- Une passanteEsprit éclairé
ysabel a écrit:gregforever a écrit:Je suis super énervée contre l'examinateur de mes élèves: en + des questions du programme de seconde qu'il poursuit, il interroge hors oeuvre d'entretien et de manière biaisée sur l'oeuvre (peut-être non lue), genre sur la littérature d'idées en général au lieu de cette oeuvre et de l'expérience de lecteur...
On a eu un message des IPR rappelant que la 2ème partie n'était pas une interrogation sur ce qui avait été fait durant l'année. A priori, beaucoup de collègues semblent faire comme si rien n'avait changé et il y a eu pas mal de remontées.
Je ne sais pas ce qu'il en est de ces collègues, mais c'est quand même très difficile de tenir 8 minutes alors que le candidat est incapable de répéter autre chose que des généralités (du genre "Alcools j'aime parce que c'est moderne, il n'y a pas de ponctuation et il parle de la ville"...) J'avoue qu'il m'est un peu arrivé d'élargir à la séquence, mais c'est une certitude que j'ai regretté de nombreuses fois l'ancienne épreuve.
- sinanNiveau 9
Perso je n'hésite pas à demander de faire des liens, en cas de LC, avec l'OI, cela me semble cohérent avec l'esprit de l'épreuve.
- SeiGrand Maître
Moi, j'aime bien les entretiens. J'ai l'impression que j'interroge de bons élèves.
Généralement, je cherche à les faire sortir de ce qu'ils ont lu sur l'œuvre, en les mettant face à leurs contradictions. Par exemple : vous me dites que vous vous sentez plus proche de Marie, pourtant c'est Meursault que vous aviez plus tôt considéré comme le représentant de la condition humaine. Comment expliquez-vous cela ?
Généralement, je cherche à les faire sortir de ce qu'ils ont lu sur l'œuvre, en les mettant face à leurs contradictions. Par exemple : vous me dites que vous vous sentez plus proche de Marie, pourtant c'est Meursault que vous aviez plus tôt considéré comme le représentant de la condition humaine. Comment expliquez-vous cela ?
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"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
- Yseult2Niveau 5
Je fais aussi des liens avec l'oeuvre intégrale lorsque la cursive présentée est bien choisie: par exemple "Le diable au corps" en contrepoint de La Princesse j'adore et c'est quand même l'esprit de ces parcours! Cela invite l'élève à réfléchir et à sortir de ce qu'il a appris.
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
J'en ai plusieurs qui présentent aussi le diable au corps, je suis surprise de voir à quel point l'aspect égoïste-pour ne pas dire plus- du comportement du narrateur avec Marthe et avec les femmes en général est peu perçu.
On parle quand même d'un jeune homme qui la trompe à plusieurs reprises, dont une fois où il s'agit carrément d'un viol, qui la force à coucher avec son mari pour ne pas assumer sa paternité, et qui finit par se consoler de sa mort en se disant que l'ordre se remet autour de toutes choses, mais non, il n'y a pas de problème !
On parle quand même d'un jeune homme qui la trompe à plusieurs reprises, dont une fois où il s'agit carrément d'un viol, qui la force à coucher avec son mari pour ne pas assumer sa paternité, et qui finit par se consoler de sa mort en se disant que l'ordre se remet autour de toutes choses, mais non, il n'y a pas de problème !
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- BartleboothNiveau 7
Je dois très souvent sortir mes gros sabots en cours pour montrer que le comportement de certains personnages est très discutable. Le simple fait de dire que Bel-Ami n’est pas un amoureux transi de Madeleine ou Clotilde, qu’il est violent, que la Princesse de Babylone est séquestrée par l’un de ses prétendants qui tente de la violer... et je passe pour une féministe pure et dure alors que je ne fais qu’énoncer des faits évidents dans les textes... on a encore du boulot pour éveiller les consciences!
- NLM76Grand Maître
A condition de ne pas embêter le monde avec la négation prétendument partielle ou prétendument totale, notions pour lesquelles personne n'a la même définition.sifi a écrit:Je suis d'accord pour dire que ce programme de grammaire est totalement idiot. Les points ne sont pas reliés entre eux (pourquoi négation et interrogation et pas "types et formes de phrases" ? Pourquoi éliminer les subordonnées circonstancielles de temps ? ).
Ceci dit, décrire une négation ou une interrogation, c'est quand même à la portée de quiconque a des yeux et un minimum de logique, non ?
Et quand la question est intéressante — présence d'une double négation par exemple —, évidemment personne ne comprend rien, y compris les professeurs. Par exemple, je n'ai jamais eu personne qui ait compris le sens de "Le renard sera bien habile / S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon.", nombreux étant ceux qui y ont vu une négation explétive.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- SeiGrand Maître
Bon, je disais hier que j'aimais bien les entretiens...
Je ne sais pas.
Mais en tout cas c'est instructif de les laisser parler.
À leurs yeux, et c'est sans doute parce qu'on les a nous-mêmes invités à cela, une œuvre n'est valable que si elle parle d'aujourd'hui même, et qu'elle a pour sujet des sujets brûlants. Ainsi Montesquieu, via sa féroce et impitoyable critique de la mode, est toujours actuel et dénonce à travers les siècles les réseaux sociaux, ainsi Marivaux est l'équivalent de Martin Luther King parce qu'il dénonce radicalement l'esclavage, et tant pis si in fine tout ce petit monde retrouve sa place de dominant/dominé... Jusqu'à la Princesse de Clèves qui nous donne une leçon de vertu absolument nécessaire dans notre monde corrompu jusqu'à la moelle.
Les entretiens les plus intéressants sont de ceux qui laissent tomber un discours plaqué et laissent s'exprimer une sensibilité en acceptant les questions, les paradoxes. Ça donne envie d'enseigner la littérature à bâtons rompus, en petits groupes.
Je ne sais pas.
Mais en tout cas c'est instructif de les laisser parler.
À leurs yeux, et c'est sans doute parce qu'on les a nous-mêmes invités à cela, une œuvre n'est valable que si elle parle d'aujourd'hui même, et qu'elle a pour sujet des sujets brûlants. Ainsi Montesquieu, via sa féroce et impitoyable critique de la mode, est toujours actuel et dénonce à travers les siècles les réseaux sociaux, ainsi Marivaux est l'équivalent de Martin Luther King parce qu'il dénonce radicalement l'esclavage, et tant pis si in fine tout ce petit monde retrouve sa place de dominant/dominé... Jusqu'à la Princesse de Clèves qui nous donne une leçon de vertu absolument nécessaire dans notre monde corrompu jusqu'à la moelle.
Les entretiens les plus intéressants sont de ceux qui laissent tomber un discours plaqué et laissent s'exprimer une sensibilité en acceptant les questions, les paradoxes. Ça donne envie d'enseigner la littérature à bâtons rompus, en petits groupes.
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- NLM76Grand Maître
Et surtout feignants. Comme une bonne partie d'entre eux. Heureusement que la plus grande part d'entre nous sait que nous sommes beaucoup trop payés pour le peu que nous faisons.roxanne a écrit:Oui mais ce n'est pas parce qu'il y a des profs totalement incompétents ( oublier la question de grammaire, sérieusement ???) qu on ne doit plus rien exiger.
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- Clecle78Bon génie
Ma nièce avait préparé un petit topo très personnel sur sa lecture cursive. Elle a été chaudement félicitée par l'examinatrice pourtant peu expressive.
- NLM76Grand Maître
Vous feriez ça, vous ?
Je me retiens de féliciter ou de blâmer les candidats.
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- Clecle78Bon génie
J'essaie de ne pas le faire mais cette dame était peut être fatiguée après 15 prestations copiées collées ( toute la classe avait choisi le même bouquin et ils sont passés en grande partie avec elle) et cinq jours d'oraux non stop.
- TivinouDoyen
Je n'en peux plus des fiches de lecture récitées.
La deuxième partie de l'épreuve est abominable !
Certains ne comprennent même pas les mots qu'ils utilisent.
La deuxième partie de l'épreuve est abominable !
Certains ne comprennent même pas les mots qu'ils utilisent.
- roxanneOracle
Je ne peux pas trop en dire parce que ce serait trop reconnaissable mais j'ai eu une quinzaine d'entretiens sur une œuvre très très courte, très très connue et a priori très facile où on récite tous les mêmes arguments (Ah toutes ces adaptations en opéra que personne n'a vus bien-sûr). Le pire, c'est que quand c'est meilleur, c'est quand ça s'éloigne un peu du texte sauf que du coup, on ne parle plus de littérature. Moralité : ne pas donner sois prétexte de "facilité"("je l'ai pris parce que c'était court et facile") des textes trop simples aux technos car ils n'en feront rien.
- glucheNiveau 10
Mais c'est surtout le candidat qui doit tenir 8 minutes, pas nous. S'il ne connaît pas son oeuvre, c'est sûr que pour nous aussi, c'est un mauvais moment à passer.Une passante a écrit:Je ne sais pas ce qu'il en est de ces collègues, mais c'est quand même très difficile de tenir 8 minutes alors que le candidat est incapable de répéter autre chose que des généralités (du genre "Alcools j'aime parce que c'est moderne, il n'y a pas de ponctuation et il parle de la ville"...) J'avoue qu'il m'est un peu arrivé d'élargir à la séquence, mais c'est une certitude que j'ai regretté de nombreuses fois l'ancienne épreuve.
Je ne vois pas comment un professeur peut oublier la grammaire, mais je ne vois pas non plus comment un élève sérieux peut ignorer qu'il y a une question de grammaire tout de même.NLM76 a écrit:Et surtout feignants. Comme une bonne partie d'entre eux. Heureusement que la plus grande part d'entre nous sait que nous sommes beaucoup trop payés pour le peu que nous faisons.roxanne a écrit:Oui mais ce n'est pas parce qu'il y a des profs totalement incompétents ( oublier la question de grammaire, sérieusement ???) qu on ne doit plus rien exiger.
- glucheNiveau 10
"C'est parce que vous êtes mauvais, paresseux ou les deux?"roxanne a écrit:"je l'ai pris parce que c'était court et facile"
- eliamEsprit éclairé
Pas seulement en techno, j'ai eu la même chose en série générale.roxanne a écrit:Je ne peux pas trop en dire parce que ce serait trop reconnaissable mais j'ai eu une quinzaine d'entretiens sur une œuvre très très courte, très très connue et a priori très facile où on récite tous les mêmes arguments (Ah toutes ces adaptations en opéra que personne n'a vus bien-sûr). Le pire, c'est que quand c'est meilleur, c'est quand ça s'éloigne un peu du texte sauf que du coup, on ne parle plus de littérature. Moralité : ne pas donner sois prétexte de "facilité"("je l'ai pris parce que c'était court et facile") des textes trop simples aux technos car ils n'en feront rien.
- VatrouchkaNiveau 9
eliam a écrit:Pas seulement en techno, j'ai eu la même chose en série générale.roxanne a écrit:Je ne peux pas trop en dire parce que ce serait trop reconnaissable mais j'ai eu une quinzaine d'entretiens sur une œuvre très très courte, très très connue et a priori très facile où on récite tous les mêmes arguments (Ah toutes ces adaptations en opéra que personne n'a vus bien-sûr). Le pire, c'est que quand c'est meilleur, c'est quand ça s'éloigne un peu du texte sauf que du coup, on ne parle plus de littérature. Moralité : ne pas donner sois prétexte de "facilité"("je l'ai pris parce que c'était court et facile") des textes trop simples aux technos car ils n'en feront rien.
Moi aussi. J’ai dû faire des entretiens sur des œuvres lues du CE1 à la 3ème et qui n’ont, de toute évidence, pas été relues pour l’examen. La lecture était évidemment très superficielle, il n’y a aucun rapport avec les parcours.
Cela m’a confortée dans l’idée de ne pas laisser mes élèves choisir une œuvre hors programme / LC.
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Je viens d'en avoir un incroyable, entre le début sur Molière avec un tissu de contresens et de paraphrase et l'entretien où il me parle de " l'autencité " de l'œuvre
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- Clecle78Bon génie
Ben c'est le cas pourtant Il s'en est rendu compte au moment des oraux blancs en juin et leur a balancé trois polycopiés (pas de manuel dans l'établissement). Ma nièce est venue réviser chez moi et elle est très sérieuse justement. Je n'ai bien sûr jamais dit que les profs sont feignants et trop payés ( ce serait un comble tout de même !) ce commentaire était donc totalement déplacé s'il s'adressait à moi. J'ai surtout l'impression que le collègue a été dépassé par les événements et que peut-être il manquait d'expérience (ma nièce l'apprécie beaucoup par ailleurs).gluche a écrit:Mais c'est surtout le candidat qui doit tenir 8 minutes, pas nous. S'il ne connaît pas son oeuvre, c'est sûr que pour nous aussi, c'est un mauvais moment à passer.Une passante a écrit:Je ne sais pas ce qu'il en est de ces collègues, mais c'est quand même très difficile de tenir 8 minutes alors que le candidat est incapable de répéter autre chose que des généralités (du genre "Alcools j'aime parce que c'est moderne, il n'y a pas de ponctuation et il parle de la ville"...) J'avoue qu'il m'est un peu arrivé d'élargir à la séquence, mais c'est une certitude que j'ai regretté de nombreuses fois l'ancienne épreuve.Je ne vois pas comment un professeur peut oublier la grammaire, mais je ne vois pas non plus comment un élève sérieux peut ignorer qu'il y a une question de grammaire tout de même.NLM76 a écrit:Et surtout feignants. Comme une bonne partie d'entre eux. Heureusement que la plus grande part d'entre nous sait que nous sommes beaucoup trop payés pour le peu que nous faisons.roxanne a écrit:Oui mais ce n'est pas parce qu'il y a des profs totalement incompétents ( oublier la question de grammaire, sérieusement ???) qu on ne doit plus rien exiger.
- NLM76Grand Maître
Écoute, je ne vois pas comment tu peux prendre le commentaire pour toi ! Ma réflexion s'adressait à Roxanne, comme ta citation le montre clairement. Le jugement que j'ai graissé me paraît en effet pour le moins déplacé.Clecle78 a écrit:Ben c'est le cas pourtant Il s'en est rendu compte au moment des oraux blancs en juin et leur a balancé trois polycopiés (pas de manuel dans l'établissement). Ma nièce est venue réviser chez moi et elle est très sérieuse justement. Je n'ai bien sûr jamais dit que les profs sont feignants et trop payés ( ce serait un comble tout de même !) ce commentaire était donc totalement déplacé s'il s'adressait à moi. J'ai surtout l'impression que le collègue a été dépassé par les événements et que peut-être il manquait d'expérience (ma nièce l'apprécie beaucoup par ailleurs).gluche a écrit:Mais c'est surtout le candidat qui doit tenir 8 minutes, pas nous. S'il ne connaît pas son oeuvre, c'est sûr que pour nous aussi, c'est un mauvais moment à passer.Une passante a écrit:Je ne sais pas ce qu'il en est de ces collègues, mais c'est quand même très difficile de tenir 8 minutes alors que le candidat est incapable de répéter autre chose que des généralités (du genre "Alcools j'aime parce que c'est moderne, il n'y a pas de ponctuation et il parle de la ville"...) J'avoue qu'il m'est un peu arrivé d'élargir à la séquence, mais c'est une certitude que j'ai regretté de nombreuses fois l'ancienne épreuve.Je ne vois pas comment un professeur peut oublier la grammaire, mais je ne vois pas non plus comment un élève sérieux peut ignorer qu'il y a une question de grammaire tout de même.NLM76 a écrit:Et surtout feignants. Comme une bonne partie d'entre eux. Heureusement que la plus grande part d'entre nous sait que nous sommes beaucoup trop payés pour le peu que nous faisons.roxanne a écrit:Oui mais ce n'est pas parce qu'il y a des profs totalement incompétents ( oublier la question de grammaire, sérieusement ???) qu on ne doit plus rien exiger.
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- http://instruire.fr
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Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- Clecle78Bon génie
Désolée si j'ai mal lu. C'est parce que c'est moi qui ai raconté l'histoire de ma nièce et de son prof.
- roxanneOracle
J'assume complétement ce que j'ai écrit et je ne vois pas ce qu'il y a de "déplacé". Si, effectivement, l'enseignante a déclaré avoir "oublié" la grammaire (même mon esthéticienne savait qu'il y avait de nouveau de la grammaire au bac), on est dans l'incompétence. Si tu appelles ça autrement, dis-le moi.
- ysabelDevin
Ah ! aujourd'hui j'ai interrogé des techno TMD : franchement un plaisir, les notes ont crevé le plafond... Cette deuxième partie de l'épreuve, avec des élèves qui maîtrisent bien l'œuvre est un plaisir.
Ce fut moins drôle les autres jours.
Ce fut moins drôle les autres jours.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- TivinouDoyen
ysabel a écrit:Ah ! aujourd'hui j'ai interrogé des techno TMD : franchement un plaisir, les notes ont crevé le plafond... Cette deuxième partie de l'épreuve, avec des élèves qui maîtrisent bien l'œuvre est un plaisir.
Ce fut moins drôle les autres jours.
J'interroge en série générale, et j'en ai eu très peu. C'est bien de se dire que les séries techno peuvent y trouver leur compte.
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