nous attendent encore. Y compris la notion de revalorisation ou d'HS mieux rémunérées mais cette partie n'a pas été retenue visiblement)
- InvitéInvité
Enaeco a écrit:
On cherche à augmenter le volume d'HS (économique et manque de postes), les enseignants les prennent, on augmente le minimum et personne ne dit rien vu que c'est la norme. Maintenant on est au stade où il faudrait que ce temps augmenté soit statutaire.
Tout est dans le rapport de la Cour des Comptes (y compris les joyeusetés qui nous attendent encore. Y compris la notion de revalorisation ou d'HS mieux rémunérées mais cette partie n'a pas été retenue visiblement)
+1 car pour l’état:
1) les hsa coûtent moins cher que les heures statutaires
2) on peut les supprimer si il y a une baisse
3) on pourrait revaloriser le métier en intégrant les heures qui se font déjà dans un statut unique à 24 heures par exemple
- HélipsProphète
24h ? mettons 35, quitte à viser le burn-out pour 90% des collègues, autant que ce soit vite fait, qu'on puisse les remplacer par des vrais durs.
_________________
Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- Une passanteEsprit éclairé
Hélips a écrit:24h ? mettons 35, quitte à viser le burn-out pour 90% des collègues, autant que ce soit vite fait, qu'on puisse les remplacer par des vrais durs.
A lire certains témoignages, il y a des disciplines où cela semble faisable (pas 35, mais entre 20 et 25 heures).
- celitianSage
Bien sûr mais s'il n'y a pas de profs les conséquences pour nous (pas de sentimentalisme) sont dans l'ordre :Enaeco a écrit:celitian a écrit:+1 et autre raison essentielle, il faut bien que les heures soient effectuées, il n'y a plus personne, ni titulaire, ni contractuel dans certaines matières.issoire a écrit:Je me suis trompée alors mais de toute façon les heures sup si on étaient mieux payé(e) cela ne devrait pas exister, je constate que malheureusement peu refusent d’en faire et dans « ma » discipline tout le monde en veut, la seule chose qui arrête c’est l’âge on en peut plus a un moment donné.
Je pense que c'est prendre le problème à l'envers.
En tout cas, le sentimentalisme envers les élèves qui n'auraient pas cours et cette idée que "il faut bien que les heures soient effectuées" ancrées chez les profs conduit au final à renforcer le modèle.
On cherche à augmenter le volume d'HS (économique et manque de postes), les enseignants les prennent, on augmente le minimum et personne ne dit rien vu que c'est la norme. Maintenant on est au stade où il faudrait que ce temps augmenté soit statutaire.
Tout est dans le rapport de la Cour des Comptes (y compris les joyeusetés qui nous attendent encore. Y compris la notion de revalorisation ou d'HS mieux rémunérées mais cette partie n'a pas été retenue visiblement)
- suppression des groupes (ici, suppression de postes dans certaines matières ou complément),
- suppression d'une classe en augmentant l'effectif des autres,
- mauvaise réputation car effectif élevé donc moins de recrutement d'étudiants (surtout qu'une augmentation des effectifs risque d'entraîner une chute des résultats, c'est ce qui se passe chez nous avec la mixité scolaire/apprentis),
- donc carrément fermeture de classe (risque pour nous l'année prochaine).
Donc soit on se pénalise sur le court/moyen terme, soit sur le long terme.
- HélipsProphète
Ce n'est pas juste une question de discipline. C'est aussi une question de classes. C'est sûr que si on a 16h de bts donc comptées 20h avec en plus aller 3h d'un cours de terminales à 20 élèves, on peut gérer les 23,3h. Mais ça dépend aussi des gens. J'ai des collègues même matière même lycée qui arrivent à faire 22h, mais moi je n'y arrive pas.Une passante a écrit:Hélips a écrit:24h ? mettons 35, quitte à viser le burn-out pour 90% des collègues, autant que ce soit vite fait, qu'on puisse les remplacer par des vrais durs.
A lire certains témoignages, il y a des disciplines où cela semble faisable (pas 35, mais entre 20 et 25 heures).
_________________
Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- TivinouDoyen
youpeka a écrit:
3) on pourrait revaloriser le métier en intégrant les heures qui se font déjà dans un statut unique à 24 heures par exemple
- DanskaProphète
Hélips a écrit:Ce n'est pas juste une question de discipline. C'est aussi une question de classes. C'est sûr que si on a 16h de bts donc comptées 20h avec en plus aller 3h d'un cours de terminales à 20 élèves, on peut gérer les 23,3h. Mais ça dépend aussi des gens. J'ai des collègues même matière même lycée qui arrivent à faire 22h, mais moi je n'y arrive pas.Une passante a écrit:Hélips a écrit:24h ? mettons 35, quitte à viser le burn-out pour 90% des collègues, autant que ce soit vite fait, qu'on puisse les remplacer par des vrais durs.
A lire certains témoignages, il y a des disciplines où cela semble faisable (pas 35, mais entre 20 et 25 heures).
22h en lycée j'ai déjà fait - pas le choix vu le nombre d' HSA à absorber à deux seulement dans l'équipe cette année-là - mais j'étais célibataire et sans enfants, et j'ai fini l'année sur les rotules. Aujourd'hui je refuserais catégoriquement de refaire une année pareille, et si on me l'impose un jour ce sera au détriment des préparations de cours et des évaluations, tant pis pour les élèves.
- JennyMédiateur
J'ai déjà fait 21h sur les rotules toute l'année et en bossant 7 jours/7 (et avec une affectation très calme, des petits effectifs, mais pas de cours de prêt). 24h, je ne vois pas comment je peux tenir. Et puis 24h en lycée en histoire-géo, c'est passer tous ses week-end sur des copies.
Je ne comprends pas les collègues qui sont favorable à une nouvelle dégradation de nos conditions de travail.
Je ne comprends pas les collègues qui sont favorable à une nouvelle dégradation de nos conditions de travail.
- clapNeoprof expérimenté
21h comment c’est possible en étant TZR? Moi j’aimerais des HSA mais non on m’affecte à 15h tout pile.
- JennyMédiateur
J’ai toujours au moins deux HSA en étant TZR, un peu moins en service partagé.
- TrucOuBiduleHabitué du forum
Enaeco a écrit:Pas de prof de techno, on a donc petit à petit grignoter les heures pour avoir des groupes. Cela pourrait continuer avec l'EIST en sixième, car nous allons voir la quasi totalité de l'équipe de techno partir dans les années à venir
youpeka a écrit:J’ai du mal à comprendre, et je ne suis pas le seul, ce qu’ils sont en train de faire avec la techno collège. Mais c’est un autre sujet.
En fait, un peu quand même.Hélips a écrit:Ce n'est pas juste une question de discipline. C'est aussi une question de classes. C'est sûr que si on a 16h de bts donc comptées 20h avec en plus aller 3h d'un cours de terminales à 20 élèves, on peut gérer les 23,3h. Mais ça dépend aussi des gens. J'ai des collègues même matière même lycée qui arrivent à faire 22h, mais moi je n'y arrive pas.Une passante a écrit:A lire certains témoignages, il y a des disciplines où cela semble faisable (pas 35, mais entre 20 et 25 heures).Hélips a écrit:24h ? mettons 35, quitte à viser le burn-out pour 90% des collègues, autant que ce soit vite fait, qu'on puisse les remplacer par des vrais durs.
Au niveau collège, l'adaptabilité/flexibilité est demandée au sein des EPLE en sciences et technologie (faites le parallèle avec l'enseignement scientifique de la réforme du lycée cela dit). L'institution considère localement les profs de SVT, ceux de SPC et ceux de techno interchangeables (cycle3 de la 6è). C'est avec ces heures-là qu'on fait baisser le coût du travail (dédoublements VS HSA) et qu'on baisse les besoins.
Or, plus largement, en techno, c'est pas comme en SVT ou SPC, on n'est pas certifié pour aller au lycée... jusqu'en 2012.
Cette interchangeabilité est valable uniquement très localement (z'avez dit territorialisation ?), elle ne l'est pas au niveau des mouvements (bah oui, pourquoi moi, en techno, je ne pourrais pas demander un poste sur le mouvement en SVT ou SPC, je ne peux d'ailleurs même pas le faire en S2I, mon "inspection" ?)
- .:
- @youpeka , ceux après 2012 ne peuvent être certifiés que techno mais s2i, sauf si 3è concours ou interne ou titularisation "sur poste" mais pas par "externe, 1 an de stage puis titu" -> regardez les barres, un stagiaire/néotit en s2i qui a le choix entre participer au mouvement techno OU à un mouvement en S2i (celui de son recrutement), à votre avis que choisit-il ?
Des années que la techno subit un France Telecom du fait de ces blocages et réformes, et personne ne s'en offusque parce que tout le monde on s'en fout (syndicats, institution).
C'est un groupe de profs dont on se fiche royalement et c'est ensuite qu'on peut voir Enaeco dire : "Pas de prof de techno, on a donc petit à petit grignoter les heures pour avoir des groupes" Mais comment pouvoir avoir des profs de techno avec un tel barème ?
Perso, je rêve de me tirer de cette académie francilienne qui désormais recrute à ... BTS, pour enseigner la techno collège.
De fait, je deviens "surqualifiée" et du coup sous-payée pour être affectée en IDF...
- TivinouDoyen
Tu confonds enaeco et angelx. Leurs points de vue ne sont pas du tout les mêmes !TrucOuBidule a écrit:Enaeco a écrit:Pas de prof de techno, on a donc petit à petit grignoter les heures pour avoir des groupes. Cela pourrait continuer avec l'EIST en sixième, car nous allons voir la quasi totalité de l'équipe de techno partir dans les années à veniryoupeka a écrit:J’ai du mal à comprendre, et je ne suis pas le seul, ce qu’ils sont en train de faire avec la techno collège. Mais c’est un autre sujet.En fait, un peu quand même.Hélips a écrit:Ce n'est pas juste une question de discipline. C'est aussi une question de classes. C'est sûr que si on a 16h de bts donc comptées 20h avec en plus aller 3h d'un cours de terminales à 20 élèves, on peut gérer les 23,3h. Mais ça dépend aussi des gens. J'ai des collègues même matière même lycée qui arrivent à faire 22h, mais moi je n'y arrive pas.Une passante a écrit:A lire certains témoignages, il y a des disciplines où cela semble faisable (pas 35, mais entre 20 et 25 heures).Hélips a écrit:24h ? mettons 35, quitte à viser le burn-out pour 90% des collègues, autant que ce soit vite fait, qu'on puisse les remplacer par des vrais durs.
Au niveau collège, l'adaptabilité/flexibilité est demandée au sein des EPLE en sciences et technologie (faites le parallèle avec l'enseignement scientifique de la réforme du lycée cela dit). L'institution considère localement les profs de SVT, ceux de SPC et ceux de techno interchangeables (cycle3 de la 6è). C'est avec ces heures-là qu'on fait baisser le coût du travail (dédoublements VS HSA) et qu'on baisse les besoins.
Or, plus largement, en techno, c'est pas comme en SVT ou SPC, on n'est pas certifié pour aller au lycée... jusqu'en 2012.
Cette interchangeabilité est valable uniquement très localement (z'avez dit territorialisation ?), elle ne l'est pas au niveau des mouvements (bah oui, pourquoi moi, en techno, je ne pourrais pas demander un poste sur le mouvement en SVT ou SPC, je ne peux d'ailleurs même pas le faire en S2I, mon "inspection" ?)
- .:
@youpeka , ceux après 2012 ne peuvent être certifiés que techno mais s2i, sauf si 3è concours ou interne ou titularisation "sur poste" mais pas par "externe, 1 an de stage puis titu" -> regardez les barres, un stagiaire/néotit en s2i qui a le choix entre participer au mouvement techno OU à un mouvement en S2i (celui de son recrutement), à votre avis que choisit-il ?
Des années que la techno subit un France Telecom du fait de ces blocages et réformes, et personne ne s'en offusque parce que tout le monde on s'en fout (syndicats, institution).
C'est un groupe de profs dont on se fiche royalement et c'est ensuite qu'on peut voir Enaeco dire : "Pas de prof de techno, on a donc petit à petit grignoter les heures pour avoir des groupes" Mais comment pouvoir avoir des profs de techno avec un tel barème ?
Perso, je rêve de me tirer de cette académie francilienne qui désormais recrute à ... BTS, pour enseigner la techno collège.
De fait, je deviens "surqualifiée" et du coup sous-payée pour être affectée en IDF...
- MathadorEmpereur
Enaeco a écrit:celitian a écrit:Si si je fais 16h de cours, je ne perçois que des pondérations sur 15h.
C'est le même principe que sur le lycée, je crois que mes collègues de term et 1ère perçoivent 1h max.
En lycée, la pondération est plafonnée à 1h max (10*1,1).
En BTS, la seule limite est l'ORS donc 15*1,25 ou 18*1,25 donc environ 4h.
Au passage, seule la limite pour le cycle terminal fait partie du décret n°2014-940. La « limite » de pondération sur 15h ou 18h n'apparaît que dans la circulaire d'application, et je pense qu'elle pourrait être par conséquent annulée pour excès de pouvoir. D'ailleurs une autre disposition de la même circulaire (qui permettait dans les faits d'imposer 1,5 HSA au lieu d'une seule) a été censurée…
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- HélipsProphète
Je n'ai pas écrit que ce n'étais pas du tout lié à la discipline, j'ai écrit que ce n'était pas lié uniquement à la discipline.TrucOuBidule a écrit:En fait, un peu quand même.Hélips a écrit:
Ce n'est pas juste une question de discipline.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- OxfordNeoprof expérimenté
C'est vrai que si l'on faisait un sondage : matière et nombre d'HSA absorbées, on remarquerait sûrement des constantes.
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Tutti i ghjorna si n'impara.
- TrucOuBiduleHabitué du forum
Erreur en citant (et c'est bien ce qui me semblait....)Tivinou a écrit:Tu confonds enaeco et angelx. Leurs points de vue ne sont pas du tout les mêmes !TrucOuBidule a écrit:Enaeco a écrit:Pas de prof de techno, on a donc petit à petit grignoter les heures pour avoir des groupes. Cela pourrait continuer avec l'EIST en sixième, car nous allons voir la quasi totalité de l'équipe de techno partir dans les années à veniryoupeka a écrit:J’ai du mal à comprendre, et je ne suis pas le seul, ce qu’ils sont en train de faire avec la techno collège. Mais c’est un autre sujet.En fait, un peu quand même.Hélips a écrit:Ce n'est pas juste une question de discipline. C'est aussi une question de classes. C'est sûr que si on a 16h de bts donc comptées 20h avec en plus aller 3h d'un cours de terminales à 20 élèves, on peut gérer les 23,3h. Mais ça dépend aussi des gens. J'ai des collègues même matière même lycée qui arrivent à faire 22h, mais moi je n'y arrive pas.Une passante a écrit:
A lire certains témoignages, il y a des disciplines où cela semble faisable (pas 35, mais entre 20 et 25 heures).
Au niveau collège, l'adaptabilité/flexibilité est demandée au sein des EPLE en sciences et technologie (faites le parallèle avec l'enseignement scientifique de la réforme du lycée cela dit). L'institution considère localement les profs de SVT, ceux de SPC et ceux de techno interchangeables (cycle3 de la 6è). C'est avec ces heures-là qu'on fait baisser le coût du travail (dédoublements VS HSA) et qu'on baisse les besoins.
Or, plus largement, en techno, c'est pas comme en SVT ou SPC, on n'est pas certifié pour aller au lycée... jusqu'en 2012.
Cette interchangeabilité est valable uniquement très localement (z'avez dit territorialisation ?), elle ne l'est pas au niveau des mouvements (bah oui, pourquoi moi, en techno, je ne pourrais pas demander un poste sur le mouvement en SVT ou SPC, je ne peux d'ailleurs même pas le faire en S2I, mon "inspection" ?)
- .:
@youpeka , ceux après 2012 ne peuvent être certifiés que techno mais s2i, sauf si 3è concours ou interne ou titularisation "sur poste" mais pas par "externe, 1 an de stage puis titu" -> regardez les barres, un stagiaire/néotit en s2i qui a le choix entre participer au mouvement techno OU à un mouvement en S2i (celui de son recrutement), à votre avis que choisit-il ?
Des années que la techno subit un France Telecom du fait de ces blocages et réformes, et personne ne s'en offusque parce que tout le monde on s'en fout (syndicats, institution).
C'est un groupe de profs dont on se fiche royalement et c'est ensuite qu'on peut voirEnaecoangelxx dire : "Pas de prof de techno, on a donc petit à petit grignoter les heures pour avoir des groupes" Mais comment pouvoir avoir des profs de techno avec un tel barème ?
Perso, je rêve de me tirer de cette académie francilienne qui désormais recrute à ... BTS, pour enseigner la techno collège.
De fait, je deviens "surqualifiée" et du coup sous-payée pour être affectée en IDF...
- TrucOuBiduleHabitué du forum
Oui, HSA absorbées et dédoublements, je pense (ce qui rajoute de l'injustice).Oxford a écrit:C'est vrai que si l'on faisait un sondage : matière et nombre d'HSA absorbées, on remarquerait sûrement des constantes.
- celitianSage
TrucOuBidule a écrit:Oui, HSA absorbées et dédoublements, je pense (ce qui rajoute de l'injustice).Oxford a écrit:C'est vrai que si l'on faisait un sondage : matière et nombre d'HSA absorbées, on remarquerait sûrement des constantes.
TrucOuBidule a écrit:Oui, HSA absorbées et dédoublements, je pense (ce qui rajoute de l'injustice).Oxford a écrit:C'est vrai que si l'on faisait un sondage : matière et nombre d'HSA absorbées, on remarquerait sûrement des constantes.
C'est forcément lié aux disciplines, lorsque l'on a des blocs entre 4 et 10h (en n'ayant que des classes entières), que l'on ne peut pas ou ne doit pas scinder, on a très rapidement des heures supplémentaires.
Cette différence est due aux différentes réformes qui ont fortement diminué les horaires dans certaines matières.
- HocamSage
Ou le coup des 2h30 en LV2 avec la réforme du collège, suivi du coup des 2 HSA imposables, ce qui dans beaucoup d'établissements a obligé les collègues d'espagnol ou d'allemand à prendre 20h (8 x 2h30) ou à partager des groupes, le service à 18h (6 x 3h) n'étant plus qu'un lointain souvenir. Deux classes et un niveau en plus par rapport à la situation pré-2016, merci bien.
- mafalda16Modérateur
Hocam a écrit:Ou le coup des 2h30 en LV2 avec la réforme du collège, suivi du coup des 2 HSA imposables, ce qui dans beaucoup d'établissements a obligé les collègues d'espagnol ou d'allemand à prendre 20h (8 x 2h30) ou à partager des groupes, le service à 18h (6 x 3h) n'étant plus qu'un lointain souvenir. Deux classes et un niveau en plus par rapport à la situation pré-2016, merci bien.
C’est ça. C’est 20h ou 20h, pas le choix
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"Si no luchas, al menos ten la decencia de respetar a quienes lo hacen", José Martí.
- IcareNiveau 1
Bonjour à tous,
Vaste sujet que celui des HSA ; certains les fuient, d'autres les sollicitent
Il est vrai que le niveau des rémunérations proposées nous incitent à en accepter.
Qui décide ? le CE , en fonction des besoins et de la confiance qu'il peut avoir dans l'enseignant en question.
Pour ma part, le nb d'HSA a été souvent un objet de jalousie ; j'ai en effet été amenée à en effectuer quelques unes ( entre 9 et 14) pendant plus de 10 ans dans une académie de l'Est de la France (+ 2 autorisations de cumul : école de commerce et Univ de Strasbourg) ... je sais, certains vont hurler ....
C'est peut-être beaucoup, mais cela me paraissait beaucoup plus "tranquille" que l'emploi occupé auparavant dans une entreprise.
Les 2 véritables limites que j'ai pu constater :
- les réactions parfois hostiles de certains collègues ; à se demander qu'il faudrait s'interdire de gagner sa vie (à peu près) correctement dans l'Education Nationale.
- l'autre limite, la réticence du DASEN lorsque le proviseur présente les services ; si le chef d'Ets sait s'imposer pas de pb.
Pour ma part, je suis convaincue, que nous devrions pouvoir y recourir sans parcimonie.
Bonne journée
Vaste sujet que celui des HSA ; certains les fuient, d'autres les sollicitent
Il est vrai que le niveau des rémunérations proposées nous incitent à en accepter.
Qui décide ? le CE , en fonction des besoins et de la confiance qu'il peut avoir dans l'enseignant en question.
Pour ma part, le nb d'HSA a été souvent un objet de jalousie ; j'ai en effet été amenée à en effectuer quelques unes ( entre 9 et 14) pendant plus de 10 ans dans une académie de l'Est de la France (+ 2 autorisations de cumul : école de commerce et Univ de Strasbourg) ... je sais, certains vont hurler ....
C'est peut-être beaucoup, mais cela me paraissait beaucoup plus "tranquille" que l'emploi occupé auparavant dans une entreprise.
Les 2 véritables limites que j'ai pu constater :
- les réactions parfois hostiles de certains collègues ; à se demander qu'il faudrait s'interdire de gagner sa vie (à peu près) correctement dans l'Education Nationale.
- l'autre limite, la réticence du DASEN lorsque le proviseur présente les services ; si le chef d'Ets sait s'imposer pas de pb.
Pour ma part, je suis convaincue, que nous devrions pouvoir y recourir sans parcimonie.
Bonne journée
- CasparProphète
Hocam a écrit:
Je ne trouve plus le panneau "don't feed the troll".
- angelxxxÉrudit
Oh, je n'ai pas inscrit mes autres cumuls sinon on va aussi me sauter dessus... Et on va me dire qu'un cours de sup ou de spé de physique se prépare bien plus vite qu'un cours de français de collège.... Bref, cette année 6 niveaux, dont 3 dans le supérieur avec des programmes à préparer, des copies de 6/8 pages multipliées par 45 par classe, etc...
Néanmoins je suis tout de même d'accord sur le fait que cela dépend en partie de la discipline : c'est aussi pour ça que j'ai choisi la mienne. Avec des conditions strictement équivalentes, j'aurais fait mathématiques.
On pourrait aussi admettre que cela dépend aussi de la personne, de sa capacité de travail, de son efficacité. La majoritairement de mes cours je les prépare durant les trajets dans ma tête, la mise en forme demandant moins de 5 minutes par page. Quand je vois certains collègues pour sortir un document tout pourri en une heure de "travail"... Ou certains qui disent qu'ils croulent sous les corrections alors qu'ils corrigent et discutent en même temps. Mais on ne va pas relancer de débat hein.
Néanmoins je suis tout de même d'accord sur le fait que cela dépend en partie de la discipline : c'est aussi pour ça que j'ai choisi la mienne. Avec des conditions strictement équivalentes, j'aurais fait mathématiques.
On pourrait aussi admettre que cela dépend aussi de la personne, de sa capacité de travail, de son efficacité. La majoritairement de mes cours je les prépare durant les trajets dans ma tête, la mise en forme demandant moins de 5 minutes par page. Quand je vois certains collègues pour sortir un document tout pourri en une heure de "travail"... Ou certains qui disent qu'ils croulent sous les corrections alors qu'ils corrigent et discutent en même temps. Mais on ne va pas relancer de débat hein.
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"La lumière pense voyager plus vite que quoi que ce soit d'autre, mais c'est faux. Peu importe à quelle vitesse voyage la lumière, l'obscurité arrive toujours la première, et elle l'attend. Terry Pratchett."
- DanskaProphète
Icare a écrit:
Pour ma part, je suis convaincue, que nous devrions pouvoir y recourir sans parcimonie.
C'est ça. Même que les centaines de milliers de collègues qui se contentent d'en prendre une ou deux ne sont rien d'autres que des gros flemmards.
Et je ne parle pas de ceux qui sont à temps partiel, il n'y a même plus de mots pour les décrire, ceux-là.
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